La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 535)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°532) - La douche des esclaves ! -

Trempés d'urine, les trois esclaves MDE durent suivre à quatre pattes, les gardes. Ils furent conduits dans un premier temps dans une autre pièce assez grande et entièrement carrelée de petits carreaux blancs sans motif, servant de toilettes et purent à leur tour, accroupis sur des WC à la turque, placés au centre de cette pièce, se soulager, sans la moindre intimité. Il n’y avait ni cloisons, ni portes, rien ! L’un des gardes, les regardant pisser et déféquer, leur lançait quelques quolibets humiliants, histoire de maintenir la pression, de marquer sa Domination, sa prégnance et son autorité… Vint ensuite l’heure du petit déjeuner, chacun des esclaves eut droit à une bonne gamelle remplie d’une bouillie chaude et nourrissante. Ils mangèrent dans la pièce, carrelée à l’identique, d’à-côté pour une question d’hygiène et ils devaient avaler leur pitance à quatre pattes leur cul relevé. Leur posture était idéale ! Selon Hector, il ne fallait pas perdre trop de temps, alors il décida de pratiquer un lavement à chacun des trois esclaves alors qu’ils mangeaient encore. Une canule fut placée dans leurs culs respectifs, et l’eau tiède irrigua leur rectum puis la première partie du colon provocant quelques désagréments et ballonnements douloureux. Sitôt le repas terminé et leur intimité lavée et nettoyée, les trois esclaves MDE furent emmenés, juste à-côté encore dans une autre pièce, la salle de douches collectives carrelée des mêmes petits carreaux blancs. Là contre un haut mur, debout, nus, mains sur la tête, cuisses écartées, côte à côte, ils présentèrent leurs corps à un puissant jet d’eau, telle une sorte de lance à incendie, tenue par le garde rouquin. L’eau tiède les saisissait, ils furent aspergés de la tête aux pieds, seuls leurs génitaux étaient épargnés, ils firent un demi-tour et cette fois-ci, le jet claquait sur leurs épaules, leurs lombes et sur leurs culs.

Tous reçurent pour ordre de se pencher en avant afin de bien présenter au jet d’eau leur cul et de l’écarter avec leurs mains afin que celui-ci soit lavé correctement. Tous trois tremblaient, grelotaient …

- Vous voilà maintenant décrassées les chiennes, maintenant vous pouvez vous laver au savon, mais attention, interdiction de toucher vos chattes et bite !

Ils purent se servir d’un savon douche liquide et des gants en crin disposés sur des petits supports muraux, alors chacun se frotta et se frictionna énergiquement, pour se laver mais aussi pour se réchauffer, omettant selon les instructions reçues de laver leurs organes génitaux. Ils purent se rincer ensuite, avec une eau à bonne température sortant des pommeaux fixés au plafond de cette salle de douche. Hector interpella les deux femelles.

- Vous les deux chiennes, vous allez maintenant nettoyer la nouille du chien mâle. Je veux qu’elle soit rutilante, mais attention à vous, si l’une, s’amuse à faire jouir cette salope vous aurez à faire à moi.

Hector s’adressa à soumise Phryné MDE et lui ordonna de frotter énergiquement les couilles et la pine du chien soumis mâle, de bien la décalotter et d’astiquer le gland avec son gant de crin, alors que soumise Laïs MDE devait s’employer à frotter avec efficacité son périnée et son trou de pute (dixit Hector !). Les deux femelles reçurent l’ordre de coucher soumis Endymion MDE sur le dos à même le carrelage, de lui écarter les cuisses et lui remonter les jambes sur la poitrine, pour bien exposer ses attributs mâles aux yeux des gardes. Alors, elles s’employèrent à respecter strictement les ordres donnés. Sans grande délicatesse, elles frottèrent et s’acharnèrent sur les parties génitales de leur frère de soumission. Lui souffrait, le traitement était pour le moins douloureux, mais la posture l’humiliait et l’excitait. Sa queue ne mit pas longtemps à prendre du volume, à grossir et se tendre. De plus, il se sentait observé, dans la plus pure obscénité, et cette image qu’il renvoyait lui procurait un véritable plaisir mental et bandant … Deux des gardes, eux aussi excités avaient repris leur queue en main et se branlaient frénétiquement.


- Toi la chienne, nettoie-lui encore son trou, glisse-lui cette savonnette … disons … un peu spéciale dans son cul et lave-le en profondeur.

En effet, cette savonnette rose que venait de lui tendre le garde était d’une forme très originale puisque elle ressemblait à un gros et épais gode en savon dur, gode long et au gland effilé, sur lequel était inscrit dans la masse même du savon les Nobles Initiales du Maître ‘’MDE’’. Ce gode en savon glissa dans le fondement du chien, lui irradiant les muqueuses au passage. Douleurs et plaisirs masochistes s’entremêlaient, mais comment soumis Endymion MDE allait-il faire pour contenir sa jouissance et son éjaculation ? Surtout que les doigts agiles de ses deux sœurs de soumission ne cessaient de le tourmenter. Il geignait, gigotait, remuait sans cesse la tête de droite à gauche, de gauche à droite, bouche ouverte, il haletait de plaisirs jouissifs, le savon-gode le limant profondément glissant sans aucune peine et manipulé en alternance par une des deux soumises MDE, tandis que autre sans plus d’une seconde d’interruption. Il n’en pouvait vraiment plus… Alors qu’il était au bord de l’orgasme, à la limite de la jouissance, soudainement, il reçut un seau d’eau gelée sur sa nouille et ses couilles. Il reprit pied immédiatement, sa nouille se recroquevilla dans l’instant. Alors, le garde quinquagénaire lui ordonna de se lever et d’approcher. Il attrapa la bite ramollie de soumis Endymion MDE et l’encagea tant qu’il était encore temps, puis lui cadenassa un collier métallique autour du cou. Ce fut au tour de soumis Endymion MDE de laver et nettoyer les orifices des deux femelles. Elles, restèrent debout, cuisses largement écartées, jambes tendues, le torse incliné à quarante-cinq degrés, mains en appui sur leurs genoux. Le mâle, derrière elles, à son tour exécuta les ordres reçus, il devait leur écarter leurs lèvres intimes, nettoyer leurs pourtours et contours, glisser un doigt enduit de savon dans leur chatte humide, puis dans leurs anus et rincer le tout avec une douchette prévue à cet effet.
Elles aussi couinaient, remuaient, mouillaient, ruisselaient même, en poussant des gémissements de plaisirs à chaque fois qu’un ou deux doigts les pénétraient. Il devait ensuite pénétrer profondément les deux chattes simultanément avec 2 autres godes-savon dans une cadence rapide et puissante imposée. Impossible de les faire taire, impossible pour soumis Endymion MDE d’assécher cette source intarissable, elles n’étaient que deux chiennes lubriques proche de l’orgasme mais ces deux femelles assumaient complètement ce qu’elles étaient, oui des chiennes en chaleur pour le Maître ! Alors qu’elles étaient à la limite de jouir, le garde, le plus jeune, poussa soumis Endymion sans ménagement en lui faisant retirer les godes-savon, puis exigea des deux femelles de se redresser, d’écarter leur sexe de leurs deux mains pour bien dégager l’orifice puis planta dans leurs vulves, un long et large tampon de fabrication artisanal qui obstruait totalement leur intimité.

- Nous allons les mettre à sécher maintenant ! dicta Hector

Tous quittèrent la salle de douches pour regagner encore une autre pièce toujours carrelées du plafond aux murs, et encore tout à-côté. Mais, contrairement aux autres, cette pièce n’avait pas de fenêtres et était éclairée à l’instar des autres, par des néons blafards. Il y avait là, tous les mètres, une dizaine de phallus en bois durs accrochés et scellés à l’oblique sur les carreaux dans le mur arrivant juste à hauteur des fessiers des trois esclaves MDE. Chaque phallus était espacé d’un mètre et ils étaient tous huilés, graissés sur toute leur surface. soumis Endymion MDE fut attrapé par les bras de part et d’autre par deux gardes puis pousser et soulever du sol jusqu’à ce que son anus entre en contact avec cette énorme bite factice préalablement et heureusement lubrifiée. On le fit s’empaler sur elle, d’un trait en poussant un long soupir. Et lorsque les gardes lui lâchèrent les jambes, il constata qu’il ne pouvait prendre appui que sur la pointe de ses pieds.
On attacha son collier à un anneau scellé au mur au niveau de son cou afin que sa tête reste plaquée droite contre le mur. Il ne pouvait donc plus guère bouger ! Ses deux sœurs de soumissions MDE subirent le même traitement un peu à l’écart du mâle. Tous trois furent abandonnés par les gardes qui éteignirent la lumière et restèrent ainsi un long moment, dans le silence, sinon le recueillement et le noir absolu. Une douce chaleur humide, moite glissait sur leur corps nus, c’était de la vapeur d’eau chaude projetée par le plafond. Lorsque la lumière inonda de nouveau la pièce, les trois esclaves MDE eurent du mal à voir ce qu’il se passait autour d’eux. Ce n’était que brouhaha quand la porte s’ouvrit ! Apparus, des gardes ainsi que deux esclaves mâles, appartenant aux Invités du Maître, furent placés et empalés de part et d’autre de soumis Endymion MDE, puis quatre esclaves femelles arrivèrent et prirent place près des soumises Laïs MDE et Phryné MDE, tenues elles aussi par le cul empalé et enchainées à leur collier. Monsieur le Marquis d’Evans arriva sur ces entrefaites accompagné d’un petit groupe de Dominantes et Dominants. Ils venaient tous voir l’installation perverse des lieux avec ces esclaves embrochés.

- Venez mes amis, venez visiter mes installations sanitaires spéciales pour esclaves ! dit le Maître des lieux

A la venue des Dominants et surtout de Monsieur le Marquis d’Evans, le silence total revint instantanément. Pourtant le Maître n’avait guère haussé la voix, mais Sa naturelle Domination suffisait, Son charisme en imposait, Sa présence impressionnait !... Tous les esclaves furent examinés de près, une Domina s’intéressa plus particulièrement aux trois chiens soumis mâles. Elle tenait en main un fouet d’un mètre trente environ, un single tail, celui qui, lorsqu’on le faisait claquer, franchissait le mur du son. Et c’était d’abord sans les toucher qu’elle fit claquer le fouet, juste assez près pour que les trois chiens soumis entendent ce bruit énorme pas loin de leurs oreilles afin qu’ils puissent se mettre en condition. Doucement d’abord, elle fit claquer le fouet sur la poitrine de soumis Endymion MDE, une première enflure rouge apparue, puis une seconde et troisième. A chaque coup, soumis Endymion MDE émettait un cri et sentait son excitation mentale monter, correspondante à la fois à la douleur cinglante du coup reçu et à la douleur de son sexe qui bandait de plus en plus fort dans la cage. Son coté masochiste avait vite atteint son paroxysme. Il prenait plaisir par la douleur. Les congénères de l’esclave MDE reçurent eux aussi trois coups à l’identique et semblaient eux aussi apprécier grandement ce traitement. Un des deux mâles semblait apprécier encore plus qu’Endymion lui-même ! Il émettait des sons de sa bouche, des « hummm ! mouiiiiii ! hummmm !». Alors la Dominante s’approcha de lui et l’embrassa fougueusement sur la bouche et lui passa sa main sur sa poitrine chauffée, puis elle le gifla de deux magistrales baffes cinglantes :

- Qui t’a autorisé de parler ? … Alors pour te punir d’avoir émis un « mouiiii », je vais t’épargner ce que j’allais te faire … Mais regarde bien ce que je vais faire aux deux autres, regarde surtout le chien de Monsieur le Marquis, lui est dressé comme je souhaite que tu le sois un jour, un chien qui subit et qui sait se taire, qui reste dans le silence même s’il aime ce qu’on lui fait.

Alors, elle attrapa la cage de chasteté de soumis Endymion MDE et la montra à son esclave.

- Regarde un peu, seulement trois petits coups !

Effectivement la verge de soumis Endymion MDE était collée aux parois de cette cage, l’anneau qui maintenait ses couilles et qui était relié au tube était maintenant de travers, poussé vers l’avant, l’érection s’était déplacée entre l’anneau et le ventre puisque tout le reste était enfermé et contraint. Un filet de liquide séminal s’écoulait sans discontinuer. La Domina reprit son fouet et zébra les torses et les cuisses des deux esclaves mâles pendant cinq bonnes minutes, ceux-ci avaient l’air d’apprécier avec un plaisir masochiste le traitement mais en silence, seul leur visage trahissait l’excitation aux plaisirs jouissifs à la douleur du fouet. Puis elle s’arrêta subitement, approcha sa langue tout contre la queue encagée de soumis Endymion MDE, et délicatement léchait toutes les petites parties de son sexe qui sortaient des quelques trous de la cage, puis léchait le bout du gland fendu laissé libre dans toute la cage pour permettre les mictions. Elle tentait même de passer le bout de sa langue entre la cage et sa peau pour en lécher un peu plus, mais ce n’était pas possible, il n’y avait vraiment plus de place. soumis Endymion MDE, se tordait de douleur, d’excitation aussi, mélange de plaisirs, de frustration et d’impuissance face à son sexe qu’il ne maitrisait plus, il était bien, il était heureux …

(A suivre…)

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