Ronde Et Alors...
Je suis mariée. Depuis plus de seize ans. Mon mari et ma vie de famille me satisfont pleinement. A vrai dire me comblent. Je crois ne manquer de rien et je savoure ma chance. Le seul point noir, si je puis dire, reste mon corps que je trouve, ai toujours trouvé trop enrobé. Je suis brune, une jolie brune dit-on, mon chéri le répète souvent et à force j'ai presque fini par le croire. De jolis yeux noisette. De longs cheveux qui tombent aux épaules. Mais, voilà le hic, je suis assez rondelette. Inconsciemment je m'habille avec des vêtements un peu vagues et assez casual, comme on dit. Je proscris en principe les jupes- je trouve que cela accuse un peu trop mes formes, mollets et cuisses assez potelées- et les robes trop olé-olé, moulantes et autres. Je désespère parfois mon chéri et il m'arrive de lui céder, comme tour récemment où une soirée nous attendait dans un superbe cadre- la villa d'un de ses fournisseurs qui tenait à le remercier pour vingt ans de bons et loyaux échanges commerciaux.
J'ai lutté jusqu'au bout mais, il n'y a rien eu à faire, j'ai accédé à ses demandes. Une robe noire, à bretelles et à mi genoux, une paire d'escarpins plats, nous étions en été et voilà qui suffit à rendre le sourire à mon chéri. Dès notre arrivée, j'étais, je l'avoue, bluffée par tout ce luxe, une villa de nabab hollywoodien, tout ce monde- une centaine de convives au moins, toute cette élégance- les femmes toutes drapées dans de belles robes du soir, les hommes en tenue de gala. J'ai bien vu l'air de mon homme et sa gène, sa crainte plutôt que nous fassions un peu tache dans tout ce décor somptueux et j'ai voulu le rassurer d'un " c'est nous les plus beaux, mon chéri." qu'il a peine relevé. Notre hôte, la belle cinquantaine, est venu nous saluer. Je me suis retrouvée, sans presque m'en rende compte, à échanger des banalités mondaines avec son épouse, elle aussi la belle cinquantaine, décidément...Mon mari entourait avec quelques autres le grand homme d'affaire et c'est le moment choisi par Madame- les employés de maison l'appelaient tous ainsi-pour me proposer une visite des lieux.
Ma foi, je me montais ces marche, l'air d'une domestique. A fur et à mesure, je croisais des femmes. Certaines étaient silencieuses. D'autres m'adressaient de clins d'il. Bien. Parvenue, un peu hors d'haleine, en haut des marches, je me trouvais devant un immense couloir, au bout duquel une porte entrouverte sur un musique vaporeuse. D'autres femmes en sortaient. je décidais d'aller y voir. En arrivant devant la porte, un homme vêtu comme un écuyer me salua en silence avant de me tendre un masque. Je faillis faire machine arrière toute lorsqu'il me saisit délicatement par le poignet et me fit pénétrer dans une pièce- aussi grande que toutes autres- plongée dans une étrange demi-pénombre. J'étais un moment comme paralysée, les genoux flageolants. Surgi de l'obscurité, un autre homme, torse nu et en pagne, vint à moi une chandelier à la main. "Veuillez me suivre Madame."
Je me suis mis à reculer machinalement...et plus je reculais plus il me souriait " N'ayez crainte, madame. Suivez-moi." Je ne savais plus ce qui arrivait. Mais je décidais de le suivre. Après tout, j'étais l'invitée d'un contact professionnel de mon chéri.
Je l'ai donc suivi. "Mais toutes les autres femmes.
"Ici? " disais-je tremblante.
L'homme repartit, avalé par la pénombre.
J'ouvris la porte. L'intérieur était faiblement éclairé à la bougie et ressemblait à une chambre aux draps de satin mauves. Mon cur battait la chamade. La porte que j'avais laissé entrouverte à dessein s'est alors brusquement refermée dans un claquement sec. Je me suis retournée et c'est là que j'ai reconnu notre hôte, en poussant un cri.
"re bonsoir chère madame. C'est un honneur pour moi, croyez-le bien, de vous recevoir pour la première fois chez nous."
Je n'en croyais pas mes yeux. "Mais enfin qu'est-ce que tout ça signifie?" j'étais paniquée. Troublée.
" Que je me dois de vous honorer comme j'honore toutes mes invitées quand elles viennent pour la première fois." Un léger sourire lui fendit le visage.
" Heu...vous voulez dire que toutes ces femmes que j'ai vu monter...vous..." je ne savais ni quoi dire ni quoi faire.
"Oh non, elles se sont amusées avec d'autres galants. Elles ont l'habitude de venir chez nous. Mais vous c'est une première, alors je puis accéder à tous vos désirs. Ne serais-je pas à votre convenance?"
"enfin là n'est pas la question...je suis mariée..."
" mais toutes nos amies le sont, madame." Et il se mit à se déshabiller lentement. Il était beau bien que plus âgé que mon chéri d'au moins quinze ans.
"Et justement...qu'en pensent leurs maris..." je me voulais effrontée à présent.
"Ils ne pensent qu'à s'amuser avec d'autres dames que les leurs. Certaines de ces dames croisées tout à l'heure, vous comprenez mieux, désormais, Madame?"
"Mais comment ça...je ne peux pas croire que..." Il était nu et vraiment qu'il était beau.
"Et mon mari alors?!" J'étais pivoine. Gênée. De plus en plus troublée.
"Voyons , il s'amuse avec mon épouse...Puisque c'est, aussi, sa première fois." Il réprimait un début de fou rire. " Il ne vous a donc rien dit"
Je bredouillais " je ne vous crois pas. L'homme s'est alors approché de la porte qu'il a rouverte et m'a demandé de le suivre dans le couloir. Juste deux portes plus loin, il m'a demandé de venir voir. Il a l' entrebâillée quelques secondes. Juste le temps pour moi d'apercevoir mon chéri...chevauché par Madame à laquelle il tirait des gémissements inouïs. J'en eus le souffle coupé et me dirigeais droit vers le bout du couloir quand la voix de notre hôte retentit, nettement plus autoritaire. "Venez Madame! Venez vous amuser!"
" M'amuser alors que je viens de voir ce que je viens de voir..." j'étais à bout. Les nerfs à vif.
" Sauf si vous n'y tenez pas , bien sur. Je comprends tout à fait que je ne sois pas à votre gout, Madame."
"Mais vous plaisantez, j'espère. Vous êtes beau et votre épouse est ravissante. Comment pouvez-vous la laisser aller faire ces...avec mon mari! Et vous comment pouvez-vous avoir envie de faire ces choses avec...quelqu'un comme moi!" c'était sorti tout seul.
"Mais cela lui plait et votre mari, pardon de vous dire cela, a l'air du lui donner beaucoup de plaisir. Comme vous, d'ailleurs, pourriez m'en donner beaucoup."
"Moi? Mais vous m'avez vue...Je suis toute ronde. Quelconque." Il se rapprochait dangereusement. Son sexe se dressait. Un sexe de belle taille.
"Oui tu es ronde. Et alors...regarde..." il me désignait son sexe " regarde comme ma queue se dresse pour tes belles formes que je meurs d'envie de découvrir. J'étais rouge. Mais moins de colère que d'envie, cette fois.
" et ça...ça te plait toujours?" je laissais glisser ma robe bretelle au sol. J'étais en soutien-gorge et culotte de dentelle.
"Oh oui...tes formes sont très appétissantes. Viens." il venait d'ouvrir la porte de notre chambre. Je m'exécutais.
"Que veux-tu de moi, ma belle?" il s'était placé devant moi.
"heu...j'aimerais que..." je bafouillais avec l'envie soudaine de reculer.
" que veux-tu...Sophie...dis moi?"
" oh comment savez-vous pour mon prénom, je..." Je commençais à comprendre et je dégrafais mon soutif avant de baisser ma culotte.
" Ton mari m'a tout dit...Sophie...A toi de me dire ce que j'ignore encore" j'étais folle rage et cela augmentait mon envie de lui céder.
"j'aimerais que tu...me baises...comme mon salop de mari baise ta femme"
il s'est levé et m'a plaqué sur le lit " oh oui je vais te baiser Sophie. Comme jamais il ne te baisera." Son sexe est entré d'un coup sec dans ma fente " tu mouilles déjà, depuis le début tu es trempée. Oh grosse cochonne"
"Oh oui...bourre-moi! vas-y!" Ces mots inhabituels pour moi, m'étaient sortis de la bouche.
"Je vais te bourrer ta bonne chatte qui a si peu servie. Ma grosse chienne! et je sais que tu vas aimer ça!"
(à suivre.)
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