La Renovation (2)

Je suis rentré en retard pour faire manger les hommes qui rénovent la maison héritée de ma grand-mère.
C’est en dépucelant Ousman, le plus jeune des ouvriers que j’ai oublié l’heure.
Hamed, leur chef qui a repris mon chantier vient de me promettre de s’occuper de mon cas après le repas du soir.

Je sais que je peux expliquer que son dépucelage m’a pris du temps même si j’en ai retiré du plaisir, ce qui m’a mise en retard, mais je sais aussi que me rebeller m’attirera plus de sévice que de plaisir.
Je repars avec Ousman au super marché et lorsque nous passons devant le chemin où nous, nous sommes arrêtés ce matin, il me met sa main sur le bras avec un mouvement de tête. Je mets la mienne sur son short et je peux constater qu’il a bien récupéré et qu’il bande.
Nous avons fait assez de bêtises pour aujourd’hui. J’évite de m’arrêter, mais je porte ma main jusqu’à sa verge que je masturbe tout en roulant contre toutes les règles du code de la route.
J’arrive à le faire éjaculer et lorsque je récupère ma main, elle est couverte de son sperme. Je tiens à lui faire comprendre que je suis très près de lui voir à lui alors je lèche avidement mes doigts pour bien nettoyer toute parcelle de ce qui sort de son corps.
Nous arrivons au magasin, alors qu’il pousse le Cady, nous prenons de quoi préparer un repas savoureux, car je suis bonne cuisinière.
Je connais les produits qu’ils peuvent consommer alors nous achetons des aliments neutres.

Au repas la fête se déroule au rythme de la guitare d’Ousman, même s’ils sont entre hommes tous danse sans jamais s’occuper de moi.
Je sers, le dessert et fais la vaisselle. Hamed semble avoir oublié qu’il doit me punir alors je fais très attention à éviter de le contrarier.
J’ai appris à mes dépens que c’est un vicieux, mais comme je vois l’heure avancer, je suis rassuré pour ce soir.
Une fois de plus c’était mal le connaître.

• Nathalie monte, dans ta chambre et mets toi à poil, j’arrive.



Le fumier, il m’a laissé au bout de ma laisse avec assez de longueur pour me rassurer pour mieux tirer dessus et me casser.
Je sais que je ne peux me rebeller, mais en ai-je vraiment l’envi.
Surtout lorsque je me lève comme un automate pour aller vers ma demeure et que je monte dans ma chambre.
J’ai juste le temps de me mettre nue lorsqu’il arrive. Il est accompagné par les quatre ouvriers aussi nus que lui.
Un moment de panique s’empare de moi, vais-je être obligée d’honorer ces cinq verges.
J’ai le sentiment que la punition va être dévastatrice, je vais ramasser.
Le seul plaisir que j’ai lorsqu’ils s’approchent, c’est qu’Ousman continue à jouer de la guitare dans la maison des gardes et a évité de venir participer à ma punition.

• ………………

C’est en Arabe qu’il les exhorte à venir s’occuper de moi. Je pense qu’il a dû dire que c’est de ma faute s’ils ont fait ceinture à midi et que je suis à leur disposition pour me faire pardonner.
Le premier qui attaque est leur chef avec qui j’ai parlé en cherchant Ousman, ce matin.
Directement sur ma chatte que je tiens ouverte en ayant les jambes bien écartées, car je compte bien retirer du plaisir de cette nouvelle expérience même si elle m’est imposée au départ.
Contrairement à mon puceau de ce matin, mon clito l’intéresse avant toute autre chose.
Il le suce avec gourmandise allant même jusqu’à le mordiller.
J’ai à peine le temps d’analyser ce que je ressens qu’une verge se présente à ma bouche m’obligeant à l’avaler.
Dans un mouvement celui qui me lèche la vulve me saisit me fait basculer se place sur le dos emmanchant directement ma chatte. Je dois légèrement relever la tête pour recevoir la verge dans ma gorge l’homme s’appuyant le dos à la tête de lit.
Alors que je crois que je vais profiter de ces deux pénétrations, l’un des quatre met son mandrin dans ma main, alors que l’autre veut que je fasse la même chose avec ma main libre, je dois cambrer les reins en étant en équilibre sur la verge qui me taraude.

Bouche, chatte et main s’est sans compter Hamed qui reste maître du jeu, qui se place à hauteur de ma rosette et qui m’empale toujours avec le même manque de précautions pour la dame que je suis.
J’essaye de profiter au maximum de la situation, car combien de femmes frustrées dans leur vie voudraient avoir à leur disposition cinq verges bandées à mort.
Pouvais-je penser qu’un jour je sentirais le long de ma paroi séparant mon rectum de mon conduit vaginal les frottements de deux verges qui commencent à me faire de l’effet ?
Que mon plaisir partirait de mon cul, car c’est par ces petites terminaisons nerveuses qui s’agacent en premier faisant monter plus fort qu’une simple boule le plaisir dans mon corps.
C’est à ce moment que la verge dans ma bouche déverse son flot de sperme que j’ai le plaisir à avaler.
Un mouvement tournant s’opère et une de mes mains se libère de la bite que je masturbe pour mieux investir ma bouche.
Chaque fois qu’un sexe à décharger en moi un autre, viens se vider soit sur mes seins ma bouche et jusqu’au moment où les deux pieux au centre de mon corps me donnent le point final à mes jouissances en me remplissant là encore.
La nuit est tombée lorsqu’ils me quittent le corps maculé du sperme abondant de certains privés de leur femme depuis des mois.

• C’est bien, tu as été une belle pouliche, mais gars ont eux plaisir à te sauter, je te fais une remise sur ta prochaine facture comme je te l’avais promis.
Dernière chose, à partir de demain, je te veux nue dans la maison à disposition de tous ceux qui ont envie de toi. Tu deviens leur chienne, ils pourront se coller avec toi chaque fois qu’ils te solliciteront.
Dors bien.

Je suis de plus en plus piégé et il en profite, à quoi m’a mené l’héritage de ma grand-mère, sinon à devenir une femme dépravée avide de sexe.
Alors piégé pour piéger, si lors de la proposition d’Hamed, j’avais dit non, Ousman me serait inconnu, je serais allé seul au super marché et même s’il est encore un jeune chien fou, je vais avoir plaisir de le façonner pour qu’il devienne mon amant de cœur mais surtout un amant idéal.

J’entends partir une voiture, Hamed doit rentrer chez lui et rejoindre sa femme à qui il dira que je le force à faire des heures supplémentaires.

C’est le moment, où Ousman après cette glissée subrepticement dans ma chambre, s’être dévêtu, me porte dans ma salle de bains pour que l’eau efface toutes les souillures qu’Hamed et ses hommes m’ont fait subir.
Dès que nous sommes dans l’eau, il m’assoit sur son pieu de nouveau bandé et me fait subir des outrages qui m’auraient fait crier aux violes il y a peu alors que ce sont des mots d’amour que je lui prodigue.
Tout à l’heure le chef a essayé de m’embrasser. En bonne pute, j’ai refusé. Mais avec mon petit puceau, tout lui est permis même si j’ai conscience en lui prenant tendrement la bouche où la première fois, je trompe Patrick.
Avant de me quitter au matin, il me sodomise comme il l’a fait dans la clairière, mais avec plus de retenue et en me faisant jouir comme une folle du cul que je suis devenu.
Folle de mon cul, j’ai intérêt à l’être, car parmi les quatre hommes qui m’ont puni hier deux jeunes semble penser qu’à baiser cette grande bourgeoise à la peau blanche qui se donne à eux chaque fois qu’ils me mettent la main aux fesses.
Dans les trois journées qui précèdent le retour de Patrick, je me fais baiser, enculer au moins vingt-cinq à trente fois. Ma bouche est remplie de sperme qu’Hamed avec mansuétude m’a ordonné de toujours avaler.
J’ingurgite de grandes quantités de ce liquide poisseux tout au long de la journée faisant de moi la cochonne soumise qu’il espérait certainement que je deviendrais.
Et dans tout cela, j’oublie mes nuits d’amour avec Ousman qui me prend deux à trois fois chaque fois.
J’oublie volontairement celui qui même s’il me fait jouir mérite une petite vengeance de m’à part.
Pourquoi petite, une grosse et grande vengeance de ma part ?
Surtout depuis que chaque fois que je vais dans son bureau son nouveau plaisir, c’est de jouer avec une cravache de cavalier avec la spatule qu’il tape sur sa main sans qu’à ce jour, il en fasse profiter mon arrière-train.

Quand j’y pense, la menace est explicite.

Le vendredi, lorsque Patrick arrive, dans le campement tout, est nickel.
J’ai remis des vêtements corrects.
Les tables de la cuisine ou de la salle à manger ont retrouvé leurs simples utilités qui consistent à ce que nous mangions alors qu’avant qu’il arrive mes seins poser dessus permettait grace à la position que l’un ou l’autre me laboure.
Hamed après avoir salué mon mari en me faisant un peu de gringue en passant repart chez lui.

• Nathalie, il semble bien amoureux cet homme, aurais-tu fauté ?
• Oh, chéri moi qui t’ai attendu chastement toute cette semaine.
• Je sais mon cœur, je plaisantais, je te vois mal faire le sandwich au milieu de tous ces hommes, tu serais moins pimpante qu’une rose après une semaine de ce traitement.

Le corps a des ressources que mon homme ne peut connaître, mais que j’ai bien enduré avec tous mes étalons.
Surtout qu’après avoir monté son sac dans la chambre, il m’embrasse afin que je lui fasse une gâterie avant le repas que je lui ai préparé.
Je suis dans la cuisine devant le fourneau lorsque sa main passe sous ma jupe et qu’il me prend par la taille pour me poser les fesses sur cette maudite table et qu’après avoir sorti sa bite, il me fasse jouir.
J’ai l’impression, que cette table est devenue mon lieu de travail comme pute et de plaisir pour mon époux.
Un seul Ousman baise toutes les nuits dans ma couche et n’a aucun motif de me prendre sur cette table.

Que dire de notre week-end, repos, baise, repos, repos et encore repos.
Sauf le dimanche matin où Patrick part faire son Tiercé et que j’ai la chance qu’Ousman passe près de la grange au moment en se promenant où j’en sors après avoir étendu le linge qui vient de tourner dans la machine.
Il me fait un cœur avec ses mains qu’il place sur sa poitrine.
Un rapide regard si personne ne peut nous voir et en quelques secondes sa verge est dans ma main avant que je m’appuie sur une vieille botte de foin et qu’il écarte mon string pour me prendre sauvagement.
Un bruit de porte nous fait sursauter et je vois entrer les deux autres jeunes qui de suite souhaitent leur part de mon corps.
Une discussion enflammée entre les trois garçons me montre que mon amant préféré défend mon honneur mais les menaces qu’ils semblent proférer le fond cédé.
Un des hommes se couche au sol, une fois de plus il me place au milieu, mais l’homme préfère me sodomiser alors que l’autre me pénètre par la chatte.
Ousman sera de la partie, car j’avance ma bouche et il entre au fond de ma gorge.
Une fois de plus la double pénétration fait son effet et je m’envole plus haut que le sommet de la grange.
Ils ont une autre idée et avant qu’ils jouissent, il se relève, discute avec Ousman et le place au sol sa bite en l’air.
J’adore le plaisir qu’il me fond, car je suis visage face à lui et dès que ma chatte a retrouvé sa queue, je peux l’embrasser fougueusement.
Bien sûr, je me doute que mes deux autres amants vont rester des actifs, mais de là à subir, ce qu’ils me font est inconcevable pour moi.
Deux doigts écartent ma rosette remplacée par la verge du sodomite et rapidement elle est rejointe par l’autre sexe que l’homme glisse le long de celle de son collège.
J’ai entendu parler de double pénétration, mais j’étais persuadé que cela se faisait dans la chatte des filles, mais mon anus, c’est impensable, surtout qu’ils sont bien montés, je le sais, je les ai eus en bouche.
Je suis sûr qu’après ce qu’ils me font, je vais marché le cul cassé et que, jamais je ne pourrais resserrer mes cuisses.
Je me concentre sur la verge d’Ousman et en continuant de l’embrasser, lorsque je quitte ses lèvres pour crier le plaisir que je ressens, je vole, oui je vole.
Je crie, oui je crie.
Oui, au village à quelques kilomètres, Patrick doit entendre que sa chienne de femme a trois verges qui la pourfendent et qu’elle jouit encore et encore…

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