Sa Transformation 2

Une fois habillé je suis passé voir où il en était et j'ai dégagé ses tétons pour ôter les embouts. Il a poussé un soupir et s'est massé les bouts des seins qui dépassaient un peu mieux. Je l'ai fait remettre les boutons laissant voir les tétons pointer sous le chemisier à défaut d'avoir des seins.
- Tu aimes ce que je te fais?
- Je ne sais pas jusqu'où vous allez m'emmener mais j'aime me sentir femelle entre vos mains pour votre plaisir.
Je lui ai roulé une pelle et l'ai poussé dans l'impasse, refermant la porte sur nous. Son collier caché par le foulard lui rappelait son état et je l'ai guidé la main sur les fesses. En passant devant la terrasse où travaillait Gilles, celui-ci a poussé un sifflement admiratif, faisant rougir Erica. Comme il y avait peu de monde j'ai soulevé la jupe d'Erica sur ses fesses un instant en matant Gilles. Il avait déjà la main sur le sexe à travers le pantalon, cachant une érection subite.
- On va aller boire un verre et manger à la brasserie sur le boulevard. Pense à ta ligne. Ha et puis tiens, voilà l'ordonnance pour tes cachets d'hormones et ta carte vitale dans ce sac où j'ai mis un peu d'argent.
Entre à la pharmacie je t'attends dehors.
Il a eu un geste pour me retenir puis serrant les dents et un peu rouge, il est entré, attendant, derrière une femme âgée, son tour d'être servi. Ne perdant aucune occasion je matais les jeunes qui passaient, dévisageant les crevettes avant de mater leurs fesses dans les futes. J'ai allumé une clope au moment où il sortait avec un petit sac en plastique.
- Viens t'asseoir sur le banc là-bas que je finisse ma clope.
- Pas comme ça idiote! Tu ne te rappelles déjà plus ce que je t'ai dit?
- Oh pardon.
Il s'est un peu soulevé pour relever l'arrière de sa jupe.
- C'est froid!
- Disons plutôt que tu as les fesses chaudes! Je les aime comme ça.
Il a posé la tête sur mon épaule.
- Si tu aimes alors j'aime.

Je sais que je ne dois pas trop manger mais j'ai faim.
- Alors allons y.
J'ai jeté ma clope et me suis levé matant ses fesses au moment de son levé. J'adorais sa docilité et de le savoir fesses presque nues en ville. J'avais vu le haut du bas et le porte jarretelle si excitant et je l'ai poussé devant une porte cochère, lui posant la main sur ma braguette.
- Tu sens l'effet que tu me fais petite chienne? Non me branle pas. Rappelle-toi que tout à l'heure je l'enfoncerais dans ton petit cul. Penses-y pendant le repas.
On est entré dans la brasserie, je lui ai tenu la porte et j'ai demandé une place pour deux un peu isolée.
Le serveur, un jeune, m'a souri et nous a amené à une table d'angle avec deux couverts en équerre. Il a dû remarqué quand Erica a soulevé sa jupe pour s'asseoir je l'ai vu rosir délicieusement.
- Je reviens avec la carte. Vous désirez l'apéritif?
- Oui merci une petite coupe de champagne pour Erica et moi un pure malt sans glace mais avec une carafe d'eau.
Il est parti et j'ai posé la main sur la cuisse, sous la jupe d'Erica.
- Tu fais de l'effet à tout le monde ma petite chienne. Regarde le zip du serveur quand il reviendra.
Des doigts je jouais sur la peau au-dessus des bas, je le sentais frémir. Je me doutais que sa première soirée en femme devait le travailler. Le serveur a ramené les boissons, puis la carte. Il baissait les yeux mais il n'y avait que ça qui baissait.
- N'oublies pas de prendre ton cachet. Tu l'avaleras au champagne pour me dire que tu comprends et aimes ce que tu seras pour moi. Une femelle, une superbe femelle. Tchin Erica.
Elle tenait le cachet entre ses doigts et l'a avalé en me fixant des yeux avec une gorgée de champagne.
- Tchin maître.
Elle ne savait pas ce qu'une femme comme je l'entend doit endurer mais mettait sa volonté en avant. J'ai fait le choix du menu pour nous deux. Pour elle une salade de betterave suivie d'un poulet petits pois, prenant pour ma part un foie gras du chef suivi d'un pavé de Charolais saignant.
Comme boisson un bon côte du Rhône. J'avais l'intention de la rendre gaie. Au fur et à mesure du repas j'ai été de la reprendre quand elle riait trop fort ou parlait haut. Servant son verre à la même cadence que le mien. Pas de dessert pour cause de ligne mais une Marie Brizard pour elle et un vieil armagnac pour moi. Je sais que je ne parle plus d'elle qu'au féminin. Il en sera ainsi tout le temps sauf à de rares occasions. J'ai réglé et l'ai soutenue pour se lever sous l'oeil du serveur. L'air frais l'a un peu dégrisé et je suis revenu vers mon loft. Dans l'allée à moitié privative, je l'ai faite asseoir sur le muret d'une propriété voisine et un peu renversée sur les mains derrière elle, je n'ai eu qu'à lui écarter les cuisses pour m'enfoncer en elle.
Elle avait tellement mouillé du sexe que ça avait coulé entre ses fesses. Je l'ai baisée pour mon plaisir, ne pensant qu'à moi. Je l'entendais pousser de petits gémissements qui ne faisaient que m'exciter encore plus. Je lui ai mis les chevilles sur mes épaules et lui ai malaxé les tétons encore pointés en accélérant mes coups de reins jusqu'à l'explosion.
- Aller suis-moi
J'avais la verge encore sortie et suis rentré au loft. Une fois à l'intérieur je lui ai fait nettoyer ma queue en refermant la porte. Erica laissait des traces sur le carrelage de l'entrée et après ma queue je lui ai fait nettoyé de la langue.
- Attend que je prenne ma douche. Mets-toi nue en attendant. Tu dois le faire sans que je te le dise, en arrivant!
Je me suis lavé ou plutôt rincé j'avais pris une douche il y a peu de temps et en sortant dans un peignoir éponge, j'ai souri de voir son sexe de gamin baver dans la cage.
- Monte sur le tabouret que je te l'enlève pour que tu te laves bien à fond et partout. Je te regarde.

(Petit a parte pour le lecteur très audacieux qui critique sans jamais mettre son pseudo. Je le connais et je me contrefiche de son opinion.)

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