Les Ancêtres De Patrick, Brigitte Et Henri Dévergondent Leur Tante, Elle Hurle Comme Une Folle Quand Il La Sodomise Avec Violence.

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

LES ANCÊTRES DE PATRICK
Brigitte et Henri dévergondent leur tante.

Quelques temps plus tard mon père accueillit notre tante qui venait passer quelques mois en France vu les événements en Algérie.

Julien recommanda à tous d'être prudents car elle n'était pas au courant des orgies qui se déroulaient dans cette maison.

Mais Henri qui en était aux premiers temps de sa passion amoureuse et doté d'un appétit sexuel féroce venait le plus souvent possible me rejoindre dans ma chambre et nous passions nos nuits à nous aimer, recommençant le matin avant de nous séparer.
Je n'ai jamais retrouvé un homme capable de tels exploits pouvant me coïter des heures durant.
Parfois mon beau-père et Jean venaient nous rejoindre et l'orgie était générale.
L'arrivée de notre tante chamboula nos habitudes et réduisit nos nuits de débauches.

Un matin, fatigué par une nuit exceptionnellement voluptueuse, Henri resta endormi dans mon lit.
On a à peine ouvert les yeux et déjà nos langues se joignent et nos mains explorent les trésors de nos corps respectifs, une odeur forte de nos ébats flotte dans l'air comme un aphrodisiaque, le meilleur de tous les parfums.
Je regard sa formidable bite à moitié bandée, le gland violet est énorme, je veux refaire connaissance avec ce pieu de chair dont je ne suis jamais rassasiée….

Il prend ma main et la pose sur son membre noueux, mes doigts n'en font pas le tour, je le branle lentement, la bête se redresse petit à petit.
Henri appuie doucement sur ma nuque, il a envie que je le suce, je ne refuse pas et me penche mais je ne peux avaler la totalité de son gourdin, je me laisse glisser entre ses cuisses, mes deux mains sur sa queue.
Il s’allonge les cuisses écartées, tenant sa queue monstrueuse en l’air, j’obéis à ma chatte qui réclame de la queue, je rampe lentement entre ses cuisses musclées, je m'arrête a hauteur de la hampe, je lèche depuis les couilles jusqu’au gland, puis je remonte encore, je la fais glisser entre mes seins, je frotte mes tétons sur le gland impatient de me pourfendre,
Il n’en peut plus, je le fait languir….



Enfin, je positionne ma chatte béante au dessus de cet obélisque, je le saisis et le frotte longuement sur ma vulve entrouverte, il donne de petits coups de reins pour m’inciter à m’empaler, je veux savourer l’instant ou il va m’ouvrir….

Mes lèvres intimes sont collées au gland violet, je descends d’un cran, le gland a disparut, il frotte déjà sur toutes les parties innervées de mon entrée secrète.
Je descends une nouvelle foi en ouvrant la bouche, l’effet est tellement surprenant que je pousse un cri, mon ventre est plein de ce phallus et je n’ai absorbé que la moitié de cette colonne puissante, qui donne des coups pour me pénétrer encore plus loin.

Henri râle de bien être, moi je glapie de bonheur et aussi d’appréhension, j’ai envie d’être défoncée par cette matraque, je cherche à m’asseoir sur ses cuisses mais je ne peux pas absorber la totalité de son engin.
Petit a petit, la chose entre en moi, elle coulisse de mieux en mieux, a chaque aller-retour un peu plus profondément, je me penche sur son torse, c’est lui qui fait le travail maintenant , ses coups de reins me soulève , la chose est remontée jusqu'à mon nombril en étirant ma gaine vaginale.
- Haaaaa, qu’elle est bonne ta chatte petite salope, je vais te la remplir de mon foutre, et te la faire exploser…..
- Ouiiiii, va y, baise moi encore, tu me fais du bien, décharge moi au font du ventre, fais-moi éclater la chatte….
Tout à coup, il met ses mains sur mes fesses pour m’empêcher de bouger, sa queue se cabre et devient encore plus dure.
Un premier jet percute mon utérus, puis de nombreux encore plus puissants gonflent mon ventre, çà déclenche chez moi une formidable jouissance, je le griffe involontairement, je retombe inerte sur lui, un long moment après la queue à peine ramollie glisse hors de ma chatte.

Soudain la porte s'ouvre et ma tante apparaît dans l'encadrement, fait un pas et pousse un cri d'horreur en nous apercevant étroitement enlacés et nus.

- Oh:… Mon Dieu, que vois-je?... Quel horreur!...

Et croyant sauver mon honneur elle se rue en avant, saisit Henri par le bras et le fait dégringoler du lit s'exclamant:
- Je suis scandalisée, comment avez-vous pu commettre un tel acte à une pure jeune fille?... Habillez-vous et sortez de cette chambre!... Oh mon Dieu mais vous avez un engin monstrueux, Brigitte ça a dû être affreux, combien tu as du souffrir!... Je vais de ce pas prévenir ton père.

Henri lui répond avec aplomb qu'il n'en fera rien et qu'elle n'a qu'à partir.
-Comment osez-vous me répondre ainsi! s'écrie t'elle, vilain garnement, sortez!...
- Pas si vilain que cela, ma chère tante!... Rétorque Henri. Regardez cette pauvre chose, comme elle a maintenant envie d'entrer en vous!

Ce disant, il exhibe à notre tante son magnifique engin de 24 cm dressé à l'horizontal.
- Oh! S’exclame-t-elle en regardant la chose de tous ses yeux.
Henri ne lui laisse pas le temps d'en dire d'avantage et la saisit par le bras pour la jeter sur le lit à coté de moi.
Elle veut se débattre mais je la retiens par les épaules tandis qu'Henri grimpe sur elle et pesant de tout son poids l'immobilise totalement.

La bête s'approche, toujours aussi grosse, grande, jolie, avec son capuchon qui lui recouvre le gland.
Je veux la voir se faire pénétrer par cette bite hors norme, alors je me mets à califourchon sur elle, les fesses vers son visage…
En un clin d'œil, il lui relève sa robe, arrache sa culotte d'une main preste et enfonce son pieu dilaté dans le sexe de ma tante.
Pas besoin de lubrifiant, elle est toute mouillée. Lentement, prenant tout son temps, il enfonce calmement la bête en elle ce qui prouve bien que notre tante a été surexcitée par la vision de notre couple dénudé et surtout par la vue de ce jonc vigoureux.

Elle crie et appelle au secours… mais en vain, personne ne vient. Eût-elle été entendue qu'elle n’en aurait été que plus abusée.

Voyant l'inutilité de ses efforts, elle s'adresse à moi pour que je raisonne mon cousin.
Brigitte, pourquoi ne dis-tu pas à Henri d'arrêter? Si tu l'aimes, comment peux-tu le laisser faire cela avec une autre?... C'est du viol, pire, de l'e!

Elle parait se débattre énormément, mais en réalité cela tourne au simulacre, le tortillement de son derrière et ses coups de rein qui accompagnent les pénétrations d'Henri ne font qu'enfoncer plus profondément la queue d'acier qui la fourrage à toute vitesse dans son vagin.
- Oh Brigitte, viens à mon aide!
- Ah non: Je lui réponds, je le laisse faire et ainsi vous ne pourrez plus aller vous plaindre!

Elle est atterrée par ma réponse et reste passive, mais tout à coup se met à pousser de grands cris de volupté, sa jouissance approchant.
Elle gémit et crie à chaque butée dans le fond de son vagin. Seule une femme peut jouir de cette douleur et de la réclamer par des mouvements de bassin.
- Ah! Mon Dieu! Murmure -t'elle, comment mon neveu peut me faire éprouver un plaisir si grand avec son membre si incroyable? Je n'ai jamais été si remplie et ressenti une telle extase avec tous les hommes que j'ai connus jusqu'à ce jour.

Elle se laisse faire et arrive à un orgasme foudroyant, ses étreintes intérieures broient le chibre majestueux et déclenchent une éjaculation phénoménale d'Henri qui se retire prestement de cette fournaise.
Il la couvre de sperme de la foufoune à ses cheveux laissant au passage de larges traînées sur son ventre et sa poitrine, de grosses taches blanchâtres couvrent toute sa robe.

Elle essaie de lui échapper et se retourne brusquement se retrouvant sur le ventre, mais elle le regrette aussitôt, Henri étant coutumier du fait n'a pas débandé après sa spectaculaire éjaculation et voyant se présenter le derrière de sa tante guide de sa main droite son phallus toujours aussi dur.

Il approche son gland de son trou du cul et d'un énorme coup de rein rentre presque entièrement sa grosse queue dans les boyaux de notre tante.
Un hurlement de louve sort de sa bouche, la violence de la pénétration de cette bite si épaisse et si longue a dû être hyper douloureuse dans son fion pas préparé, uniquement lubrifié par les sécrétions vaginales et le foutre qui enduisent son défonce-cul.
Je me suis mise derrière lui pour le voir l'enculer.
Je suis là, accroupie entre les jambes du violeur et je vois ses jolies fesses blanches avec son membre monstrueux s’enfonçant et écartelant la corolle brune de ma tante.
Ce qui m’excite le plus ce sont ses boules. Elles ressemblent à des balles de tennis et je veux les caresser, les masser, les soupeser pour sentir ce qu’il va lui déverser dans le fond de son cul.
Je prends ses couilles dans mes mains. Elles sont chaudes, molles et pleines.
Il ne dit rien et semble même content. Je m'enhardie et att son pieu.
Il me laisse faire, et signe qu’il apprécie et qu'il aime le contact de ma main et mes caresses, reste même un moment avant de le réintroduire dans son petit trou.
Çà y est! Il recommence à s’enfoncer. Je vois le trou du cul se distendre et son monstrueux bout avancer dans les entrailles.
- Aaahhh ! Non, ta bite est trop grosse ! …Je ne veux pas ! …J’ai trop mal ! …Tu me déchires le cul avec ton gros dard, salaud ! …
Notre tante sent la pression énorme sur son fion et crie encore plus sous la douleur ressentie, il s’arrête, lui caresse un peu les fesses, laissant à la douleur le temps de s’estomper et puis il pousse et enfonce dans une longue poussée son énorme sexe à fond tapant ses couilles sur son derrière.

Henri la coïte comme un fou pendant de nombreuses minutes avant de lui remplir les intestins d'une deuxième éjaculation aussi abondante que la première et se retire enfin.

Notre tante se met à pleurer ne sachant quelle contenance adopter et gronde Henri pour l'affreuse action qu'il vient de commettre mais ses yeux disent le contraire ne pouvant se détacher de ce sceptre encore dressé au bas-ventre d'Henri.

Je me rapproche et enfourne dans ma bouche son engin pour le nettoyer et l'amener encore une fois au septième ciel pendant que notre tante se rend un peu plus présentable et quitte la chambre, marchant en cannard sans quitter des yeux ce bijou qui l'a fait grimper aux rideaux.

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