Rosa La Gourmande 1

C’était il y a presque trente ans. Rosa avait 25 ans et deux s de 6 et 3 ans. Mariée à 19 ans avec son premier homme, Bruno, un gentil garçon, bosseur et bien élevé qui était une « victime » toute désignée…
Ils venaient de s’installer, 10 mois plus tôt, dans une maison construite à la campagne pour eux. Pour mieux financer celle-ci, Bruno accepta de travailler en nuit. Cinq jours sur sept et parfois le dimanche, de 20h à 6h. Avec le trajet, cela le faisait partir vers 19h15 et revenir vers 5h45… Rosa restant seule.
Lorsqu’il était de jour, Bruno s’était attiré le courroux de trois collègues, par son zèle et son avancement rapide. Jean, 50 ans, solide garçon d’origine paysanne. Courtaud et puissant. Rémy, 39 ans, un type roublard et passablement vicieux. Rémy avait une réputation de faiseur de cocus. Plutôt beau mec et célibataire. Jérôme, 28 ans, marié à une salope qu’il aimait offrir aux copains. Jérôme était un grand gaillard, super bien monté, mais très sadique…
Dés la fin de la première semaine, Rémy, qui connaissait Rosa pour l’avoir rencontrée avec son mari, proposa aux autres de se la faire ! Bonne idée, que Jean peaufina en suggérant que chacun prenne « son tour » pour qu’elle soit baisée trois nuits par semaines ! Immédiatement, les autres adoptèrent l’idée. Restait à conclure, sachant que Rosa pouvait se montrer rétive. Ce fut Jérôme qui décida qu’il était le mieux qualifié pour entamer l’affaire. Plus jeune et plus mignon, il était, aussi, le plus doué pour la soumission !!!
Le lundi suivant, vers 20h30, Jérôme sonnait chez Bruno et Rosa. Elle lui ouvrit, en jupe courte et débardeur à bretelles.
« Bonjour, je suis un collègue de Bruno et je viens pour voir la moto qu’il veut vendre. Je sais qu’il bosse, mais il est au courant et il ne voit pas d’inconvénients à ce que je la regarde. Paraît qu’elle a un soucis mécanique et je pense pouvoir y remédier… »
Rosa était un peu surprise, car Bruno ne lui avait rien dit.

Mais, ils ne se voyaient pas trop dans la journée et il se pouvait qu’il ait oublié de lui signaler qu’un beau mec allait venir voir la moto…
« Ben, je ne savais pas, mais suivez moi, je vais vous ouvrir le garage… »
Jérôme profita de l’occasion pour reluquer le splendide cul de cette jolie salope en devenir… Une fois dans le garage, il se concentra sur l’engin et fut heureux de constater que rosa se tenait debout, assez près de lui. Il en profita pour s’allonger, sous prétexte de bricoler le pot d’échappement, pour jeter un œil sous la jupe un peu courte. Un petit bout de tissus noir confirma la présence d’une culotte ! Malin et fidèle à son plan, il se salit les mains et lorsqu’il se releva il dit :
« Je vois ça avec Bruno, mais il se peu que je la répare pour la lui acheter… Pourrais-je me laver les mains ? »
« Bien sûr… Venez dans la salle de bain… »
Tu m’étonnes, qu’il va te suivre ! Une fois dans la pièce, il se lava les mains tout en jetant un œil sur les lieux. Une nuisette indiquait que la belle dormait en tenue légère.
« Jolie nuisette, pour une bien jolie femme ! »
Rosa fut estomaquée par la réflexion. Ce type était du genre direct et mignon en plus… Elle avait constaté qu’il était musclé et elle le trouvait tentant ! Mais elle était mariée et mère de famille !!! Elle le vit, comme dans un rêve, souriant et sûr de lui, s’approcher d’elle et lui mettre la main au cul.
« Cà ne doit pas être marrant pour une aussi jolie poupée de passer ses nuits seule au lit ! Je pourrais te tenir compagnie, non ? »
La main s’était glissée sous la jupette et posée sur la fin tissu de sa culotte. Elle tremblait et se sentait hypnotisée…
« Non, laissez moi…Je suis une honnête femme mariée… »
Il se moquait bien de son beau discourt, pas très assuré. Jérôme savait qu’elle ne pouvait pas lui résister. Ses yeux lui criait « Baise-moi » ! Tranquillement, il se pencha et lui roula une pelle qu’elle accepta et partagea.
La main avait franchit le rempart de la culotte et un doigt se glissait entre les cuisses de Rosa. Elle se contracta un peu, mais quand il lui demanda de faire tomber sa jupe, elle s’exécuta et la culotte lui fut retirée dans l’instant. La bouche de Jérôme continuait à la rendre muette en lui roulant pelles sur pelles. Lentement, il finit de la déshabiller et, une fois qu’elle fut nue, il lui dit :
« Allons dans ta chambre, je vais te donner tout le plaisir que tu mérites… »
Moins de 5 minutes plus tard, elle avait les doigts et la langue de cet inconnu dans sa chatte incendiée. Ce type lui faisait des choses qu’elle ignorait possible. Quand il se mit nu et qu’il réclama une pipe, elle se montra assez maladroite mais pleine de bonne volonté. Jérôme avait une magnifique bite, longue et assez épaisse. Elle le fit durcir avant qu’il ne la pénètre d’une longue poussée, jusqu’au plus profond de sa chatte… Les orgasmes s’enchaînèrent et Rosa découvrit qu’elle adorait se faire baiser et obéir à un homme directif. Il se vida trois fois en plus de trois heures, dans la chatte surchauffée de Rosa. Elle apprit à lui nettoyer la queue après ses éjaculations et elle aima le goût de son foutre, elle qui n’avait jamais goûté celui de son mari. A plusieurs reprises, il lui mit un doigt dans son cul inviolé et il lui dit que, bientôt, il l’enculerait comme la bonne salope qu’elle était, le méritait.
Quand il parti, elle était une femme adultère et elle ne regrettait rien. Il lui dit qu’il reviendrait le lundi suivant pour la baiser aussi longuement.
A son retour, Bruno ne s’aperçu de rien. Elle ne lui parla pas de la visite de Jérôme et quand il voulu la baiser en début d’après midi, elle se laissa faire mais ne se montra pas plus entreprenante ni enjouée que d’habitude. Il se vida dans sa chatte assez rapidement et elle simula un plaisir quasi inexistant…Rosa comprenait qu’elle n’était pas mariée avec un amant remarquable et qu’elle avait beaucoup de plaisir à rattr !
En ce Mardi soir, il était un peu plus de 20h lorsqu’on sonna à la porte.
Rosa sursauta et cru, un instant que Jérôme revenait déjà. Elle alla ouvrir, en robe courte, de jean délavé. A la porte, un type qui devait avoir une cinquantaine d’années. Pas bien grand, trapu et très ordinaire.
« Salut, je m’appelle Jean et je suis un copain de Jérôme et collègue de Bruno. Parait que tu es une sacrée petite cochonne et que tu as besoin qu’on s’occupe de toi… Alors, je viens te montrer comme on peut s’éclater avec un vieux paysan ! »
Rosa resta un instant pétrifiée. Elle n’avait pas envie de se faire ce type, mais il semblait savoir des choses et elle avait peur qu’il ne parle à Bruno.

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