Soumi À Deux Papys Gays.
Suite à un pari stupide,soumis à deux papys gays.
Dans mon petit village, où deux papys gays,comme moi , Francois et André faisaient de l'élevage de vaches laitières, il n'était pas rare de se donner un coup de main. Ne sachant que faire pendant mes quelques jours de repos, où je commençais à tourner en rond, en cette belle journée d'été chaude, je me suis proposé de les aider dans leur besogne.
Ils ont accepté avec un grand sourire, et je les ai suivi dans l'étable où nous avons évacué le foin sale, et étalé le nouveau. Pendant la conversation, que nous avons noué pendant ces deux heures de travail, ils m'ont expliqué le fonctionnement détaillé de leur travail. Je regardais les barres amovibles qui permettaient de retenir la tête des vaches et leur dit stupidement, heureusement qu'on a une tête plus petite pour ne pas rester coincé. La dessus, ils se mirent à rire et me dirent que ce seraient pareil. Ne les croyant pas, je voulu tenter un pari. François me dit, si tu reste coincé, on te rase la boule. Moi, bêtement, c'est peu, vous me rasez en intégral sur place, et je suis votre chose pour la nuit complète, sachant que vous êtes gays, avec un peu d'imprévu pour moi, sans être trop hard.
Par contre, si je gagne, vous me payez le meilleur repas du restaurant qui est à deux kilomètres. André tout sourire me dit, ok passe du côté du foin et passe ta tête. Ce que je fis sans appréhension. Il fit coulisser basculer les barres et verrouilla. Maintenant retire donc ta petite tête de linotte. Ce que je voulus faire, mais en vain, j'étais bel et bien coincé. Ils se mirent à rire de mes gesticulations. J' avouais à mon grand regret, que je ne pouvais pas retirer ma tête. Ils étaient hilares. Bon mon petit gars, ton corps étant à cet instant à notre disposition, nous allons te faire subir des petites humiliations. A commencer par celle-ci, tu reste pour l'instant entre ces barres pour ce début dinitiation.
François revint avec un seau, il retira le tabouret,mis en place le celui-ci,me fit asseoir dessus et dégonfla le plug, je me vidais dans ce seau. Je reviens plus tard reste dessus le temps de vider tranquillement les derniers restes.
Je sentais pendant qu'il était parti, ces nouvelles sensations sentir le moindre courant d'air passer sur tout
mon corps. Ils revinrent en fin soirée,nu. André me demanda d'écarter les jambes, et elles furent attachés aux barreaux, pareils pour les mains. François me présenta sa bite que de dus lécher en partant des boules, puis sucer en étant tenu par les oreilles. Je sentis soudain un gel froid se poser sur ma raie, puis un doigt me doigter le trou. Je reçu une baffe,car dans ma surprise j'avais arrêté de sucer. je repris de plus belle.
François dit c'est bon elle est bien raide, je te laisse la place, il s'étouffe un peu, mais suce bien. Je m'étouffais, normal, papys certes, mais bien montés. André me présenta la sienne pendant que François me titillait la rondelle et me pénétra. Je confirme bien monté, je senti la douleur de cette pénétration brutale.
Mais il était fair-play, il attendit un peu à de commencer à me ramoner. Il s'activa doucement puis il attaqua ensuite son rythme de croisière. Moi j'avais beaucoup de mal à sucer, avec ces coups de butoirs,cette douleur de départ qui se transformait en vague de plaisir, je sentais ses burnes me taper les fesses. Je sentis ensuite un liquide chaud me remplir, il resta un peu en moi et se retira. Il dit à André, j'aime son petit cul serré comme il faut. André prit sa place sans ménagement puisque j'étais ouvert et lubrifié. François se fit nettoyer la bite et je dus lécher et sucer le temps du ramonage. Ils inversèrent chacun encore une fois, dans la nuit maintenant tombée depuis un moment.Ils allèrent se rhabiller, firent rentrer les vaches,et vinrent me chercher pour la suite de mon programme. Je fus libéré, puis attaché par les poignets bras en l'air sur un palan, au milieu de l'étable, les jambes attachés tenues écartées par un manche à balai, des pinces à tétons me furent posés avec chacune une chaînette avec une longue bille lestée.
Ils m'emmenèrent à l'intérieur de la maison boire un café,moi debout car mes fesses disaient non, pour me réconforter et nous discutâmes. je leur dis malgré le côté humiliant du départ et les imprévus auxquelles je ne m'attendaient pas, j'ai morflé, je le sais maintenant avec toute la retenue d'une première fois. Finalement j'ai aimé et sommes promis de se revoir avec d'autres idées aussi piquantes. Mon café fini, je suis reparti nu dans la nuit, accomplir les huit cent mètres qui nous séparaient en appréciant la brise légère qui soufflait,jouant avec la sensibilité d'un corps réceptif dans ces moindres recoins.
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