La Renovation (3)
Vous avez entendu parler de moi.
Je mappelle Patrick et je suis marié avec Nathalie qui aura cinquante ans dans quelques jours.
Je suis un garçon qui comme ma femme a bien vieilli et qui fait très attention à sa ligne.
Je plais aux femmes, mais la mienne me suffit, car je suis toujours follement amoureux.
Elle a hérité de sa grand-mère dune propriété ancien fermage à une heure de chez nous.
Je sais quelle vous a expliqué les déboires que nous avons eu et la reprise des travaux par une équipe conduite par Hamed, un Marocain qui loge son équipe dans la maison où habitait le couple de gardiens du temps de la splendeur du domaine.
Jai laissé Nathalie seule la semaine dernière, malgré les sous-entendus du contremaitre qui pourrait mapparaître comme fallacieux, le nombre de personnes sur le chantier me rassure, car ma femme a toujours été une femme sérieuse et presque rigoriste et je sais quelle les remettrait à leur place sils osaient lui manquer de respect.
Je suis revenue hier pour le week-end et je lai retrouvée radieuse légèrement amaigri et fatigué par le travail quelle a dû faire pour soccuper des repas pour tout ce monde.
Hamed avait mis cela dans ses demandes, cétait tout à fait naturel les hommes aux boulots les femmes aux fourneaux.
Bien sûr, le bureau quil sest fait installer dans notre demeure personnelle me pose un peu problème, mais je sais quil rentre chez lui toutes les nuits alors que craint-elle ?
Jarrive à lentrée de notre propriété invisible de la route principale en revenant du village où je suis allé faire un Tiercé en buvant un café comme je le fais tous les dimanches à notre domicile principal.
En passant devant la maison des gardiens ou les employés dorment trois dentre, eux reviennent venant certainement de la grange où les matériaux sont entreposés.
Deux dentre eux on lair davoir passé un bon moment, car ils rigolent alors que le troisième semble plus réservé.
Au départ, Hamed voulait que ses hommes travaillent le samedi et quils aient un seul jour de repos, mais Nathalie a été intransigeante, même si ces hommes travail au noir payé de la main à la main nous voulons éviter davoir des esclaves et de plus elle souhaite avoir sa tranquillité pendant mes deux jours de repos.
Nathalie où es-tu ?
Je nentends aucune réponse. À moins que mon appel ait été trop faible.
Nathalie, tu es là.
Je suis dans lescalier quand-elle répond.
Dans la salle de bain, viens.
Lorsque jentre, elle se prélasse dans la baignoire.
Avec impudeur, je vois sa main caresser son sexe.
Viens.
Je me déshabille et jentre dans leau en me plaçant derrière elle.
Dans cette position, jadore lui caresser les seins et avoir à portée de main sa vulve que jaime pénétrer avec mes doigts.
Nous avons souvent été dans cette position et lorsquelle sent ma tige dans son dos bandé, elle se soulève pour que je glisse sous elle et que je la prenne jusquà ce quelle jouisse.
Dès que je lui place les doigts bien au fond, je vois arriver à la surface de leau quelques petits filaments blanchâtres.
Tu as un problème, tu as vu ce qui sort de ta chatte.
Oui, ce nest rien, ce sont des sécrétions féminines, cela arrive de temps en temps.
Je suis rassuré, jai eu peur quelle ne soit malade. Jai eu des doutes, mais ils sont vite balayés lorsquelle se soulève et que ma bite entre dans son fourreau bien mouillé et tout chaud.
Dans le même mouvement, elle tourne sa tête et nos bouches se soudent dans un baiser qui nous permet de jouir simultanément.
Ma bite sortie de sa vulve, je prends le savon pour lui passer dans le dos.
Quelquun ta griffé ?
Non, cest hier, je me suis baladé en forêt, car jétais nostalgique de ton absence. Une ronce sest abattue sur mon dos. Jai eu mal et jai dû tirer pour me dégager.
Ma pauvre chérie, tas vie, est difficile.
Le midi, nous mangeons et laprès-midi se passe calmement sur des chaises longues à lopposé des ouvriers. Nous profitons de la quiétude du lieu pour nous mettre nus.
Chérie, comment se fait-il que tu es bronzé intégralement sans trace de maillot, tu viens te mettre nue ici au risque que lon te voit de la salle ou de létage.
Non, tu sais que je fais manger les ouvriers midi et soir, après je prends ma couverture et un bouquin et je vais dans notre clairière à un kilomètre dici ou je peux bronzer tranquillement intégralement.
Fais attention quaucun ne te suive.
Bien sûr, cest en passant à travers les ronces quune ma griffés. Il est impossible quils me suivent, je les repérerais.
Cest bien, la semaine prochaine, il annonce un temps aussi chaud, isole-toi comme tu le fais, tu éviteras quils aient des pensés qui pourraient les inciter à avoir de mauvais gestes.
Tu es jaloux.
Pas une seconde mais une femme qui est avertie en vaut deux comme lon dit.
Tu sais, je suis grande, ceux qui à part toi viendront me toucher ont oublié de naître.
À chacune de mes questions même si aucun soupçon ne traverse mon esprit ses réponses instantanées enlèveraient les suspicions quun mari pourrait avoir sur la fidélité de sa femme. À aucun moment elle a bafouillé ses réponses alors quelle ignorait les questions que jallais lui poser.
Le soir, je lemmène au restaurant. Lorsque nous passons devant la maison des gardes, plusieurs hommes sont devant la porte où lun joue de la guitare.
Tu connais le musicien.
Oui, cest Ousman, je lentends tous les soirs quand je suis allongée sur notre lit la fenêtre ouverte.
Jamais tu nas eu envie de descendre.
Pourquoi tu me dis cela, tu as envie que je te trompe avec eux ?
Jen ai assez de tes insinuations, fais demi-tour, je vais aller me coucher, tu me fatigues.
Non, chérie, je plaisante, je vais faire tout pour me faire pardonner.
Il faut reconnaître que je suis un peu lourdingue, je voudrais la jeter dans les bras de ces hommes, que la manière dont je la harcèle ly conduirait directement.
Le restaurant où jai réservé une table ce matin reflète bien la carte que jai consultée. Le repas est succulent.
Ils ont une carte des vins assez intéressante et il faut que Nathalie me reconduise, car je suis légèrement bourré.
Je vais me coucher.
Chérie vérifie si les portes sont bien fermées.
Dans la nuit, jai limpression de lentendre se lever.
Tu as un problème mon cur.
Non, je vais aux toilettes et boire un peu deau.
Au matin, jai légèrement les yeux hors des trous alors je descends préparer le café pour récupérer ma lucidité et lui servir son petit déjeuner.
Bizarre, je me rappelle avoir demandé à Nathalie de bien fermer la porte-fenêtre de la cuisine or elle est ouverte.
Je monte le café à ma dulcinée.
Je tavais demandé de fermer les portes et la cuisine était ouverte.
Mince, cest cette nuit, javais chaud et jai ouvert pour faire de lair et jai oublié de refermer.
Tu étais nue.
Oui, mais la nuit était noire et personne ne ma vu.
Je mhabille et je vais faire mon Tiercé.
Je rentre et laprès-midi, nous faisons comme la veille et nous faisons de la chaise longue à forte dose.
Le lendemain matin, jai remis mon costume et je mapprête à prendre la route lorsque Hamed arrive.
Il est avec une jeune femme dune vingtaine dannées.
Bonjours monsieur Patrick, vous partiez, je vous présente Yasmina, ma nièce qui arrive du pays et qui va soccuper de la décoration des chambres dhôtes.
Madame, cela vous dérange quelle couche avec vous ce soir, car ma femme est fâchée avec mon frère et par ricochet sa fille, je souhaite éviter les conflits.
Nathalie accepte, cela te fera de la compagnie pour tes soirées.
Aucun problème, je vais lui montrer ou mettre ses affaires.
À samedi chéri.
Je pars tranquille, voir ma femme passer ces soirées avec cette jeune femme menlève toute la pression que je me suis mise en doutant de sa fidélité.
Je passe ma main par la fenêtre et les ouvriers qui sont devant leur porte prête à retourner commencer une deuxième semaine me font un signe de la main.
Cest drôle, jai limpression quils me font au revoir dune façon ironique.
Jarrive dans le village et je marrête boire un café avant de prendre la route.
Dès que jentre, au bar, je remarque une jeune femme avec un sac à dos, un short ras la minette, de grosses chaussettes de marche et un débardeur.
Je la vois de dos et je la trouve bandante.
En mapprochant je lentends demander au patron sil a un feutre et du carton, car elle a oublié les siens au dernier arrêt quelle a fait.
Où allez-vous mademoiselle ?
Je vais à Saint-Jacques-de-Compostelle.
Je vais moins loin, mais je peux vous amener dans la ville où jhabite qui est en direction de Saint-Jacques.
Sympas, tous kilomètres parcourus maideront à arriver au Puy où démarre notre groupe.
Je vous offre un café.
Non, un thé si vous voulez.
Je la fais monter, je place son sac sur le siège arrière et nous repartons.
Je roule et je la regarde en coin.
Ce qui me marque, cest son nez quelle a petit et mutin.
Ces cuisses me donnent envie de placer la main.
Jai encore en tête, ce que jai dit sur ma fidélité et si je la regarde cest pour rendre un simple hommage à sa beauté.
Vous navez pas peur de faire de lauto-stop, seule.
Un peu, mais nous sommes parties de Paris à deux et mon amie a été hospitalisée après avoir fait une mauvaise chute.
Nous allons bientôt arriver, je vous dépose à quel endroit ?
Je peux vous demander un service.
Oui bien sur, jai tout mon temps, jai une situation ou je suis libre.
Pouvez-vous memmener chez vous prendre une douche, depuis trois jours que je marche pour rejoindre le Puy et jusque là-bas il me sera impossible de me laver ?
Bien sûr, et après je vous reconduirai à la sortie de la ville.
Dès que nous arrivons, je la conduis dans la salle de bains et je lui donne une serviette et un peignoir.
Je peux savoir votre prénom.
Véronique.
Moi, je mappelle Patrick, je vais nous préparer du thé avec des petits gâteaux, venez me rejoindre.
Je quitte la pièce et je me dirige vers la cuisine, je mets de leau à bouillir lorsque jentends crier.
Cest affreux, au secours, à moi.
Cest appel suivi par de grands cris hystériques.
Je pars en courant et sans penser quelle peut être nue, jentre.
Vite, une araignée mest tombée sur la tête. Vite, enlevez-la-moi ?
Je mapproche lorsquelle glisse dans la baignoire et sécroule sur le carrelage.
Véronique, et ô Véronique !
La petite a perdu connaissance en tombant la tête sur le carrelage.
Je lui écoute le cur en posant ma tête sur ses gentils tétons.
Elle vit.
Je la prends dans mes bras et je la conduis dans ma chambre.
Je lallonge sur le lit et je repars chercher une serviette mouillée.
Le traitement est efficace lorsquelle reprend conscience.
Cest le moment où je dois affronter le monstre que je vois sortir de ses cheveux, une petite araignée de cinq millimètres.
Je la fais monter délicatement sur ma main lorsquelle ouvre les yeux, elle la voit et me fais apparaître une peur panique.
Tu es fou de la prendre sur ta main, elle va te piquer.
Je ne crains rien, cette petite bête à plus peur que toi.
Je me lève ouvre la fenêtre et je la dépose à lextérieur.
Donne-moi le peignoir, voyeur, tu profites de ma peur des araignées pour te rincer lil.
Cest moi qui me rince lil alors que tu criais au secours et que je suis venu te sauver.
Excuse-moi, tu as raison.
Elle sapproche sur le bord du lit pour se lever lorsquelle pousse un grand cri.
Aie mon pied, jai mal.
Elle me montre sa chatte surtout lorsquelle replis sa jambe et quelle sentrouvre me faisant voir ses chairs roses.
Je lui prends la cheville qui semble foulée. Je vais chercher de la pommade ainsi quune bande.
Je la soigne et pour cela je massieds près delle et je lui masse la cheville avec la pommade avant de lui mettre la bande.
Merci, excuse-moi pour tout à lheure !
En me disant cela, elle me prend le cou et approche sa bouche de la mienne.
Tout le monde mest témoin, jai simplement accepté quelle prenne une douche ce qui ma obligé à la secourir puis à la soigner en nayant aucune intention de tromper Nathalie.
Nous nous embrassons et je me retrouve la verge plongée dans son vagin qui, lorsque je me retire ayant puissamment éjaculé savérait être vierge
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