Marie Laure 1
Un beau jour, durant les vacance d'été, j'étais parti sur les bords de la méditerrannée en compagnie d'amis. Entre sorties à la plage, délires entre copains, virées en boîte de nuits, les vacance se passaient super bien.
Vint un jour, où nous rencontrâmes un groupe de filles de notre âge, sur la plage. Bien que toutes jolies et même sexy, l'une d'entre elle, qui se nommait Marie-Laure, se détachait clairement du lot : elle était de taille moyenne, les cheveux châtain, des yeux noisette, un visage plus qu'agréable, mais surtout, un corps de rêve : de belles jambes, une bouche pulpeuse, une taille fine, de sublimes fesses rondes et fermes, et surtout, une poitrine ultra-génreuse, du 95E au moins ! Ainsi, dans les jours qui suivirent notre rencontre avec ces charmantes demoiselles, une petite compétition vit le jour entre nous pour savoir qui aurait les faveurs de la plantureuse Marie Laure. Etant un peu plus malin que mes copains, j'eus l'idée de patienter, et de voir ce qu'il se passerait. Ainsi, je pus voir que dés le lendemain, mes amis dévoilèrent presque immédiatement leur jeu : certains d'entre eux passaient leur temps à suivre Marie Laure partout où elle allait comme des petits chiens, d'autres, riaient à toutes ses remarques plus ou moins drôles, d'autres enfin lui faisaient limite du rentre-dedans, la complimentant sans cesse sur son physique ou faisant des insinuations salaces.
Marie Laure aurait pu être agacée par ces tentatives de drague, mais elle semblait au contraire s'en amuser, faisant de ses soupirants ses chevaliers servants, sinon ses esclaves. Lorsque nous allions à la plage, elle faisait porter ses affaires à l'un d'eux, lorsque nous étions au restaurant, elle n'hésitait pas à se servir dans leur assiette, quand nous allions en boîte, elle se faisait offrir ses verres et bien d'autres choses encore.
Moi, j'observai tout ça avec amusement, m'émerveillant de voir cette bombe faire tourner en bourrique mes amis.
Rapidement, je vis que ma stratégie était payante : Marie Laure apparemment vexée que je ne succombe pas à son charme, se mit presque ouvertement à me draguer, flirtant avec moi, ne perdant jamais une occasion de me toucher, me lançant des regards quelque peu incendiares. Au bout de quelques jours, elle me demanda même de lui étaler de la crème solaire sur le dos, chose qu'elle n'avait jamais proposée à mes amis. Ainsi, je sentais que j'étais près du but...
J'en eus la confirmation un peu plus tard. Marie Laure, ses amies et mes potes étaient allés se baigner, et moi, resté sur la plage, je pris le portable de Marie Laure, et regardai dedans. Je pus alors lire des conversations SMS entre Marie Laure et une de ses amies, dans laquelle Marie Laure disait que je lui plaisais et qu'elle avait bien l'intention de me "faire craquer", et de me "choper". J'étais ravi : j'avais mené Marie Laure par le bout du nez, et résultat, elle était dingue de moi, et je n'avais même pas eu à la draguer, c'était elle qui me voulait ! J'étais on ne peut plus fier de moi, et je songeai amusé, qu'au final je m'étais comporté exactement comme Katherine, mon plan cul régulier : je voulais Marie Laure, et plutôt que de m'abaisser à lui courir après, j'avais joué avec elle, avec ses nerfs et ses envies, jusqu'à la rendre folle de moi, et n'avoir plus qu'à me pencher pour la cueillir, exactement comme Katherine l'aurait fait.
Après la plage, mes amis et moi allions déjeunner chez nous. Pendant le repas, se posa la question de ce qu'on ferait le soir venu. Décidé à narguer mes amis, je dis :
"Vous faîtes ce que vous voulez, mais moi, ce soir, je vais baiser Marie Laure."
Mes amis réagirent de manière très sceptique à cette annonce, mais je m'en fichais : ce qui comptait, c'était que j'allais le faire, pas qu'ils me croient. J'envoyais un SMS à Marie Laure, lui proposant de me rejoindre au bar du camping. Elle accepta presque immédiatement, et je souris : ce soir Marie Laure serait à moi.
On se rejoignit au bar vers 21h, Marie Laure était en avance, déjà assise au bar, c'était bon signe ! Nous passâmes deux bonnes heures au bar, dégustant un bon dîner, et buvant deux trois verres, tout en bavardant et plaisantant. Je parvenais parfaitement à masquer mon désir pour elle, mais Marie Laure en revanche n'arrivait visiblement pas à cahcer à quel point elle me voulait. Elle me dévorait du regard, riait à toutes mes blagues, en un mot semblait complètement conquise. Ravi, je lui proposais après le repas d'aller faire un tour sur la plage... Comme je l'espérais, elle était déserte...
Après avoir fait un petit tour, nous nous assîmes devant la mer, contemplant la lune. Je vis que Marie Laure avait retiré ses tongues, et ayant une soudaine inspirations, je lui dis :
"Tu devrais pas enlever tes tongues, quelqu'un pourrait te les piquer..."
"Et qui va me les piquer ? Y a personne ici..."
Je souris et lui pris ses tongues.
"Eh bien tu vois, moi je te les pique."
"Ok très drôle, rends les moi."
Je souris, et, après m'être levé, m'éloignai un peu de Marie Laure, me rapprochant de la mer. Je lui dis :
"T'as qu'à venir les chercher !"
La belle se leva, et tenta d'attr ses tongues, mais je les maintenais hors de sa portée, elle m'attrapa le bras et voulus les attr, mais nos jambes s'entre-mélêrent, et nous tombâmes sur le sable, moi en dessous, elle au dessus.
"T'es à moi Marie Laure, je t'ai conquise, et maintenant je n'ai plus qu'à te cueillir."
Elle me répondit alors d'un ton moqueur :
"Tu rêves ! C'est toi qui es à moi et qui n'as pas su me résister..."
Je souris : visiblement, l'avoir conquise ne suffisait pas à rabattre son arrogance, j'allais devoir lui donner une leçon... Je l'embrassai avec passion, lui faisant perdre le souffle, puis, je lui massai ses énormes seins, encore dissimulés par son débardeur, avec tellement d'entrain qu'elle poussa un gémissement. Puis un sourire narquois aux lèvres, je lui dis :
"Tu crois vraiment que c'est moi qui suis sous ton charme ? Eh bien dans ce cas, je vais te prouver que c'est bien l'inverse. Je m'en vais, je rentre à mon appart, et toi, comme une bonne chienne soumise, tu vas m'y rejoindre ce soir, et là je te baiserai si délicieusement que tu t'en souviendras encore dans 50 ans !"
Après quoi, je me levai, et la laissai comme ça, sur le sable haletante et bouillante de désir.
"Eh bien alors, qui est conquise ?"
Marie Laure frissonna, visiblement admettre sa défaite ne lui était pas facile, et ne devait pas lui arriver souvent, mais elle souffla :
"C'est moi admit elle."
"Bien dis je, ravi de te l'entendre dire."
Je l'attrapai par la ceinture de son jean, et l'embrassai passionément, la serrant par la taille, mes mains s'égarant vers ses fesses. J'embrassai ensuite son cou, puis son décolleté, et me réjouis d'entendre son souffle s'accélérer. Je l'entraînai ensuite dans la chambre, et la plaqua contre la porte, l'embrassant furieusement, massant ses énormes seins à travers son débardeur. Marie Laure me poussa, et je m'étalai sur le lit, elle me sourit et me dit :
"Admire mon corps, beau gosse."
La bombe retira son débardeur, puis son jean, et je sentis mon sexe se tendre au maximum, et plus encore, lorsqu'elle retira ses sous vêtements, et se retrouva nue devant moi. Emerveillé, je pus admirer son corps de rêve, et notamment son énorme poitrine, la plus grosse que je n'avais jamais vue ! La bombe vint sur moi, et m'embrassa délicieusement, puis, elle me retira mon T-shirt, et me lécha mes pectoraux, me faisant frissonner. Après quoi, elle me retira mon pantalon, puis mon caleçon, et siffla d'amiration, en découvrant mon sexe gonflé et tendu au maximum.
"Elle est bien grosse ! Dit Marie Laure avec un sourire gourmand"
"Eh bien tu peux la sucer, c'est permis !"
"Je suce jamais le premier soir, comme ça, je motive le mec à se donner à fond pour qu'il ait le droit un deuxième soir !"
"T'as pas besoin de me motiver tu sais, tu es tellement bonne, je vais te baiser toute la nuit jusqu'à ce que t'en oublies ton nom !"
Marie Laure me sourit, et vint sur moi, puis, attrapant mon sexe, elle s'empala dessus, poussant un gémissement de plaisir. Elle me regarda d'un air de défi et me dit :
"C'est moi qui vais te baiser !"
Elle entamma alors des vas et viens, d'abord lents, pour tester mes réactions et trouver son rythme, puis, elle augmenta le rythme, allant rapidement d'avant en arrière, ses énormes seins se balançant au rythme de ses vas et viens. Je sentis le plaisir monter en moi, et je frissonnai d'extase. Sentant qu'elle me faisait de l'effet, la belle accéléra encore le rythme de ses attaques, je m'accrochai aux draps comme si je craignais de décoller tant le plaisir était bon, et je me mis à gémir de plaisir. Marie Laure me sourit, fière d'elle, et me dit :
"Tu vois qu'est ce que je t'avais dit ? Tu es à moi !"
Elle me donna une gifle, pour enfoncer le clou, et afin de me faire perdre la tête, se mit à varier ses coups de reins, allant tantôt d'avant en arrière, tantôt de gauche à droite, me prenant ainsi à chaque fois au dépourvu, et m'arrachant des cris de plaisir.
"Tu te la pètes en dehors du lit, mais une fois dans la chambre, tu te fais mâter, je suis sûre que toutes les filles font de toi ce qu'elles veulent !"
Piqué au vif (d'autant que c'était parfois vrai), je voulus la renverser, mais elle me tint plaqué contre le matelas. Je cherchais à me redresser ou à la renverser, mais à chaque fois, elle me bloquait et maintenait en son pouvoir. Je finis par faire semblant de me laisser faire, en attendant mon heure... Ravie, Marie Laure accéléra encore le rythme, m'amenant aux portes du septième ciel se mettant elle aussi à gémir...
"Tu es mon jouet sexuel, je te baise et tu peux rien faire, c'est tellement bon ! Cria t elle."
"Plus pour longtemps ma belle ! Dis je."
Je lui attrapai les mains, et les lui mis dans le dos. Surprise, Marie Laure chercha à se dégager, mais je la tenais fermement. D'une main, je lui attrapai la nuque, et la forçai à s'allonger sur moi, avant de commencer à lui donner des coups de reins par en dessous : c'était toujours elle qui était au dessus, mais c'était moi qui dirigeais les choses. Je la renversai ensuite, et la regardai droit dans les yeux, ravi de voir qu'elle avait perdu de sa superbe... Je lui dis :
"Alors, maintenant qui va se faire baiser sauvagement à ton avis ?"
Et sans attendre d'inutile réponse, je me mis à la baiser avec passion en missionaire, allant et venant en elle à un rythme élevé, frémissant d'extase, me réjouissant de voir son visage tordu par le plaisir, et d'observer son magnifique corps balloté par mes coups de reins. Marie Laure m'attira contre elle, et m'embrassa furieusement, je lui rendis son baiser tout en poursuivant mes coups de riens, elle me murmura à l'oreille "c'est trop bon ce que tu me fais !", ravi d'entendre ça, je passai à la vitesse supérieure, et mis les jambes de Marie Laure sur mes épaules, et entrepris de la baiser en position de l'enclume, allant et venant à un rythme effréné, tout en lui massant les seins, lui arrachant des cris de plaisir de plus en plus fort. Elle s'aggripait à ma nuque, comme pour ne pas être emportée par la vague de plaisir qui nous submergeait, et je voyais son regard chavirer et devenir vague : le plaisir était entrain de lui faire perdre la tête. "Tu fais moins la maline pas vrai ?" lui dis je provocateur, en accélérant encore le rythme de mes attaques, et en lui tenant les mains plaquées contre le matelas. "T'es ma soumise, je te baise comme je veux ! Lui dis je pour enfoncer le clou", elle n'était pas vraiment en état de me répondre, sous mes coups de butoir, elle poussait de véritables hurlements, et tremblait de tous ses membres : l'orgasme était imminent, je lui la main au clito pour accélérer les choses, et elle explosa dans un puissant orgasme.
"Putain t'es vraiment un dieu au lit ! Souffla Marie Laure extasiée."
J'étais ravi : cette fille avait l'habitude que tous les mecs se plient à ses moindres désirs, mais moi, j'en avais ce que je voulais, l'avais ammenée dans mon lit sans difficulté, et là, l'avais baisée comme jamais elle ne l'avait été. Elle avait eu un orgasme, mais pas moi, et je décidai de jouir d'une façon qui achèverait de la remettre à sa place. Je me levai du lit, et lui dis en lui mettant mon sexe tout raide sous le nez :
"Suce moi ma belle !"
"Non. Je t'ai dit que je ne suce jamais le premier soir. Dit elle d'un ton ferme."
Je compris qu'elle avait envie de me sucer, mais qu'elle voulait garder le peu d'autorité et de dignitié qui lui restait. Je l'attrapai par le menton, et lui dis d'un ton froid :
"Je croyais pourtant que t'avais compris que tu n'as aucune autorité sur moi... Ici, c'est moi qui commande, je te dis de me sucer, alors suce, sinon tu risques de le regretter..."
"Ah oui, et qu'est ce que tu vas faire si je refuse ? Me dit Marie Laure d'un ton de défi."
"Je ne te baiserai plus... Répondis je. J'irai même baiser une de tes copines."
Marie Laure eut l'air déchirée en deux : d'un côté son désir, qui lui commandait de se plier à toutes mes envies, et de l'autre sa fierté qui lui interdisait de céder. Néanmoins, le désir l'emporta rapidement, et la belle capitula. Elle prit mon sexe, et le goba.
Marie Laure me prit en bouche, et entreprit une délicieuse fellation, allant et venant avec sa bouche, à grande vitesse, innondant mon sexe de salive, ne s'interrompant que pour me lécher de haut en bas, donnant de grands coups de langues sur mon gland me faisant frémir de plaisir. Tout en me suçant elle me regardait dans les yeux, et je compris qu'elle se sentait soumise de me sucer ainsi comme je le voulais. Je décidai de renforcer ce sentiment : je la pris par la nuque, et lui fis accélérer le rythme de la fellation allant à la vitesse que je voulais. Je lui baisais la bouche avec vigueur, traitant Marie Laure comme un vulgaire sex-toys, sentant le plaisir monter en moi en une vague irrépressible. Je dis à Marie Laure : "t'as l'habitude d'être traitée comme une princesse par tes mecs, pas vrai ? Moi je te traite comme une chienne, je me branle avec ta bouche, t'es mon objet sexuel !" Le plaisir devenait trop intense, et je finis par jouir à grands jets, d'abord dans sa bouche, puis sur son visage, l'innondant de ma semance. Marie Laure semblait sonnée elle me dit :
"Aucun mec ne m'a jamais traitée comme ça ! S'exclamma t elle."
"Hé ouais, je sais, avec moi, t'as trouvé ton maître. Lui répondis je ravi de l'avoir ainsi mâtée."
Ravi et épuisé, nous nous endormîmes paisiblement. Je fus réveillé quelques heures plus tard par des bruits dans la salle à manger : mes amis revenaient de boîte. Je jetai un coup d'oeil à Marie Laure : elle dormait toujours, mais elle était nue et me faisait terriblement envie. Je lui embrassai l'épaule, et la nuque, puis lui léchai l'oreille. Elle se réveilla et me dit :
"Qu'est ce que tu fais ?" "
"Tu es tellement bonne que je peux pas attendre jusqu'à demain maint pour te baiser, lui répondis je."
Elle entendit le bruit des voix dans la salle à manger et dit :
"Tes potes sont revenus, j'ai pas envie qu'ils nous entendent",
"Je m'en fous qu'ils nous entendent, et je m'en fous que ça te gêne, je te veux, je te prends, c'est tout."
Sur ce, je la retournai, et la mis sur le dos. Puis, je câlai mon sexe entre ses deux énormes seins, et entammai une délicieuse branlette espagnole, faisant coulisser mon sexe dans sa merveilleuse poitrine, frissonant de la tête aux pieds. Je me branlais ainsi pendant de longues et délicieuses minutes. Ensuite, je retournai Marie Laure, et la fis se mettre à quatre pattes, puis, je la pénétrai d'un coup sec, la prenant en levrette. Je me mis à aller et venir en elle à un rythme élevé, la limant avec passion admirant son magnifique fessier, rond et ferme à souhait, et ne me privant pas de lui claquer les fesses, ou à lui tirer les cheveux pour ajouter de la sauvagerie à la chose. Marie Laure prenait un pied énorme, mais cherchait à ses gémissements en mettant sa tête dans un oreiller. Implacable, je lui tirai les cheveux pour qu'elle sorte sa tête de l'oreiller, tout en accélérant encore le rythme, lui arrachant bien vite des gémissements de plaisir de plus en plus forts. J'étais ravi : tous mes amis devaient entendre cette bombe gémir et crier sous mes assauts, il savait ainsi que j'avais gagné notre petite compétition. "C'est bien, crie ma soumise ! Dis je à Marie Laure", la belle semblait n'en plus pouvoir, elle criait, se tordait de plaisir, tapait de manière incontrôlée le matelas. Sentant l'orgasme proche, j'accélérai encore le rythme et la puissance mes coups de reins, la belle se mit à crier : "stoop stooop c'est trop BON putain !" je sentis le plaisir monter brutalement en moi, comme une vague irrépressible, et je finis par avoir un orgasme dévastateur, en même temps que Marie Laure. Nous nous effondrâmes, épuisés et heureux, et nous assoupîmes rapidement.
Le lendemain, Marie Laure et moi prîmes notre petit déjeuner, sur la terrasse de notre appart. Nos amis nous rejoignirent, et je vis bien leur frustration lorsqu'ils virent Marie Laure : ils avaient sans doute entendu Marie Laure gémir cette nuit, et ne pouvaient ce matin que constater ma victoire dans la "course à Marie Laure"....
Après le petit déj, nous allâmes à la mer. Marie Laure était déjà habillée en bikini rose, et pendant tout le trajet en voiture je sentais le désir monter en moi à chaque fois que je la regardais... Marie Laure, elle, me jetait de fréquents petits coups d'oeil, ce qui ne m'étonnait pas, vu que je m'étais mis torse nu, en short de bain, et je compris qu'elle avait hâte que je la baise à nouveau... Une fois sur la plage, après avoir retrouvé les copines ses copines qui nous avaient rejoint, Marie Laure prétexta avoir oublié quelque chose dans la voiture, et y retourna, me demandant de l'accompagner... ravi à l'idée de me retrouver seule avec elle, je la suivis.
Une fois arrivés à la voiture, Marie Laure m'attrapa par le short, et me tira vers elle, avant de m'embrasser avec délice et passion, enroulant ses bras autour de mon cou. Je lui rendis son baiser, la tenant par les hanches. Laissant libre cours aux désirs qui m'assaillaient depuis ce matin, je poussai Marie Laure sur le capot de la voiture, et vins l'y embrasser avec force, collant mon corps contre le sien. Notre baiser devenait rapidement trop chaud pour que l'on continue ainsi sur le parking au vu de tous : il était temps pour nous d'aller dans la voiture, à l'abri des regards indiscrets. Entrainant Marie Laure avec moi, je rentrai dans la voiture, et m'installai sur la banquette arrière, la belle fermant la porte derrière nous. La chaleur était étouffante dans la voiture, mais bouillonants de désir comme nous étions, cela ne nous importait pas : certes, il faisait 35°c dehors, probablement 40°c voire plus dans la voiture, mais il faisait sans doute bien plus chaud dans nos corps. Nous reprîmes notre baiser, jouissant du plaisir de ne pouvoir être observés.
Trop impatient pour faire durer les préliminaires, j'allongeai Marie Laure sur la banquette, et lui retirait sa culotte de bain, avant de la pénétrer d'un coup sec, et d'entammer de délicieux vas et viens, la baisant avec intensité, frissonant de plaisir, la regardant dans les yeux, et me délectant d'y voir un plaisir intense. J'accélérai progressivemet le rythme de mes assauts, baisant son magnifique corps avec force, lui massant sa volumineuse poitrine, écoutant avec joie la sexy Marie Laure gémir sous eux. La belle enroula ses bras autour de mon cou, et se mit à me murmurer à l'oreille "c'est tellement bon ce que tu me fais, j'adore ça !" encouragé par ces propos, j'accélérai encore le rythme, la culbutant sauvagement, jusqu' à ce qu'elle pousse des hurlements. Soudain, elle me repoussa, se dégagea, et se faufila vers l'avant de la voiture. Je l'y rejoignis, et la belle me poussa aussitôt sur le siège passager, et vint sur moi, un sourire aux lèvres.
Elle s'empala sur ma queue, et entamma des vas et viens, d'abord lentement, puis à un rythme de plus en plus élevé. Coincé sous elle comme j'étais, et n'ayant aucune place pour reprendre le dessus, je n'eus d'autres choix que de me laisser faire, pour le plus grand bonheur de Marie Laure, ravie d'avoir enfin le dessus sur moi. Devenant sauvage, elle se mit à me baiser violemment, allant soit d'avant en arrière, soit bougeant sur les côtés, me faisant à chaque fois perdre la tête "tu aimes ce que je te fais beau gosse ? t'es à moi, c'est trop bon de te baiser !" me dit Marie Laure. Sans me laisser le temps de répondre, la bombe se pencha sur moi, et m'embrassa langoureusement. Puis, elle dénoua son lacet de maillot de bain, et le retira, dévoilant enfin ses magnifiques seins. Agitant sous mon nez ces deux grosses colinnes, elle me dit : "tu les kiffes hein mes seins ?" pour toute réponse, je me jetai sur eux, et les dévorai, enfouissant ma tête dans cette si énorme poitrine. Marie Laure gémit, puis, me tirant par les cheveux, elle me sortit la tête de sa poitrine et me tint plaqué contre le dossier du siège. Ellle reprit alors ses vas et viens, plus puissament et plus sauvagement que jamais, me faisant perdre la tête et crier de plaisir "vas y crie beau gosse, crie t'es à moi et je te baise comme je veux !" cria Marie Laure, elle aussi en proie à un intense plaisir. Son visage, était rougi par l'effort, ses seins se ballotaient à chacun de ses vas et viens, et nos deux corps couverts de sueur à cause de la chaleur, se collaient parfois l'un à l'autre.
Au bout d'un moment, la belle se retourna, me tournant le dos, et reprit sa baise endiablée, tout en me disant : "admire mon cul pendant que je te nique !", en effet, Marie Laure se déanchait sur moi, allant de gauche à droite à une vitesse folle, bougeant son corps de déesse, et notamment son maginfique fessier, m'offrant un septacle et un plaisir incomparables. Je frémis d'extase et lâcha un cri de plaisir : cette bombe était tellement douée, elle me faisait tellement de bien ! Décidé à ne pas rester cependant, complètement inactif, je lui caressai son corps de rêve, commençant par ses fesses, admirant leur rondeur, puis lui massant ses seins, frissonant de plaisir rien qu'en les touchants, puis, je me mis à lui titiller le clitoris, lui arrachant des gémissements. "Tu aimes ce que je te fais hein ma salope ? Mes doigts te font un bien fou pas vrai ?" "Oooh putain oui, presque autant que ta queue !" La sentant vacillante de plaisir, je voulus en profiter pour reprendre un peu la direction des opérations, et je la saisis par les hanches, et commençai à accompagner ses vas et viens, jusqu'à diriger le mouvement. Alors, la belle se retourna, se remettant face à moi et me plaqua les mains contre le dossier du siège, m'imobilisant à nouveau. J'aurais peut être pu bouger malgré tout... si elle n'avait pas repris ses vas et biens à un rythme effréné, déclenchant une vague de plaisir telle qu'elle me paralysa. Marie Laure me mordit le menton pour me stimuler, puis me mit une gifle en me disant "je vais te dompter, te mâter et faire de toi mon esclave, comme les autres !", avant d'accélérer encore le rythme de ses attaques, jusqu'à ce que le plaisir soit irrépressible : j'explosai dans un délicieux orgasme, qui me laissa effondré et sonné sur le siège de la voiture.
J'étais comblé bien sur, mais Marie Laure surtout était très fière d'elle :
"T'as vu comme je t'ai baisé ? T'as rien pu faire cette fois ! Me nargua t elle."
Décidé à réagir, afin de bien lui rappeler qui était le patron, je m'installai au volant, et démarrai la voiture.
"Tu fais quoi ? Demanda Marie Laure surprise."
"Je t'amène quelque part où je pourrai te baiser tranquille."
Marie Laure ne dit rien, mais semblait un peu inquiète : elle se disait sans doute qu'elle avait poussé le bouchon trop loin en me narguant...
Je l'amenai dans un coin isolé du camping, où on avait peu de chance d'être surpris. Puis d'un ton autoritaire, je lui dis :
"On descend de la voiture."
La belle obéit docilement. Je sortis de la voiture, pris une serviette et l'étendis sur le capot de la voiture. Puis, j'attrapai Marie Laure et l'embrassai sensuellement, puis, de force, je l'étendis sur le capot de la voiture, la belle ne me résistant que peu. Impatient de la baiser, je lui arrachai presque son bikini, la mettant à nu, et après avoir prestemment retiré mon maillot, je la pénétrai d'un coup sec, et commençai à la baiser en missionaire. J'allai et venai en elle à un rythme élevé, la pilonnant à un rythme soutenu, sur le capot de sa propre voiture, au risque d'être découvert par n'importe qui. Je la regardai droit dans les yeux, me réjouissant de la voir se tordre de plaisir et de l'entendre gémir. Tout en la baisant, je goûtais à son merveilleux corps, massait ses gros seins, et embrassait son cou. Le désir et l'excitation montaient en moi, et je me mis à accélérer le rythme de mes coups de reins, faisant crier Marie Laure. "Prends ça ma belle !" Lui dis je. "Tu es à moi, et je te baise comme je te veux !", la belle ne répondit pas avec des mots, mais le gémisssement qu'elle poussa en disait long sur son état de soumission.
Ravi, je voulus la baiser encore mieux, et la fis tomber par terre sur le sable, à quatre pattes, avant de la prendre sauvagement en levrette. Je me mis à aller et venir en elle à un rythme très élevé, la baisant avec sauvagerie, me réjouissant de l'entendre crier de plaisir, lui claquant les fesses, et lui tenant la nuque pour bien lui faire comprendre qui était le patron. Je frisonnai de plaisir, et prenai un pied énorme en baisant cette bombe, en la regardant se tordre de plaisir. Au fur et à mesure de mes coups de reins, je sentais le plaisir monter en moi, ainsi que mon sentiment de domination, j'avais l'impression d'avoir totalement mâté ma belle, et de pouvoir lui faire ce que je voulais. Cette idée me venait à l'esprit alors que j'avais l'énorme et magnifique postérieur de Marie Laure en plein devant mon visage, faisant naître en moi une envie que je n'avais jamais eue...
Me décidant soudainement, j'interrompis la levrette, et prenant ma queue, je l'approchai du petit trou de Marie Laure...
"Qu'est ce que tu fais ? Demanda celle ci."
"J'ai trop envie de te prendre le cul, répondis je..."
"Arrête ! T'as une trop grosse queue, ça va me faire mal, et puis la sodomie c'est nul pour les filles, elles ont mal et ont pas de plaisir !"
"Avec moi tu vas kiffer, lui dis je plein d'assurance."
Je la sentais réticente, elle me dit :
"Tu l'as déjà fait ?"
"Non, tu seras la première !"
"Arrête, j'ai pas envie, aucun mec m'a fait ça !"
"Tu vas kiffer je te dis, et puis je fais de toi ce que je veux tu te rappelles ?"
Sans plus discuter, je lui pénétrai l'anus d'un coup, entrant avec une certaine difficulté. Marie Laure poussa un cri de douleur, auquel se mêlait cependant un peu de plaisir... Je commençai des vas et viens, d'abord doux et lents, puis de plus en plus rapides, allant et venant dans cul avec délectation, et vitesse. Mon sexe la limait sans répit et sans repos, baisant la belle comme jamais elle ne l'avait été. Le plaisir que je ressentais était exquis, le cul de Marie Laure étant plus resséré, les sensations en étaient déculplées, et quel plaisir de me dire que j'étais le premier à baiser ce magnifique cul ! Marie Laure elle gémissait à pleine voix, la douleur avait disparu et laissé place à un énorme plaisir qu'elle exprimait bruyamment, tandis que je la limais sauvagement et implacablement : "ah putaiin c'est trop BON ! continue vas y plus vite s'il te plaît allez VAS Y !" j'adorais l'entendre gémir comme ça, et pour bien marquer le coup, accélérais encore le rythme la baisant comme un marteau piqueur. Je sentis une vague de plaisir irrépressible monter en moi, ma vue commença à se brouiller, et je compris que l'orgamse était proche. J'accélérai encore une dernière fois, avant de jicler à grands jets dans le cul de Marie Laure.
Celle ci s'effondra essouflée mais ravie.
"Putain mais aucun mec ne m'a jamais fait ça ! Il faut absolument que tu me donnes ton numéro et qu'on reste en contact !"
Et c'est ainsi que même après ces délicieuses vacances, je revis Marie Laure de nombreuses fois...
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