La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 530)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°529) - Plaisirs nocturnes -
Très belle avec un corps sublime, à la poitrine généreuse et aux formes si sensuelles, Madame Ella sétait déshabillée et allongée totalement nue sur le lit, et contemplait cette avide fellation. Excitée, ses yeux pétillaient denvie, son époux lattrapa dans ses bras, la câlina avec une belle tendresse, la caressa doucement puis il lembrassa fougueusement à pleine bouche. Leurs langues se croisaient, sentrecroisaient, senroulaient. De temps à autre Monsieur CharlEd lui soufflait des mots doux, il laimait, la désirait, il voulait la voir et lentendre jouir, alors il lembrassait de nouveau, goulûment, gloutonnement afin de lexciter encore plus. Quant à soumis Endymion MDE, lui, ne sinquiétait pas vraiment deux, trop préoccuper à téter cette solide queue, avec un plaisir avide et un objectif précis : faire jouir au plus vite, Monsieur le Vicomte dEvans, neveu du Maître Vénéré, pour pouvoir gouter à cette divine semence quil espérait tant ! Monsieur CharlEd se laissait pomper, écartait les cuisses, dévoilait ses testicules gonflées par le désir. Mais soudainement soumis Endymion MDE fut repoussé du pied dans son flanc droit, ce qui le fit sursauter et lâcher prise.
- Dégage chien, je nai plus besoin de toi, tu te couches aux pieds du lit, et surtout ne tamuses pas à te toucher !
Lesclave MDE dépité, tête baissée quitta le lit et sinstalla en position ftale, là où on lui avait dit dêtre, par terre. Il serra les jambes, et positionna ces grosses couilles derrière ses cuisses fermées. Il bandait fort, avec une puissante envie de se branler, de se soulager par une éjaculation qui lui viderait ses couilles de chien, mais obéissant il resta dans la frustration et la résignation. A ces côtés, sur le lit, ce nétaient que gémissements et douces complaintes quil entendait, parfois un petit cri plus aigu sortait de la bouche de Madame Ella.
- Vas-y ma chérie, encore, oooh oui
que cest bon, comme tu bouges bien
je vais
tu me fais
ouiiii
je jouis mon amour !
Au même moment, Madame Ella se laissait submerger, elle poussa des râles puissants qui ne laissaient aucun doute sur son violent orgasme. Elle jouissait en étalant sans pudeur sa libido, son plaisir et sa suprême délectation.
Le calme était revenu dans le lit, les deux jeunes époux, se tenaient serrés lun contre lautre, main dans la main, doigts entrecroisés
La quiétude après lextase ! Tous deux avaient besoin de reprendre leur souffle et leurs esprits. Le calme après la tempête, le silence interrompu parfois par quelques longs soupirs, le repos des guerriers ; si bien que soumis Endymion MDE, bien quinstallé inconfortablement, perdit lesprit.
- Le Chien, aux pieds !
soumis Endymion MDE avait bien entendu ces mots, mais il ne bougea pas. Il pensait rêver. Ce nétait quà la deuxième injonction quil se rendit compte quil ne sagissait point dun rêve mais bien de la réalité. A quatre pattes, il monta sur le lit. Monsieur le Vicomte lui attrapa violemment une oreille et lui asséna une terrible gifle.
- Sache chien, que je naime pas me répéter. Tu seras puni sévèrement demain matin.
Une nouvelle claque tomba sur sa joue gauche, soumis Endymion MDE présenta ses plus humbles et ses plus serviles excuses.
- Nettoie chien, gave-toi de ces sécrétions et de mon sperme, et avale tout !
Les deux claques avaient sorti le chien soumis MDE de sa somnolence, il glissa sa langue entre les lèvres intimes de Madame. Il plaqua sa bouche contre ce sexe trempée, le ventousa, puis aspira, lécha et avala ces secrétions intimes, cette cyprine mêlée de sperme. Sa langue shasardait plus profondément, lapait encore et toujours, fouillait cette cavité, rentrait en contact avec ce petit bouton rose qui sous ces impacts se tendit rapidement, comme tous les muscles de Madame Ella. Un nouveau flot de cyprine se mit à couler abondamment dans la bouche de lesclave MDE. Madame la Vicomtesse, se mit à gémir, elle écarta un peu plus les cuisses, cambra ses reins, respira, souffla et haleta longuement, de ses mains elle plaqua fortement la tête de lesclave MDE contre sa chatte
- Vas-tu jouir ma chérie ?
- Oh, ah
Oh
Yes, I think so !
- Vas y laisse toi aller, prends ton pied ma douce, que ce bâtard te donne du plaisir
après tout, ce chien nest bon quà ça, donner du plaisir aux Maîtresses et Maîtres
!
Puis sur un autre ton, beaucoup plus sévère, Monsieur CharlEd sadressa au chien soumis MDE.
- Et toi la salope, ne tavise pas à tarrêter en si bon chemin, fais jouir Madame !
Et Madame Ella sabandonna une seconde fois, elle poussa ce petit cri si caractéristique, chez elle, ces muscles tendus saffaissèrent soudainement. Elle jouissait bruyamment dans le visage du chien soumis... Repue, sa soif de sexe étanchée, elle repoussa sans un mot la tête de soumis Endymion MDE et serra les jambes. Alors, Monsieur Charles-Edouard attrapa le chien soumis par son collier, le fit sortir du lit, lui lia les poignets dans le dos, le fit coucher aux pieds du lit, lui attacha les pieds, relia dans son dos, pieds et mains par un cordage assez courts et sur un ton Dominant et laconique, il sadressa à lesclave MDE :
- Bonne nuit le chien !
- Sil vous plait Monsieur ! Sautorisa soumis Endymion MDE
- Quy a-t-il le chien ?
- Pouvez-vous me passer les couilles entre mes cuisses Monsieur !
- Quà cela ne tienne !
Monsieur Charles Edouard attrapa le volumineux paquet de lesclave MDE, le tira vers larrière et le coinça entre ses jambes.
- Merci Monsieur, bonne nuit Madame, bonne nuit Monsieur.
- Bonne nuit chien !
Monsieur le Vicomte dEvans posa une simple couverture sur le dos de soumis Endymion MDE, puis se coucha rapidement. Tous trois sendormirent rapidement
En cours de nuit, le chien MDE fut subitement réveillé manu militari par Monsieur CharlEd. Sans un mot, il le détacha, le fit se lever sans bruit et lentraina dans une petite pièce jouxtant la chambre. Ses poignets et chevilles furent enserrés dans des bracelets en cuir, puis lesclave mâle fut allongé sur une table de travail. Ses membres furent étirés en croix afin que ses cuisses soient parfaitement ouvertes et à la portée du Dominant. Monsieur CharlEd commença par flageller soumis Endymion MDE. Le martinet sabattait sur son corps en extension. Monsieur le Vicomte voulait que ses chairs soient très sensibles et que les frappes régulières le fassent bander. Le corps du chien soumis MDE tressaillait sous les cinglées, rougissait et se couvrait de stries régulières
Et le résultat escompté par Monsieur le Vicomte se réalisa : la nouille du chien soumis sérigea, se redressa, arbora une fière turgescence. Les lanières du martinet continuèrent de sabattre jusquà ce que Monsieur CharlEd jugea la couleur de la peau de lesclave correcte. Il étira alors de ses doigts les tétons du mâle, lui arrachant des petits cris.
- Tiens-toi tranquille ! lui dit Monsieur le Vicomte posément et sobrement.
Alors soumis Endymion MDE se tut, il se contenta de gonfler la poitrine devenue pourpre sous la douleur. Monsieur CharlEd pris alors deux aspirateurs à tétons, les plaça sur ses aréoles. Au moyen dune pompe, il fit le vide. Ses bouts emplissaient rapidement les tubes en verre, alors Monsieur CharlEd tira sur le piston et commença des élongations successives entrainant des souffrances dans toute la poitrine du chien soumis MDE, faisant gonfler et crisper son torse mais un peu plus aussi sa queue !
- Chien, Je veux que tes tétons deviennent plus gros et plus long ! Se contenta de dire Monsieur le Vicomte.
Manifestement Monsieur CharlEd était ravi, le bruit de succion et la vue des tétons qui avaient désormais doublé de volume lexcitait, il bandait lui aussi. Il retira alors les embouts et profita, par des pincements plus ou moins durs, des nouvelles dimensions des bouts du chien soumis MDE. Alors il orna la poitrine et les seins de soumis Endymion MDE de pinces à linge colorées et sattaqua de nouveau à ses bouts. Muni dune pince, il les étira encore longtemps, très longtemps
puis plaça une petite clochette au bout de chacune des pinces. La bite du mâle ayant quelque peu ramollie, Monsieur le Vicomte décida de soccuper delle. Là encore, il prit une pompe à queue la plaça sur son chibre et actionna le piston. La nouille du chien soumis MDE aspirée se redressait inexorablement. La jouissive répété des étirements fit gémir soumis Endymion MDE qui prenait un incroyable plaisir dêtre ainsi cuisiné. Il se tordait dans ses liens autant de douleurs que dexcitation, essayait un mouvement de fuite, en vain ! Monsieur le Vicomte ne se préoccupait guère des soubresauts du chien soumis MDE, il actionnait encore le piston pour faire gonfler ce sexe prisonnier dans ce tube de verre, il voulait voir cette queue aspirée remplir totalement ce réceptacle, et il y parvient à force de patience ! Il laissa, soumis Endymion MDE ainsi quelques minutes, le regardant sans rien dire, lui glissant deux doigts dans la bouche, puis un troisième et un quatrième. Le chien soumis MDE bavait, salivait, à presque sen . Monsieur CharlEd libéra enfin la queue du chien soumis de ce tube en verre, elle était en pleine érection, elle suintait, goutait, dégoulinait même. Toujours sans un mot, Monsieur CharlEd alors, posa une large pince à la base de la nouille du chien soumis pour conserver cette nouvelle extension de sa bite.
- Cest ainsi que je veux que tu sois chien, en permanence bien ouvert, bien lubrifié et tous tes organes développés. Si je devais constater que mes exercices et traitement ne donnaient pas le résultat voulu, tu serais alors puni et le travail serait doublé. Je considérerais que tu fais de la résistance. Ton corps doit devenir un parfait terrain de jeu ainsi quun objet pour me divertir !
Il écarta alors lanus du chien soumis afin dinvestir sans ménagement cet orifice à sa portée. Il enfonça au plus loin deux doigts, fouilla le cul du chien soumis MDE au plus profond afin quil comprenne quil le possédait et quil nétait quune chose réactive. Lesclave MDE était dans lextase et le bonheur absolu. Il se sentait un simple objet sexuel, et ça le rendait si heureux, un bonheur incroyable, dêtre cela, juste un trou, un trou pour le plaisir des Dominants. Son masochisme, sa soumission, sa condition desclave lui procuraient un épanouissement inouï
Au bout dun moment, il fut alors libéré de toutes les pinces que Monsieur le Vicomte lui avait posées et resta immobilisé sur cette table, étiré et contraint pour finir sa nuit ainsi
.
(A suivre
)
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