La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 517)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°484 -
Le Marquis dEvans séloigne, laissant derrière lui Maître kuaizi, qui est en train de retirer toutes les baguettes chinoises quil avait fixées sur le corps de sa soumise iziauk, et en particulier sur les zones sensibles et érogènes, bien décidé à pouvoir par la suite soctroyer un petit temps de plaisirs sensuels pour baiser sa compagne humide et excitée à souhait. Le Dominant appelle lesclave-femelle N°3MDE qui a été mise à sa disposition pour la soirée et qui lui a servi, en début de soirée, de cobaye pour diverses démonstrations de bondage. Il la regarde avec une certaine fierté de voir la marque temporaire sur son corps des différents nuds et liens qui sont venus sincruster légèrement sur sa peau, lui faisant des dessins en légères incrustations aux formes caractéristiques avec de petites hachures qui correspondent aux différents brins torsadés pour consti la corde qui a servi aux attaches.
Le bondage se doit toujours dêtre suffisamment solide surtout lorsquil sagit dune figure en suspension, pouvant marquer la peau par un serrage adapté mais sans jamais provoquer de pincement ni de garrot qui empêcherait la circulation et pourrait provoquer des accidents ou lésions irréversibles. Maître kuaizi est passé « Grand Maître » dans cet Art ancestral chez les asiatiques, quil pratique pour sa part depuis des années avec sérieux et expérience. Il consacre beaucoup de son temps à essayer de transmettre ses connaissances en la matière à des Maîtres BDSM désireux de se lancer dans cette technique en les responsabilisant et les sensibilisant sur les risques lorsquon se prend à vouloir immobiliser une personne de quelque manière que ce soit, qui devient de fait totalement vulnérable, et vis-à-vis de laquelle, il est impératif de prendre toutes les précautions pour éviter tout danger, malaise et mal-être. Il est dailleurs toujours très inquiet de voir des jeunes novices attirés par ces techniques à la mode, encore peu qualifiés et bien trop inconscients lorsquils sont prêts à se lancer à saucissonner une soumise fragile après avoir vu seulement quelques dessins ou photos quils voudraient pouvoir reproduire sans passer par la phase incontournable de lapprentissage.
Maître kuaizi charge lesclave-femelle N°3MDE de recueillir toutes les baguettes, plus ou moins souillées pour certaines, quil vient de retirer de lanus, de la poitrine et du bas-ventre de sa soumise. Il détache délicatement isiauk un peu engourdie par limmobilité durant toute cette épreuve, afin de pouvoir la recueillir dans ses bras, si fier de celle qui lui permet de vivre ses pratiques D/s jusquau bout. Parallèlement, le Dominant ordonne à lesclave MDE de veiller à bien nettoyer et sécher consciencieusement toutes les baguettes chinoises en plastique dont il sest servi, même si elles sont pour des raisons dhygiène à usage exclusif de celle qui partage ses jours et ses nuits, ses désirs et ses passions D/s.
Le Marquis dEvans quitte la salle à manger qui tient encore lieu de piste de danse pour certains, mais qui, au son de la musique de lorchestre qui se fait de plus en plus langoureuse tandis que les heures défilent, est devenu plutôt un lupanar orgiaque pour beaucoup dautres encore présents dans la pièce. Le Châtelain rejoint le grand Hall de Réception transformé en donjon D/s pour la soirée anniversaire, encore que ce sont moins les bruits des fouets qui se font entendre à cette heure tardive que les râles de délices qui persistent encore et encore, même si Dominant(e)s et dominé(e)s ont déjà eu le comptant de bonheurs jouissifs partagés au fil des heures. Mais une telle nuitée est si exceptionnelle que presque personne ne cherche à rejoindre les chambres mises à la disposition des invités, voulant profiter au maximum dune si belle occasion de pouvoir se livrer sans retenue à ces plaisirs D/s et à tant de concupiscence, dans une communauté où tous les vices sont permis du moment quils sont consensuels, respectueux de C/chacun(e) et accomplis dans les règles de cet Art de vivre quest la D/s.
Le Maître des Lieux aperçoit un groupe de personnes qui ne manque pas de Le surprendre car il règne tout autour un silence absolu qui, sil na rien de macabre dans un tel contexte de lubricité, nen est pas moins surprenant.
Les 5 soumises ont été concentrées sur un petit espace en plein centre, les pieds imbriqués presque les uns sur les autres. Elles sont agenouillées, obligées de se tenir le dos bien droit sans pouvoir reposer sur les talons, leurs mains sont posées à plat sur le sol, bras tendus collés de chaque côté de leur corps. Aucune dentre elles naurait eu lidée de bouger pendant le jeu auquel elles sont astreintes, mais pour ajouter à la mise en scène, les dominées ont été bondagées, entrelacées entre elles, par plusieurs cordages de couleurs qui sont venus faire comme une chaîne multiple de 8 autour de leurs corps, passant respectivement sur le devant de lune et le dos de la suivante, mais en inversant le sens au passage suivant puisquelles sont en nombre impair, et ainsi de suite.
Cest dans un deuxième temps, sur proposition de lun dentre eux, que les Dominants ont décidé eux aussi davoir le droit de jouer au lieu de rester dans un divertissement plus passif, même sil navait rien de déplaisant de se faire lécher et prendre en bouche par leur attribut viril. Ils ont fait entre eux le pari que chacun saurait reconnaître, sans la moindre erreur la fellation qui serait exécutée par sa soumise personnelle. Parce que la nature est ainsi faite chez les êtres sexués, ils avaient dû écarter deux invitées qui navaient pu se joindre au groupe, car il leur semblait que le plastique du gode-ceinture de la Domina qui souhaitait être de la fête serait trop facilement repérable. Cest donc dépitées que « La Seignora Bella » et sa compagne switch « Blue-blue » étaient allées faire une partie de jambes en lair à quatre sur un sofa voisin, chacune suivie des deux esclaves mâles MDE quelles avaient tirés au sort, qui allaient être autorisés à se délecter de deux minous humides, tandis que les deux femmes pourraient gouignasser goulument.
Le jeu était conçu de telle manière que personne ne savait qui se trouvait en face de qui, car les esclaves chargés des déplacements avaient pris soin de bien mélanger les Dominants en leur faisant perdre tout repère spatial avant de les positionner pour la première fellation.
Les Dominants avaient imposé, pour quaucun ne perde la face vis-à-vis des autres en présence de leur soumise, queux seuls seraient au courant de leurs propres résultats, furent-ils positifs ou négatifs. Si le pari fait entre les 5 hommes se voulait avant tout plaisant et convivial, le jeu pour les 5 soumises avait plus lallure dune épreuve qui serait assortie de sanctions punitives en cas de défaillance de leur part. Aucune dentre elles navait relevé le côté presque « injuste » et machiste des règles du jeu puisque seules les femelles seraient punies à la fin de la 5ème fellation ; toutes étaient bien trop excitées à lidée de pouvoir se délecter de verges gonflées, bien quun peu inquiètes ne sachant pas si elles seraient capables de déterminer la bonne dans le tas. Un étalonnage précis de nombre de coups de cravache avait été décidé pour distinguer celle qui ne ferait aucune erreur qui serait alors épargnée et félicitée pour ses capacités, 10 coups pour celle qui en ferait une par méprise (ce cas de figure ne pouvant arriver que si la soumise avait répondu deux fois oui, hésitant entre deux queues), 10+10 coups pour celle qui en ferait une par abstention (en répondant toujours non sans avoir jamais pu reconnaître le sexe du Maître) et au final 10+20 coups pour celle qui en ferait deux (en nayant pas su reconnaître et désigner le bon partenaire, tout en choisissant un autre à la place, ce qui rendait la faute encore plus inadmissible). Aucun des Dominants navaient pu imaginer que celle dont ils envahissaient si souvent la bouche pour la forcer ne pourrait se tromper 3 fois ou plus sur un lot réduit de 5 vits offerts à la « dégustation en aveugle », se sachant tous unique en leur genre de par leur forme, leur taille, leur odeur.
Monsieur le Marquis dEvans sapproche silencieusement pour regarder la fin du jeu, ayant vite compris même sans que personne ne lui explique que chacun devait faire un tour complet des bouches à assaillir. Il imagine assez bien les règles du jeu, apercevant quaprès chaque test, les esclaves MDE notent sur un petit papier le résultat de chaque soumise qui se remplit de O (réponse « oui » de la dominée, tête baissée), de I (réponse « non » de la dominée, tête levée), la lettre étant soulignée dans le cas dune bonne réponse, barrée en croix dans le cas dune mauvaise réponse. Il reste silencieux pour se délecter des deux derniers tours de piste, appréciant de voir les visages masqués des Dominants qui se pâment en silence et les bouches voluptueuses des dominées qui saffairent de la langue et des lèvres pour découvrir la bonne queue à sucer et à avaler pour la voir vibrer, se tendre et se redresser encore plus. Cest au moment où lesclave MDE annonce que le temps est imparti pour la dernière prestation des suceuses-femelles que le Châtelain savance pour intervenir après avoir taper dans ses mains, un bravo qui est repris aussitôt par les autres spectateurs restés silencieux tout autour en attendant le verdict.
Chaque esclave MDE annonce discrètement à loreille du Dominant auquel ils ont été affecté son résultat personnel tout en lui défaisant son bandeau noir. Certains visages silluminent plus que dautres qui reconnaissent avoir perdu leur pari et fait le mauvais choix de soumise. Mais le but de lattraction, qui nétait pas une simple léchouille rotative, se devait aussi dêtre D/s et éducative, afin de pouvoir juger des capacités de chaque femelle à savoir distinguer le bon phallus, celui quelle se devait dhonorer avant tout. Trois des Dominants sapproche de leur dominées dont il baisse la tête tout en leur caressant le visage, leur faisant comprendre quelles ont réussi lépreuve sans faillir. Un autre des Dominants sapproche à son tour de sa jeune chienne-soumise.
- Je ne peux pas dire que je suis fier de toi, mais je vais rester magnanime, car si ta première réponse était erronée, la deuxième était la bonne. Je me doute que lépreuve ne devait pas être facile pour toi, car nous avons eu ensemble peu de rencontres en réel, très isolées car jai peu de disponibilités à te consacrer. Je suis certain que chacune des minutes de nos cinq rencontres passées sont présentes dans ta mémoire, mais je peux admettre que ton souvenir soit plus diffus quant à la particularité de mon anatomie physique que tu nas pu appréciée aussi souvent que toi et moi le voudrions. Cependant, il nest pas question de texonérer de la sanction qui tattend et des 20 coups de cravache qui te permettront de graver encore plus la forme de mon pénis dans ta bouche.
Le Dominant qui navait pas encore refermé sa braguette, extirpe à nouveau le sexe quil venait de ranger et le fourre sans attendre dans la bouche de la soumise fautive.
- Voilà de quoi te rafraîchir la mémoire !
Lui laissant peu le temps de se mettre à lécher le gland et la hampe du sexe qui très rapidement reprend du volume, le Dominant la fourre jusquau fond de la gorge, lui tenant les cheveux pour imprimer le rythme quil impose et lempêcher de se retirer sauf quand lui-même se recule pour lui permettre de reprendre sa respiration. A grands coups de butoir assénés à la cosaque, il la baise de la bouche sans ménagement, ne cherchant rien de plus que son propre plaisir quil pourra prendre en éjaculant et en déversant dans la gorge ouverte sa semence tiède et épaisse.
Pendant le même temps, le cinquième Dominant très en colère sapproche de sa soumise qui avait baissé la tête au dernier tour à tort, lui relève le menton en lui assénant une bonne gifle.
- Tu aurais mieux fait de tabstenir plutôt que de me confondre avec un autre et de me faire affront en public. Nous réglerons cela à la maison, car 30 coups de cravache vont peut-être suffire à distraire mes amis ici présents, mais ils ne seront pas suffisants pour me faire oublier que tu es bien peu digne de mériter à nouveau ma queue que tu ne sais même pas reconnaître lorsque tu as lhonneur de pouvoir en profiter
(A suivre
)
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