Les Cambodgiennes
Je les ai connu il doit y avoir 3 ans de cela : elles vivaient dans un appartement misérable. Pourtant elles travaillaient en gagnant bien leur vie. Leur seul défaut: être cambodgiennes, donc pratiquement aucun propriétaire ne voulait leur louer quoi que ce soit. Pourtant elles portent des prénoms parfaitement français Nicole et Françoise. Grâce à mes relations j'ai pu leur trouver un beau logement pas très cher dans un immeuble dit "chic". Les ragots ont commencé: elles sont prostituées, elles sont lesbiennes. Bref elles ont surtout le tord de ne pas être comme les autres.
Je les connais parfaitement pour les avoir rencontrées au cours d'une réunion politique. En sortant nous sommes allés avec d'autres dans un petit bistro tranquille. Les idées politiques passaient au second plan. Je les trouvais attirantes. Trop sans doute. Je ne sais comment j'ai fait mon compte: je les ai embarquées toutes les deux. Elles prenaient le dessus, en appelant un taxi pour aller chez elles. Nous étions installés derrière, j'étais entre les deux. Je les tenais par les épaules. Elles posaient leur tête sur moi. Je voyais le chauffeur dans le rétroviseur nous espionner. Il devant s'attendre à je ne sais quel gésie immoral. Les gestes immoraux venaient plus tard dans leur petit logement. Embarqués comme je l'étais je ne résistais pas longtemps à deux bouches gourmandes. Elles m'embrassaient chacune séparément et pour finir, nous avions nos langues hors de nos bouche pour un délicieux baiser à trois. Elles me faisaient bien bander avec leurs langues et surtout leurs mains baladeuses.
La plus petite, Nicole me sortait la queue pendant que la plus grande, Françoise cherchait tout simplement ma langue pour la sucer. Nicole réussit son coup, ma bite dehors, elle me masturbait juste ce qu'il faut pour que je ne jouisse pas. Je levais la jupe de Françoise pour y passer une main. Je trouvais très vite le sexe de cette fille. Je le trouvais plus vite que prévu, elle ne portait pas de culotte.
Elles me demandaient fort poliment de venir sur le lit et de me déshabiller devant elle. Je leur connais satisfaction. Elles n'attendaient qu'une seule chose, me voir nu avec ma bite en érection. Elles étaient servies. Je devais me coucher pour les regarder se mettre toute nue. Je ne m'attendais pas à les voir faire ainsi. Nicole déshabillait Françoise et lui embrassait au fur et à mesure les parties dénudées. C'était au tour de Françoise de mettre nue Nicole, selon le même principe. Une fois nues, elles s'embrassaient longuement sur la bouche, se pelotaient et se touchaient les sexes. Elles écartaient les jambes pour que l'autre vienne branler. Elles se donnaient seules le plaisir que je pouvais donner.
Je me demandais ce que j'étais venu faire avec elles. C'était pourtant simple: la première qui jouissait avait droit à baiser la première.
Françoise avait gagné. Elle s'offrait à moi. Elle se couchait sur le dos, les jambes écartées sans que ce soit très romantique. Je venais sur elle. Ma bite était guidée par Nicole. Je pénétrais dans l'antre de Françoise. C'est elle qui commençait les vas et vient. Je sentais la main de Nicole venir sous moi: elle caressait le cul de ma compagne du moment. J'étais trop excité pour résister longtemps. J'allais jouir quand je sentais la main de Françoise venir sur mon cul.
Je me devais d'honorer Nicole, seulement je débandais. Ce ne devait pas être grave: pour me faire bander à nouveau, elles utilisaient un moyen vieux comme le monde: elles se faisait l'amour en 69. Non seulement elles se léchaient les clitoris, en plus elles se mettaient deux doigts dans le cul. Je rebandais devant une telle exhibition. J'aurais voulu en enculer une: pas touche: elles voulaient jouir ensemble.
Je commençais à ma branler. Heureusement elles jouissaient et maintenant Nicole demandait son du. Elle était sur le dos, les cuisses ouvertes: je distinguais tout les détails de son sexe, ses lèvres son entrée du vagin béante toute mouillée, son clitoris. J'aurais voulu tout prendre à la fois. Françoise me poussait pour que je baise sa copine. L'étais bien installé la pine prête à entrer dans son inimité. Cette fois Françoise remplaçait Nicole pour me guider. Elle passait une main sous moi pour aller rentrer dans le cul de celle que baisais. Je sentais encore sur le cul les doigts de Nicole qui venait les rentrer. Je ne tenais plus je jouissais encore;
Elles décidaient à ma place de ce qui devait me faire jouir. Elles sortaient trois godemichés, se couchaient à mes cotée, sen mettaient chacune un dans le cul. Je bandais encore bien sur. Elles s'y mettaient à deux pour m'enculer également. Au début je le débattais; je n'aimais pas cette façon de baiser. Je cois que c'est Françoise la première pour mieux me faire accepter la présence dans le cul me prenait la bite pour me branler. C'est presque en^même temps que Nicole me prenait en bouche. Je ne me débattais plus: elle était divinement la déesse de la pipe. Je sentais ses lèvres aller et venir sur mon mandrin presque en cadence avec la gode dans mon postérieur.
Ce n'est que dans ces mêmes conditions que j'aime baisser maintenant.
C'est ainsi que j'ai dégoté un logement, très prés de chez moi.
C'est devenu mon péché mignon.
Un jour je suis venue avec une autre fille, une brune aux cheveux noirs, aux lèvres sensuelles que je savais lesbienne au moins en partie. Les présentations vite faites, une nouvelle périodes commençait les deux asiates la voyant voulaient baiser avec elle toutes les deux.
Je passais au second rang. Ce qui comptait ce n'étais ni la bite, ni les godes, ce n'était que la bouche et les doigts de cette nana.
Je m'en allais pour les laisser baiser en paix. Je ne revenais qu'en pleine nuit. Je pensais les trouver endormies: elles baisaient toujours cette fois les godes étaient de sortie, même pour la lesbienne déclarée. Je n'hésitais plus: j'allais me farcir la brune qui était très baisable pour un homme. Elle avait un gode dans le vagin, se masturbait avec. Je lui enlevais l'engin pour lui planter ma pine dans sa cage au plaisir. C'étais pour moi la première lesbienne que je me payais. Je ne m'attendais pas à une telle réception: elle gémissait sous moi. Je la sentais jouir plusieurs fois. Ces lèvres étaient collées aux miennes. Les deux autres me regardaient avec envie. Je tirait mon coup
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