La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 527)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°518 -
Monsieur le Marquis dEvans vient dexiger de Sa chienne-soumise N°17MDE quelle approche, lui disant en parlant de la punition quil nentend pas différer « Il faut battre le fer tant quil est chaud ». Au simili jeu de colin-maillard buccal et phallique, la chienne qui avait les yeux bandés a hésité trop longtemps avant de reconnaître le précieux phallus gonflé du Maître Vénéré quelle léchait pourtant avidement. Le Châtelain nentend pas pour la forme laisser passer cette incertitude quIL juge inacceptable, fut-elle seulement de quelques secondes de trop après que le gong ait retenti, et ce même si la soumise a fini par donner la bonne réponse. Pour faire bien comprendre à Son esclave quil a été plus que déçu de son embarras lors de la fellation effectuée sous le bandeau, il lui a fait savoir devant tous quil était dans lobligation de devoir reprendre à la base son initiation à la fellation pour quelle apprenne une bonne fois pour toute à savoir apprécier et reconnaître ce quelle a en bouche, surtout lorsquil sagit du Joyau du Maître auquel elle a choisi dappartenir.
La chienne N°17MDE, à la langue et au palais hésitants, éprouve une véritable honte de navoir pas su être à la hauteur de ses consurs qui ont toutes su reconnaître le Noble Vit, à lexception de la soumise Holly MDE qui na pas eu la chance de pouvoir le prendre en bouche à aucun moment puisque le jeu avait été truqué en cours de route pour le rendre encore plus complexe et pour tenter de piéger les lécheuses-suceuses MDE mises à lépreuve devant les 6 mâles Dominants qui se prêtaient au jeu de devinettes. La soubrette qui avait été enjointe daller chercher les 3 sextoys spéciaux dans un des tiroirs de la grande armoire de lentrée sur ordre express du Maître des Lieux revient en tenant à la main les objets quelle porte dans ses deux paumes ouvertes comme sil sagissait de trésors des plus précieux.
La soubrette, arrivée aux pieds du Châtelain, sagenouille et elle tend les bras et les mains avec à lintérieur les 3 reproductions de phallus, prête à attendre indéfiniment le simple bon vouloir du Maître, qui ne lui a même pas adressé un regard. Monsieur le Marquis dEvans est occupé à converser avec Ses amis, ayant toujours à ses pieds lesclave N°17MDE honteuse qui ose à peine respirer. Maître Zain pendant ce temps a fait installer sa propre soumise au centre du groupe, avec la tête au sol et la croupe surélevée, afin quelle soit cravachée conformément à la règle du jeu. Même sil a accepté en bon perdant de reconnaître que le dressage de Monsieur le Marquis dEvans, considéré par tous ici comme le meilleur en matière de Domination D/s, est dune efficacité sans bornes, puisque ses soumises nont pas vraiment failli au sens propre du terme (une seule ayant hésité quelques secondes de trop aux yeux du Maître), Maître Zain na pas encore vraiment retrouvé son calme et il doit se forcer pour se contenir devant les autres. IL ne peut que ressentir avec apreté son égo mis à mal par lerreur de celle qui a pourtant loccasion souvent de baiser sexuellement, mais également par sa propre incompétence à reconnaître la fellation exécutée par celle qui est sous son joug depuis bien plus dun an et dont il a usé et abusé à son gré.
Master Bill att une cravache et demande à chacun des participants sils en sont daccord, prenant soin également de se retourner vers Monsieur le Marquis dEvans pour avoir son approbation de principe. Le Dominant sapproche de souali qui avait confondu entre deux sexes pourtant bien peu semblables en forme, lun étant beaucoup plus incurvé et large que lautre quant à lui plus étroit et droit.
- soumise, tu as accepté de jouer à notre jeu et tu as perdu. Tu es consciente de ce que cela implique, dautant plus que les règles avaient été clairement annoncées en début de partie. Jai reçu de ton Maître lautorisation de te fustiger moi-même. Je ne ménagerai pas mes coups, sois-en certaine, car il me semble que tu navais aucune raison de te tromper et de confondre mon propre attribut bien différent de celui de Maître Zain. Il nest pas ici question de te dire si lun est meilleur ou non que lautre, car cela na pas de sens, mais simplement quil me semble que tu devais être à même de pouvoir faire preuve dun peu plus de perspicacité pour reconnaître ce qui devrait être ancrée dans ta mémoire sensorielle, puisque tu es sa dominée et compagne depuis plus dun an. Une soumise est certes munie de trous à fourrer bien utiles pour ce dont la nature nous a pourvu, nous les Mâles phalliques, mais une fellation, ce nest pas juste ouvrir la bouche sans bouger, sauf si cest que lon exige de toi, cest pouvoir faire jouer tous les muscles de la langue, des lèvres et de la bouche pour procurer du plaisir, cest sentir et apprécier ce qui te pénètre et en ressentir de lexcitation humide dans tout ton corps de femelle, cest désirer de toute ton âme se délecter dun succulent nectar à la fin si cela test accordé, cest aussi y prendre du plaisir par pure dévotion quand on est soumise et pas une vulgaire putain des rues qui ne le fait à la chaîne que pour de largent.
Avant de parler, la soumise relève très légèrement la tête quelle avait plaquée au sol sur le côté, mais tout en veillant à garder le cou courbé et les yeux baissés.
- Oui, Monsieur. Je suis consciente de tout ce que vous avez pris la peine de mindiquer et je vous en sais infiniment gré. Je vous remercie davoir bien voulu accepter de me punir. Sil mest permis de rajouter un mot, je voudrais pouvoir présenter aussi mes excuses à Maître Zain que jai offensé par mon erreur inexcusable.
- Je te laccorde, soumise.
- Maître Zain, je suis vraiment désolée de mon erreur que je sais inadmissible. Jespère obtenir Votre pardon. Je vous promets que la prochaine fois que Vous mhonorerez, ma bouche et mon corps tout entier vous feront honneur et seront plus attentifs pour se rappeler de votre sexe et pas seulement du plaisir charnel que vous maccordez qui me fait souvent perdre la tête de bonheurs. A vrai dire, Maître, tout à lheure, jai paniqué comme cela marrive très souvent lorsque je commence à stresser et mon cerveau sest embrouillé tout seul.
Maître Zain intervient ayant largement approuvé les remarques de son ami, Master Bill, qui aurait pu dailleurs se sentir formalisé davoir été reconnu en ses lieux et place, ce qui navait pas manqué lorsquil en avait fait état de provoquer un rictus de jalousie féminine chez la soumise s28B de Master Bill qui navait pas trouvé lors de ces tests la moindre queue analogue à celle du Maître auquel elle appartenait et qui aurait presque fusillée du regard lincompétente.
- Ma souali ! Panique ou pas panique, peu mimporte ! Je ne veux pas que tu te retranches derrière des excuses bidon. Tu as failli, cest la seule chose que je remarque. Accepte la correction prévue avec dignité et repentance ! Quand à pouvoir te délecter de mon nectar lorsque ma queue de mâle viendra se perdre dans ta bouche ou ailleurs, il te faudra savoir être patiente et apprendre à mériter ce qui doit pour toi être un véritable honneur accordé par le Dominant.
- Oui, Maître Zain. Jaccepte ce quil vous plaira de mimposer pour maider à devenir une meilleure femelle toujours à vos pieds.
Ne connaissant pas les réactions habituelles et les capacités dendurance de la soumise prête à recevoir les coups, Master Bill commence par passer plusieurs fois laplat de la cravache sur le dos et les fesses de celle qui lui fait face, ce qui a pour effet de provoquer une stimulation charnelle presque visible chez souali qui cesse de trembler dappréhension, mais dont les frissons, agrémentés de légers soupirs, semblent dune autre nature plus sensuelle provoquée par le mélange D/s subtil de honte et dexcitation. Le Dominant sous le regard attentif des autres et du Châtelain sait quil nest pas juste question dabattre le bras à 30 reprises avec plus ou moins de force, mais bien de faire durer linstant qui doit provoquer un véritable émoi dans le corps et la tête de celle qui doit avoir à lesprit ce qui sest passé et la raison pour laquelle elle doit être humiliée et punie publiquement. Master Bill fait siffler à plusieurs reprises la cravache dans lair provoquant à chaque sifflement caractéristique une contraction visible des muscles fessiers de souali, qui se demande bien lorsque le premier coup réel va tomber. Le Marquis dEvans intervient pour pimenter encore lattente.
- Cher Maître Zain, vous avez là une belle salope qui mouille déjà alors que la sentence na même pas encore commencé. Sil est vraiment impensable de constater quelle ne sait pas reconnaître votre attribut parmi 5, elle connaît bien semble t-il le bruit de la cravache et les plaisirs D/s qui sont « douce(heu)reux » autant que douloureux. Une véritable chienne en chaleur comme toutes ces femelles que jaccepte à mes pieds, quon ne peut jamais assécher car elles ont presque en permanence lentrecuisse humide.
La soumise souali est au comble de la honte de se sentir ainsi au centre des discussions de plus en plus scabreuses quelle entend dans lassemblée. Et son excitation ne fait que croître, car si elle nest pas totalement masochiste au sens physique du terme ne tirant pas son plaisir sexuel directement et uniquement de la douleur reçue, elle lest malgré tout au sens psychique du terme aimant se sentir humiliée, rabaissée, dépréciée, dégradée, souillée, dévalorisée. Lhumiliation dans la soumission, et surtout devant des inconnus ou dautres personnes que Maître Zain, est encore une épreuve difficile à supporter car elle en éprouve très vite de la culpabilité et une perte de confiance en soi, mais comme la nature humaine nest jamais simple, de manière très ambivalente et contradictoire, elle ressent aussi une boule au creux du cur qui la met dans un émoi sensuel et charnel des plus savoureux, comme si des ondes électriques venaient se faufiler à travers ses vaisseaux sanguins dans tout son corps et en particulier au niveau des zones érogènes intimes. Sa chatte suinte et les pulsations de son cur se sont accélérées, elle craint la morsure de la cravache, mais en même temps elle la désire de toute son âme, en arrivant même à douter de savoir si elle regrette vraiment son erreur et le courroux de Maître Zain. Elle se cabre encore plus, redressant ses fesses blanches comme si elle voulait attirer linstrument D/s et prendre linitiative des sévices quelle souhaite recevoir pour enflammer encore plus son corps tout entier.
Master Bill qui a bien examiné le comportement de souali, na pas du tout lintention de rentrer dans son jeu, et au lieu dabattre la cravache sur la croupe exposée de manière trop ostentatoire, il frappe un premier coup sur la cuisse droite, immédiatement suivi dun autre sur la cuisse gauche. La soumise pousse un hurlement, prise de surprise tout dabord mais aussi de douleur sous limpact, car le Dominant na pas ménagé sa force.
- soumise, je navais pas encore précisé que le silence était de rigueur, car cela me semblait évident. Dans ces circonstances, je vais être clément, et ne rien dire pour cette fois. Cependant, sache que je ne tolèrerai pas un nouveau manquement à la règle. Il nest pas question que tu nous casses les oreilles pour 30 malheureux petits coups de cravache.
- Oui, Monsieur, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses. Je saurai rester silencieuse par la suite, je vous le promets.
Master Bill donne deux autres coups de cravache sur larrière des cuisses, mais plutôt sur lintérieur, et de manière très perverse, il frappe à nouveau avec force sur les deux marques très rouges des deux premiers coups. Maître Zain le regarde faire avec application, pas trop mécontent de voir quil va sagir dune vraie fustigation punitive, et non pas dune simple partie de plaisirs masochistes juste bons à faire mouiller sa dominée, sans trop la faire couiner. La chienne souali ne peut sempêcher de pousser un long cri lorsque la cravache vient à nouveau cingler à deux reprises les parties déjà sensibilisées et rouges. Master Bill dune voix grave intervient.
- Jai été clair et tu as promis bien à la légère, orgueilleuse ! Tu es consciente que cette fois-ci tu mobliges à recommencer au départ. Après tout, cest à toi de voir ce que tu veux. Moi, cela ne me dérange pas car jaime bien jouer de la cravache à vrai dire, et jai peu souvent loccasion de punir ma soumise, même si je ne devrais pas dire en sa présence quelle est presque irréprochable, pour quelle ne se prenne pas la grosse tête. Il me semble quil nen est pas de même pour toi.
.. « PAS DE BRUIT »
.. Cest clair, net, et précis. Jai une sainte horreur comme beaucoup de Dominants davoir à me répéter inutilement.
Master Bill reprend la cravache en mains fermement et vient cette fois frapper sur la partie bien ronde et charnue de la fesse, laissant un petit rectangle rouge venir simprimer sur la peau laiteuse. Il continue sans sarrêter, tout en tournant autour de souali, tapant chaque fois juste à côté du précédent impact de manière à dessiner sur la fesse droite 12 formes comme si cela représentait les 12 numéros dune pendule. La soumise est assez troublée par cette manière de faire, ne comprenant pas encore quil sagit dun dessin harmonieusement tamponné dans sa chair, mais elle est surtout concentrée sur le fait quelle doit garder la bouche close pour ne pas crier, se mordant les lèvres intérieures à chaque impact pour résister et ne pas risquer de se faire rabrouer encore plus. Master Bill recommence la même opération sur la deuxième fesse qui sauréole à son tour des 12 coups de « minuit » (12 coups de cravache devrait-on dire) dispensés sans interruption, malgré les pleurs de souali qui a fini par craquer sous le flot de coups incessants qui ne lui laissaient même pas le temps de reprendre son souffle entre deux volées. Perturbée tout autant quexcitée, elle en a même oublié de compter les coups et se met à craindre que le Dominant ne linterroge pour savoir où il en est, ce qui ne manquerait pas de lui valoir encore une sérieuse réprimande de plus. La soumise en est presque soulagée lorsquelle entend Master Bill.
- 24 !!! Et bien, soumise, te voilà auréolée des fesses. Il me reste 6 coups pour parachever mon uvre, si tant est que tu veuilles bien te taire jusquà la fin. Ecarte les cuisses plus larges
(A suivre
.)
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