Une Aventure Érotique : Soumise
Jaime être soumise aux hommes, je ne saurai pas expliquer les raisons ou les causes de ce vice mais je ne peu concevoir lacte charnel sans me sentir sous lemprise de lhomme avec qui je copule !
Depuis toute jeune et mes premiers émois, jai toujours été attirée par les mecs virils et machos, les minets, très peu pour moi ! Par contre lacceptation de ma part de ce côté SM ne sest faite que petit à petit. Jétais, vers 18 ans, comme la plupart des filles de mon âge, bercée par des rêves un peu « fleur bleue ». Jattendais le prince charmant, seulement, moi, il nétait pas blond, imberbe et filiforme
Il était plutôt bien brun, musclé et assez poilu !
Ma première fois avec un mec cest passé avec un petit ami doux et prévenant, je nai rien à lui reprocher, il a été vraiment sympa et a tout fait pour que cela se passe bien. Par contre je nai pas vraiment ressentis dorgasme, du moins pas tel quon en rêve, jétais juste bien avec lui et heureuse dêtre devenue une femme.
Jai eu, par la suite, différents petits amis qui me plaisaient mais aucun ne sus mamener au 7° ciel ! Je les prenais pourtant tous bien virils !
A lâge de 20 ans, alors que jallais à la Fac, je perdis mes dernières rondeurs dadolescente pour devenir une jeune et jolie femme. Blonde, les yeux bleus, des jolis seins ni trop petits ni trop gros, un petit cul rebondis et de longues jambes faisaient que je plaisais (et à 30 ans je plais toujours !!!) beaucoup aux hommes.
Je pris conscience dun fait nouveau à cette époque là, cest que je prenais plaisir aux regards des hommes un peu « goujats » sur les bords ! En effet, sur le chemin de la fac, il y avait un chantier où travaillaient des ouvriers. Chaque matin quand je passais prêt deux, ils me sifflaient et mapostrophaient. Elevée par un mère « ex-soixante-huitarde » et féministe, ce genre de façon de faire, je lavais toujours condamnée
Jusquau jour où cela mest arrivée ! Car malgré moi, jétais excitée par ces sifflets et termes grossiers à mon égard.
Au fil des jours jai ralentis ma marche pour profiter plus longtemps de la sensation de leurs regards posés sur moi. Puis je me suis habillée de façon plus provoquant : jupes plus courtes, hauts plus échancrés, vêtements plus prêts du corps
Jai fini par leur sourire carrément, leur décochant même des petits clins doeils qui voulaient tout dire !
Ce qui devait arriver arriva : un jour, deux de ces ouvriers me suivirent dans la rue et voulurent me payer un pot. Jai refusé, mais ils ont insistés et mont suivis jusque chez moi
Jétais apeurée mais aussi excitée
Et là, au lieu dentrer dans mon appartement et de leur fermer la porte au nez, jai fait la chose la plus folle de ma vie de jeune et jolie fille : je suis rentrée chez moi sans dire un mot mais ai laissé la porte entre ouverte
Les deux ouvriers sont bien sur entrés, heureux de laubaine !
« Alors comme ça la petite bourgeoise fait la sainte ni touche, elle nous allume mais refuse notre invitation, elle nous fuit dans la rue mais laisse la porte de son appartement ouverte
»
Dis le premier, un homme dune quarantaine dannée au visage buriné par le soleil et sûrement dorigine espagnole ou portugaise.
Nen menant pas large et regrettant davoir eu se geste un peu fou je leur répondis :
« Sortez, laissez moi tranquille, je nai pas fait exprès de ne pas fermer
»
« Mais bien sur ! Tu te fais suivre pas deux mecs dans la rue et tu oublies de fermer ta porte ! ! ! » Répond le second, un Magrebin dà peu près mon âge.
« Sortez où je cris ».
« Voyons ma jolie, tu ne veux donc pas profiter de la chance que tu as que davoir deux grosses et jolies queues à ta disposition ? »
Tout en disant cela, libère avait sorti de son pantalon une verge bien grosse, large et tendue dune façon extrême
Abasourdie, je restais pétrifiée sur place devant un tel engin.
« Tiens viens tâter de la marchandise ! Je suis sûr que tes petits copains nen nont pas de si jolies »
Ma tête me tournait sous lexcitation et la tentions, mon bas ventre me brûlait et ma culotte était trempée de désir
Le beur derrière moi, se collant derrière mon dos me dit :
« Allez petite salope, fait donc plaisir à mon copain Marco : prend sa pine en bouche et montre ce que tu sais faire ».
Me voyant hésitante, il pris ma tête et me força à me baisser au pied de son aîné.
« Je tai dis de le sucer
Et applique toi, une pute dans ton genre doit apprendre à donner du plaisir aux hommes
».
A quatre pâtes, je pris donc lénorme gland de Marco entre mes lèvres et commençais à le lécher et le sucer.
« Voilà, très bien, tu vois Habib que les petites cochonnes dans son genre ne sont pas farouches pour deux sous ! Il suffit de leur forcer un peu la main et on peut ensuite en faire ce que lon veut ! »
Ses paroles, humiliantes pour moi, me firent un effet électrisant. Tout mon corps à présent réclamait du plaisir
Mes dernières réticences psychologiques tombaient, jaillais moffrir à eux comme la dernière des putains !
Habib pendant que je suçais Marco, mavait soulevée la jupe et baissée ma culotte.
« La traînée ! Elle a la culotte complètement trempée ! »
Marco : « Met toi en position, je vais te rentrer la chatte »
Obéissante, je mexécute et lui présente ma chatte en position de levrette.
« Oh mais dans cette position, cest ton cul qui me donne envie ! »
Et sans me prévenir il me saisis par les hanches, crache dans mon petit trou et présente son gros pénis à lentrée de mon cul. Il commence à me forcer, ça me fait mal, je crie :
« Non sil vous plait, pas par là, je suis encore vierge, on ne ma jamais sodomisée, vous allez me faire trop mal avec votre grosse bite ! »
« Tu as raison connasse, il vaut mieux que ce soit Habib qui te déflore le cul, son sexe est moins large que le mien
»
Sur ce, Habib ce place à son tour derrière moi et me plante son pénis dans mon anus.
« Ola, Habib ! Tu es un rapide toi ! Fait toi nettoyer la bite par la petite, je vais la prendre en levrette ».
Et voilà que de nouveau on change de position. Jallais enfin recevoir la grosse pine de Marco dans ma chatte, jen avais énormément envie et quand celui-ci me rentra, cest mon corps tout entier qui fut pris dun frisson de bonheur. Puissant et endurant, il me lima en cadence. Minsultants tout les deux, je nécoutais pas vraiment leurs paroles ordurières, mais me sentir offerte et soumise à ces deux hommes mexcitait comme une folle. Je sentais monter en moi quelque chose de nouveau, quelque chose de fort
Mon premier véritable orgasme
Jai crié sous le choc, jai hurlé même. Jai moi aussi, malgré moi, commencée à sortir des mots salaces et cochons.
« Oh oui ! Oh ouiiiii, défoncez moi, faites de moi ce que vous voulez, je suis votre chose, votre chienne, votre objet
»
Voilà comment jai découvert mon goût pour la soumission. Ses deux hommes sont revenus chez moi, dabord chacun de leur côté ou tout les deux, puis accompagnés par des collègues à eux, ce manège a duré environ 3 ou quatre mois. Trois ou quatre mois pendant lesquels Marco a fini par réussir à me sodomiser ! Trois ou quatre mois où jai connu toute sortes de choses jusque là inconnues pour moi comme la double pénétration, les douches de sperme ou de pisse, la fessée, le bondage
Par la suite, tout mes amants furent des dominateurs, Je suis allée très loin dans ces jeux de soumission et désormais je peux dire que je sais ce qui me plait et ce qui ne me plait pas dans les relations SM.
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