J'Ai Vendu Mes Chaises De Bar.

J'ai vendu mes chaises de bar.
Alors si vous croyez que je vais vous raconter une historie aussi simplissime que le plan : j'ai vendu mes chaises sur ebay, j’étais chez moi en caleçon quand la jeune femme a sonné chez moi, habillée en mini jupe pour me les acheter etc etc.... Non ! L'histoire est j'espère plus subtile.

C'était au début des années 2000.
J'ai fait sur un site de rencontre la connaissances de Caroline. Nous avons discuté de tout et de rien comme tant d'autres sur le web On a vite accroché. Au bout de quelques jours, nous avons convenu de nous rencontrer. Je suis arrivé un peu en avance l'attendant à la sortie du métro. Elle me disait qu'elle serait en jean et blouson de cuir noir. Je n'en savais pas plus sur son physique. Ni je fantasmais pour ne pas être déçu, ni j'avais peur. Puis je la vois arriver et là, je me dis tout simplement : wouaaaahhhh !
Elle était assez petite, des cheveux longs, un superbe visage. Pas de signe particulier de beauté, mais un visage doux, un regard incisif, une silhouette qui me semblait si ferme. Un petit bout de femme aguichant et déjà excitant.
Nous avons parlé de tout et de rien.
Désolé lecteur, à ce stade de l'histoire pas encore de cul !
Nous nous sommes reparlés plusieurs voir sur le net. On s'endormait ensemble au téléphone en se parlant très tard. Parfois et sans qu'elle le sache, je me branlais tant qu'elle était de l'autre côté du fil. Nu dans mon lit, les draps découverts je l'écoutais me parler d'elle. J'imaginais qu'elle en faisait autant dans sa chambre.

On s'est ensuite revus plusieurs fois. Moi, imbécile de timide je ne prenais pas les devants.
Elle commençait à me le reprocher gentiment.
Je l'ai alors invitée à manger chez moi.
J'avais tout bien fait.
Appartement impeccable, petit plat mijoté etc...

Elle sonne. Mon cœur bande. J'éjacule de palpitations me faisant exploser la tête.

Je sais que ces métaphores seront bien plus crues ce soir.
Elle rentre.
Quand elle se retourne pour enlever sa veste, j'en profite pour l'enserrer dans mes bras. Je jette un œil à ses fesses fines et remplissant si bien son jean. Mes mains trop prudes, caressent son ventre, si plat et si accueillant. Elle se retourne, on se regarde tendrement puis on s'embrasse. Mes lèvres se collent à elles. Je me rappelle encore de son parfum, un peu sec et de sa peau si douce.
Fin de cette première étreinte, trop courte à son goût m'avouera t-elle.
On prend l'apéro assis sur ma moquette. Son haut blanc dessine si bien sa poitrine. Tout la dessine si bien d’ailleurs. Tout ses vêtements semblent lui coller à la peau tellement son corps est bien ajusté. Ses yeux sont coquins et pétillent autant que ce champagne qui va nous enivrer . Elle a les yeux qui sentent le sexe.
Le dîner se passe.

Avant le dessert elle veut visiter ma chambre On s'y dirige.
Je savait que la déco de celle-ci l’intéresserait peu.
Je suis encore trop prude, pauvre con que je suis.
Heureusement qu'elle ne l'est pas.
*Elle s’assoit sur le bord du lit. Puis plonge son corps en arrière.
Elle sait qu'il va falloir dynamiter mon manque d'audace.
Elle me tend ses mains pour la rejoindre.
Je l'embrasse. J'ai envie d'elle.
J'ai envie de la culbuter , mais je la laisse continuer à me diriger. Elle soulève son pull pour me faire découvrir son soutien-gorge. Elle me demande ce que je pense de la fermeté des ses seins.. J'en pense rien. J'en suis juste excité. La voisine d'en face nous observe me dit-elle. Je me lève, une bosse dans le pantalon pour fermer les volets. Je suis excité de croiser le regard de la voisine d'en face.
Et là je ne suis plus le même.

Je déboutonne ma chemise. Torse à l'air je m’assois au bord du lit, et caresse son ventre que j'embrasse. Mes mains sont froides. Elles remontent doucement à son soutien gorge que j'ôte.
Ses seins bien dressés et si parfaits se tiennent alors dans mes mains.
Oui, tu as la poitrine ferme, ose-je enfin dire. Je les malaxe.Mais des mains sur des nichons sont insuffisantes. Mes lèvres les baisent l'un après l'autre. Ces tétons magnifiques vont alors être mordillés.Ils sont durs et glissent sous mes lèvres. Elle semble apprécier de par ses gémissements qui m'excitent encore plus.
Je bande. Mon sexe, enserré dans mon caleçon l'appelle si fort qu'elle se redresse. Je me met debout. Elle me caresse les fesses puis me dégrafe la ceinture.Sa main branle ma hampe dessiné dans mon shorty. Elle me regarde du coin de l’œil un air vicieux et malicieux. A travers le tissu elle l'embrasse et le mordille. Je ne vais quand même pas jouir ainsi. Elle m'enlève mon pantalon . Puis elle abaisse au niveau pubis mon caleçon. Ses mains s'attardent sur mes fesses fermes que je contracte pour exciter cette si belle femme.
Elle continue son travail de sape ou plutôt de désape... Je me retrouve parfaitement cul nu, et sexe face à son visage. Elle va me sucer....
Avant d'avaler mon pénis, elle caresse mes bourses que j'ai laissées pleines ces derniers jour pour qu'elle en profite...Je met mon doigt dans sa bouche en préambule. Puis je le dirige dans ma bouche en le suçant. Ça la fait rire de plaisir.
Mon sexe est uniquement dans la moyenne.. Mais dîtes moi quelle en est l'importance quand il se trouve trempé de sa salive, dans ses va et vient de bouches. ? Ses cheveux longs fouettent mon sexe. Ça me chatouille et m'excite encore plus.

A moi de jouer. Je me retire de ses mandibules et la jette sur le lit en arrière.
Elles est surprise et s'en mord les lèves, avant que sa langue ne les caresses. Elle aime passer sa langue ainsi, ou c'est juste pour me faire bander ?
Rapidement je lui ôte tout son bas. Je la retourne sur le ventre. Et ma langue accompagnée de baisers va remonter de ses pieds à ses fesses.
Quel beau cul !!!
J'évite d'être direct et n'effleure que son sexe et son anus.
Je veux qu'elle me mérite...
Ma main se blottit entre ses suisses puis arrive à son sexe magnifiquement rasé. C'est tout humide. Elle est si fraîche, c'est ma rosée. Ou plutôt un gazon bien inondé.
Je titille son clitoris gonflé mais la moiteur et la chaleur de sa mouille me font diriger deux doigts dans son sexe. C'est chaud. Le bruit de sa mouille glissant entre mes doigts m'excite encore plus. Elle ne voit rien. Elle se sent dominée. J'ajoute un troisième doigt qui la fait gémir plus fort. Mes mouvements de mains essaient de la pénétrer de plus en plus loin et de plus en plus fort. Je la fouille et son sexe se contracte à m'en péter les doigts. Mes doigts et sa caverne se battent jusqu'à un cri sec et vif de sa part.. Le combat s'achève.

Je la remet sur le dos. Elle me fait face. Mon sexe fier va la pénétrer. Mais avant je lui ôte son haut qui restait au dessus de ses seins. D'une main je malaxe son sein droit et de l'autre je dirige mon sexe dans son vagin. J'y rentre doucement et m'insère au tréfonds de celui-ci. Puis en missionnaire, je fait de doux va et vient. Oui des doux... Car je veux monter doucement.
Mes coups de reins se font plus forts. Je lui caresse son clito de la main gauche. Elle gémit. Son corps transpire. Puis elle se caresse les seins pour encore plus m'exciter.
Je ne sais plus quoi regarder tellement tout le spectacle qu'elle m'offre me comble.
Je gémis de plus en plus fort au rythme de mes saccades. Son corps se contracte et ses yeux se révulsent. Elle a eu un orgasme .

On change alors de position. Elle se met sur le côté et lève sa jambe droite. Elle de côté, je rentre à nouveau mon sexe dans le tien. Quelle position ! Je suis bien plus profond en elle et elle le perçoit. On est repartis. Nos deux corps, on le sent veulent se voir achevés au plus vite. On ne veut plus de performances on veut jouir. Je rentre et sort en elle de manière puissante. Elle me dit me sentir si gonflé en elle,.
.. Je lui dit « oh oui, oh oui »... « ahhhh » crie t-elle pendant que j'explose en elle.Je suis un volcan qui a jailli je ne sais combien de fois et m'écroule sur elle.. Je laisse mon sexe plein de sperme quelques minutes dans la chaleur de sa caverne. Mes doigts caressent son sexe collant de nos secrétions. Ça ne semble pas lui déplaire.

Et notre dessert ? Je vais le mettre au four. Des petits fondants au chocolat faits maison.
Elle m'a rejoint dans la cuisine et m'embrasse dans le cou. Qu'elle est bien foutue et que j'aime son sexe si doux. Elle retourne dans le salon et je la suis. Je l'arrête et l'assoit sur mes belles chaises de bar en acajou. J'embrasse ses lèvres puis ses seins puis me met à mi hauteur.
Je suis face à sa chatte. Je veux la lécher.
J'ai un souvenir de son corps : la douceur de sa peau, comme si sa peau était talquée.
J'embrasse tout autour de son con.
Mes lèvres plus méthodique s'aventurent plus en profondeur. Elle appuie ses mains sur ma tête. Elle veut que je la lèche comme il faut.
Cela ne sent ni bon, ni mauvais. Ça sent le sexe. Ça sent la luxure. Ça sent l'envie de s'abandonner. Ma langue s'active. Je la sens se contracter à chaque mouvement de bouche. De temps à autre ma langue laisse la place a mes lèvres qui lui bouffent la chatte et aspirent son clitoris. De temps à autre je lui rentre un doigt. Je bande à nouveau. La pénombre des lumières de dehors, éclairent légèrement son corps . Elle me plaît tant. Ses cuisses me serrent le crane. Je m'astique la verge en douceur. Ses bruit m'encouragent à être plus rapide encore. Je la sens qui vient. Je ne lâche rien et suis récompensé d'un doux liquide accompagnant ses cris. Je la bois littéralement. Et m'en caresse le visage. Elle me voit faire ça et veut que je l'embrasse pour me sentir inondé de ses sécrétions.Elle sent mon sexe bandé dur sur son ventre et on se dirige vers le clic clac. Mon plus beau cuni vient de se réaliser sur cette chaise de bar.
Son cul si beau m'a plu dés notre première rencontre. Je la met à quatre pattes et la pénètre sans ménagement. Il faut faire vite. Il y a urgence à jouir encore elle et moi. Je ne lâche pas ses fesses pour que ma bite ne sorte pas d'elle.Je lui donne de petites fessées qu'elle semble apprécier. Elle fait des petits « ahhh » quand mon coup de rein est assez violent. Elle me crie : « n'oublie pas de jouir sur mes seins ». Ces mots n'ont qu'un seul effet : me faire exploser !!! le temps de la retourner et j'éclate...
Elle se caresse les seins que moi vicieux, je viens lécher.
Elle me demande de partager dans nos bouches imbibées de foutre.

Alors comprenez qu'aujourd'hui je sois ému : j'ai vendu mes chaises de bar.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!