La Vengeance

C’était un soir comme les autres, nous nous sommes couchés après avoir regardé un bon film. Elle s’enferme dans sa salle de bain comme à son habitude vacant à ses occupations du soir, mais lorsqu’elle ressort ! Une surprise m’attendait. Elle était vêtue de cuissardes avec de jolis bas noir le tout attaché par des jarretelles à une splendide guêpière qui faisait ressortir sa généreuse poitrine d’une manière très excitante. Elle portait aussi un magnifique string en dentelle noir transparent. Elle s’approcha de moi, commença à me manger la bouche, puis me mordillas les oreilles, ses mains baladeuses caressant mon torse. Moi je me laissais faire j’étais aux anges. Après m’avoir bien chauffé, elle tira un sac de dessous le lit et en sortit un rouleau, c’était un rouleau de bondage qui ne colle pas.
J’étais tout excité et me laissais donc attacher, je me mis sur le dos comme elle le désirait, elle me fit mettre les bras entre mes jambes et lia mes poignets à mes chevilles. Je me retrouvais donc jambes plus ou moins en l’air et écartées. Son regard de coquine en disait long sur ce qu’elle allait me faire subir. Tu te souviens de la fois ou tu m’as attrapé sur la table, je t’avais dit que je me vengerai, le moment est venu.(Voir la fin d’une journée de travail). Elle continua avec son rouleau en m’entoura les testicules afin de bien séparer mon sexe des mes couilles, puis me bâillonna, suréleva mon bassin.
Une fois dans cette drôle de position , je n’était pas au bout de mes surprises, elle sortit de son sac une longue cravache, commença à me caresser d’abord le visage, les pectoraux, le ventre, mon sexe, mes bourses, mes fesses continua le long de mes jambes et termina par les pieds et là, elle se mit à me fouetter les pieds puis remonta, appuya un peu plus quand elle arriva sur les fesses et me les fit rougir un peu, me fouetta les tétons et s’attarda sur mes testicules . J’avoue que tous ces coups de fouet me plaisait plus que je n’aurai imaginé et mon sexe ne tarda pas à exprimer son plaisir ce qui fit sourire ma chérie qui n’hésita pas à utiliser la cravache dessus.

Elle abandonna sa cravache et se pencha à nouveau sur son sac et cette fois ci ce fut des pinces reliées entre elle par une chaîne qu’elle sortit me les posa sur chaque mamelon et tira légèrement la chaîne, ce fut une délicieuse expérience. Mais elle n’en resta pas là et pris un petit objet que je n’identifiais pas tout de suite avant qu’elle le fasse rouler sur moi. C’était une roulette avec des piquants, elle le promena partout sur mon corps et me fit frissonner.
Alors me dit-elle, je vois que tu prends beaucoup de plaisir, mais ce n’est que le commencement. Toujours dans son sac elle saisit une paire de gant en latex, les porta, extirpa un tube que je devinais être du lubrifiant et se dirigea vers mon cul. Alors tu es prêt me dit-elle, respire un bon coup. Elle me lubrifia l’anus et commença à me le travailler avec ses doigts. Je dois bien avouer que cela me fit gémir. Elle me pénétra d’un puis de deux puis je ne sais pas combien de doigts, je me tortillais sous manipulations. Je crois que j’étais entrain de jouir du cul. Eh bien ! mon salaud on dirait que tu aimes ça. J’ai gardé le meilleur pour la fin tu vas voir !
A ce moment là elle retourne dans la salle de bain, moi je suis là, les jambes complètement écartées le cul encore endolorit par ses nombreuses assauts quand soudain la voila qui revient avec… Avec un gode ceinture, il est un peu particulier dans les sens ou il est composé d’un gode orienté dans sa chatte et un autre gode dressé comme un sexe, et là je comprends que mon cul va passer un sale quart d’heure. Alors on fait moins le malin à présent tu m’as bien sodomisé la dernière fois, cette fois-ci, c’est mon tour. Et ni une ni deux, elle lubrifie le bout du gode et se pose sur l’entrée de mon cul, elle n’a pas beaucoup à forcer au vue de ce qu’elle m’avait fait subir avant avec ses doigts. Je sens ce sexe de latex dans mes entrailles, tout d’abord un peu douloureux puis finalement la douleur fait place au plaisir et voila que d’abord tout doucement et ensuite de plus en plus vite elle me sodomise tout en me donnant des fessées. Je sens qu’elle mouille à chaque coup de butée. Elle décide de me branler en même temps qu’elle me baise. Je ne sais plus ou j’en suis et ce qui devait arriver, arriva. Je me mis à jouir d’une force, le sperme gicla sur mon torse et sur mon visage. Ce fut une soirée mémorable.