T.G.V.

Je m'ennuie en train. J'ai beau regarder le paysage, lire un journal, faire des mots croisés, rien n'y fait je m'y em….. Pour passer le temps, je vais souvent prendre ce qu'ils appelle un café. Qui a dit que le T.G.V. était le moyen d'abolir le temps. Un cinglé sans doute. Pourtant je n'ai pas trop à me plaire : en 1° classe il y a de la place. Lors d'un arrêt deux filles montent, Elles s'installent presque en face de moi. Pour s'asseoir, sans doute pour ne pas froisser leurs jupes elles les relèvent. Je peux apercevoir deux paire de fuseaux fort agréables à regarder: je ne m'en prive pas. Elles sont en grande conversation pour je ne sais quelle raison: ça ne me regarde pas du tout.
Je me replonge dans les mots croisés. Pour trouver une solution difficile, il m'arrive de lever la tête pour réfléchir. Je vois à ce moment là les deux filles se donner un baiser rapide sur les lèvres. Elles commencent à m'intéresser ces deux là. La dispute semble être terminée: elles murmurent des chose en riant comme des adolescentes.
Je me lève pour aller aux toilettes, en revenant elles s'embrassent sur la bouche, cette fois, c'est un vrai baiser. Ma présence ne les trouble pas du tout. Il me semble qu'elles jouent à m'exciter. A ce genre de jeu je suis perdant: je commence à bander sérieusement. Si j'avais su j'aurai été aux toilettes un peu plus tard pour me branler. Le baiser dure, elles ne s'arrêtent pas, ou plutôt elles passent au stade supérieur: la plus proche de moi passe une main sous la jupe de l'autre. Je vois les jambes s'écarter. Je remarque surtout le mouvement de la main posée sur le sexe de sa copine: elle la branle. L'autre ferme les yeux, et se cambre: j'entends son gémissement. En retour celle qui vient de jouir en fait autant à sa copine. Cette fois je peux voir les cuisses bien ouvertes, le sexe rasé, les lèvres gonflées et un peu de clitoris avant que les doigts de son amie n'arrivent sur le bouton. Je peux voir les vas et viens de la main.

Je remarque qu'elle aussi ferme les yeux: elle se cambre sans gémir. Elles s'embrassent encore une dernière fois.
J'ai affaire à deux adeptes de Lesbos, un peu exhibitionnistes.
Je me concentre sur ce que je fais pour débander. J'y arrive presque quand une des deux, une belle brune vient, en s'excusant, s'asseoir à mes cotés. Je la laisse faire. Elle engage la conversation: elle est seule dans la vie, elle a une seule amie et……….
Au fond elle bavarde pour ne rien dire. Sauf qu'au où je lui demande pourquoi elle vient de jouir avec son amie, elle me réponds en souriant qu'elle aime trop jouir. Si je veux d'elle, je peux en profiter, elle baisera avec moi avec plaisir: je lui plait beaucoup. Sans attendre de réponde elle pose sa main sur ma queue qui commence à reprendre sa forme de près à baiser. Elle me masse très bien. Je lui passe la mains sous la jupe pour arriver sa fente très accessible puisque bien rasée. Je trouve son clitoris que je branle. Son amie nous regarde faire surtout quand elle sort ma queue pour la branler. Elle vient sur mes genoux pour avoir sa vulve contre ma bite. Elle se la met elle-même. Nous nous embrassons pendant tout le temps d'une baise écourtée par son amie qui vient s'asseoir à son tour près de moi. Si un contrôleur passe, nous sommes bon pour un P.V. Elle veut mes lèvres que lui prête son amie. Pendant tout le temps que je passe dans le sexe de l'autre, elle se tient à peu près bien. Je n'ai pas pu jouir dans le brune: c'est la châtain clair qui me veut, pas là où vous pensez, dans le cul. Elle vient sur moi, écarte ses fesses, son amie lui mouille bien l'anus. Elle cherche ma pin un petit moment pour la mettre dans son anus. C'est une sacrée adepte de la sodomie. Je rentre en elle plus que facilement. Elle monte et descend le long de ma queue. Sa copine lui met deux doigts dans le vagin. L'enculée profite de ma queue et des doigts d'une autre fille, qui en plus se doigte également. Je ne peux pas jouir ainsi malmené. Je me lève, la bite en l'air, fait mettre à genoux celle que j'enculais sur un siège, lui caresse les fesses. Je descends mon pantalon, même si avec les chaussettes je dois avoir un drôle d'allure. Je m'en fout: je lui met d'un seul coup ma queue dans son cul. Elle râle un peu pour la forme, encaisse ensuite sans rien dire ma pénétration: je la lui mets à fond. Je la sens jouir. Je continue mes allers et venues. Je jouis enfin, en bénissant finalement le T.G.V.
Nous avons encore du temps avant d'arriver: la brune n'a pas eu ma pine pour jouir. Elle me vaut maintenant. Elle se met comme son amie en position à genoux sur son siège. Je ne sais ce qu'elle veut. Elle me prend la bite qui heureusement bande encore pour se la mettre au con. Si tout à l'heure j'avais affaire à une championne de la sodomie, cette fois j'au affaire à la championne de la baise. C'est pourtant moi qui suis sensé mener la danse: je la mène en effet un court instant: elle arrive à prendre le dessus. Elle se fout totalement de mon plaisir: elle ne baise que pour elle. Je ne suis qu'un gode articulé. Comme j'ai déjà jouit elle sait que je vais tenir le coup plus longtemps. Elle en profite un max.
Son amie est venue derrière le siège pour continuer à l'embrasser et la peloter. Enfin je jouis: elle en profite encore pour partir dans un dernier orgasme.
Les seules paroles des deux filles se résument à un seul mot: Merci.
Elles descendent à la station suivante