Nouveau Patron - L'Accident
Voilà quelques mois que mon nouveau patron à intégré mon équipe. Au début, nous avions du mal à nous entendre moi qui suis par moments trop directive pour une stagiaire et lui trop orgueilleux.
Mais plus les mois passaient, plus je rêvais de lui la nuit imaginant qu'il m'enlève chacun de mes vêtements et me prenne sur son bureau en bois.
De plus les regards ne trompaient pas, je pouvais sentir ses yeux se balader sur mon corps dès que j'avais le dos tourné, et dès que nos corps se frôlaient je pouvais sentir ma culotte se mouiller.
Un jour alors que je me changeais dans mon vestiaire pour enfiler une jupe moulante, j'entendis sa voix m'appeler dans son bureau, je ne perdit pas une seconde et la précipitation me fit oublier d'enfiler mon collant, il était donc très facile de deviner mes formes a travers le tissu.
Une fois dans son bureau il prit un air gêné et me demanda si j'avais de quoi coudre dans mon sac, je répondis par l'affirmatif et c'est là qu'il se leva et viens vers moi, sa main me frôla et ferma la porte derrière moi avec fermeté. Doucement il baissa son pantalon et j'aperçus son engin qui paraissait dure et bien formé, aucun mots ne sortie de ma bouche mais je sentis un liquide couler le long de ma jambe, j'étais entrain de mouiller en fixant sa bite, il me tendis son pantalon et me dis qu'il fallait que je le recoude je mis un temps à comprendre que ce n'était pas un rêve et que je ne pouvais continuer à montrer que ma seule envie étais qu'il me jette violemment sur son bureau et pousse son engin en moi. Reprise de conscience j'attrapa le pantalon troué et me mis à coudre en tremblant de tout mon corp.
Une fois finis il l'enfila et me demanda de fermer sa braguette, mon désir ne faisait qu'augmenter et je glissa ma main dans son pantalon encore ouvert en effectuant des vas et viens, il enlevit ma main avec un regard noir et me dit qu'il ne résisterait pas si je n'arrêtait pas, j'avais enfin repris le contrôle je le poussa alors sur sa chaise en cuir et lui susurra a l'oreille qu'il me devais une récompense, je mis ma langue dans sa bouche et il m'embrassa avec force et passion en frottant fermement sa bite contre ma chatte trempée, redevenu moi même je me rappelais à quel point j'aimais jouer avec lui, je décida alors de me relever de fermer sa braguette et de quitter son bureau.
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