René Et Claudine
Nous allongeons après le pique nique. Nous regardons le cheminement dune file de fourmis affairées. René est entre Claudine et moi. Claudine samuse à lui caresser les fesses pour connaitre ses réactions. Pas en reste je le teste sur la nuque, ses chevaux courts à cet endroit minspirent. René ne bouge pas, quoique des fois il remue son bas ventre. Je pense quil doit commencer à bander. Tant mieux, je voudrais bien voir sa queue qui doit être adaptée à certains usages. Claudine insiste sur ses caresses : je le vois sincruster un instant dans la raie.
René enfin se retourne, cest vrai, il bande, cest visible sous son pantalon. Nous sommes surprises quand il nous attire les deux à la fois vers lui. Il tient nos têtes, les approche de la sienne. Sa bouche se pose dabord sur celle de ma camarade en un baiser prolongé et enfin sur moi. Je déguste sa langue un bon moment. Ce nest quà cet instant que je pense que nous sommes deux filles avec un seul garçon. Je sais que dans certaines circonstances trois personnes peuvent faire des choses. Sa langue a fini son premier usage. Par contre ses mains commencent à nous chatouiller, nous caresser doucement. Je ne sais pas encore pour Claudine, moi il mexcite. Je lai bien cherché. Je me mets sur le coté, une jambe sur la sienne. Instinctivement je frotte le pubis contre lui. On ne fait guère mieux comme appel au viol.
Je sens bien que Claudine fait comme moi. Je vois bien son genou. Je ne le pensais pas si joli. René se remet sur le ventre. Ses mains passent sur nos jambes. Il nous caresse en même temps les mollets les genoux, les cuisses, entre les cuisses, puisque nous nous laissons agir. Je le laisse faire quand il vient sur ma culotte. Cest même moi qui avec une main lécarte opur quil vienne sur ma chatte. Je ne sais pas comment il atteint le sexe de Claudine. Toujours est-il quil arrive à ce tour de force de nous branler à la fois.
Je me demande si lexcitation de prendre du plaisir à deux filles najoute pas à celui qui grimpe.
Je prends mon courage à deux mains, je me mets toute nue devant les deux autres. Je me penche pour donner ma poitrine à la bouche de René. Il me tête comme un petit , cest très apaisant. Et puis jai envie quil me fasse des machins que jaime. Je vais minstaller sur sa figure, je donne toute ma fente et le reste à sa bouche. Jaimerais me baisser sur la queue, la bouffer comme il me fait à la chatte. Claudine tient la bite, ne veux pas la donner, au contraire, elle aussi se met sur lui, je la vois arranger le bout du gland pour quil la perfore là où elle veut. Ce nest pas le premier endroit que jaurais pris. Elle installe la colonne sur son petit trou. Elle fait un début une grimace, puis reprend un visage serein et enfin de femme comblée. Elle joue à la balançoire sur la queue de notre ami. Sa tête part en arrière, sa bouche souvre comme celle dun poisson sorti de leau. Ses mains se sont fixées sur les cuisses de René.
Ses balancements mexcitent sans fin. Je bouge sur la bouche qui lèche mes endroits sensibles. Il me semble que toute la langue est partout sur ma fente. Je dois noyer René de mon jus. Cest presque aussi bon quune bite. Sauf quil entre toute la langue dans le vagin. Je ne sais ce quil lèche : je grogne mon plaisir avant de le hurler de tous mes poumons, tant pis si des promeneurs mentendent. Il narrête pas là : je sens le bout de sa langue changer de direction, il passe sur le périnée. Il va chercher quoi là bas.
Et lautre Claudine qui se régale de la sodomie : elle a déjà du se faire enculer ailleurs sans même men parler, la garce. Après la découverte de la nouveauté, jouvre mon cul encore plus. Il me la mets au plus profond possible de sa pauvre langue. Je gémis longtemps, presque tout le temps quil séjourne en moi.
Claudine me tend sa bouche. Se sera notre premier baiser. Cest vrai quune langue ans la bouche est agréable quand on baise. Mais là, avec elle, une autre fille, lexpérience est différente. Elle est meilleure. Elle remue toujours autour de la queue plantée dans son cul, je remue autour de la langue fichée dans le mien. Je sens sa jouissance quand elle mordille ma langue. Elle entraine mon orgasme rare.
Nous nous dégageons les uns des autres pour nous trouver nus sur lherbe avec des fourmis qui trottinent toujours. Je suis tentée de demander à Claudine un ajout, un complément à ce que nous venons de vivre. Encore une fois jarrive en retard. Cest elle qui me prend dans ses bras, qui membrassent encore une fois qui touche mes seins, les caressent avant de mettre sa main au panier. Rapidement nous sommes en 69. Je vois de très près un autre con. Cest joli, plein de petits trucs où je perds ma langue. Claudine me lèche, frotte bien, là je sais que je ne suis pas sa première. Toute sa science ressort quand elle me caresse aux endroits voulus, mieux, plus pronfément, plus longtemps que nimporte quel homme. Je dois mettre un quart dheure avant davoir mon premier orgasme lesbien : cest magnifiquement emmené. Je peux moi aussi glisser mes doigts sur le clitoris : elle réagit en jouissant, et en faisant autre chose avec sa bouche.
Elle caresse ma raie, je suppose quelle veut aller explorer mon cul. Je la laisse faire cette chose assez rare de me sodomiser avec ses doigts de femme. Elle caresse ma raie en descendant vers la chatte. Jai hâte quelle arrive à bon port, quelle samarre à moi. Elle y est, sa langue lave ma sorti en la léchant ainsi. Claudine montre sa préférence pour le cul, le vrai. Jattends avec impatience la suite. Elle ponte de bout de la langue sur lanus. Elle y entre avec une facilité rare. Elle va-et-vient en moi, elle me donne un plaisir totalement inconnu : Je frémis de partout, je crie mon orgasme nouveau. Je suis totalement écroulée sur elle sans savoir rien faire. Elle se content seul assise sur lherbe pendant que René nous regarde avec sa queue encore une fois bandée. Je ne sais je me ferais encore mettre par une bite, en tout cas une fille y aura sa place.
Je dois secouer mon pied, il était envahi par des tonnes de fourmis curieuses.
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