La Renovation (1/7)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mon histoire prend forme sous la plume de « CHRIST71 » lorsque que mon ex-mari Patrick la contacté pour lui donner les grandes lignes de ce quil nous est arrivé.
Je mappelle Nathalie et jhérite du corps de ferme propriété de ma grand-mère après sa disparition à une heure de voiture de notre appartement.
Nous avons rapidement vu lors de notre visite, ce que nous pouvions tirer de ses bâtiments après rénovation.
Le cadre et le corps de ferme vont nous permettre dans un premier temps den faire notre résidence secondaire avant de transformer le site pour en faire des chambres dhôte.
Nous avons choisi une entreprise de travaux qui rapidement cest trouvé peu fiable et qui nous a plantés après nous avoir fait payer une partie des travaux.
La faillite de cet entrepreneur va bouleverser notre vie.
Voyant notre désarroi le contremaître marocain de cette société nous propose de reprendre et de finir le chantier. Il souhaite employer du personnel quil payera au noir et surtout les règlements se feront en liquide. Nous achèterons les matériaux au coup par coup suivant les besoins.
Pour les matériaux, cest ce que croit Patrick, car jai été amené à régler personnellement de nombreuses transactions autrement.
Jaccepte sa solution qui nous permet de sauver les sommes déjà invertis.
Je vais avoir cinquante ans, mais je peux dire que je suis assez bandante et souvent les hommes se retournent sur mon passage.
Jai un port de tête qui me donne des allures de dame, des cheveux coupés court châtains, des seins bien proportionnés et surtout des cuisses que mon époux ne cesse de contempler surtout lorsque je suis assise avec ma jupe qui remonte et que je croise les jambes dégageant le haut de mes bas.
Cest aussi le cas dHamed, le contremaître qui dès le premier jour me drague dune manière éhontée devant Patrick.
Sa première exigence, cest de mettre à la disposition des cinq ouvriers qui vont travailler chez nous lune des dépendances qui vont leur servir de dortoir.
Lancienne maison des gardiens est appropriée, car cest la seule à part notre partie personnelle à avoir des commodités.
La maison possède trois chambres pour loger ses hommes.
Il veut un bureau et il lui faut des moyens téléphoniques qui nous trouvons seulement dans notre résidence.
Je linstalle dans une petite pièce dans le bas de notre bâtisse.
Nous sommes daccord que les travaux vont commencer par notre résidence personnelle où la moitié du travail est faite.
Je prends deux semaines de congé pour être présente au premier jour du travail.
Il reste une quantité de matériaux qui ont été achetés par léquipe précédente et que nous avons entreposée dans la grange sous clef.
Dès que mon mari est reparti, lorsque je croise Hamed, il me demande de venir dans son bureau régler quelques problèmes.
Voici la liste de ce quil faut que je commande immédiatement, car sinon je dois retarder le chantier et mes ouvriers partiront ailleurs sans savoir quand je pourrai les ramener chez vous.
Je prends la liste et le total est de deux mille euros.
Cette liste est le minimum pour commencer et dici quinze jours, il en faudra à peu près autant avec la main-duvre des premiers jours de travaux.
Les comptes sont vite faits et jai sur mon compte un peu plus de cette somme.
Mais il me sera impossible de payer la deuxième liste.
Me voyant embarrassé il me fait rapidement une proposition en me tutoyant.
Je prends à ma charge vingt pour cents si tu me suces la queue.
Je sors de la pièce outrée alors quil ouvre son pantalon suite à cette proposition.
Je monte dans notre chambre pour pleurer voyant le piège où il ma fait tomber.
Si je le suce, cest pour de largent et je deviens une pute et si je refuse, je perds tout ce que nous avons investi avec Patrick.
Depuis mon mariage, même sil y a eu des vagues dans notre couple jamais lidée de le tromper à effleurer mon cerveau.
Lété est caniculaire et la fenêtre mansardée de la pièce où je me trouve est ouverte.
Jentends des ordres donnés bruyamment.
Je vais à la fenêtre et les hommes montent dans un camion.
Monsieur, daccord resté !
Lorsque je dis cela, jai conscience que je viens de craquer à linjonction dun homme qui tient à me mettre sa verge dans la bouche.
Attends-moi, je monte.
Je nai pas le temps de dire que je descends souhaitant éviter de le recevoir dans notre chambre conjugale.
Il arrive et dentrée sassoit sur notre lit et ouvre sa braguette.
Tu joues les grandes dames, mais tu es comme toutes les autres tu sais où est ton intérêt. Dépêches-toi de venir me sucer ta bouche mhypnotise.
Il est incroyable que je magenouille devant lui et que je penche mon visage.
Je pompe régulièrement mon homme, mais cest chaque fois à la sortie de sa douche.
Sans être trop forte lodeur qui se dégage, viens agresser mes narines, mais je ferme les yeux et javale le morceau.
Jai une part de chance dans mon malheur, car sa bite est moins importante que celle de Patrick et jai aucun mal à la faire entrer en entier.
Je lui suce le gland comme je le fais chaque fois.
Je prends conscience quil est préférable darrêter là les comparaisons qui me font plus de mal que de bien.
Jai franchi une étape irréversible sur le chemin de ma dépravation et ce morceau que je suce commence à mapporter un bien-être inimaginable.
Je pense le faire éjaculer rapidement, mais la peur quil me demande davaler son sperme monte en moi.
Il me donne un ordre qui me soulage.
Arrête, jai une chose à te dire.
Je vide ma bouche et je le regarde sans savoir ce quil va me dire.
Tu as refusé ma première proposition aussi si tu veux que je la maintienne, agenouilles-toi sur le lit en levrette, je vais te baiser.
Chaque fois que tu refuseras ce que je te propose, je ten demanderai plus pour que tu ratts le coup.
Cest très simple, je veux que tu me sois entièrement soumise si tu veux que nous terminions ton chantier le plus vite possible.
Tu mas compris, fini les états dâme.
Oui, jai compris.
Limpensable marrive et je me vois dans ma psyché me mettre en levrette sur le lit conjugal.
Hamed soulève ma jupe et déchire ma culotte.
Pièce à conviction au moindre refus de ta part, je lenvoie à ton mari sous pli postal lui demandant comment jai pu te la piquer et surtout te larracher.
Lignoble salop surtout lorsque sans aucune précaution, il investit mon intimité me faisant pousser un petit cri de souffrance.
Je vois que tu aimes, profite, cest la première et pas la dernière fois que je vais te labourer dans les semaines prochaines.
Autres choses, tu leur feras à manger matin et soir, tu iras faire les courses avec Ousman, cest le plus jeune, tu es sûr de le reconnaître. Je suis certain quil est puceau.
Prise comme je le suis, je devrais me rebêler, mais la boule qui monte en moi me fait admettre que le visage que je vois maintenant est celui dune salope qui senvoie en lair sans aucune retenue.
Jai limpression quune chose se casse en moi lorsquil gicle dans mon vagin arrosant mon utérus en me faisant hurler de plaisir.
Tous les ouvriers dHamed doivent savoir que la pute à létage a pris son plaisir.
Je mécroule sur notre lit en larmes un restant de lucidité traversant une dernière fois mon cerveau.
Je veux téléphoner à mon mari le soir lorsquils sont entrés dans leur dortoir, mais ce que jai fait me bloque et joublie.
Hamed est parti, car il a une famille près de là.
Je passe une nuit affreuse, chaque fois que je dors des verges de toutes tailles et de toutes couleurs se présente à ma bouche.
Avant que les ouvriers reprennent le chantier, je vais prendre une douche.
Je messuie lorsque la porte souvre et un beau jeune homme qui pourrait être mon fils entre.
Tu es comme ton patron petit, tu viens me baiser.
Il me regarde et précipitamment quitte la pièce.
En lui proposant de me baiser, jétais consentante, pourquoi mon sexe ne serait là que pour satisfaire son salop de patron.
Dans la matinée, je me prépare pour aller faire les courses comme me la dit Hamed.
Dans la salle trois ouvriers tirent des fils électriques, un autre soccupe du plafond, mais Ousman est absent.
Ousman ?
Les gars me regardent et le plus vieux me répond.
Je lai envoyé dans la réserve pour nous rapporter du fil électrique rouge, il arrive.
Je dois lemmener avec moi faire les courses.
Je le sais, le patron ma donné les ordres et tenez, il ma donné du liquide pour vos courses.
Ousman va avec la dame. Vous savez, il parle quen arabe.
Je vais me débrouiller.
Dès que je suis dans ma voiture, il monte à côté de moi. Quand jai dit que je souhaite appartenir à un autre quau marocain loccasion de le tromper avec ce puceau est trop belle.
Pour aller au village, il faut passer par une forêt ou à un kilomètre, il y a une clairière près de la route que jai découverte en me promenant avec Patrick et où nous avons fait lamour sur lherbe tendre.
Jentre dans le chemin et jarrête la voiture.
Dès que je descends, je fais comprendre à Ousman de me suivre.
Il sexécute et dès que jarrive dans la clairière, je me baisse et lui descend le pantalon.
Si je pensais tomber sur un étalon. Sa verge est nettement plus grosse que toute celle que jai vue depuis que jai perdu mon pucelage.
Sans aucun ordre, je le prends en bouche sans parvenir à lui faire prendre un millimètre tellement, il est tendu.
Il faut me dépêcher si je veux que le repas soit prêt à midi.
Je mallonge et il vient me prendre pour le plus grand plaisir de ma chatte qui reçoit les assauts désordonnés de mon ancien jeune puceau.
Faire lamour, avec ce jeune homme, me, lave des souillures que son contremaître a insinuées en moi en me transformant en fille de joie.
Cest tout naturellement avec envie que je le laisse me pénétrer comme un chien fou qui doit apprendre à métriser ses pulsions et qui pense plus à lui quà sa partenaire.
Peu importe que mon corps soit resté muet en attendant le grand frisson quand il éclate en moi satisfait comme un jeune coq davoir accompli son travail de mâle.
Je veux lui apprendre quune femme est autre chose quune réceptionniste de bite et quelle est en droit de jouir, elle aussi.
Je le remets en bouche, savourant sur sa tige, les sécrétions mélangées jusquà ce quil puisse de nouveau me pénétrer.
Je me mets en levrette espérant en me plaçant ainsi que mon clito sera stimulé, quand sa verge le frottera et que je démarrerais.
Dans cette position dès quil entre, sa vigueur devient dévastatrice, je sens ce que je cherche dans les bites de ces hommes montés en moi et lorgasme des orgasmes part de sa verge pour remonter jusquà mon cur.
Il est encore couché sur moi lorsque je me réveille ayant perdu la notion de lheure.
Nous nous rhabillons et lorsque jarrive à la voiture, il est onze heures quarante-cinq. Le temps de faire route jusquau village le super marché vient de fermer.
Un peu anxieuse, je retourne à la propriété.
Les hommes semblent avoir repris le travail. Hamed est là nous attendant.
Où tu étais, quest-ce que tu trafiquais, mes hommes sont partis travailler sans manger ?
Si tu crois que par cette chaleur, ils vont tenir les rendements, tu te mets le doigt où je pense. Va leur donner de leau fraîche, on soccupera de ton cas après le dîner.
Que va-t-il encore marriver ?
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