La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1477)

L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1475) -

Alors je m’applique le plus possible à faire jouir chacun des soumis du Châtelain … Je ne sais combien de mâles soumis sont passés sur moi, mais je suis pleine de sperme, souillée et gluante des pieds à la tête. Je suis là à attendre, essoufflée, pantelante et pourtant même si il n’y a plus aucun soumis, je suis toujours ainsi exposée, souillée, et je me sens sale, je me sens animale, telle une chienne en chaleur. Les spermes qui sèchent, me collent dessus. Je ne pourrais dire combien de temps je suis restée ici, ainsi exposée, telle une statue présentant le tableau d’un corps nu plein de foutre telle une œuvre, mais restée ainsi souillée est tellement humiliant. À un moment, le Maitre vient me chercher, accompagnée de Walter. Il passe Sa main entre mes cuisses poisseuses, qui, sans surprise et comme toujours ressort trempée de ma mouille de chienne.

- Regarde-moi ça, Walter, une vraie chienne en chaleur, quelques mâles soumis en manque de sexe, en rut et qui lui éjaculent dessus et cette salope coule comme une fontaine. (Puis se tournant vers moi, il continue) – Regarde-toi, espèce de chienne puante... tu es toute souillée, toute collante, pleine de foutre, tu es trempée, une vraie petite souillonne qui aime se faire prendre et se faire humiliée... Aller, nettoie Mes doigts pleins de ta mouille de salope de chienne… exécution !…

Je prends donc en bouche les doigts du Noble présentés à mes lèvres et je m’applique le plus possible à les rendre propres. Je suce comme si c'était le noble Sexe du Maitre dans ma bouche avide, je m’applique le plus possible. Une fois Se doigts propres, le Maitre les retire de ma bouche et s’adresse à Walter :

- Bien Walter, emmène cette chienne au Chenil, tu sais quoi faire avec elle…

C’est sur Ses mots que le Maitre fait demi-tour et s’en va, me laissant seul avec le Majordome qui s’approche de moi et me détache, avant d’exiger que je le suive à quatre pattes.

Je suis toujours promenée sans collier et laisse. Arrivé devant une des cages du Chenil, Walter ouvre la porte grillagée. Dedans se trouvent deux gamelles, une d’eau et une d’une bouillie nourrissante. Le Majordome attache ma cheville à une chaîne au mur qui me laisse juste la place de bouger dans ma cage, et il s’en va, sans me dire un seul mot… Ayant faim et soif, c’est à quatre pattes que je me déplace, la cheville attachée, vers mes gamelles. Apres avoir mangé et bu, j’ai attendu ce qui me semble une éternité... mais ayant compris que personne ne reviendra me chercher pour le moment, je me suis mise en boule, par terre et couchée ainsi pour finir par m’endormir. C’est des douces caresses sur mes fesses, et entre mes cuisses qui me réveillent. Après avoir ouvert les yeux, je vois le Châtelain devant moi, c’est le plus rapidement possible que je me relève un peu et me prosterne à Ses pieds, mon cul nu bien relevé, ma tête sur le côté, mes bras joints bien en avant. Mais le Châtelain n’est pas seul, il est accompagné de Son esclave Phryné MDE, docilement silencieuse et tenue en laisse en quadrupédie derrière Lui :

- Ma chienne, je suis fier de toi, très fier de toi. Je t’ai vue sur les caméras de surveillance après avoir mangé, attendre à genoux, tu y es reste durant presque 2h, avant de comprendre que personne ne reviendra te chercher pour le moment, et donc oui je suis fier de toi d'être restée ainsi aussi longtemps car cela Me montre ton besoin absolu d’obéissance et de dévotion. Mais je suis fier aussi pas que pour ça. Comme je te l’ai dit dans mon mail la semaine dernière, j’ai un cadeau pour toi en cette journée, pour ton anniversaire, mais aussi pour cette date, où pour la première fois, tu m’as été soumise. Ce cadeau est donc plus une récompense, pour ton attitude d’esclave absolu, et parce que je suis vraiment fier de toi que tu vas suivre Mon esclave Phryné MDE qui te préparera à la soirée de ce soir…

Le Maitre me passe un collier au cou, avec une laisse mais ce n’est toujours pas mon collier.
Et c’est sur un claquement de doigts que Phryné MDE à quatre pattes entre dans la cage et att ma laisse, et c’est moi-même à quatre pattes que je la suis, elle aussi toujours en quadrupédie, jusqu’à dans le Château, où elle m’emmène dans une chambre. Elle m’indique qu’ici, j’ai le droit de me déplacer debout, elle aussi d’ailleurs. Alors, elle me fait signe d’aller dans la salle de bain pour me doucher, me précisant que j’ai le droit à l’eau chaude, et de prendre le temps qu’il me faut pour être parfaitement propre. C’est après une bonne douche où j’ai pu enlever tout le sperme séché et tout collant sur mon corps souillé que je retourne dans la chambre, le corps propre, où esclave Phryné MDE m’attend. Sur le lit se trouve des sous-vêtements noirs en dentelles, ainsi qu’une robe en dentelle transparente et une paire d’escarpin très haute. Je comprends que c’est pour moi et je me vêtis donc de cette tenue très sexy. Malgré tout, je suis nerveuse car c’est la première fois que je participe à une des Soirées du Noble, et j’ai peur de ne pas être à la hauteur, de décevoir le Maitre devant Son cercle d’amis Dominant, cercle portant le nom ‘des Supérieurs’, m’informe Phryné MDE ...

Phryné MDE, sentant sûrement ma nervosité vient s’assoir sur le lit et me tapote doucement la place à côté d’elle, arborant un large sourire ou après une légère hésitation, je viens alors m’assoir à ses côtés. Phryné MDE est bienveillante et vachement gentille, visiblement

- Le Maitre nous a autorisées la parole, il sait que c’est la première fois que tu vas participer à une de Ses soirées, et te connaissant, il m’a informé que tu seras nerveuse…

C’est après une légère hésitation que je prends la parole, et que j’explique donc à Phryné MDE, ma nervosité, et ma peur de décevoir le Maitre, de ne pas être à la hauteur. Même si je me sais être en sécurité avec le Maitre, en tout temps la peur de faire quelques choses qu’il ne faut pas décevoir le Maitre, est bien présente.


- Ne t’inquiète pas, depuis des années que je suis aux pieds du Maitre, il n’a jamais imposé à une de Ses soumises quelques chose qu’elle ne soit pas dans la capacité de faire. Le Maitre te connait, et il sera présent en tout temps à te surveiller, mais surtout il connait tes capacités, et ce que ton corps peux supporter et c’est donc pour ça que tu ne le décevras pas, soit juste obéissante en pensant uniquement à la satisfaction du Maitre et tout ira bien… Sa Satisfaction est bien la seule et unique chose qui compte…

C’est sur ces mots que Phryné MDE se lève et me fait signe d’en faire autant, pour finir de me préparer. Une fois maquillée, coiffée, apprêtée, c’est à genoux en position d’attente que nous patientons qu’on vienne nous chercher, dans le silence le plus complet. Tout en gardant, toutes les deux, la tête baissée, les mains derrière le dos et sans que nos fesses ne touchent nos talons… Maintenant que je suis prête, je réalise que cette soirée approche et ma nervosité augmente, c’est après ce qui me parait une éternité que la porte s’ouvre, je n’ose lever la tête pour voir qui est entré, c’est seulement quand j’entends Sa voix que je sais que c’est le Noble. Le Maître ordonne à Phryné MDE de sortir et d’aller aider Walter avec les dernières préparations de cette soirée.

- Bien Ma chienne, exceptionnellement ce soir tu seras habillée pour le début de la soirée et je marcherai, accompagné de toi en laisse ainsi habillée. Et quand Je claquerai des doigts je veux, j’exige que tu exposes aux yeux de tous, ton corps de salope de chienne en dansant afin de dévoiler ton corps de putain que j’aime tant. Je veux que tu sois une salope féline et sensuelle, Mon esclave. Je veux que ce soit lascif, bref, J’exige que tu mettes en valeur ton corps à dénuder devant mes Invités dans un chaud strip-tease… Pour le reste de la soirée, tu verras ce qui se passera. Maintenant à quatre pattes, Ma chienne et aux pieds…

Le Maître me connait bien car Il sait très bien que j’ai une formation de danseuse et qu’un strip-tease ne me dérange pas… Je vais donc aux pieds du Châtelain, lequel me met un collier et une laisse, mais ce n’est toujours pas mon collier.
Cela me perturbe un peu, mais je n’ose pas demander au Maitre. Et je sais surtout que je n’ai pas le droit de demander. Je suis ainsi en quadrupédie le Maitre jusqu’à la soirée. A l’entrée de la grande salle de réception se trouve un soumis nu et allongé par terre le torse sale et boueux. Je comprends donc qu’il sert de paillasson pour s’essuyer les pieds de la pluie dehors. C’est d’une pression sur la laisse en hauteur que je comprends que je dois lever la tête et j’observe ainsi la vaste salle. Deux grandes cages hautes et cylindriques tombent du plafond et sont disposées suspendues au milieu de la pièce dans lesquelles se trouve une soumise nue aux tétons annelés et chargée de danser dans chacune des cages. Sur le mur du côté gauche se trouvent plusieurs soumis sur des croix de Saint-André, bâillonnés, yeux bandés et leur sexe encagé. Et sur le côté de ce mur se trouve une table pleine d’instruments D/s, des godes, des martinets, des plug, ceintures, fouets, et encore beaucoup d’autres… Sur le mur du côté droit se trouve, un cheval d'arçon, une table de gynécologie avec des étriers, des chaines accrochées au plafond avec un palan ...

Et au centre de la pièce, il y a une sorte de piste circulaire aménagée comme une piste de cirque, sauf que le sol est juste équipé d’un épais revêtement linoléum protégeant ainsi le parquet multi-centenaire. Je suis installée tout au centre de cette piste en position prosternée, immobile et la tête plaquée au sol. Monsieur le Marquis frappe alors dans les mains afin d’obtenir le plus grand silence, pour prendre la parole ensuite :

- Mes chers amis, avant de passer à Nos plaisirs de Dominants, Je vous invite à regarder un petit spectacle à savourer avec délectation. Je ne vous en dis pas plus, regardez et appréciez ! … (Puis le Noble héla) Walter, lumières et musique !

Walter, installé derrière une table de régie, enclenche ensuite une lumière semi-tamisée par des spots en led de couleurs chaudes et envoie en même temps une musique lente et des plus incitatives à un strip-tease… Puis le Châtelain claque des doigts et me crie, de Son confortable fauteuil

- Danse et déshabille-toi Ma salope de chienne ! Et soit lascive …

Alors et malgré le trac qui m’envahit, je prends mon courage à deux mains et je m’imprègne de la musique pour me lever doucement par des gestes sensuels, et tout en volupté, faisant bouger mes bras écartés et mes mains comme des vagues de la mer… Je commence à me déhancher et mettre en valeur ma croupe, utilisant mon bassin en lui faisant faire des mouvements de va-et-vient, puis j’entreprends une danse du ventre afin d’enlever très doucement, une par une, mes escarpins, puis ma robe en dentelle transparente, dégrafant les boutons pressions situés sur le devant. Pour ensuite évoluer tout en longeant la piste afin de faire un tour complet en tenant ma robe, haute à bout de bras afin de la faire tournoyer de ma main au-dessus de ma tête et de la lancer dans le public charmé par ma prestation. Puis je reviens au centre de la piste, pour m’accroupir de manière lascif en me déhanchant toujours et afin de retirer la première partie de mes sous-vêtements noirs en dentelles, c’est-à-dire le soutien-gorge. Mes seins fusent alors sous les sifflements d’admiration du public… Je me redresse alors et après avoir fait tournoyer le soustif au-dessus de ma tête, je le lance à son tour dans le public… Ensuite, au rythme de la musique, je me penche bien avant tournant le dos au public afin de mettre bien en valeur mon cul. Je me mets à le caresser en tortillant mes fesses avant de retirer cette magnifique culotte noire en dentelles lancée aussi dans le public par la suite. Enfin en attendant que la musique s’arrête j’entreprends de me caresser en me déhanchant toujours, Je caresse me seins et tétons dressés, mon ventre, mes aisselles, mes jambes, mes bras, les joues et cheveux, mes épaules et mon sexe tout en faisant bouger mon corps… Jusqu’à que la musique s’arrête, alors je me remets d’une manière sensuelle dans la position initiale, c’est-à-dire prosternée et immobile, sous les applaudissements nourris du public visiblement charmé de mon strip-tease…

Juste avant de me prosterner, j’ai eu le temps furtif d’apercevoir le Maître applaudir vivement, ce qui me laisse à penser que je L’ai satisfait et que je Lui ai fait honneur. Une fois que la longue ovation du public se tarit, le Noble prend la parole :

- Bravo ! Vraiment bravo à Mon esclave salope ! Tu nous as fait là un beau strip-tease digne d’une professionnelle de cabaret… Je te félicite et sache que je saurai te récompenser assez rapidement… (puis s’adressant aux Invités) Mais maintenant, mes amis, passons à la soirée orgiaque ! (puis s’adressant de nouveau à moi) esclave salope, lève-toi et va t’installer sur la table de gynécologie et met bien tes pieds aux étriers …

(A suivre …)

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