Philippe, Mon Voisin Impitoyable - Partie 2
Cela faisait maintenant deux semaines que Philippe mavait repoussé et je ne savais toujours pas comment réussir à me le sortir de la tête. De temps à autre, je le croisais sur le palier en compagnie de Nathalie et de Lucas. Jaffichais mon plus beau sourire et nous nous saluions comme-ci de rien nétait. Personne naurait pu deviner que Philippe et moi avions couché ensemble quelques semaines plus tôt.
Puis le mois de janvier arriva. Je repris les cours à la fac et je fis la connaissance de Mathieu, un étudiant de ma promo. Il était grand, brun et très beau. On sentendait assez bien et javais parfois limpression quil sintéressait à moi mais il ne semblait pas vouloir se décider. Cependant, je me dis quil était temps de commencer à me décoincer un peu et à fréquenter dautres personnes afin dessayer doublier Philippe, peu importe qui ça serait. Les choses ne bougeant pas avec Mathieu, je fini par me rapprocher de Lucas : après tout, on sentendait bien, il était très mignon et je savais quil sintéressait à moi. Cest vrai que cétait le beau-fils de Philippe mais je navais pas de compte à lui rendre.
Un jour, alors que Lucas et moi étions seuls chez lui à flirter, les choses semballèrent un peu. À moitié nus, nous nous embrassions, allongés sur son lit lorsque nous fûmes surpris par Philippe qui venait juste de rentrer et qui cherchait Lucas. Embarrassée, je me rhabillai à toute vitesse et sorti de la chambre pour rentrer chez moi. Philippe était resté dans le couloir. Lorsque je passai devant lui, il mattrapa violemment par le bras en me fusillant du regard sans rien dire. Je le fixai à mon tour avec mépris puis je me dégageai de son emprise et retourna à mon appartement.
Finalement, les choses nallèrent pas plus loin avec Lucas. En revanche, Mathieu et moi devînmes de plus en plus proche et il passait souvent à la maison pour diner. Parfois, nous croisions Philippe dans limmeuble et sous son regard assassin, jen profitais pour me coller à Mathieu.
-Il est pas un peu bizarre ce type ? me demanda Mathieu.
-Tu ne crois pas si bien dire !
Philippe avait lair énervé. Etait-ce à cause de moi ou étais-je juste en train de me faire des films ? Laissant la question en suspend, je rentrai chez moi après avoir dit au revoir à Mathieu.
Le vendredi qui suivi, alors que mes parents étaient à nouveau parti pour un long week-end jusquà lundi, me laissant seule à la maison, Mathieu et moi allâmes passer là soirée dans un bar. Vers minuit, lalcool nous étant bien monté à la tête, je linvitai à venir finir la nuit chez moi. Jétais très excitée et javais envie de lui. Avant même darriver dans lappartement, nous nous embrassâmes sur le palier. Alors que jessayais douvrir la porte de chez moi, je vis celle dà côté sentrouvrir très légèrement mais personne nen sortir. Quelquun nous espionnait et jétais sûre que cétait Philippe. Il est vrai que nous étions plutôt bruyants à cause de lalcool. Au fond de moi, espérais quil était furieux et jaloux de voir que jétais passé à autre chose. Cette nuit là, je couchai avec Mathieu pour la première fois. Il était plutôt doux et jeu même un orgasme. Cétait très différent davec Philippe mais cétait très agréable. Le lendemain, nous passâmes la journée dehors et je ne retourna chez moi que très tard le soir. Une fois couchée dans mon lit, je mendormis en pensant à là journée que je venais de passer.
Puis dimanche arriva. Je me réveillai de très bonne humeur, jen avais presque oublié lexistence de Philippe.
-Putain mais ouvre, cria t-il à travers la porte. Je sais que tu es là Morgane, ouvre !
Il hurlait tellement fort que jeu peur que tout limmeuble lentende. Je pris donc une grande inspiration et je déverrouillai la porte. Javais à peine ouvert quil rentra et referma derrière lui.
-Cest qui ce mec ? me dit-il en sapprochant.
-Pardon ?
Je croyais rêver. Non mais pour qui il se prenait ? Cest lui même qui mavait envoyé bouler après prit son pied avec moi.
-Tas couché avec lui ? demanda t-il les dents serrées.
-Ça ne te regarde absolument pas avec qui je menvois en lair
Il me plaqua violemment contre le mur et frappa ce dernier rageusement.
-Tu voulais me rendre jaloux cest ça ?
Cette fois cest moi qui explosai de rire.
-Tas couché avec lui petite salope, hein ? me demanda t-il dun air méprisant. Réponds !
Si cest ce quil vouait entendre, il allait lentendre.
-OUI JAI COUCHÉ AVEC LUI, hurlai-je ! Il ma démonté la chatte et jai pris mon pied. Et cétait tellement mieux quavec toi !
Si un regard pouvait , je serais morte à ce moment là. Il me fusillait du regard et son visage avait viré au rouge, il était vraiment furieux. Brusquement, il se plaqua contre moi et mattrapa par les bras. Jessayai de me dégager mais il était trop fort, je ne pouvais pas menfuir.
-Mieux quavec moi, hein ? Vraiment ? me murmura t-il à loreille. Cest ce quon va voir !
Avec son genou, il mécarta les jambes et me bloqua contre le mur, puis de son bras gauche il cala mes mains au dessus de ma tête.
-Arrête Philippe, lâche moi ! criai-je.
Il ne mécoutait pas. Il me lécha le cou et me caressa le sexe par dessus mon string. Je commençai à mouiller. Comment arrivait-il a me faire un tel effet ? Je ne pouvais pas coucher avec lui !
-Non
arrête ! lui dis-je.
-QUOI, tas plus envie que je te baise ? me lança t-il avec rage. Tu préfères coucher avec ce ptit con ?
Sans attendre ma réponse, il frotta son érection contre mon entrejambe. Je soupirais de plaisir.
-Je vais te faire hurler ma petite salope, me chuchota t-il, on va voir qui te baise le mieux.
Il tira sur la dentelle de mon string afin de dévoiler ma chatte déjà un peu humide malgré moi. Il déboutonna ensuite son pantalon, sorti son énorme sexe bien dur de son caleçon et, forçant le passage entre mes cuisses, le plaça a lentrée de ma chatte. Puis dun coup sec, il entra en moi. Je hurlai de douleur. Son pénis était trop imposant pour me pénétrer entièrement du premier coup, javais limpression quil mécartelait.
-Tes toujours aussi étroite à ce que je vois, me murmura t-il.
Après quelques tentatives, il réussi à me remplir entièrement et je commençai à ressentir du plaisir. Son énorme sexe de mâle en rut mavait finalement beaucoup manquée.
Il commença ses mouvements de va-et-vient en moi. Ma chatte était en feu. Sans même men rendre compte, je lagrippai avec mes jambes pour mieux laccueillir. A chaque coup de rein quil me donnait, je ne pouvais mempêcher de crier. Cétait violent, féroce mais je ressentais un tel plaisir. Il accéléra son rythme et je ne tardai pas à jouir. Après quelques secondes sans bouger, je posai mes pieds au sol pour arranger ma robe. Je nen revenais pas. Il avait fallu quil me touche au bon endroit pour que joublie mes résolutions. Sans oser le regarder, je me dirigeai vers la salle de bain.
-Tu vas où ? me demanda t-il.
-Tu as eu ce que tu voulais non, lui répondis-je un peu honteuse.
-Jen ai pas fini avec toi, me dit-il sèchement.
De force, il mentraina dans la salle à manger puis il marracha littéralement ma robe, me mettant ainsi en string devant lui. Il me balança ensuite sur la table à manger, tel un vulgaire chiffon, puis me retourna sans ménagement afin que je sois face à la table et qu'il soit derrière moi.
-Ton petit string mexcite, me dit-il.
Il écarta ensuite mes cuisses, me fessa violemment et mappuya sur la table.
-Je vais te baiser comme la chienne que tu es, reprit-il dun ton sec.
Il écarta la ficelle de mon string, puis une nouvelle fois, il menfila brutalement. J'en eu le souffle coupé.
-Tu la sens là, hein ! me lança t-il.
De sa main droite, il attrapa mes cheveux et tira ma tête en arrière, puis lentement, il se retira avant de me pénétrer encore plus violemment que la première fois. Il continua comme ça plusieurs fois. La bouche grande ouverte et incapable de bouger, je ne pouvais que subir cette délicieuse punition quil minfligeait. Je ne pouvais me lexpliquer mais la façon dont il me traitait et me parlait ne faisait que mexciter davantage.
-Petite chienne, regarde comme tu mouilles. Taimes ça hein ? Réponds !
-Oui..han !
-Ça texcite de te faire démonter la chatte par un vieux comme moi
-Oui
hum
tarrête pas !
Il était déchainé et moi je prenais mon pieds comme jamais. Il grognait comme un animal et jadorais ça. Cétait tellement bon. Je nallai pas tarder à avoir un deuxième orgasme. Soudain, il mentraina par terre en me tirant par les cheveux et il me fit me mettre à quatre pattes. Les mains sur le sol, je me cambra au maximum afin quil me pénètre le plus loin possible. Une main sur ma hanche et lautre toujours dans les cheveux, il me démonta la chatte en lâchant des râles de plaisir graves à chaque coup de bite. Jadorais lentendre et savoir que cest moi qui le mettait dans cet état faisait accroitre mon excitation. Après de longues minutes à me pilonner la fente, il accéléra le rythme et ses coup de verges furent encore plus violents. Jeu beaucoup de mal à garder mon équilibre. Il était tellement violent que javais mal mais je ressentais du plaisir en même temps. Je ne tarda pas à jouir et Philippe se déchargea bruyamment en moi. Épuisée, je mécroula sur le sol et il en fit de même. Nous restâmes un moment allongés par terre, sans parler, à nous regarder puis finalement, japprochai mes lèvres des siennes. Je lembrassai enfin pour la première fois et il me rendis mon baiser sans me repousser.
Philippe passa le reste de la journée chez moi. Il me baisa tout laprès midi : dans ma chambre, dans le salon, par terre, sur la table et même contre le mur. Il était infatigable et avait éveillé en moi un désir insatiable que je ne pensais jamais avoir. Lorsque le soleil commença à se coucher, il retourna à son appartement avant que sa femme et son beau-fils ne reviennent.
À partir de ce moment là, je commençai à coucher avec Philippe environs une fois par semaine. En ce qui concernait Mathieu, nous avions une relation très ambiguë. Nous étions amis mais occasionnellement, nous couchions aussi ensemble. Ce nétait pas une relation amoureuse mais cela nous convenait parfaitement à ce moment là.
À SUIVRE
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