Chapitre 44 : Premier Gang Bang Avec Sandrine Mon Amoureuse Et Éric Mon Mari.

Bonjour, c’est encore Caroline, très heureuse de vous retrouver, je vais vous narrer la suite de nos aventures, c’est déjà notre seizième rendez-vous ensemble…Vous êtes nombreux (ses) à me lire, donc cela m’encourage à me plonger dans nos archives et nos journaux intimes, regarder nos photos et visionner nos vidéos…
Si vous êtes fidèles de mes récits, il y a un évènement important en cette année 2010 : c’est la rencontre de Sandrine, une fille merveilleusement belle, ses yeux bleus me provoquent une sensation particulière à chaque regard. L'amour survient toujours lorsque l'on ne l'attend pas. Sandrine est survenue dans notre vie de couple amoureux.... quand nous ne l'attendions pas !!!
Sandrine est Française, mais elle réside en Allemagne, elle gère son cabinet d’architecture intérieure, elle intervient dans tous les domaines d’aménagement intérieur des appartements, villas, commerces et bureaux à Munich.
Sandrine est bien jeune, née en 1975, nous avons dix-huit années de différence d’âge. Depuis que nous avons croisé Sandrine sur notre chemin en juillet, nous avons multiplié les occasions de nous rencontrer.
Elle est devenue le centre de mes préoccupations. Je me demande ce qu’elle fait, où elle est, avec qui … Est-ce qu’elle ressent la même chose que moi ?
Bien évidemment, c’est la même chose pour Sandrine. Nous nous appelons plusieurs fois par jour.
Plus rien n’a d’importance, sauf Sandrine responsable de ce coup de foudre.
Le seul moyen de m’apaiser, c’est de la voir, à cet instant le temps semble suspendu, mais aussi, passe trop vite.
Depuis notre rencontre et donc ce coup de foudre, tout est facile, comme si nous nous connaissions déjà depuis des années.
Je n’adopte pas de stratégie de séduction, nos échanges sont naturels et les confidences se font rapidement. J’ai le sentiment d’avoir trouvé mon âme sœur.
Je suis bien consciente que ce coup de foudre amplifie certains éléments-clés de notre relation.


A savoir : la complicité, l’humour, la sensualité, la sexualité et le partage d’Éric.
Ces éléments sont fondamentaux au début d’une histoire d’amour et cette phase porte même le nom de « lune de miel ».
Comme toute rencontre amoureuse « classique » amenée à durer, nous devons impérativement sauvegarder le côté superficielle comme la complicité, la confiance, ou les valeurs communes.
Nous prévoyons de passer une semaine ensemble début octobre, Sandrine peut disposer d’un appartement au Touquet appartenant à une tante.
Cette semaine nous permet de nous découvrir encore, de partager des moments précieux tous les trois.
Dès le début du séjour, Sandrine nous fait part de son envie de vivre une « expérience particulière » et nous déclare :
- Cela fait longtemps que j'ai envie de faire l'amour en groupe. Avec mes autres compagnons, je n'arrivais pas à me lancer. J'avais peur de leur jugement. Alors, je veux vivre quelques choses d’extraordinaire avec vous, avec toi !!! Caro !!!
Bien évidemment, nous sommes d’accord, mais encore faut-il trouver les bons partenaires.
Nous sommes le lundi quatre octobre en fin de soirée.
Nous arrêtons la date au samedi neuf octobre à 14h30. Nous avons quatre jours pour organiser un gang bang privé, quatre jours pour trouver une dizaine d’hommes disponibles un après-midi en octobre et surtout prêt à venir au Touquet.
Il y a un petit goût de challenge, c’est excitant, j’adore !!!
Éric et moi, nous, nous attelons à la recherche des coquins.
Sandrine nous laisse gérer l’intendance.
Je vais donc choisir nos partenaires. Sandrine porte un regard consultatif sur mes choix, si elle ressent bien ou non le coquin sélectionné, si sa fiche semble viable…
Nous faisons appel aussi à un groupe de coquins déjà constitué se connaissant entre eux. C’est le « GLE », groupe de la Légion étrangère.
Nous les appelons ainsi, car ils sont tous d’origine étrangère, nous le connaissons bien pour avoir créé ce groupe pour mon premier Gang bang pour mon anniversaire en mars 2009 (Chapitre 39 et 40).

Ces hommes sont respectueux, fiables, bien membrés, très bien membrés, actifs et discrets.
Nous les connaissons bien Éric et moi car nous nous sommes déjà rencontrés au moins six fois. J’ai à chaque fois apprécié leurs prestations. Donc là, c’est trop tentant.
Le lieu n’est pas idéal, car Sandrine ne souhaite pas de défilé dans la résidence chic de sa tante, mais elle propose un garage où sa tante stationne sa voiture l’été et stocke les affaires de plage et le bateau.
Nous en avons tous les trois très envie !!!
Fini de tergiverser. Le garage fera l’affaire.
Puis, Sandrine nous briefe sur ses interdits, elle ne veut pas de doigts, pas d’éjaculation buccale, pas de sodomie pour une première pluralité masculine et pourtant elle adore vraiment être sodomisée.
Elle adore tellement, qu’elle n’a pu résister à gouter à la pénétration anale avec plusieurs coquins.
Son esprit voluptueux et son corps torride permettant la transgression exacerbée par l'excitation sexuelle et le plaisir ressenti avec plusieurs doubles-pénétrations…La coquine !!!
Autre souhait de Sandrine : elle veut une majorité de Blacks.
Donc nos amis du « GLE », sont disponibles, soit le Brésilien Anderson, le Malien Mahdi, le Guinéen Mohamed, le Guadeloupéen Joshua et notre ami Belge Guillaume. Nous avons la certitude de réunir cinq hommes. Nous les chargeons de « recruter » si possible et continuons nos recherches avec Éric…
Il y a pas mal de poseur de lapin, vécu lors de précédents gang bang party et ça m’agace toujours. On réussit à trouver des partenaires de jeu malgré le temps de recherche très court en plus du groupe déjà constitué.
Donc, c’est le grand jour, le jour du gang bang « garage ».
Nous préparons en fin de matinée le lieu de débauche, c’est un petit garage d’à peine trente mètres carré.
Éric prend deux matelas de l’appartement pour les mettre à même le sol.
Avec Sandrine, nous rangeons un peu le matériel, pour nous offrir le maximum de volume, nous préparons des chaises de jardin pour les vêtements de nos hôtes, deux petites tables avec préservatifs, lingettes et du gel à base d’eau et silicone.

Nous préparons des gobelets en carton à disposition, nous avons prévu des boissons, soft ou alcool au choix, et des petites choses à grignoter afin de faire un goûter post-coquineries autour d’un verre et papoter.
Le but est de profiter d’un moment complice ensemble dans la bonne humeur et le partage.
Nous mettons au point un scénario. Nous, Sandrine et moi, attendrons les hommes dans un petit atelier attenant au garage pendant qu’Éric fera les recommandations et les informera sur les interdits.
Ensuite, on arrivera et démarrera direct en mode abattage en prenant possession de nos matelas respectifs.
Nos Hommes ont envie de hard, d’extrême et de salopes…Donc !!!
Nous avons convié douze hommes.
Il y a donc Anderson le Brésilien, qui vient avec Rubens un autre ami Brésilien, puis Mahdi le Malien, qui devait venir seul, mais finalement est accompagné de deux amis, un Malien et un Sénégalais : Adama et Seydou, puis Mohamed notre ami Guinéen, qui lui, a un invité supplémentaire par rapport à ce que nous avions prévu : Aboubacar et Ousmane, puis Joshua, le Guadeloupéen qui vient avec Florent autre vieille connaissance Guadeloupéenne, nous avons ensuite notre ami Belge Guillaume, et enfin quelques Français moins colorés : Nicolas, Sébastien, Julien et Vincent.
Nous nous retrouvons donc avec quinze hommes, heureusement, un nous a posé un lapin, il devait venir mais n’a donné aucune nouvelle « le grand Jour ». Deux autres ont annulé leur venue mais en nous prévenant en avance et en s’excusant. Les contretemps peuvent arriver et nous le comprenons tout à fait.
Finalement, nous sommes certainement trop nombreux au regard de la taille du garage. Les souhaits de Sandrine sont satisfaits car nous allons retrouver dix blacks…
Avec Sandrine, nous attendons 14h30.
Nous nous excitons mutuellement, j’adore embrasser Sandrine, je la caresse et la lèche pour l’exciter, elle trépigne nerveusement.
Sandrine est un peu anxieuse pour son tout premier gang bang.

Éric part chercher les coquins au point de rendez-vous.
Le garage étant dans un endroit fermé, personne ne peut venir sans invitation !!!
Les quinze hommes sont arrivés à l’heure. Ils commencent à sympathiser entre eux.
Finalement le scénario d’abattage dans le garage nous plaît beaucoup à toutes les deux.
Nous restons cachées dans le petit atelier pendant qu’Éric briefe les coquins : pas de doigts, pas de sodomie, pas d’éjaculation en bouche.
On entend les hommes rire, il semble y avoir une bonne ambiance !!!
Si les coquins s’accordent bien, ça va être super.
Éric passe nous prévenir tout sourire que les quinze hommes sont là sans nous donner plus de précision.
Je lui demande s’ils ont l’air sympa, il répond par l’affirmative et file les rejoindre.
Je suis aussi un peu stressée. Habituellement, j’accueille les participants avec mon mari. Je ressens l’excitation monter progressivement.
Pour une fois, je me retrouve mise à l’écart. On patiente entre « amoureuses » en rigolant, en s’embrassant et en se caressant.
Nous trépignons d’impatience entre petit trac de la rencontre et impatience de la découverte.
Je n’ai jamais fait de plan garage, jamais autant d’hommes, et pour Sandrine c’est une première, tout cela nous excite particulièrement.
Quand Éric nous convie à venir, nous sommes impatientes de les rejoindre !!!
Nous découvrons les quinze coquins, tous souriants, mignons et sympas.
Nous faisons les présentations, toutes polies que nous sommes, au lieu de suivre le scénario et d’aller direct en levrette sur nos matelas, nous leur faisons la bise en se présentant. En n’oubliant pas de nous caresser mutuellement et de nous embrasser pour les exciter un peu plus.
Après quelques fellations et mises en bouche, nous nous positionnons sur les matelas pour être prises. Les hommes sont tous vraiment très bien, il y a une bonne ambiance dans ce garage !!!
Par contre, malgré la saison, il fait une chaleur épouvantable dans cet endroit clos sans aération et nous sommes vite en eau.
Le premier coquin à me prendre est Mahdi, notre ami Malien. Le feeling opère bien, il est viril et me prend sans trop de ménagement. Il connaît mes goûts pour le sexe hard. C’est un ami régulier maintenant car nous nous sommes souvent « croisés », nous avons déjà eu l’occasion de coquiner ensemble cinq ou six fois. Je jette un œil vers Sandrine qui est très occupé avec Anderson qui semble ne pas la ménager.
Dans un même temps, je me régale des sexes érigés en direction de mes lèvres et goûte avec plaisir Adama et Seydou. C’est vraiment excitant !!!
Je ne ressens pas d’effet “Coq”, aucun homme ne semble vouloir prendre l’ascendant sur les autres et l’ambiance est très agréable dans notre petit garage.
Les partenaires s’enchainent bien. Il y a ni temps mort, ni flottement, tous respectent le plaisir de l’autre, mais le rythme est soutenu.
Rubens puis Aboubacar me prennent chacun leur tour. Ils sont souriants et sympas, plein de bonne humeur.
Je les sens autant excités que moi et c’est délicieux !!!
C’est un savant mélange entre douceur et virilité. Les coups de reins sont bien sentis, incisifs, sans retenus, alors que les gestes restent doux…
Mais que ces garçons sont bien membrés !!! Mes amis, quel plaisir !!!
Nous avons tous vraiment chaud, il n’y a pas de fenêtre, pas d’ouvrant hormis la porte de garage, pour ramener de la fraîcheur.
Nous sommes dix-huit personnes dans 30m². Malgré cela, les hommes ont de belles érections pour nous honorer à tour de rôle avec mon amoureuse et complice, Sandrine.
Parfois, je jette un œil sur son matelas ou sur Éric pour voir si tout va bien. Elle semble prendre autant de plaisir que moi.
Le lieu est un peu sordide avec les matelas posés à même le sol et le scénario des quinze hommes venus nous prendre à la chaîne. Le côté “garage” est vraiment excitant.
En même temps, tout est maîtrisé : les draps sont propres, les coquins sont parfaits. Les pénétrations et les fellations s’enchaînent à merveille, c’est super-super excitant.
Tous jouent bien le jeu du gang bang. Ils nous prennent et lorsqu’ils voient qu’un autre coquin est prêt, il laisse leur place. Ça tourne bien !!!
L’ambiance n’est étonnamment pas hard. On est plutôt dans une mentalité “pluralité masculine” qu’un scénario type “abattage/baise à la chaîne”. C’est très relax et la chaleur dans le garage n’y est sans doute pas étrangère !!!
Ousmane, un complice de Mohamed, se glisse derrière moi pour me prendre en levrette.
Je l’ai déjà rencontré à une reprise lors d’un précèdent gang bang. Énergique et dynamique, il ne me ménage pas en s’agrippant fermement à mes hanches pour me prendre.
C’est un délice. Joshua me caresse les seins exactement comme je l’aime, sans pincement et en douceur.
Dans un même temps, je me délecte des membres de Florent et Guillaume. Je ne sais plus trop où donner de la tête !
Ousmane laisse sa place à son ami, Mohamed. On se connaît très bien maintenant et nous savons les “petits trucs” qui embarquent l’autre au Septième Ciel.
Il se glisse et me prend avec fougue, une douce animalité. Ses mains m’enserrent la taille, le rythme est effréné.
Comme à son habitude, il me pilonne. Mohamed est une machine à baiser !
Il est un peu gêné que je me sois redressée pour sucer d’autres coquins et me demande de me remettre à quatre pattes sans bouger car il sort sinon.
À cet instant, je suis à lui. Éric aime le voir me tenir et adore cette complicité sincère qui nous lie. C’est un libertin en qui j’ai une absolue confiance.
Mais il me défonce comme un malade, comme j’aime…
Nicolas me pénètre en levrette juste après Mohamed.
Il est très souriant et a un regard joueur.
Je sens qu’on va bien s’entendre ! J’aime sa façon de me prendre profondément.
Son pubis se plaque contre mon corps à chaque va-et-vient. C’est très agréable.
Mon Chéri, qui aime plus que tout me voir dans les bras d’autres que Lui, constate tout le plaisir que je prends et en est très excité.
Ma bouche et ma langue se régalent tour à tour du sexe de Sébastien, le copain de Nicolas, mais aussi de celui d’Anderson et de Julien. Quelle gourmande je fais !!!
Mahdi et Rubens observent la scène et attendent qu’une petite place se libère pour que je puisse les prendre en bouche à leur tour.
Éric installe un petit ventilateur, mais celui-ci n’arrive pas à faire face à tant d’agitation sexuelle et il fait une chaleur épouvantable.
On est tous en eau. Il y a de la sueur et du sexe au garage, c’est torride. Nous faisons tous des petites pauses “essuyage”.
Heureusement que nous n’avons pas fait le gang bang en pleine canicule, on se serait noyés !!!
Éric prend quelques risques et entrouvre la porte du garage pour faire un courant d’air, ça rafraîchit un peu, ça fait du bien !!!
Concernant l’atmosphère générale, elle est coquine mais pas hard. C’est un gang bang cool dans un lieu glauque.
Cela forme un amusant contraste, un paradoxe sensationnel !!!
On s’attendait à ce que le cadre entraîne instinctivement une baise virile. On était dans l’idée d’un abattage avec baise à la chaîne sur des matelas à même le sol.
Il y a très peu de mots crus, pas ou peu de fessées, juste un ou deux tirages de cheveux… Ça ne nous empêche pas, Sandrine et moi de prendre beaucoup de plaisir et de jouir à plusieurs reprises !
Je me régale et comme il fait très chaud, ce n’est pas plus mal. Mon organisme gère bien le rythme et l’extase physique.
Je bascule en missionnaire pour être prise également de face après avoir sucé quelques queues tendues. J’aime beaucoup regarder mes partenaires de jeu et le regard fait partie du plaisir, du partage, de la complicité d’une rencontre libertine.
Allongée sur le dos, les coquins s’enchaînent entre mes cuisses grandes ouvertes offertes à leur chibre tendu.
La position me permet de pouvoir facilement faire des fellations et masturber.
Je peux ainsi m’occuper de plus d’hommes en même temps et c’est exactement ce que j’aime en gang bang : ne plus savoir où donner de la tête, crouler sous les zizis, perdre pieds, être noyée sous les sensations et les orgasmes…
Le premier à me prendre ainsi, son regard plongé dans le mien, est Joshua. Il se fait plus langoureux, plus sensuel qu’en levrette. Ses yeux ne me quittent pas. C’est exaltant et extatique !
Adama prend place dans mon intimité. Mon minou bien dilaté l’accueil aisément et avec un vrai plaisir.
Depuis le début du gang bang, j’ai un petit coup de cœur pour lui. Il a un charme fou. Son sourire me fait craquer et je le sens extrêmement bienveillant, gentil.
Le recevoir en moi est jouissif. Sa façon de me prendre n’est que du bonheur, tous mes sens sont en éveil.
Éric constate à quel point il me plaît et en est très excité. Ses yeux sont plein de petites étoiles. Il aime tellement voir cette magie opérer.
Sandrine à côté hurle de plaisir sous les coups de rein de Mahdi.
Les coquins s’enchainent, Anderson puis Seydou puis Florent me prennent chacun leur tour. Ils sont sympas, souriants, excités et surtout en pleine forme, aussi excités que moi et c’est un plaisir !!!
Le tout dernier coquin à me prendre est Guillaume. Nous le connaissons depuis quelques temps.
Il était déjà présent à mon premier gang bang.
C’est un jeune homme très respectueux et vraiment cool, sans prise de tête !
C’est un vrai bonheur qu’il ait pu venir aujourd’hui. C’est orgasmique !!!
Je n’arrête pas de sucer Aboubacar, il y a une belle alchimie et je fonds j’avoue !!!
Au total, douze des quinze coquins présents m’ont prise ce jour-là.
Cette année 2010, fait d’ailleurs exploser les statistiques d’Éric, nous affolerons les compteurs, c’est une année record !!!
D’après les calculs savants de mon cher Mari, quatre-vingt-onze « coquins » m’ont honoré cette année-là. Soit en gang bang, trio, petites pluralités masculines, pipes à la chaine, giclettes diverses avec fellations.
Je suis désolée pour les informations erronées données par mail à Julie. C’est vrai que les statistiques m’indiffèrent complètement, je ne recherche que le plaisir…Sans compter.
Mais d’après ces premiers chiffres, je suis loin du compte du total donné à Julie.
Éric met à jour actuellement « mes statistiques » avec mes différentes pratiques.
Je suis assez surprise des premiers chiffres, (non à jour) du nombre d’hommes que j’ai pu faire jouir seulement avec Éric. Je m’étonne moi-même !!!
Cela pourrait faire l’objet d’une parution, qui sait ?
Fermons la parenthèse et revenons à nos moutons, pardon, nos coquins du jour.
Ce fut vraiment un moment magique, nous nous retrouvons Sandrine et moi sur un même matelas, sous les applaudissements de nos quinze coquins et mon gentil mari.
Nous nous embrassons. Sandrine réussit à me faire gémir et je ressens que ses bisous descendent de plus en plus bas pour enfin arriver à ma petite chatte toute mouillée par le traitement des coquins et par l’envie d’être léchée !!!
Elle écarte mes lèvres et lèche de haut en bas mon minou, je l’entends aspirer ma mouille dans sa bouche et venir me la déposer dans la mienne, qu’elle sensation, j’adore !!!

Et elle me propose un 69, elle dépose son chatte sur ma bouche, et je peux enfin me régaler de son doux nectar, elle est aussi trempé que moi, je lui lèche le clitoris comme j’aime que l’on me fasse, je la sens gémir et s’agripper sur mes cuisses.
Sa langue experte parcourt mon intimité, et elle m’enfonce deux doigts d’un coup bien profond, je ne peux m’empêcher d’émettre un cri d’extase, et me trouve comme emportée par le plaisir que me procure « ma femme ».
Je fais de même et lui introduit délicatement deux doigts dans son vagin déjà bien large par l’effet des gros sexes de nos amis blacks, j’effectue des va-et-vient de plus en plus en plus intense et vois son anus s’entrouvrir de plus en plus.

Cela m’excite encore plus de voir sa petite rondelle se dilater et de sentir ses doigts me pénétré fortement voir violement mais j’adore ça !!!
Je me sens complément défoncé élargis par sa main et sa langue si pointilleuse sur mon clitoris.

Je lui demande de se mettre à quatre pattes mais de bien se cambrer pour que je puisse bien voir sa chatte …
Les coquins nous encouragent, en nous traitant de belles salopes.
Sandrine s’exécute aussitôt et me tend ses fesses bien fermes et rondes, je m’empresse de lui introduire mes doigts dans son vagin et passe ma langue coquine sur son petit trou tout élargi, ses gémissements sont de plus en plus bruyants…Sandrine est très bruyante quand elle jouit.
Et une fois bien lubrifiée par ma salive je lui introduis deux doigts dans son anus et la pénètre fortement dans les deux orifices, elle réclame plus de force cette coquine !!!

L’intensité de la pénétration la fait gémir fort et elle essaie d’ les cris dans un coussin, petit à petit je ralentis…
Nous revenons sur terre, les coquins nous applaudissent de nouveau, en nous qualifiant de reines des salopes.
Puis nous papotons avec les hommes en prenant un verre. Un des coquins avait ramené des gâteaux… trop bons !!!
Ce moment de partage a été génial. On a découvert plus personnellement des coquins super cool, des vrais gentils plein de bienveillance.
Ils sont vraiment très bien, ce sont tous des libertins avec un bel état d’esprit.
Une fois partie, on débriefe un peu avec Sandrine et Éric, on a tous les trois adoré.
Ce n’était pas violent du tout, hormis l’endroit un peu glauque, mais super excitant.
Il est dans les 17h45 lorsque nous nous quittons avec nos complices. Sandrine et moi sommes bien fatiguées et nous regagnons l’appartement pour prendre un bain ensemble…
Sandrine a également passé un bel après-midi sexe !!!
Elle est ravie, et souhaite recommencer très vite. Nous nous entendons tous les trois très bien à tous les points de vue.
Nous sommes sur la même longueur d’ondes et cette osmose a permis découvrir une complicité encore rene.
Je vous propose, à ma demande, de découvrir la vision de Sandrine de ce bel après-midi.
Donc voici la version de mon « amoureuse »:
Bonjour, je suis moins douée que Caroline, mais pour lui faire plaisir, je participe.
Je suis architecte, et l’histoire pourrait commencer dans le style annonce agence immobilière :
« Bel espace garage de 30 m2 sans ventilation avec petit atelier attenant. Nous pouvons aider les acheteurs potentiels à se projeter, en vous donnant les utilisations possibles avec photos et vidéos à l’appui ».
En beaucoup plus trash, je vous l’accorde.
Pour moi, le garage mis à disposition par ma tante avec son magnifique appartement est surtout un espace intéressant pour entreposer mes valises vides et les vélos.
Il faut que je le décrive à Caroline pour que celle-ci évoque la possibilité d’y faire un Gang Bang, donc l’idée n’est pas venue de moi. J’avais vraiment envie de participer pour une première fois à une « pratique orgiaque » avec changement de partenaire, je trouve cela plus agréable à entendre !!!
Nous convenons avec Caroline et Éric en quelques minutes d’une date, d’un nombre de participants, du « profil » recherché, nous sommes en phase très vite.
Je fais confiance à Caroline « l’experte ». Que de chemin parcouru depuis notre rencontre il y a trois mois sur ce bateau à l’invitation de mes parents. Nous ne nous connaissions qu’au travers des photos que ma mère me montrait de leurs voyages et inversement pour Caroline et Éric.
Et voilà, après ce coup de foudre brutal, explosif, fulgurant, fulminant, invincible, irrésistible et inimaginable, nous voilà en train d’organiser spontanément et simplement une rencontre particulière commune…
Le jour J, arrive, après beaucoup d’échanges téléphoniques et de tweet qui font s’agiter l’Internet, Caroline et Éric semblent très excités.
Éric est tout agité, je le vois. Il veut que tout se passe bien logistiquement parlant. La coordination avec Caroline se fait naturellement. Il faut dire qu’il a l’esprit pratique et est de bons conseils.
Nous avions convenu qu’Éric irait chercher les coquins, les réunirait dans le garage, pendant que Caroline et moi resterions dans le minuscule atelier attenant, attendant le GO de notre homme.
Nous entendons des voix masculines dans le garage, des rires. L’ambiance est détendue et bon . Caroline y voit un signe positif.
Moi : Est-ce qu’on doit entrer sans dire un mot et lancer les hostilités ou prendre un verre avec eux avant quand même ?
Caroline : Je ne sais pas comment Éric voit ça. C’est un point que nous n’avons pas évoqué.
Excitation, mon corps est en ébullition, je ressens une certaine tension avec un petit nœud à mon ventre en nous imaginant entrer en scène.
Quand je sais que plusieurs hommes sont réunis pour moi et pour Caroline ce jour-là, je me demande si je vais être à la hauteur de leurs espérances, de la « réputation » de Caroline qui est aguerrie à la pratique et du plaisir attendu.
Vous devez vous demander : Ce n’est pas possible !!!
Sandrine l’amoureuse de Caroline doute ?
Vous devez savoir que depuis que je suis petite, enfin dans mon enfance et adolescence, j’étais une timide maladive, limite complexée.
J’étais la fille discrète, bonne élève, lisse, qu’on n’entend pas.
Étonnement, devenue adulte et ayant dépassé ma timidité, je remarque qu’on me pousse souvent au centre de la scène que ce soit au niveau professionnel ou familiale, quand j’occupe l’espace, cela évite à d’autres de le faire et on dit que je fais ça plutôt bien.
Mais depuis que j’ai rencontré Caroline et Éric, c’est encore différent.
J’ai encore évolué et appris à apprivoiser le feu des projecteurs.
Mais une apparente aisance ne veut pas dire confiance en soi infaillible.
Voilà, vous me connaissez un peu mieux maintenant.
Bref, nous n’avons pas le temps de peaufiner les détails, la tenue est des plus légères.
Des bas à jarretière dentelle raffinée, une nuisette transparente rouge et des escarpins à talons hauts aiguilles, que notre homme vient nous chercher.
Les coquins sont tous là, autour des deux matelas simplement positionnés au centre du garage.
Nous faisons le tour, Caroline et moi, pour leur faire la bise. Avec le recul, je pense que nous aurions dû leur faire une pipe d’accueil plutôt qu’une bise.
L’idée est à garder pour une prochaine fois. Puis nous prenons possession de notre matelas attitré et je me laisse aller aux sollicitations et assauts vigoureux de ces messieurs. Presque naturellement, poussée par l’excitation.
Éric immortalise le gang bang en filmant et prenant des photos. Ces vidéos et photos sont uniquement à usage personnel. Éric me rassure donc.
Concernant Éric, il faut quand même vous préciser qu’il regarde souvent, dès qu’il en a la possibilité discrètement, nos photos et nos vidéos.
Souvent, beaucoup plus souvent que vous ne pouvez imaginer, c’est une confidence de Caroline.
A peine rentrés à l’appartement, il a d’ailleurs tenu à nous montrer tout ça sur un grand écran TV de l’appartement de ma tante.
Voir mes « performances » et celles de Caroline sur un grand écran m’a donné des points de vue que je n’ai jamais, ment.
Et nous nous sommes lancés dans un long débriefing, plus complet et posé que ceux que l’on peut faire à chaud.
Et du coup, petite constatation : au-delà du côté rigolo de baiser sur un matelas à même le sol, avec les vélos et les planches à voiles en toile de fond, ce gang bang ne manquait pas de rythme, c’était mon premier tout de même.
Pour Caroline Il y avait, contrairement à d’autres gang bang qu’elle a pu vivre par ailleurs, des petits mais voyants moments de « flottement ».
La chaleur, étouffante, malgré le ventilateur, y était certainement pour beaucoup.
En conclusion :
- Mon « amoureuse » Caroline peut revendiquer sans rougir son côté candauliste et j’aime ça lui donner du plaisir mental et m’en donne aussi beaucoup.
- Les coquins étaient top et dans l’esprit. Les discussions avec eux après le gang bang l’ont confirmé.
- Le prochain gang bang, et oui, j’en veux d’autres et je vais en avoir beaucoup, je le veux bestial. Une mention spéciale dans le briefing de départ sera ajoutée et j’essaierai de me montrer encore plus expressive, chienne, plus salope encore.
J’espère que Caroline va écrire les récits des nombreux gang-bang qui ont suivis. Je pense avoir été à la hauteur de ma « Maitresse ».
- Nous nous sommes parfaitement entendus avec Caroline et Éric et cela dure depuis dix ans.
Je peux vous annoncer que je suis rentrée en France, pour venir m’installer à Bordeaux professionnellement !!!
Je me suis donc m’installée dans la grande maison de Charente-Maritime de Caroline et Éric, depuis plus de dix ans nous poursuivons la lente édification de notre relation triangulaire. La confiance et le respect sont présents depuis toujours.
Caroline et moi avons développé une vraie relation d’amitié et d’amour. Je n’y aurais jamais cru, mais l’équilibre à trois est réellement possible: parce que personne ne tire la couverture à soi, parce que chacun conserve son indépendance, tout cela fonctionne comme sur des roulettes depuis dix ans, en dépit du possible déséquilibre causé par la relation à distance qui nous unissait jusqu’à présent, étant à Munich.
Nous formons dorénavant un « Trouple », même si je n’apprécie pas ce mot. Un ménage à trois, si vous voulez, mais je préfère une triade, oui, c’est cela, nous sommes une triade.
Bises à vous…Sandrine.

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