Emilie Et Léa - La Découverte
Histoire Réelle
Emilie et Léa sont deux surs jumelles qui étaient âgées d'à peine 18 ans lors des faits racontés. Nous nous étions rencontrés une dizaine d'années auparavant, elles avaient à l'époque 8 ans et moi 11. Nos mères sont amies depuis très longtemps et s'étaient retrouvés il y a 10 ans.
Quelques jours après leur 18ème anniversaire, ma mère et moi sommes arrivés dans leur petit village du Pays Basque pour passer quelques jours de vacance. Nous venions de faire plus de 600 kilomètres et connus d'importants problèmes avec la voiture, le voyage avait donc été mouvementé et c'est soulagé que nous sommes entrés dans le petit bourg avant de rejoindre leur maison. Nous ne nous étions pas vu depuis un an, je vous laisse imaginer à quel point elles avaient changé, les deux adolescentes acnéiques que j'avais quitté 12 mois auparavant s'étaient littéralement métamorphosées en deux magnifiques brunes d'1m70 aux yeux bleu azur, au physique élancé avec de jolies formes. Je me suis dis qu'elle devait faire tomber tous les garçons de leur lycée. La soirée se passa rapidement, je fis un rapide résumé des ennuis que nous avions rencontré au père des filles, puis nous sommes allés nous coucher. J'avais senti les filles à la fois excitées et un peu nerveuses, j'avoue qu'au vu de mon état de fatigue avancé, je n'y avais pas prêté plus attention. Si seulement j'avais pu imaginer...
Le lendemain, ma mère et les parents d'Emilie et Léa nous annoncèrent qu'ils partaient passer la journée en ville afin de diagnostiquer les problèmes rencontrés avec notre voiture la veille et histoire de discuter entre eux. Cela ne nous dérangeait absolument pas puisque nous comptions aussi papoter entre nous. Les parents partis, nous nous sommes installés dans le salon et avons commencer à parler.
Quelques heures après, alors que nous avions fini de manger, Léa mit à Emilie une légère claque aux fesses en lui enjoignant de se dépêcher de finir le lavage de la vaisselle.
Peu de temps après que nous nous soyons rassis, la conversation dérive sur le sexe et les fantasmes, et Emilie commença à parler de la fessée, je souriais intérieurement, puis Léa lacha
"On sait que tu écris des histoires de fessées, on a vu le site."
Sur le coup ,j'ai manqué de m' avec mon café, si je m'attendais à ça !!!
Au vu de mon malaise, les deux filles étaient littéralement pliées de rire, je décidais alors à mon tour de leur jouer un tour qu'elles n'oublieraient pas de sitôt. Dans un état de colère (seulement) apparente, j'attrapais l'une et l'autre par une oreille et les guidais vers la chambre d'Emilie tout en leur disant:
"Ah, vous fantasmez sur la fessée, et bien je vous promets que vous vous souviendrez longtemps de cette journée".
Arrivés dans la chambre, je les mis au coin, une de chaque côté, et regroupa quelques objets pour les fesser avec autre chose que ma main: une spatule, une tapette à mouche et un chausson. J'installais une chaise au milieu de la chambre et m'y assis en les observant.
Au bout d'un moment, j'entendis Léa renifler, elle était en larmes.
N'étant pas sadique, je les libérais de cette attente et leur permis de quitter leur position et de se rapprocher, ce qu'elles firent. Je leur demandais alors quand et comment elles avaient découvert mon identité, Léa me dit qu'elle avait reconnu le surnom que m'avait donné leur père quand nous nous étions rencontrés et qu'elles avaient découvert le site 2 ans auparavant.
J'étais donc ébahi et sans voix, Emilie me dit alors:
"Je voudrais que tu me fasses vivre ce fantasme, puisque tu t'y connais et que je te fais confiance".
Je la regardais alors droit dans les yeux, sans dire un mot, j'y lus un drôle de regard, mélange d'appréhension et de curiosité.
Toujours sans dire un mot, je la basculais sur mes genoux et leva la main.
"CLAC"
Ca y est, la première claque s'est abattue sur ses fesses, ferme, mais pas violente non plus, après tout, c'est la première fois qu'elle se retrouve dans cette position si peu confortable,
je réitère le geste à plusieurs reprises avant de la redresser.
Une fois debout, je dézippe son jean et fait sauter le bouton. Sans broncher, elle baisse elle même son pantalon avant de se rallonger en travers de mes cuisses, ses fesses ont à peine rosies sous les précédentes claques. Face à ce shorty, je me remis "au travail" avec un peu plus d'insistance, Léa, assise à côté de moi, ne perdait pas une miette de ce spectacle.
Quelques minutes plus tard, je remis Emilie sur ses jambes, ses jolies fesses légèrement rougies au travers de sa culotte, je lui demandis alors:
"Et maintenant ?"
Elle me répondit simplement:
"Finis ce que tu as commencé."
Je baissas alors son shorty et sans regarder à outre mesure la rallongea sur mes genoux, là, cul nu, je repris la fessée avec plus de force et fis pendant plusieurs minutes chauffer ses fesses jusqu'à leur faire prendre une belle teinte rougeâtre avant de ralentir le rythme et de mettre un terme à cette "punition", je l'avais senti sangloter pendant que je "travaillais".
Après qu'elle se soit relevée, je constatais qu'elle avait sur le visage un petit air heureux.
Je proposais ensuite à Léa de prendre la place de sa sur et vice versa, ce qu'elle fit après une courte hésitation, une fois sur mes genoux, je recommença à faire découvrir les sensations d'une fessée, quelques minutes plus tard, sans la relever, je retroussis sa jupe et continua à travailler sur ce joli petit fessier (identique au précédent).
Quand vint le moment de la déculotter, je ressentis un trouble monter en elle, un mélange de peur et d'excitation, bref, comme pour Emilie je ne m'attardais pas sur son intimité et la rebascula sur mes cuisses.
Une fois le "travail" terminé, je fis mettre les deux demoiselles côte à côte les fesses à l'air, histoire d'admirer mon uvre, je repris les instruments, dont j'avais volontairement choisi de ne pas me servir, c'était uniquement pour faire monter la pression avant de me mettre à l'ouvrage, avant de quitter la pièce et de les laisser se remettre de leurs émotions.
Quelques minutes plus tard, je les vis revenir, l'une comme l'autre vinrent me remercier pour ce que j'avais fais.
Quand je leur ai demandé ce qu'elles avaient pensé de ce moment, leur réponse fût unanime:
Que du plaisir.
FIN
J'espère que cette première histoire vous a plu, les récits des autres fessées reçues par Emilie et Léa arriveront bientôt, si vous avez des critiques à formuler, je vous encourage à laisser des commentaires au bas de mes histoires.
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