Série Insolite. Épisode 3 : « Isabelle » Et Le Concours De Salope.
Je mappelle Isabelle, jai 55 ans et je vais partager avec vous, chères lectrices et chers lecteurs sous la plume de lauteur Cyp Perruche, une partie de ma vie sexuelle de femme. Je suis née en 1966 dans une ville moyenne de province où jai passé la plus grande partie de ma vie. Je suis issue dun milieu défavorisé, mon père buvait beaucoup et battait ma mère. Dès mon adolescence, pour méchapper de cet enfer, je trainais dans la rue et fut obligée de partir vivre dans un foyer. À 20 ans, je navais plus rien à apprendre sur les mecs.
A cette époque, javais une grande expérience sexuelle, mes copains et mes copines étaient issues du même milieu que moi, on échangeait tout sur le sujet, on avait beaucoup dexpériences à partager, surtout comment se comporter lorsque lon devait coucher. Je nétais pas vilaine et javais une poitrine opulente, jattirais beaucoup de types bien plus âgés que moi et lorsque le mec me plaisait, je nhésitais pas à me donner à lui. Je connus très vite : Les fellations, les baises en tout genre, la sodomie, les éjaculations faciales et buccales, la branlette espagnole, sans aller au-delà dans le hard.
Pourtant étant petite, je rêvais dune belle cérémonie de mariage, vêtue dune grande et belle robe blanche au bras de mon prince charmant. Cependant ce conte de fée ne sétait jamais produit. Il métait même arrivé, lorsque je navais pas assez dargent pour finir la fin de mois, de faire deux ou trois pipes à la sortie de boite pour avoir un billet de 50 balles. Avec uniquement le Bac en poche, je ne faisais que des petits boulots. Avec le peu dargent que je gagnais, je préférais macheter de belles fringues plutôt que de manger, je faisais très attention à ma ligne car mon physique me permettait de me taper quelques hommes mariés qui me récompensaient sans que je leur impose quoi que ce soit.
Javais donc vécu au jour le jour quelques années, jusquen 1992 où javais répondu à une annonce.
Je métais vêtue pour loccasion de ma plus belle mini-jupe, dun corsage moulant avec un large décolleté et mes escarpins à talons haut. Je désirais ce poste, je voulais donc me montrer à mon avantage. Dès mon arrivée, Michel me regarda et vint se placer face à moi :
Cest exactement ce que je veux que tu sois, il me faut une serveuse sexy et aguichante mais il faut en montrer un peu plus aux clients. Me dit-il en défaisant deux boutons supplémentaires à mon chemisier.
Je métais laissée faire, je savais que je plaisais à cet homme qui me fit faire un demi-tour en admirant ma croupe : « Voilà ! Cest pas mal, tu corresponds au profil. » Me dit-il en me pelotant la fesse :
Jusquoù peux-tu aller pour avoir ce poste ?
Que voulez-vous que je vous fasse ? Une pipe peut-être ? lui demandais-je.
Michel ne prit pas le temps de répondre, il baissa son pantalon et immédiatement je mactivai sur sa verge que je fis grossir dans ma bouche. Cependant, il ne sen était pas contenté, il me baisa sans retenue et javais accepté tout ce quil mavait demandé en prenant un certain plaisir, il savait se servir de sa queue et lorsquil me sodomisa, il mannonça que jétais embauchée et que je commençais dès aujourdhui. Le soir même, javais dormi dans son lit et le mois suivant, je rendais le petit appartement que je louais pour venir loger chez lui.
Au bout de deux années de vie commune, le chiffre daffaire de son bar fut toujours en augmentation, les soirs, je nhésitais pas à montrer une grande partie de mon anatomie, par un immense décolleté de ma poitrine et le haut de mes cuisses et les meilleurs clients avaient le droit daventurer une main sur mes fesses lors dune danse. Je navais pas besoin de coucher pour attirer les clients, néanmoins je nétais pas restée longtemps fidèle. Très vite javais accepté pendant mon jour de repos, de rencontrer certains hommes que je trouvais à mon goût. Michel le savait mais comme il voulait me garder à tout prix, il acceptait le deal que je lui avais fait.
Avec ce que javais vécu jusquà présent, je pensais bien avoir trouvé ma destinée, je nétais pas malheureuse et me contentais de cette vie. Pourtant le lundi 6 juin 1994 à 9 h 30 du matin, tout bascula lorsque je vis arriver cet homme au volant de sa Mercédès classe C coupé sport. Je sus immédiatement que ce gentleman, la petite quarantaine était lhomme de ma vie, je le voyais souvent dans mes rêves. Je ne lavais pas quitté des yeux, il avait fait le plein dessence, gara sa berline allemande devant la vitrine de létablissement et entra payer à la caisse de la station où Michel se trouvait.
Il allait sortir lorsque nos regards se croisèrent, il referma la porte quil avait entrouvert et vint directement sassoir sur le tabouret en face de moi en commandant un café. Jétais toute chose, mon assurance avec les hommes sétait envolée comme par magie, jétais comme une jeune pucelle devant son premier amour de jeunesse. Je tremblais comme une feuille lorsque je déposai sa tasse, je renversai du café chaud sur la soucoupe : « Excusez-moi Monsieur ! Je vais vous en refaire un autre. » Balbutiais-je :
Ce nest pas la peine, cest bien comme ça ! Me dit-il avant de poursuivre : Moi, cest Étienne et toi !
Jétais folle de joie, il me plaisait énormément et je vis que je ne le laissais pas indifférent : « Isabelle, Isa pour les intimes.
Étienne fut adorable, élégant et courtois, javais passé un après-midi formidable, nous avons fait lamour à lhôtel où il fut titanesque, un vrai Dieu. Je pensais vraiment avoir trouver mon prince charmant, il navait pas cessé de me complimenter sur ma beauté, mes formes, ma manière de baiser avant de minviter à venir chez lui à Lyon où il résidait. Jétais littéralement sur un nuage, je vivais un rêve de jeune fille. Ce PDG dune grande société avait lintention de faire un bout de chemin avec moi, je nen croyais pas mes oreilles, je ladorais déjà. Avant notre départ de lhôtel, il me dit :
Isa, je dois tavouer quelque chose.
Oui ! Je técoute Étienne ! Tu es marié cest ça ?
Non pas du tout, je crois bien au contraire que pour la première fois, jai trouvé la femme de ma vie.
Puis il mexpliqua calmement dans un long monologue, ses réelles intentions quil avait au départ lorsquil mavait vu au bar :
« Dans notre société, nous sommes quatre associés : Alain ; Remy ; Gérald et moi-même. Quatre conseils dadministration sont prévus tous les trimestres, un dans chaque ville où nous résidons. Nous sommes tous les quatre des amis très proches et avant tout des libertins avertis. Chaque fois que nous nous rencontrons, cela fini en général par une belle partouze. Cette année, nous avons décidé de faire un concours de salopes. Le gagnant sera désigné sur cinq critères : sur loriginalité de la scène proposée, la beauté de la salope, ses formes, son déguisement et pour finir sur le plaisir quelle aura su nous apporter. Je suis le dernier à passer, nous ne devons pas avoir recours à des professionnelles.
Ouais ! Et ça consiste à quoi ? Lui demandais-je, jétais prête pour le garder à faire ce quil me demanderait.
Il poursuivit son explication : « Josy une belle blonde, la salope N°1 dAlain à Genève était nue sous sa longue robe de soirée noire à bretelles, laissant sa poitrine ferme à lair libre et avait deux trous en forme de main. Un derrière sur ses fesses et un devant sur son sexe, afin que nous puissions la doigter pendant la réception après la réunion. Puis nous devions la baiser en lui bouchant les trois orifices sans la dénuder. La salope N°2 de Remy à Paris était Sophia, une brune de feu de Dieu, déguisée en soubrette, nichons à moitié à lair, elle portait une micro jupe, ras le cul sans culotte. Après nous avoir servi le repas pendant que nous la pelotions, elle nous a sucer avant que nous lallongions sur la table. Pour le dessert, nous lavons enduite de chocolat chaud, puis nous lavons nettoyée avec nos langues pendant que nous lavons baisée à tour de rôle. »
« La salope N°3 de Gérald à Nantes était Cindy un beau transsexuel très bien membré, déguisé en amazone, nous devions tous le sucer pendant quil sempalait sur un cheval factice muni dun sextoy de gros calibre. Puis nous avons fait la chenille. Gerald à quatre pattes suçait Alain placé devant lui et se faisait sodomiser par Remy qui suçait (le transsexuel) pendant que je lenculais. Pour le moment, cest Cindy la salope de Gérald qui a la meilleure note. La gagnante recevra 5000 francs, la seconde 2500 puis 1500 et 1000 pour les suivantes. Je suis donc à la recherche de la mienne, jai le scénario mais pas ma salope et je nose pas te demander :
Daccord ! Je veux bien être ta salope. Je le fais pour toi, pas pour largent. Quas-tu envisagé ? Lui demandais-je avant quil me prenne dans ses bras pour membrasser passionnément.
Dans la voiture qui memmenait dans son appartement luxueux en plein centre de Lyon, Étienne me dévoila son plan. Cette réunion du conseil dadministration devait se dérouler le mois suivant, néanmoins loriginalité de son scénario laissait à désirer, je devais men occuper. Mon rêve sétait poursuivi. Mon amant adoré transforma sa petite serveuse vulgaire en une petite bourgeoise sexy. Entre coiffeur, manucure, esthéticienne et boutiques diverses, jétais telle Julia Roberts dans le film Pretty Woman. Au lit, sexuellement parlant, nous nous entendions à la perfection, nous étions faits lun pour lautre, nous prenions énormément de plaisir.
Étienne fut un amour dhomme, il me présenta comme sa nouvelle petite amie à toutes ses connaissances et aux employés de sa société mais également à ses associés arrivés la veille du conseil dadministration. Ceux-ci étaient donc à mille lieues de penser que jallais être la candidate choisie pour le titre. Ayant visité les locaux professionnels, javais eu le temps de mettre au point le concours de salope, lorsque je lui avais dévoilé mon plan, il était si heureux quil lembrassa en me remerciant.
Le jour de la réunion, javais choisi de porter une belle robe rouge courte, croisée sur le devant. Nayant aucun de sous-vêtements, à chacun de mes mouvements, je laissais apparaitre une partie de mes seins. Javais la classe, Étienne me trouvait magnifique, autant pour mes formes que pour ma beauté naturelle. Il faut dire quen 33 ans, je métais toujours entretenue, surtout depuis un mois, tous les hommes qui me croisaient, se retournaient sur moi et jen étais très fière.
Sur limmense table de réunion pouvant recevoir une vingtaine de personnes, ils nétaient que cinq sans compter le comptable Bernard. Alain se trouvait entre ce dernier et Étienne, tandis que volontairement, je me plaçai entre Remy et Gérald, les deux autres associés, âgés dune petite cinquantaine dannées. Pendant létude du bilan et les palabres diverses sur les activités de la société partout en France, je me faisais mater, en même temps, jaguichais également mes voisins, à laide de mes jambes ou de mes mains baladeuses. Remy et Gérald était déjà dans un état dexcitation sans pareil. Bernard ne me quittait pas des yeux et Alain me dévorait des yeux. À la fin de la réunion, comme cétait prévu, je pris la parole pour annoncer :
Je sais que ce nest pas inscrit à lordre du jour mais jaimerais passer à un vote à main levée. Avant de prendre le verre de lamitié.
Le comptable ne se sentant pas concerné, commença à se lever mais Étienne len empêcha et lui dit : « Toi aussi Bernard tu dois voter. » Avant que je poursuivre :
Étienne aimerait que vous me fassiez jouir. Qui est pour une petite partie de sexe entre amis ? Dis-je en montant sur la table.
Dun geste rapide, je sortis mes deux seins de sous la robe et me mis à quatre pattes. Ma robe étant très courte, ils purent apercevoir mes deux jolies jambes gainées de bas, retenus par un porte jarretelles et saperçurent que je ne portais pas de culotte. Naturellement, Alain avait immédiatement levé le bras, le voyant voter pour, Remy et Gérald levèrent le leur, ils avaient deviné que le jeu commençait. Cependant Bernard en bon père de famille, sapprêtait à quitter la table en baissant la tête. Je mapprochai telle une tigresse, lui avais tiré sur la cravate, lattirant vers moi et lui avais passé ma langue sur ses lèvres en le léchant, avant de dire :
Tas pas envie de me baiser Bernard ?
Sans attendre la réponse, je lui pris la main et la posai sur mon sein gauche. À cet instant, il leva à son tour le bras. je mallongeai sur le dos à travers de la table, plaçant ma tête vers Alain qui se mit debout et baissa son pantalon, pour glisser son sexe dans ma bouche. Pendant ce temps, les trois autres sétaient tous levés et les mains des trois hommes firent la découverte de mon corps. Étienne était spectateur, la tête penchée à lextérieur de la table, javalais en gorge profonde la belle queue dAlain qui sen donnait à cur joie, me baisant la bouche grande ouverte sans aucun remord.
Les doigts de Remy et Gérald me fouillaient le vagin et lanus, tandis Bernard avait oublié ses scrupules, amoureux de ma poitrine, il me pelotait les seins. Jétais en extase et lorsquAlain éjacula dans ma bouche, je jouis déjà fortement, inondant la plaque de verre. Étienne me dévêtit et tour à tour, ils montèrent sur la table et me prirent soit en missionnaire, soit en levrette, pendant que je me laissais caresser et sucer par les autres. je jouis plusieurs fois, javais tout manigancé pour cela et ne le regrettait pas, je regardais Étienne régulièrement et maperçus quil ne désapprouvait pas, bien au contraire, il était joyeux et se caressait lentrejambe.
Chacun deux avait honoré ma chatte, mon cul et ma bouche, nétant plus très résistant, ils sarrêtaient de temps en temps ne désirant pas éjaculer tout de suite, ils retardaient linstant magique. Alain le plus jeune avec ses quarante-cinq ans, remit le couvert, il me baisait la chatte trempée de toute cette jouissance et proposa à ses collègues, une double pénétration. Pendant que Remy et Gérald prenaient ma bouche chacun leur tour, Bernard se chargea de me sodomiser, il avait un beau membre et après quelques allers-retours bien orchestrés entre mes partenaires, je pris un orgasme fulgurant. Alain dut sortir sa verge pour laisser ma jouissance surgir en longs jets, cétait littéralement démentiel, je narrêtais pas de jouir.
Tellement excités de me voir ainsi, ils se mirent tous autour de moi et pendant que je faisais une fellation à Étienne qui le méritait bien, tous les quatre éjaculèrent sur mon corps, jen avais partout. Incontestablement et à lunanimité, je fus la grande gagnante du concours de salope et reçus en prix un magnifique phallus en cristal, grandeur nature et un chèque de 5000 frs. Jétais épuisée mais conquise. Cela nous avait tellement plu à chacun dentre nous, que tous les trimestres, lors des réunions du conseil dadministration de la société, avant de prendre le pot de lamitié, Étienne me partageait à Bernard le comptable, Alain, Remy et Gérald, pour mon plus grand plaisir.
Mais pas que, lors une baise torride dans la salle de réunion, pendant que Bernard me prenait le cul, quAlain me baisait le vagin et quÉtienne était dans ma bouche, Remy et Gérald les deux plus âgés, se suçaient mutuellement dans la position du 69. Étant assez dominatrice, cela mavait donné une idée, javais acheté un gode ceinture et après mêtre faite baiser, je méquipais de mon engin pour les sodomiser tour à tour. Étienne était très excité, adorait voir ses deux amis se soumettre à sa compagne qui menait les débats et après sêtre fait sucer par Rémy, il venait lui aussi se vider dans le rectum de Gérald.
Je navais plus quitté Étienne qui me présenta à ses parents le mois suivant, en me demandant en mariage. Javais fait la connaissance des épouses des associés, jétais devenue une delle, je faisais partie de leur monde à présent. Après 25 ans, nous avons deux beaux s et nous sommes toujours restés fidèles (si lon peut dire ainsi) mais toujours aussi complices dans nos délires.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Isabelle, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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