Début De Vacances À Mykonos

Cela fait maintenant presque un an que Stéphane et moi sommes en couple. Nous nous sommes rencontrés en pratiquant le nudisme sur une plage et nous partageons toujours cette activité. Nous avons choisi de ne pas vivre ensemble, mais nous recherchons une destination de vacances pour passer quelques jours.

Et quoi de mieux pour un couple d'hommes que l’île de Mykonos en Grèce ?

Nous arrivons le premier jour en fin de matinée et le concierge de l'hôtel nous indique gentiment les plages sur lesquelles nous allons pouvoir pratiquer notre activité favorite. En particulier, il souligne une plage assez peu connue, pas ment dans tous les guides, mais où il est facile de trouver des petits coins dérobés et plus intimes.

Nous prenons donc dès l'après-midi la direction de cette plage et effectivement, il est visible qu'elle est peu fréquentée, exclusivement par des hommes bien sûr, tous entièrement nus, bien sûr. Quel plaisir d'admirer ces corps, bronzés pour la plupart, et d'admirer ces fesses musclées et ces membres virils. Mais l'élément le plus intéressant est la végétation qui parsème cette plage, qui hésite entre plage de sable fin pour touristes et côte plus sauvage, et qui permet de s'isoler dans un endroit plus discret.

C'est dans un d'entre eux que nous nous installons.

Stéphane, qui a une peau de blond, me demande de lui passer de la crème solaire. Je m'exécute, n'omettant aucun des endroits qui pourraient souffrir d'un coup de soleil – le soleil en Grèce et plus encore dans les îles est particulièrement fort. Lorsque je m'occupe de son sexe, je sens déjà un début de réaction qui laisse augurer une après-midi pour le moins intéressante.
Quand j'ai fini, il me prend la crème des mains :
« il ne faudrait pas que tu atts un coup toi non plus. Tu es déjà bronzé, mais les guides disent de se méfier. »
Il verse alors une généreuse quantité de crème solaire dans ses mains et commence à m'enduire le corps, d'abord le dos.

Il descend ensuite sur mes fesses. Puis il me demande de m'allonger sur le dos, badigeonne mon torse et termine sa visite par mon membre qui ne tarde pas à avoir à son tour une érection tout à fait naturelle.
« humm, ce serait dommage de ne pas en profiter », me dit-il. Et sans attendre ma réponse (qu'il connaissait par avance), il décalotte mon sexe, passe délicatement sa langue sur mon gland avant de me prendre tout en bouche et commencer son va-et-vient. Sa divine caresse buccale n'a duré que quelques minutes avant qu'il n'arrête. Je prends alors dans notre sac le tube de lubrifiant que j'y avais – peu discrètement je l'avoue – glissé, en verse une bonne quantité sur ses fesses et caresse sa raie, tout d'abord sans m'attarder sur son anus, puis en insistant un peu, puis beaucoup, jusqu'à le pénétrer d'un doigt, enfin de deux, afin de bien le lubrifier.
« Maintenant que ton cul est prêt, je veux que tu t'empales sur moi », lui dis-je.
Il ne m'a pas fallu me répéter deux fois avant qu'il ne se mette en position et que je sente sa rondelle peser sur mon gland, puis s'ouvrir tout à fait pour me laisser pénétrer sa chaude intimité. Son sexe, en semi-érection, repose sur mon ventre et à chaque mouvement que l'un ou l'autre fait, je le sens durcir de plus en plus.
J'accélère mon mouvement des hanches pour que le va et vient soit plus amples et je l'entends commencer à haleter un peu.
« Oui, c'est bon, accélère encore ! Baise mon cul comme ça, c'est ça que j'aime !»
Je continue mon mouvement et on n'entend plus autour de nous que ses gémissements et le « flap-flap » de mon pubis sur ses fesses, le bruit de la mer couvrant à peine ceux de notre plaisir.
Il murmure :
«  Ne jouis pas trop vite, j'ai encore envie d'en profiter »
Je ralentis un peu mon mouvement.
« Oh oui, je sens que je vais jouir, baise-moi encore. Défonce mon cul ! »
Les réactions de son cul à ce moment-là, la légère crispation de son anus, m'indiquent qu'il est sur le point de jouir.
« Oh putain c'est bon », dit-il au moment où je reçois tout d'abord quelques gouttes sur le visage, puis un long jet de sperme qui arrive jusqu'à ma poitrine. Il se vide complètement de deux ou trois jets moins puissants mais très abondants qui couvrent mon ventre de sa semence. Dès son premier orgasme, j'ai atteint le mien et me suis déchargé dans son cul.
« Embrasse-moi «  lui dis-je.

« Cette après-midi a vraiment été géniale. Mais maintenant, j'ai envie d'aller me baigner. Et je crois que j'ai bien besoin de passer dans l'eau !».