L'Initiatrice
Je suis veuve depuis longtemps. Le manque de sexe m'a marquée un moment jusqu'à ce que je trouve une amie dans mon cas. Nous nous contentions l'une et l'autre de nous masturber avec ou sans godemiché, pour moi c'était avec. A force de parler de nos orgasmes nous nous sommes masturbées ensemble avant de nous faire l'amour. Nous sommes très proches: elle a des soucis avec son fils: il ne pense qu'à des jeux vidéo, d'Internet. Il n'a que peu d'amis. Aucune fille à l'horizon.
Elle me demande de jouer à l'initiatrice, tout simplement !!! Je connais vaguement son rejeton. Il ne me déplait pas. Delà à lui faire l'amour il y a une marge.
Un après midi, après avoir joui, elle m'en reparle. Nous recommençons une dernière fois de nous envoyer en l'air en faisant un 69 accompagné de gode dans les fesses. Je ne sais trop pourquoi je réponds par l'affirmative: elle veux que je déniaise son fils. Je vais le faire.
Je sais que le samedi après midi mon amante fait des courses. Je sais en plus qu'elle va rester plus longtemps qu' d'habitude pour me laisser le temps de dévergonder son fils. Je vais donc chez elle. Le fils, Henri, me reçoit gentiment. Il sait que nous nous fréquentons beaucoup avec sa mère, sans savoir exactement ce qui nous lie. Voulant jouer à l'hôte bien élevé il m'offre un café abominable. Il me propose une place sur un fauteuil. Pour "déguster" son jus de chaussette, il s'assoit en face de moi. J'en suis très satisfaite: je pourrai lui montrer une foule de bricoles comme il n'en a jamais vues, sinon sur des sites"hot" sur Internet.
Je fais celle qui déguste son jus. Je pose ma tasse sur une petite table. Pour le faire, je me penche en avant. Je ne porte aucun dessous aujourd'hui. Il peut voir parfaitement ma poitrine. Je reste ainsi un bon moment. Je vois que ses yeux se fixent sur mon décolleté. Je joue à l'innocente. Je me redresse et croise mes jambes bien plus haut que la normale: il peut vois mes cuisses presque jusqu'en haut.
Ce n'est pas désagréable de faire monter le désir chez un jeunot pour moi. Les presque 20 ans qui nous séparent ne me paraissent pas lourds. Jouant à la femme gênée je lui fait remarquer que son pantalon présente une bosse qu'il faudrait qu'il réduise. Je me propose même de la faire, sans attendre de réponse je vais à ses cotés: je passe ma main sur la bite. Il frémis. Je le masse pour le faire grossir encore. Il me laisse faire. Ou il a compris ou il est totalement hors jeu. Quoiqu'il en soit j'ouvre la braguette pour lui sortir l'engin. J'ai un choc: il est monté comme un âne. Je me demande même comment je pourrais supporter ce sexe dans toutes mes ouvertures destinées à le recevoir.
Il rougit comme un premier communiant. Mes mains sont sur sexe. Je le branle un peu: il se laisse toujours faire. J'aimerai qu'à son tour il me passe une main sous la robe. Je me doute qu'il ne doit même pas savoir que faire avec un sexe féminin. S'il savait ce que je fais avec sa mère ? J'arrive à approcher mon visage du sien. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je ne peux enfoncer ma langue dans sa bouche. Il faut que je force ses lèvres: enfin j'arrive à lui mettre la langue dans la bouche. Il ne réagit pas rapidement, sauf quand il sent que je lui fais du bien. Je me lance dans une bonne masturbation: je le fait jouir rapidement. Je dirige ses jets vers le carrelage. Il est tout rouge, sur le point de me quitter.
Pas question qu'il s'en aille: je mouille maintenant comme une fontaine: ma cyprine noie ma culotte.
J'arrive à le retenir. Je procède à son épluchage. Il est totalement nu, se couvre la queue avec une main. Pour ajouter à son trouble, devant lui je me déshabille comme le ferait une effeuilleuse.
Il sort de moi presque totalement débandé. Je me tourne pour le prendre dans la bouche. J'y trouve le goût de mon con et celui de son sperme qui n'est pas mauvais. Il est étonné de me voir faire. Ma langue commence sa danse infernale autour le son gland. Il ne résiste pas longtemps, le pauvre amour.
J'ai quand même un soucis: je l'ai fait jouir en le branlant, c'était simple, je l'ai fait jouir en me baisant, c'était meilleur pour moi.
Nous nous séparons. Nous restons blottis: je lui caresse le torse, enfin il s'aventure sur mes seins qu'il maltraite un peu. Je le calme pour qu'il me caresse. Il comprend le but: me donner du plaisir, même si ce n'est pas proprement sexuel. De lui-même il m'embrasse les pointes. Il me donne encore envie de lui. Je le vois bander aussi. La jeunesse a ça de bien: un jeune est capable de prouesses en baisant. J'ai envie qu'il me baise en levrette. Je me met le corps sur le divan, il vient derrière moi, écarte un peu mes fesses. Je ne le veut pas là. Il comprend son erreur on ne passe pas une baise en enculant toujours une femme. Je le qui en prenant sa queue que je branle un peu. Il connaît maintenant le chemin. Je le laisse agir tut seul. Il me baise maintenant comme s'il; avait fait ça toute sa vie. Il me fait jouir comme une folle.
L'après midi se passe: je doit partir retrouver sa mère à qui je dois des comptes. Je lui décrit ce que nous avons fait, ce qu'il a réussit: j'en suis satisfaite. Si elle le permet j'aimerais baiser son fils plus souvent.
Elle m'y encourage.
Pour bien marquer notre accord, nous nus faisons l'amour. Ou plutôt elle me fait l'amour avec passion. Un mot lui échappe: je t'aime.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!