Une Petite Partouze Familiale
Quand elles sortirent de la grande salle de concert où elles venaient d'assister au spectacle de leur groupe favori, Annette, Lisette et leurs maris respectifs étaient aux anges. Cela valait le coup d'avoir effectué autant de kilomètres pour un tel événement. Mais au moment de repartir du parking, l'action sur le démarreur déboucha sur un grand silence. La panne. Enthousiasme douché, il fallut trouver un hôtel, vu l'heure tardive. Heureusement, plusieurs établissements se trouvaient à proximité du Zénith, mais ils étaient presque tous complets. Un hôtel leur proposa une seule chambre avec un grand lit. "Tant pis, on se serrera un peu" décréta Annette, l'aînée des deux soeurs. La soirée spectacle s'achevait d'une manière inattendue. Et on repartirait le lendemain si possible après avoir trouvé un garage.
La chambre était petite mais heureusement, le lit était un "160", trop juste pour quatre certes mais Jeannot et Luc, les deux beaux-frères, estimèrent "qu'ils en avaient vu d'autre" et après tout, ce serait une expérience amusante. Le seul ennui était l'absence totale de nécessaire de toilette et de pyjama. On se contenta donc d'un bain de bouche et pour la tenue, un grave débat s'engagea : dormir ou non en sous-vêtements ?
- Je ne vais pas porter mon slip et mon soutien-gorge pendant 24 heures, asséna Annette. Je dors à poil et les plus gênés s'en vont.
Après la rigolade, chacun estima qu'elle n'avait pas tort et après tout, entre soeurs et beaux-frères, pourquoi se gêner, hein ?
Et c'est ainsi que le couple Annette-Luc et Lisette-Jeannot se coulèrent sous la couette dans le plus simple appareil, étroitement enlacés. Très vite, les hommes ronflèrent et leurs épouses, un peu plus excitées, finirent par les imiter. Il est vrai qu'il était tard et que la journée avait été longue.
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Avant d'aller plus loin dans ce récit, il convient de présenter un peu mieux les deux héroïnes. Annette et Lisette sont donc soeurs, ce sont deux femmes en pleine maturité, trop jeunes pour être grand-mères mais déjà pleines d'expérience de la vie avec des s à l'âge de l'adolescence et deux maris qu'elles chérissent.
Evoquons maintenant les maris. Luc, comme sa femme, a conservé un physique de jeune premier, mince, imberbe. En revanche, Jeannot est très sexué : corpulent, velu, solide buveur et mangeur. Le cul intéresse davantage le premier que le second, même si Jeannot "assure", selon le mot de son épouse.
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Revenons maintenant au cours du récit. Le jour commençait à se lever et à éclairer la chambre quand Annette ouvrit un oeil et réalisa qu'ils étaient quatre dans le même lit. Et qu'ils étaient tous nus, la couette rejetée à cause de la chaleur. Humaine notamment. Et une fois qu'elle eut compris la situation en émergeant d'un sommeil lourd, elle observa. Luc était au bord du lit, elle à côté de lui au milieu tout contre sa soeur et Jeannot à l'autre bord, tout près de basculer par terre à en juger par sa tête sortie de la couche.
- Tu peux pas te pousser un peu, j'ai chaud.
- Non, je suis bloquée par Luc, répondit Annette en chuchotant, avant d'ajouter : dis donc, tu as vu ton julot ? Je ne sais pas à quoi il rêve mais sûrement pas à la mort.
Lisette se retourna, rosit et se redressa pour tenter de ramener la couette sur le lit afin de cacher l'état de son mari. Annette l'en empêcha :
- Tu es folle ? On crève déjà de chaud ici. Tu ferais mieux de le soulager.
- Comment ça ?
- Ben, suce-le, tiens. Branle-le jusqu'à ce qu'il éjacule. Moi, c'est ce que je ferais.
- Mais... ce n'est pas possible, pas ici, pas maintenant.
- Et pourquoi pas ? Si tu ne le fais pas, je m'en charge. Une bite pareille, ça s'honore, ou alors, on ne la mérite pas.
- Luc dort ?
- Oui, tu peux y aller. Allez quoi ! Sinon, laisse-moi ta place.
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Lisette céda. Se penchant sur le giron de Jeannot, elle goba le gland d'une bouche prudente, tout en lèvres. Jeannot sursauta, se réveilla et considérant la situation (Annette faisant semblant de dormir), soupira d'aise et mit sa grosse patte sur la nuque de son épouse pour l'inciter à y aller franco. Lisette, sa soeur le constata, savait y faire. Son mouvement rotatif de la main autour de la bite épaisse qu'elle pompait était la marque d'une experte. Jeannot était visiblement ravi de ce réveil inattendu. Il le fut moins quand il s'aperçut que sa belle-soeur l'observait d'un oeil goguenard :
- Alors, mon Jeannot, on a le réveil triomphal, à ce que je vois, lui dit-elle.
Jeannot ne répondit pas. La situation le troublait mais ne le faisait pas débander, d'autant que son épouse l'engloutissait de plus en plus vite.
- Lison, baise-le maintenant.
La suceuse interrompit son ouvrage, marqua un temps d'arrêt, comme si elle réfléchissait, et le besoin naturel l'emporta sur les convenances. Elle poussa son mari de manière à l'allonger plus confortablement, positionna ses genoux de chaque côté du corps masculin, et s'empala, lentement mais résolument. Annette l'aida à introduire le membre puissant et observa, le nez sur la jonction des deux sexes, le mouvement de piston que le couple avait enclenché. Le large fessier de Lisette aplatissait les grosses couilles de Jeannot dans un mouvement de bas en haut qui évolua dans une circonvolution de croupe puis dans un action longitudinale de plus en plus profonde, comme si Lisette voulait que le pénis pénètre le plus profondément possible en elle. Non sans succès d'ailleurs car elle ne pouvait plus retenir un gémissement de plaisir. Le lit tanguait de plus en plus fort et évidemment, Luc finit par se réveiller malgré la lourdeur de son sommeil. Quand il émergea, il lâcha :
- Mais... ils baisent !
- Eh oui chéri, Lisou se décoince, rigola Annette.
Tout en continuant de chevaucher son mâle avec ardeur, Lisette lança :
- Qu'est-ce que vous attendez pour en faire autant au lieu de jouer les voyeurs !
- Bonne idée, lui répondit sa soeur, qui fit allonger son mari contre l'autre couple et s'allongea sur lui afin de lui imposer un 69. Ils aimaient particulièrement cette position qui les préparait à l'accouplement et qu'ils faisaient durer. Entre temps, Lisette et Jeannot avaient changé de posture. Elle était maintenant à quatre pattes en travers du lit, le visage tout contre celui de sa soeur en train de pomper, pendant que Jeannot, debout, la besognait dur. Chacun de ses coups de bite faisait trembler le plantureux corps féminin. D'où elle était placée, Annette voyait les seins de sa soeur balloter en cadence tout en apercevant l'énorme bite entrer et sortir de son antre et les grosses couilles suivre la mesure.
- Partage avec moi, suce Luc.
Et elle lui tendit la bite longue et fine de son mari que Lisette goba sans barguigner. "C'est fait, elle est devenue mélangiste", pensa Annette qui dès lors se concentra sur la langue de Luc qui continuait à titiller son clitoris et accentuait son envie de pénétration.
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Mais elle ne voulait pas interrompre sa soeur dans son plaisir buccal autant que vaginal. C'est Jeannot qui stoppa la séquence, peut-être irrité par la tournure que prenaient les événements. Il plaça Lisette sur le lit dans le sens de la longueur, lui écarta les cuisses et s'enfonça en elle en grognant. Ses grosses fesses en mouvement étaient à hauteur du visage d'Annette et elle n'eut qu'à se pencher un peu pour lui lécher les couilles et le scrotum. Jeannot ne se déroba pas et poursuivit son pilonnage en règle de Lisette, laquelle couinait de plus en plus fort. "Un partout, balle au centre" pensa Annette, qui avait donc rallié le mari au mélangisme familial, bon gré mal gré.
Mais le couple, de par sa corpulence et son activisme, avait besoin de tout le lit, si bien que Luc et Annette se retrouvèrent poussés en dehors. Au lieu de protester, Luc décida de s'asseoir sur l'unique fauteuil de la chambre et d'inviter son épouse à venir s'empaler sur sa queue en érection. De face ou de dos ? Annette choisit la deuxième option, autant parce qu'elle était plus confortable que parce qu'elle ne voulait pas perdre une miette des ébats de sa soeur et de son beau-frère. Une fois bien installée, elle entreprit de savants mouvements de hanches qui témoignaient de son intense envie de pénis. Sur le lit, Jeannot avait repris Lisette en levrette et le couple était entré dans une phase bavarde. Entre deux onomatopées sonores, la brune invitait son baiseur à "y aller plus fort, tu roupilles ou quoi ?" tandis que le mari traitait son épouse de "salope de première classe". Annette en aurait été stupéfaite si elle n'avait pas été plus préoccupée par ce qui se passait dans son bas-ventre, en grand incendie. D'ailleurs, elle-même commença elle aussi à proférer quelques mots crus, histoire de ne pas être en reste, si bien que la chambre d'hôtel devint une sorte de lupanar, ren par l'odeur de sueur et de foutre de plus en plus envahissante.
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Il y eut alors, à ce moment de ces ébats torrides, une sorte de tournant. Jeannot, qui besognait dur en empoignant les hanches replètes de son épouse, posa son regard sur l'autre couple en action dans le fauteuil. Le spectacle d'Annette, dansant littéralement sur la queue de Luc, le troubla d'autant plus que la blonde le fixait en même temps du regard. Lisette le sentit durcir et elle couina de plus belle, tant et si bien que la conjonction des deux phénomènes (l'emballement des hanches de sa femme, les cris rauques et le regard de défi d'Annette) provoquèrent chez le robuste Jeannot une réaction cérébrale qui se traduisit par une abondante éjaculation.
- Quoi, déjà ? protesta Lisette qui en avait encore sous la semelle, si l'on ose dire alors qu'Annette, qui n'avait rien perdu de la scène, se laissait envahir elle aussi par l'orgasme. Un orgasme solitaire car Luc, au contraire de Jeannot, avait contenu son sperme.
Les deux couples se dissocièrent et se retrouvèrent sur le lit pour faire le point de la situation. Si Jeannot et Annette se relâchaient dans une situation post coïtum, Lisette fit état de sa frustration et reprocha à sa soeur de l'avoir "excitée pour rien" et que si elle "avait pris son pied", tel n'était pas son cas et que c'était bien la peine d'avoir "manigancé cette petite partouze familiale". Ce à quoi Annette lui répondit que ce n'était pas sa faute si "elle avait du mal à jouir" et célébra l'oeuvre de Jeannot qui avait été "très vaillant". C'est alors que Luc exhiba une queue toujours en été de marche et offrit ses services à sa belle-soeur, si toutefois elle n'y voyait pas d'objection et Annette et Jeannot non plus. Lisette devint pensive et regarda Jeannot qui ne dit mot. Depuis qu'il avait senti la langue d'Annette sur ses couilles, il avait quelque peu assoupli sa position relativement au mélangisme beau-frère, belle-soeur. Surtout au spectacle de celle-ci empalée sur Luc. Annette prit la parole et donna son accord, à condition d'avoir carte blanche pour réveiller Jeannot, devenu flapi. Dans son for intérieur, elle ambitionnait de rendre à cette bite sa taille érectile, n'ayant pas eu à sa disposition un tel calibre depuis des lustres. On aurait pu ainsi discutailler sur le plumard pendant un bon moment si Luc n'avait pris l'initiative de glisser un doigt fureteur dans la fente de Lisette, histoire de vérifier son état. Ce fut comme s'il avait appuyé sur le bouton d'un mécanisme érotique et Lisette plongea bouche ouverte sur sa queue. Ce que voyant, Annette fit de même avec le beau morceau de viande qui pendouillait sur la cuisse de Jeannot. Et par une sorte de réflexe conditionné, les deux couples se retrouvèrent allongés côté à côte dans la position du 69, tête-bêche et les deux hommes dessous, si bien que les deux femmes pouvaient observer en tournant la tête le travail buccal de leur mari, ce dont elles étaient évidemment incapables dans le cadre d'un accouplement légitime. Une sorte de bonus, en somme, par rapport à ce qui se passait au même même moment entre leurs cuisses.
L'avantage était toutefois dans le camp du duo Luc-Lisette car celle-ci n'avait pas d'effort à fournir pour ranimer la flamme. Lisette abrégea les préliminaires car elle avait un besoin urgent de pénétration. Elle s'empala et offrit à Luc le spectacle somptueux de sa vaste croupe en mouvement. Luc, qui auparavant avait saisi son appareil photo numérique, abondamment utilisé la veille au soir, décida d'immortaliser l'événement hôtelier autant que familial. Il n'avait pas honoré un cul pareil depuis des lustres et se promit de le visiter plus en détail avant la fin de la matinée. En attendant, il le mitrailla de son flash tout en constatant qu'à côté de lui, Annette était en train de réussir dans son entreprise de revigorer Jeannot à grands coups de langue et d'aspirations. Re-photos. Lisette se retourna et soumit à Luc la vision de ses plantureux nichons dont les mouvements suivaient ceux de leur propriétaire, tantôt penchée en avant, tantôt rejetée vers l'arrière, toujours dans l'intention de faire aller la pine dans les zones les plus sensibles de son bas-ventre.
Devant tant d'enthousiasme sexuel, Luc en oublia qu'il s'agissait de sa belle-soeur. Puisqu'elle se comportait en chienne, il allait la traiter en chienne. Après l'avoir désarçonnée, non sans difficulté, il lui ordonna :
- Retourne-toi, mets-toi à quatre pattes au bord du lit.
Lisette s'exécuta docilement et se mit à frétiller lorsque Luc insinua son majeur humide dans son anus. Annette interrompit sa succion et interrogea son mari :
- Tu vas l'enculer ?
- Oui, si elle est d'accord.
- Je suis d'accord. Mais d'abord, lèche-moi.
Et pour illustrer son état d'esprit, Lisette se mit sur les coudes et se cambra, ouvrant son anus à la langue de son beau-frère. Annette écarta les fesses de sa soeur pour favoriser l'introduction dans le petit trou rempli de salive. La pine se fraya son chemin à petits coups puis la porte s'ouvrit et s'enfonça jusqu'au pubis. Luc s'immobilisa un court instant, savourant le moment tandis que Lisette lâchait un gros soupir. Puis elle commença à onduler. En raison du gros volume du pénis de Jeannot, elle pratiquait peu la sodomie, ayant été découragée plusieurs fois par une vive douleur. Mais là, c'était différent. L'organe de Luc était fait sur mesure pour son rectum et elle ressentit très vite un grand bien être. La peau du bas-ventre de Luc claqua sur le fesse de Lisette qui produisit de profonds bruits de gorge mêlés de petits sanglots. Revigoré, Jeannot attrapa Annette par une cheville, la retourna et l'enfila recta, à deux millimètres de la joue gauche de sa femme. Et c'était reparti pour une ardente copulation agrémentée d'injonctions, d'onomatopées et d'expressions verbales vigoureuses, essentiellement féminines, comme si les deux soeurs voulaient signifier l'une à l'autre l'intérêt qu'elles prenaient à ces ébats. Luc interpella son beau-frère :
- Vas-y à fond, elle jouit à tous les coups quand on la prend par derrière.
Et de mitrailler de son appareil numérique l'accouplement à quelques centimètres de lui sur un lit tanguant comme un bateau ivre. Les plaintes des deux soeurs se mêlèrent, tantôt rauques, tantôt aiguës, parfois étouffées par le lit quand elles plongeaient la tête pour mordre le drap. Curieusement, les deux hommes harmonisaient leur cadence, oeuvrant pour donner du plaisir à leur partenaire comme s'ils manifestaient un acte rituel. Luc, qui s'était longtemps retenu et commençait à ressentir des douleurs à la prostate, se laissa aller le premier et éjacula dans le largement fondement de Lisette qui ne s'en aperçut pas et continua à remuer sa croupe, essorant son partenaire qui se mit à gémir à son tour. En revanche, Jeannot besognait dur et Annette vocalisait de plus en plus fort, si bien que Lisette fut obligée de mettre sa main devant sa bouche afin d'éviter une irruption de l'hôtelier croyant à un . Jeannot trouva la parade en se retirant et en offrant à sa belle-soeur sa bite à sucer, ce qui eut le double avantage de la faire taire et de le faire jouir. Et c'est ainsi que les deux couples dissociés se retrouvèrent affalés sur le plumard, couverts de sperme et de sueur mêlés, les hommes le sexe flapi, les femmes les cuisses ouvertes et la vulve encore palpitante. Luc fit une dernière photo immortalisant leur état d'hébétude et c'est alors que Jeannot sortit de sa torpeur pour déclarer :
- Bon, c'est pas tout ça mais il va falloir trouver un garage pour réparer la bagnole et rentrer.
Le charme était rompu...
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Pendant que le garagiste remplaçait la batterie, les deux soeurs effectuaient quelques pas dans les alentours et évoquaient le réveil pour le moins inattendu à l'hôtel voisin.
- Maintenant que tu as baisé avec mon mari et moi avec le tien, qu'est-ce qu'on va faire ? ça va être difficile de continuer comme si rien ne s'était passé, lâcha Lisette.
- Oui, d'autant qu'on y a pris plaisir, en tout cas moi, concéda Annette.
- Moi idem. Au fond, j'avais besoin de ça, je m'ennuyais un peu au lit.
- J'avoue que tu m'as épatée. Je ne pensais pas que tu serais capable de te lâcher comme ça.
- Je me suis épatée aussi. Mais tu m'as bien aidée, coquine. Mais réponds-moi. Qu'est-ce qu'on va faire maintenant ? Recommencer ou pas ?
- On pourra recommencer, oui, mais j'ai une autre idée.
- Raconte !
- Pourquoi on ne tenterait pas une expérience de vie en couple, toi avec mon mari et moi avec le tien, pendant quelque temps ?
- Ah, je n'y avais pas pensé, mais c'est une idée. Juste pour voir, hein ?
- Oui, comme une expérience.
- Mais il faudrait que nos Jules soient d'accord.
- Tu crois qu'ils ne le seront pas ? Ils seraient trop content de changer de cul sans que cela leur coûte rien et sans tomber dans l'adultère.
- Bon, dès que la bagnole est réparée, on leur en parle.
Plus tard, sur le chemin du retour dans une voiture en bon état de marche, Annette lança le sujet du ménage à quatre dissocié. Et comme elle l'avait prévu, les maris, après avoir marqué un moment de silence, ne dirent pas non. Jeannot proposa néanmoins "seulement le week-end". Et chacun trouva l'option acceptable. Jusqu'au moment où Lisette s'exclama :
- Mais au fait, on n'a pas pensé aux s ! Que vont dire les s ?
Et c'est ainsi que cette idée libertine resta un fantasme.
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