Cabine D'Essayage Iv

Alors que je revenais dans la cabine, ma petite quinquagénaire reprenait toujours ces esprits. Allongée sur le ventre, elle dégoulinait de sueur. Son dos couvert de mon sperme luisait à la lumière. Je m’approchai et m’accroupis. Je caressai ses cheveux que j'avais martyrisé quelques minutes auparavant.
Je l’aidai à se redresser. Elle se mit tant bien que mal à genoux.
-Ça va ? m’enquis-je.
-Oui, laissez-moi juste un moment pour me remettre, répondit-elle, le regard encore un peu dans le vide.
Je me levai et allai chercher ses affaires que je mis sur le banc. Elle me regarda faire, à présent tourner vers moi.
-Est-ce un traitement que vous offrez à toutes vos clientes ? me demanda-t-elle alors qu’elle écartait une mèche collée par la transpiration.
Je revins vers elle et posai ma main sur sa joue. Je caressai sensuellement sa lèvre inférieure de mon pouce.
-Seulement aux plus jolies.
La voir ainsi, à genoux devant moi, le maquillage défait par nos ébats, les cheveux en bataille, eu le mérite de raviver mes ardeurs. Une bosse se forma dans mon pantalon. Chose qui ne lui échappa pas. Sans y penser, elle leva la main mais s’arrêta à mi-chemin. Elle fixait cette bosse. Je pris doucement sa main dans la mienne et l’amener sur mon entre-jambe. Bien moins hésitante qu’auparavant, elle commença à me caresser à travers le tissu.
-Toujours pas rassasiée, on dirait.
Elle ne répondit pas. Mon pouce força ses lèvres. Elle le suça presque de manière mécanique, plongeant son regard dans le mien comme pour confirmer mes dires. Il ne m’en fallut pas plus.
Je l’attrapai par les bras et la portai sans ménagement à travers la pièce. Je la posai au sol, dos au miroir. Mi à genoux, mi assise, je ne pris pas le temps de savoir si sa position était agréable. Alors que je descendais ma braguette d’une main, de l’autre j’enfonçai deux doigts dans sa bouche pour lui ouvrir en grand.
Mon sexe à nouveau libre, il se dressa d’un coup, lui administrant une petite bifle sur la joue.

Je saisis alors sa tête à deux mains et enfournai ma queue au plus profond que sa gorge pouvait l'accueillir.
Sa bouche à nouveau assaillit par mon membre, ma belle soumise émis des sons gutturaux qui m’excitaient encore plus. Ma queue entrait et sortait de ses lèvres qu’elle serrait du mieux qu’elle pouvait. De longs filaient de bave coulaient déjà sur son menton pour venir souiller un peu plus son corps.
Elle me regardait d’en bas, ses yeux suppliant que je continue ce traitement. Je m’arrêtai de temps en temps, profitant de la vue de ma bite flanquée au fond de la bouche de cette femme offerte.
-Debout, ordonnai-je.
Elle obéit sans hésiter.
Je la retournai et la plaquai contre le miroir. Ses seins s’écrasaient tels deux magnifiques globes martyrisés. Je la fis se pencher et se cambrer pour qu’elle me tende son cul. Je plaquai son visage contre le miroir, sa chaude respiration embuant le verre. Je fis glisser deux doigts le long de ses lèvres avant de pénétrer sa chatte. Je la secouais fortement, entrais et sortais tantôt rapidement, tantôt lentement. J’entendais le clapotis de sa mouille qui venait se mêler à ses gémissements bruyants.
Quelques minutes de ce doigtage et ses jambes étaient flageolantes. Je sortis alors mes doigts de sa chatte et les portai à sa bouche. Elle plongea dessus et lécha son jus avec gourmandise, faisant rouler sa langue autour de mes doigts pour ne rien louper.
Je me plaçai alors derrière elle, admirant la vue imprenable de sa croupe offerte. J’écartai ses jambes et vint présenter mon gland à l’orée de son antre.
Je rapprochai mes lèvre de son oreille :
-Les mots magiques, ma salope.
Elle comprit tout de suite.
-Bai…
Je ne lui laissai pas le temps de répondre et la pénétrai d’un coup au plus profond de sa chatte. Son cri de plaisir et de surprise retentit dans tout le magasin. Je me mis à la labourer sans ménagement. Ma queue allait et venait de tout son long, serrée entre ses lèvres gonflées de plaisir.

Dominant ma quinquagénaire de toute la puissance de mon membre, je l’attrapai à la gorge et la forçai à se cambrer. Elle appuya ses mains sur le miroir pour atténuer les coups de butoirs que lui prodiguaient ma bite.
Mes cuisses claquaient contre ses fesses au rythme de ses cris de plaisir. Ses yeux révulsés témoignaient du niveau d’extases et de soumission dont elle faisait désormais preuves. L’on était loin de l’image de la petite bourgeoise bien habillée et maquillée. Là, elle était entièrement à la merci d’un inconnu qui lui démontait la chatte sans vergogne et elle en redemandait.
Sentant la jouissance arrivée, je voulais la souiller une dernière fois.
Je me retirai et agrippai sa chevelure blonde. Je la forçai à se mettre à genoux et enfonçai ma queue dans sa gorge. Je baisai à nouveau sa bouche, sentant sa glotte sur mon gland. Au comble du plaisir, je calai ma bite bien profond et éjaculai.
Étouffant, elle n’eut d’autre choix que d’avaler mon sperme qui se répandait directement dans sa gorge. Alors qu’elle était incapable de tenir plus longtemps, je la libérai de l’emprise de ma verge. Elle posa ses mains au sol, toussa et cracha un mélange de sa bave et de mon sperme.
Nue, à genoux; les jambes écartées sur une chatte grande ouverte, ma soumise avait les joues rougies par le plaisir. Couverte de sueur, de bave et de sperme, elle me regardait avec des yeux plein de gratitude.
-Brave petite chienne.
Elle sourit et se laissa aller contre le miroir.
Je me tournai vers ses affaires. Je trouvai son portable et lui demandai son code. Elle me le donna sans trop réfléchir. Je rentrai alors mon numéro.
-Si tu veux encore que je te démonte, lui dis-je, tu n’as qu’à appeler.
-J’attendrai un peu, je pense.
Alors que j’allai ranger son portable, j’eus comme une intuition. Je sortis la carte de ma mystérieuse visiteuse et chercher son numéro. Je doutai de le trouver et pourtant le portable me donna un résultat des plus surprenants.

Le numéro était enregistré au nom de “Ma Chérie”...

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