Singapour - Partie 2

SINGAPOUR -2ième partie
Singapour était une ville très animée, même à cette époque-là, mais Éveline aimait cette ville bruyante qui la distrayait de sa plantation de riz isolée et silencieuse. Elle faisait l’aller-retour avec Farah entre l’hôtel et le marché, achetant tout ce qu’elles pouvaient ramener à l’hôtel. Une fois toutes les provisions achetées, dans quelques jours, elle allait demander à une compagnie de transport routier de tout rapporter à la plantation. Il faisait chaud et humide, et les deux femmes étaient en sueur d’avoir transporté des provisions, de l’équipement et des vêtements.
Nellie était plutôt en vacances et elle achetait de beaux vêtements, des bijoux et des livres. Éveline avait donné à Nellie le nom de son hôtel et le nom de la rue. L’hôtel de Nellie n’était pas très loin et les deux femmes bien sûr mouraient d’envie de se retrouver dans un endroit plus privé. Entre temps chacune avait trouvé le temps de terminer avec sa servante ce qu’elles avaient entrepris sur le bateau. Éveline avait commencé à jouer avec Farah alors que les deux femmes partageaient un grand bain dans leur chambre. Même si elles faisaient l’amour souvent, sur la route ou à la plantation, la rencontre sur le navire de Nellie et de sa servante Najwa avait excité Éveline d’une façon toute spéciale. Elle demanda à Farah de lui en dire plus au sujet de Najwa. Éveline suçait les tétons pointus de Farah alors que celle-ci lui décrivait comment elle avait rencontré Najwa quand la servante de Nellie avait rendu visite à sa tante qui travaillait pour Éveline dans les champs. Chacune approchant 20 ans, les deux filles avaient eu quelques aventures lesbiennes et toutes avaient été avec des femmes plus âgées, certaines beaucoup plus âgées. Éveline esquissa un sourire lorsque Farah mentionna la tante de Najwa car elle avait couché avec elle aussi. Najwa avait eu une maîtresse d’expérience. Pendant que Farah continuait le récit érotique, Éveline la transporta sur le lit couvert d’un matelas de feuilles.

La servante arrêta son récit lorsqu’elle sentit le clito d’Éveline frôler son tout petit bouton d’amour. Quelques minutes plus tard, les deux femmes atteignaient une belle jouissance, le cri de Farah étouffé par la bouche d’Éveline.
Nellie n’avait jamais couché avec Najwa et était encore un peu timide concernant ses tendances lesbiennes qui avaient été cachées si longtemps lorsqu’elle enseignait en France. Elle n’avait jamais touché aux filles à qui elle enseignait mais elle avait presque succombé à la tentation avec les autres enseignantes. À cette nouvelle école en Malaisie, ses étudiantes étaient plus vieilles qu’en France mais elle s’était tenue loin d’elles.
Sa seule aventure sexuelle avait été avec une autre enseignante qui était dans la soixantaine. Cette liaison n’avait pas duré longtemps, car des rumeurs commencèrent à circuler à l’école. En revanche, Nellie avait été satisfaite pleinement avec cette amoureuse plus âgée. Lorsque Nellie entra dans, la chambre d’hôtel qu’elle partageait avec Najwa, la servante était accroupie sur un pot de chambre et était en train de pisser. Au lieu de quitter la chambre, Nellie figea en regardant cette belle fille de 19 ans qui continuait à pisser. Najwa lui fit signe d’approcher et Nellie ne put refuser cette invitation.
Elle s’approcha de sa servante qui se leva de son perchoir, la chatte encore mouillée. Nellie s’agenouilla devant elle et lui lécha sa petite touffe poilue, goûtant bien le nectar doré que venais de produire la belle jeune femme. Quand elle eut terminé, Nellie enleva sa robe et toute nue elle enfourcha à son tour le pot de chambre et le gratifia d’une bonne pisse. Najwa l’observa avec désir. Aussitôt qu’elle eut terminé, elle se leva et Najwa, à son tour, brouta la pissette de sa maitresse qui balançait les hanches de plaisir.
Najwa lui fit un grand sourire. Nellie porta sa servante dans ses bras jusqu’au mince matelas couvrant le lit. Les deux femmes se glissèrent dans un 69 comme si c’était une position qu’elles prenaient à tous les jours.
Le son des deux femmes qui se suçaient noyait le bruit sourd du ventilateur de table. Nellie prit goût au nectar doré de Najwa. Ce ne fut plus une coïncidence si les deux femmes se retrouvaient souvent dans la même pièce, lorsque l’envie de pisser prenait à l’une ou à l’autre.
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Éveline avait envoyé Farah à l’hôtel de Nellie avec un message. Elle devait la rencontrer devant le marché aux fleurs à 21h. C’était aussi un moyen pour Éveline d’envoyer Farah visiter son amante Najwa et pour donner l’occasion à Nellie d’être seul. Elle savait que les deux servantes trouveraient un endroit privé et peut-être qu’elles pourraient rencontrer des amies pour des plaisirs saphiques. Éveline était plus jeune et était dans cette région depuis plus longtemps que Nellie. Elle avait aussi plusieurs contacts dans le milieu lesbien. Nellie avait été dans le placard longtemps et c’était une opportunité pour satisfaire ses fantasmes loin de toute personne qui pouvait la reconnaître.
Quand Éveline se présenta au lieu de rencontre à 21h, Nellie attendait depuis un certain temps. Elle ne connaissait pas bien la ville et voulait être certaine d’avoir trouvé le lieu de rendez-vous. Les deux femmes se firent la bise comme deux Françaises le font habituellement bien que les deux auraient préféré se mettre nues et faire l’amour si elles n’avaient pas été dans un endroit public. Les deux femmes portaient de ravissantes robes neuves, des souliers de cuir blancs et un chapeau de paille. L’une et l’autre étaient tout à fait nues sous leur robe.
“Je veux introduire ma langue jusqu’au fond de ton vagin”, chuchota Éveline à l’oreille de Nellie.
“Chutttt.”, répliqua Nellie en fronçant les sourcils, “Quelqu’un pourrait t’entendre”.
“Je serai silencieuse quand je le ferai”, ricana Éveline
“Sale gouine”, chuchota Nellie, “je voulais dire nous entendre sur la rue”.

“Je parie que tu veux lécher la raie de mes fesses”, persista Éveline, ignorant les protestations de Nellie.
“Je veux…crois-moi je veux…mais si tu continues à être bruyante, je vais le faire en pleine rue”, cria Nellie qui était de plus en plus excitée.
“Je suis certaine que ça attirerait des gens…et peut-être on pourrait passer le chapeau”, rigola Éveline qui était certaine que Nellie aurait un orgasme si elle lui touchait les seins.
Enfin les femmes arrivèrent devant un porche. Éveline, qui connaissait l’endroit, ouvrit la barrière et, prenant Nellie par le bras, se dirigea vers la porte d’entrée. Un serviteur mena les femmes jusque dans un salon très coloré. Il faisait plus frais à l’intérieur et les volets étaient fermés. Un Malaysien de l’âge de Nellie se présenta dans le salon et salua les deux femmes.
“Ma femme va se joindre à vous dans quelques minutes’, dit l’homme qui disparut.
Nellie n’avait aucune idée où elle était ou qui étaient ces gens, mais elle faisait confiance à Éveline. Elle se doutait aussi qu’elle et Éveline se taperaient une bonne baise avant la fin de la soirée.
“Ici c’est un lieu de perdition”, dit Éveline, “mais tu ne risques rien”
“Je te fais entièrement confiance”, dit Nellie avec un sourire
“Tu verras des femmes rencontrer des femmes mais je te préviens que tu verras aussi des hommes rencontrer des hommes”, dit Éveline à voix basse.
“Aussi longtemps que les hommes ne veulent pas me rencontrer, ça ira parfaitement”’, répondit Nellie en riant.

Une femme plus âgée avec une longue robe blanche et plusieurs colliers de perles descendit le grand escalier.
“Éveline”, s’écria-t-elle, “Ça fait trop longtemps”.
“Oui ça fait trop longtemps, Madame Brigitte”, répondit Éveline en riant.
Les deux femmes s’embrassèrent sur la bouche et en se touchant la langue, puis Éveline se tourna pour présenter Nellie.
“Je sais qui vous êtes….les nouvelles vont vite ici vous savez.
.et je suis très heureuse que vous soyez ici”, dit Madame Brigitte, en faisant plein de signes avec ses mains.
Madame Brigitte était née en Hollande et son père l’avait amenée à Singapour quand elle était . Elle avait grandi dans ce pays. Elle aimait autant les femmes que les hommes. Elle avait épousé un marchand local très riche qui aimait les hommes. Elle était aussi une voyeuse, ce qui est assez rare chez les femmes, au moins avec l’enthousiasme qu’elle y mettait. Même si elle avait presque 60 ans, elle faisait plus jeune et était assez jolie. Elle était aussi totalement immorale, lascive, à l’occasion cruelle et violente, et immensément riche.

Brigitte mena ses deux invitées à une chambre, qu’on pourrait appeler une chambre à coucher parce qu’il y avait un lit qui était fait de plusieurs grands morceaux de bois collés ensemble. Il n’avait qu’une dizaine de centimètres d’épaisseur et était posé directement sur le plancher sans pattes. Il était recouvert d’un matelas de la même épaisseur. Et bien entendu, le lit était rond. Il était entouré de plusieurs chaises de toutes sortes: des chaises dures, d’autres avec des coussins, et d’autres encore qui pouvaient accommoder deux ou trois personnes.
C’était une chambre pour voyeurs et des chaises de voyeurs.

“Vous pouvez baiser ici toutes les deux si vous voulez”, déclara Brigitte avec un grand sourire
“Bien entendu, je serai ici pour voir la scène, et je laisserai la porte ouverte pour que d’autres personnes puissent vous voir”, continua Brigitte sur le même ton que si elle décrivait les préparations à une noce.

“C’est très bien…merci Brigitte”, dit Éveline, qui regarda Nellie d’un air penaud, elle qui était sur un territoire complètement inconnu.
“En ce qui me concerne, c’est parfait”, dit Nellie, au grand soulagement d’Éveline.
Éveline baissa la fermeture éclair de sa robe et Nellie déboutonna la sienne. Brigitte s’écrasa sur une chaise longue, ses bras autour de ses jambes repliées, ce qui retroussa sa robe au point où on pouvait voir ses cuisses et une partie de son pubis poilu.
Éveline et Nellie étaient debout face à face à côté du lit et commencèrent à s’embrasser, les petits seins de la plus jeune enfonçant les melons mous de l’enseignante blonde. Elles partaient à froid, dans une chambre inconnue, et regardées par une femme plus âgée qui avait déjà commencé à se passer le doigt entre ses lèvres vaginales. Les deux lesbiennes se retrouvèrent sur le lit et Nellie prit l’initiative en écartant les jambes d’Éveline et en enfonçant sa tête entre les cuisses invitantes. Même si elle était une novice à comparer à Évelyne et à Brigitte, Nellie savait comment sucer une chatte et quelques minutes plus tard Éveline geignait, ouvrant encore ses jambes, et caressant les cheveux blonds de sa partenaire avec ses doigts.
Quelques minutes après le début de la séance entre les deux lesbiennes, un couple de femmes pénétrèrent dans la chambre et prirent possession d’une grande chaise, une s’asseyant sur les genoux de l’autre. Les deux étaient vêtues d’un costume traditionnel très voyant. Peu de temps après, une femme et un homme, les deux nus, vinrent s’asseoir sur un petit canapé et semblaient très intéressés par le spectacle lesbien.

Pendant ce temps, Nellie avait convaincu Éveline de se retourner et de se mettre à quatre pattes. La blonde écarta les belles fesses de sa partenaire et commença à lui lécher la raie des fesses. Brigitte se leva et s’agenouilla près du lit pour regarder, frottant sa chatte avec une main et se tripotant un sein avec l’autre.
“Elle est bien entrée là où elle voulait aller’, dit la femme assise sur les genoux de son amante.
“J’aimerais bien être celle qui se fait explorer le cul comme ça”, répondit l’autre
“Maintenant je suis jalouse”, s’écria l’autre
Nellie avait mis sa main entre les cuisses d’Éveline et frottait sa chatte pendant qu’elle lui léchait le cul. C’en était trop pour la jeune propriétaire de plantation qui cria son orgasme et couvrit la main de Nellie de cyprine. La femme qui était sur les genoux de l’autre fit un mouvement pour rejoindre Nellie mais elle fut retenue par Brigitte et par l’homme. Sa partenaire quitta la chambre en furie, pourchassée par sa l’amante fautive.
Éveline se remit de son orgasme et coinça Nellie sous elle sur le matelas. Elle commença par grignoter les grandes auréoles de ses gros tétons, puis elle descendit vers son ventre et atteignit son triangle de poils blonds. Éveline lui bouffa la chatte, pénétrant son vagin avec sa langue durcit et finalement prenant le clito tout entier de la blonde dans sa bouche et le suçant sans ménagement.
Le jeune couple ne manquait rien de l’action. L’homme était bandé comme un étalon.
“Mon mari aimerait beaucoup ça”, dit Brigitte à la femme, en montrant la queue de son mari du doigt.
“Il aimerait beaucoup glisser ça entre les fesses de votre mari”, répondit la femme avec un grand sourire.

À SUIVRE

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