Le Chemin De L'École, Partie 17
En milieu d'après midi, il m'emmène à Genève pour que l'on puisse en profiter pour nous promener main dans la main sans risquer de croiser quelqu'un que l'on connaît.
Il m'entraîne dans une boutique de lingerie. Dans les rayons, nous choisissons à deux plusieurs ensembles assez sexy.
On se dirige vers les cabines d'essayage, il entre avec moi dans l'une d'elles. D'un doigt sur la bouche il m'intime le silence.
Il me déshabille en commençant par le top que j'ai mis pour remplacer le chemisier orphelin de ses boutons. Je me retrouve seins nus. Il m'enlève ma jupe et mon tanga. Je suis nue, juste vêtue de mes escarpins, devant lui.
Il en profite pour mordre mes tétons et embrasser mon ventre jusqu'à mon pubis. Puis il me tourne dos à lui et me fait me pencher pour prendre appui à la paroi de la cabine. J'entends qu'il ouvre sa ceinture et la fermeture éclair de son jeans.
Il pose ensuite ses mains sur mes hanches pour les agripper et me pénètre. Je sens ses couilles taper mes fesses. Il me baise de plus en plus fort. J'ai du mal à retenir mes cris tellement c'est bon.
Soudain il se retire et me demande de me mettre à genoux pour le sucer :
- J'ai envie que tu avales, chuchote-t-il.
J'adore qu'il me dise ce que je dois lui faire.
Je prends sa queue en bouche et le suce jusqu'à sentir son sperme couler dans ma gorge.
Il me fait me relever et m'embrasse.
J'essaie rapidement les soutiens-gorge qu'on a choisi pour être sûr qu'ils me vont bien. Les quatre m'allant parfaitement, je décide de les prendre tous. A la caisse, il m'empêche de sortir ma carte de crédit et paie l'ensemble de mes achats. Je suis un peu gênée et je lui fais savoir une fois sortie de la boutique :
- Pourquoi tu m'as pas laissée payer ? C'est gênant...
- Parce que j'avais envie de te les payer moi. J'ai pas le droit d'être l'homme avec qui tu t'affiches en public, qui peut te faire des cadeaux devant ta famille et tes amis à Noël ou ton anniversaire.
- Merci en tout cas.
- Allez viens, on va se trouver un resto pour manger. Je commence à avoir faim.
Il m'emmène dans un restaurant thaïlandais où nous nous régalons avant de rentrer chez lui.
On regarde un film avant d'aller nous coucher. Mais nous ne sommes pas fatigués et nous discutons et il finit par me demander :
- Tu peux me dire qui a pris la photo de toi en train de toucher au boulot ?
- Je crois que je vais te laisser dans le doute. Je trouve ça mignon que tu sois un peu jaloux.
Et je me tourne sur le côté, lui montrant mon dos. Comme lundi soir chez moi, il vient de se coller à moi, un bras sous ma nuque, l'autre autour de ma taille. Il m'embrasse dans le cou et me dit bonne nuit.
A six heures quarante cinq, mon réveil sonne. Je le coupe rapidement. Thomas dort encore. Je me lève sans faire de bruit pour ne pas le réveiller.
Je descends dans la salle de bains du rez-de-chaussée pour me préparer. Je me dirige ensuite dans la cuisine et fais couler du café dans la cafetière. Je m'en sers une tasse et ouvre mes mails sur mon smartphone.
On est jeudi et Romain est parti depuis jours. Je n'ai eu le droit qu'à un seul sms. Je commence à me demander si je lui manque seulement... Je ne peux pas dire qu'il ne m'aime pas : il me le dit, me fait des surprises, on fait l'amour plusieurs fois par semaine, on se dispute presque jamais.
Mais entre nous ce n'est plus vraiment ce que c'était au début. On a beau baiser souvent, ça n'a plus rien à voir avec nos ébats des premiers moi : au début, il lui arrivait de me toucher en public, il avait tout le temps sa tête entre mes cuisses, quand je me promenais en petite tenue il se jetait sur moi, nos rapports durant souvent presque une heure.
Maintenant, il s'en tient au stricte minimum, parfois il n'y a même pas de préliminaires, je ne jouis plus très souvent, et en dix à quinze minutes l'affaire est bouclée.
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