Rencontre Pour Un Voyeur
En vacances seul en Auvergne, je prépare mon sac à dos pour une promenade matinal. Il faisait très beau ce matin-là, alors, jai remonté mon sac à dos, et je me suis mis à marcher dun bon pas. Une belle journée en perspective, seul, le calme, loin du bureau, de sa routine et de ses contraintes. Il est évident que cela demande quand même un minimum de forme physique, même pour une petite montagne comme lAuvergne.
Après avoir marché plus deux heures, jai décidé de faire une petite pause. Le petit déjeuner était encore loin mais je commençais à avoir un creux dans lestomac. Je me suis donc arrêté quand jai trouvé un endroit idéal pour me mettre un peu à lécart du sentier, jai tiré de mon sac quelques biscuits et ma gourde deau bien fraîche.
Cest alors que jai entendu un rire, un gloussement plutôt, celui dune femme. Juste après, une autre voix, de femme, une sorte de gémissement. Ma première réaction a été de me dire que javais croisé que deux randonneurs et voilà que par hasard, je minstallais dans un endroit déjà occupé ! Peu importe en fait puisque jallais repartir dans quelques minutes. Et dailleurs, la montagne est à tout le monde.
Quelques secondes plus tard, les petits cris et les rires ont recommencé, entrecoupés de paroles incompréhensibles, car jétais trop loin pour bien entendre. Mais ça navait rien de cris de détresse ou dappels au secours, je peux le garantir. Cétait, jen étais bien certain, ceux de deux femmes qui faisaient lamour !
Je pouvais cest vrais me sentir choqué et partir loin de ces créatures obscènes, en criant fort mon dégoût. Bon, ça nest pas mon genre ! Je pouvais aussi faire comme si de rien était, manger tranquillement mon casse-croûte et repartir. Pourquoi pas ? Mais je pouvais aussi tenter de jouer au voyeur et me régaler les yeux ! Un peu risqué si jétais découvert, mais tant pis, je reste.
Deux gouines en pleine action, cest un spectacle pas si courant.
Le bruit venait de derrière un rocher. Jai posé mon sac à dos et, en silence, je me suis doucement approché, soudain, là, à moins de vingt mètres de moi, je les ai vues. Deux femmes, nues comme au jour de leur naissance, allongées sur une couverture. Qui ne prenaient pas vraiment innocemment un bain de soleil ! Il y avait une blonde, à demi couchée sur une autre femme, très brune, qui lembrassait tout en lui caressant les seins. La brune avait la main sur le sexe de sa copine et en la caressant, elle lui tirait ces petits cris que javais entendus et qui mavaient attirés.
La blonde, environ, une trentaine dannées, avait une peau laiteuse. Elle était plutôt bien en chair, à mon gout du moins, jaime les femmes plutôt minces. La brune ! Tout à fait à mon gout, si seulement je pouvais lavoir dans mon lit. Elle était vraiment canon, surtout ses miches, bien fermes, juste la taille pour emplir la main, dun homme, des miches à peloter, à embrasser et à sucer pendant des heures ! Et son cul ! Deux globes quasi parfaits dignes dêtre embrassés, adorés et plus encore. Habituellement, je ne suis pas un fana de la sodomie, mais devant un cul pareil il faudrait être impuissant pour ne pas avoir envie de jouer avec.
Jai un instant de jalousie envers la blonde, car cest elle et pas moi qui faisait courir ses doigts sur les mamelons de la brune, soudain, les doigts furent remplacés par ses lèvres.
- Allez ! Mets-y deux doigts.
En moins de dix secondes javais des problèmes dans le caleçon, ma bite, durcissais comme une barre de fer.
Jai décidé de mapprocher pour mieux voir. Je faisais attention de ne pas marcher sur des branches qui auraient pu craquer et faire surprendre. La honte ! Je me suis arrêté quand jétais à moins de dix mètres. Là, jen ai pris plein les yeux !
- Écarte bien les jambes, dit la blonde à sa copine.
Elle sest penchée et a embrassé lintérieur des cuisses pour remonter jusque au clitoris, qui, je pense, devait être bien gonflé. Puis sest engagé entre elle, un petit jeu, la blonde demandant à lautre :
- Tu veux vraiment ?
- Oui, oui, vas-y. répond la brune.
La blonde qui taquinait sa copine en faisant semblant dhésiter et qui disait innocemment :
- Quest-ce que tu veux que je fasse ?
- Sil te plaît, mange-moi, jai trop envie ! répondait la brune dans un soupir.
Comme elle devait certainement trop faire durer les choses, la brune a attrapé sa tête et lui enfoncé sur sa vulve. Elle a poussé un petit cri, sa tête sest agitée furieusement, son cri est devenu plaintif et elle est partie dans un grand orgasme qui la faisait trembler comme une feuille.
Incroyable ! Javais du mal à me contenir et je triquais comme un fou, à tel point que ça me faisait mal. Jai commencé à me caresser le sexe à travers mon jean, mais ça nétait pas suffisant, et non seulement ça ne me satisfaisait pas mais et mon excitation continuait à augmenter.
Soudain, malgré moi jai fait craquer une branche sous mes pieds. La fille blonde a du entendre car elle a levé la tête. Je lai vue devenir toute rouge et elle a dit sa copine :
- Tas pas entendu ? Il y a du monde, jai entendu du bruit.
Je me suis fait tout petit derrière mon buisson, retenant ma respiration, attentif à rester parfaitement immobile. La tête dressée, elle aussi était immobile, aux aguets. Sa copine, certainement trop excitée pour avoir envie de sarrêter lui a dit quelque chose que je nai pas entendu et elle sest remise à jouer avec lautre. Celle-ci est restée encore tendue quelques secondes avant de se laisser aller aux douces caresses de sa copine. Ouf ! javais eu chaud !
Les deux femmes changèrent bientôt de position, et cétait au tour de la blonde de se faire manger la chatte. Ou jétais, légèrement de côté, je voyais parfaitement la langue de la brune qui ouvrait les lèvres et senfonçait. Puis la cochonne a donné de petits coups vifs de langue sur le clitoris avant dalterner dans le vagin et sur le clito. Au bout dune ou deux minutes, jentendais la femme qui geignait en continu, et les bruits de succion que faisait lautre, des bruits de mouille quand sa langue allait et venait dans la chatte de sa partenaire.
Je peux vous dire que des bruits comme ça cest encore plus excitant que le seul spectacle de ces deux gouines en chaleur. Du coup, ne tenant plus, jai ouvert le zip et tenté de sortir mon manche pour me donner du plaisir. Rien à faire, il était trop dur et je ne pouvais pas lextraire du jean trop serré. Jai dû me résoudre à déboucler ma ceinture et ouvrir le bouton. Je faisais attention de ne pas faire de bruit mais jai enfin pu tenir mon manche à la main. Le tout sans cesser dobserver mes deux belles cochonnes qui sactivaient ensemble.
Ma queue palpitait sous mes doigts et mes balles étaient dures et gonflées. Finalement, jai commencé à me masturber en regardant. Jallais lentement, dabord parce que je en voulais faire le moindre bruit mais surtout parce que je savais bien que je ne tiendrais pas longtemps avec ce que javais sous les yeux et je voulais faire durer le plus possible.
Je voyais la blonde qui remuait les hanches, les avançait au contact de la bouche de sa partenaire.
La brune na pas arrêté une seconde, continuant à la stimuler jusqueà ce quelle reprenne sa respiration et quelle revienne au calme après cette délicieuse tempête. Tempête pour elle et pour moi aussi, ma queue palpitait comme jamais et ma main allait de plus en plus vite. Jessayais de me contrôler, surtout ma respiration pour ne pas gémir mais cétait difficile. Et jai compris que javais dépassé le point de non- retour. Ca bouillonnait dans mes balles et ça a explosé au bout de la prune rougeâtre le sperme bouillant à giclé en longs jets, et jen avais plein les doigts.
Enfin les dernières gouttes de cette sauce chaude, et collante ont fini par sortir de mon sexe qui commençait déjà à débander. Jai secoué ces gouttes qui sont tombées du bout rouge, brillant de jus. Je me sentais faible et mes jambes avaient du mal à me porter. Jallais me laisser glisser sur le sol quand jai entendu les deux filles se lever, elles ont commencé à rassembler leurs affaires. La sieste semblait terminée.
Sale temps pour moi. Jétais derrière mon rocher, caché, mais le pantalon baissé autour des chevilles. Si elles revenaient vers le sentier en contournant le rocher, elles allaient tomber sur moi. Je me suis dit que pendant quelles shabilleraient, elles allaient faire du bruit, si peu que ce soit, et ça suffirait à couvrir ma retraite.
Le jean à moitié remonté, je suis reparti aussi silencieusement que possible. Je retenais même mon souffle, cest dire à quel point je faisais attention. Jai pu ainsi méloigner de quelques mètres et finir de boutonner mon jean et boucler la ceinture
Arrivé sur le sentier, je me suis assis sur une souche comme un honnête touriste qui se repose et jai attendu que les femmes sortent du bois. Ça na pas tardé, la brune en tête suivie de la blonde. Elle avait encore les joues toutes rouges à la suite de lorgasme quelle sétait payé. Comme cest lhabitude chez les randonneurs, je les ai saluées :
- Bonjour, je vous souhaite une bonne promenade.
- Merci, à vous aussi, » ma répondu la brune et la blonde ma gratifié dun joli sourire. Oui, une très bonne promenade, grâce à elles !
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