La Renovation (7/8)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Encore une semaine de travaux qui commence et encore une semaine où je vais devoir subir Hamed et son équipe de saligaud.
Encore une semaine à faire la pute pour ces hommes qui sont de plus en plus avides de mes parties intimes.
Plus le temps passe et plus mon corps souffre de cette violence subie à petites doses tous les jours.
La seule peur que j’aie après tous ses jours de luxure, c’est que mon corps m’en demande encore plus lorsque la vie sera redevenue comme avant.
Me satisferai-je de la simple queue de Patrick alors que même si je vomis ce que je subis, je suis contente de retourner en prendre le moment suivant ?
J’ai l’impression que mon cerveau s’est déréglé depuis que je suis devenue la chienne d’Hamed.
À ce nom, je reconnecte, la seule chose qui compte pour le moment, c’est ma vengeance.
Elle se concrétise un peu plus chaque jour chaque fois que j’imprime une photo et que je la classe dans le dossier qui sera complet à la fin de la semaine avant que la fin du chantier.
Une de mes craintes chaque soir, c’est ce que va trouver comme nouveau vice le sadique de la bande.
Depuis le manche de pioche introduit dans mes orifices, lorsque je rejoins les hommes le soir, c’est lui que je regarde, car à son regard de malade, je sais tout de suite qu’il a trouvé un nouveau jeu.
C’est le cas ce soir où dès que j’arrive, je le voie jouer avec la cravache d’Hamed.
Comment là-t-il eut ?
Je la vois tous les jours sur le bureau de son patron qui aime m’en lacérer les fesses régulièrement.
Est-ce Hamed absent tous les soirs pour raisons familiales qui le manipulent afin de bander chez sa femme et la baiser en pensant à ce que le sadique me fait au même moment.
Le lendemain de ma soirée où la pioche a fini par me pénétrer, j’ai un doute d’une allusion à ce qui m’était arrivé.
Peut-être l’idée lui en est venue lorsqu’elle a cassé dans la journée.


À la fin de cette nouvelle soirée, il faut une fois de plus me porter chez moi mon cul ayant été fouetté jusqu’à la nuit.
Ils m’ont attaché à la largeur de la table de manière que mes jambes soient dans le vide, que mon cul soit accessible et que ma tête puisse atteindre leurs verges.
Le sadique avait laissé la cravache à disposition de qui voulait s’en servit et je peux dire qu’ils ont aimé me martyriser.
Deux fois la spatule est venue entre mes lèvres intimes déchirer la peau tendre et rose de ma vulve me faisant crier, mais quelques secondes après le mal se transformait en début de plaisir.
Cette nuit-là, j’ai été soigné et couché par les petits, j’ai élaboré avec eux comment demain après midi avant la fin du chantier, ils feront avec le dossier.
Le matin, j’avais rassuré Hamed en lui montrant un message de ma banque que je pourrais disposer des fonds à partir de 13 heures.
Je suis derrière mon ordinateur lorsque Hamed vient me chercher.
Dans la cour, la tranchée qu’ils ont commencée la veille est obturée par un caillou.
Un caillou qu’il va falloir contourner. Après il me conduit devant l’échafaudage qui leur sert à travailler sur le toit des chambres.

• Monte avec moi, il faut que tu voies un autre problème.

Je le suis et j’arrive à grimper jusqu’à la hauteur du toit. Dès que je suis sur le plancher, mes jambes se mettant à trembler, il faut que je redescende, car j’ai l’impression que je vais tomber.
J’arrive à rejoindre le côté de l’échelle, mais je me retrouve dos à l’échafaudage.
Impossible de bouger.
Hamed rejoint le sol et monte vers moi.
Ma chatte est à hauteur de sa figure, ce qui doit lui donner des idées. Il me fait descendre pied par pied.
J’arrive à descendre quand je sens qu’un de mes bras est saisi et que je me retrouve attaché par un collier électrique à l’un des montants.
Le sadique est à la manœuvre et mon autre bras se retrouve attaché à l’autre montant.

Ils veulent encore s’amuser avec moi avant leur départ.
Les cinq garçons sont là.
Deux me soulève les jambes me faisant mal aux poignets par les liens même si je me tiens à un barreau par mes mains.
Hamed, en patron, passe le premier et une fois de plus ce salaud arrive à me faire jouir.
Le sadique s’apprête à le remplacer lorsque le bruit d’une voiture qui arrive me parvient.
Horreur, c’est la voiture de Patrick. Comment peut-il être là ?
Il s’arrête à dix mètres de nous et constatant que j’ai une bite dans la chatte avec les autres qui attendent en se masturbant, la voiture repart et avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit disparais à ma vue.

• Détachez-moi, vite !

On me libère et je cours derrière la voiture.
Bien sûr, il est parti et lorsque je vois Hamed entrer vers son bureau, la panique me prend.
Si Yasmina et Ousman ont respecté le time mine prévu le dossier est sur son bureau.
Précipitamment j’entre dans la maison et je rejoins ma chambre où je m’enferme.
J’ai à peine tourné la clef que j’entends hurler.

• Salope, où es-tu, je te broierais, les putes de ton espèce, j’en baise chaque semaine. Tu gagnes une manche, mais tu entendras parler de moi.

Il vient tambouriner sur ma porte, mais comme la maison est ancienne l’épaisseur de celle-ci me protège de ses foudres.
Je l’entends dans la cour crier et donner des ordres.
Les hommes courent dans tous les sens. En quelques minutes l’échafaudage est démonté et chargé sur le camion. La bétonnière est attachée derrière et le matériel stocké dans la grange est embarqué.
Dans les minutes qui suivent le camion et la voiture d’Hamed partit le calme est revenu.
J’ouvre la porte et je descends dans le bureau. Ses affaires sont enlevées, le dossier est parti et il a explosé l’ordinateur.
Quel con, les clefs USB existent et Ousman et Yasmina en ont une comme moi, sans compter le double du dossier caché sous mon matelas.

Il nous faut attendre pour voir jusqu’où Hamed a la possibilité d’agir contre nous.
Je retrouve Yasmina et Ousman qui sortent de la maison des gardes.
J’ai tellement l’habitude de me promener nue que j’ai oublié de remettre mes vêtements, pour la première fois je suis gênée devant eux.
J’ai un geste de pudeur et je mets la main devant ma vulve.
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre.

• Le patron méchant parti nous tranquilles.

La coquine, pendant les moments où ils sont ensemble Yasmina, a commencé à apprendre le français à son sexe boy.
Bonne initiative, car lorsque tout sera rentré dans l’ordre, je souhaite continuer à travailler avec eux.
Si mon projet démarre, il y a toujours la possibilité de vivre à deux couples dans le domaine. Le logement des ouvriers réaménagé leur sera un gentil nid pour leur amour.
Ajouté à cela la paye pour mon travail et celui de Patrick, tout peut être positif pour nous.
Nul doute que les photos les montrant en train de baiser posent un sérieux problème à Hamed qui a perdu la face devant son frère.
À ce moment mon seul souci, c’est Patrick.
Je l’appelle et il refuse de décrocher.
J’appelle mon patron mentant un peu expliquant que des cambrioleurs ont volé l’ordinateur.
Je parle de vol, car j’ai peur que l’informaticien ne récupère le disque dur et trouve des choses me mettant mal à l’aise.
Il me parle de l’assurance et je le rassure.
Dès le lendemain, je suis de nouveau équipé.
La veille dans l’après-midi, je suis allé jusqu'à notre domicile.
Patrick est absent.
Je passe à son agence, son patron me signale qu’il lui a donné quinze jours de vacances après la magnifique affaire qu’il lui a fait faire aux États-Unis en terminant son dossier trois jours plus tôt que prévu.
C’est pour cela qu’il est arrivé inopinément au chantier et qu’il m’a découvert en posture embarrassante.
De retour dans la propriété, je lui écris une lettre lui donnant ma version de ce qui est arrivé.

Je vais tenter de lui envoyer sur son mail de son travail dont il m’a donné accès.

« Patrick, je suis catastrophé sur ce que tu as vu en arrivant dans notre résidence secondaire. »
Depuis le début des travaux que tu as accepté avec moi de confier à Hamed le contremaitre de l’ancienne société, je me suis trouvé confronté à cet homme très machiavélique.
Lorsque les travaux ont repris, sa gentillesse et la bienveillance qu’il a montrée mon endormi et lorsque je me suis réveillé, j’étais piégé.
Soit, je lui demandais de partir soit j’acceptais le chantage.
J’ai du mal à écrire ce qu’il demandait pour continuer les travaux et que l’investissement que nous avions accepté soit perdu.
Cela fait dix minutes qu’il m’est impossible d’écrire un mot.
Aller, je l’ai fait pourquoi le cacher.
Il m’a demandé de le sucer et il promettait de nous faire gagner un maximum d’argent.
Patrick, je t'ai tout dit de ma vie avant de te connaître, dès mes dix-huit ans, j’ai toujours été porté sur le sexe et tu en as bien profité depuis le début de notre relation.
Tu savais que mes amants m’avaient initié à toutes les subtilités alors je me suis laissé tenter, car faire une petite pipe à cet homme n’avait rien de plus difficile que ce que je faisais dans ma jeunesse.
J’ai mis plusieurs heures avant de passer à l’acte, mais lorsque j’ai entendu qu’il donnait des ordres pour partir et de nouveau nous retrouver avec les travaux arrêtés, j’ai fini par lui demander de venir dans son bureau.
Permets-moi de taire les détails de ce que j’ai dû faire et lorsque j’ai recraché son sperme par la fenêtre, j’étais contente d’avoir terminé ce mauvais moment à passer.
Je me suis couchée satisfaite d’avoir sauvé notre rénovation.
C’était mal connaître Hamed, le lendemain en regardant mon portable le ciel m’est tombé sur la tête.
Un fichier que j’ai ouvert et la photo me montrant à genoux devant lui le suçant sans aucune possibilité de dire que ce n’était une autre que moi.
Un texte suivait avec une liste impressionnante de personne à qui cette photo serait envoyée si à tout moment je refusais d’être sexuellement à la disposition de ses ouvriers.
Je te préserverais de tous les détails de ce que j’ai dû accepter pour éviter que ton patron reçoive cette photo et que tu te fasses virer.
En regardant bien la photo a été prise au bon moment par une personne qui était derrière la fenêtre qui était ouverte à cause de la chaleur.
Eh oui, j’ai décidé de tout te dire, je suis devenu leur pute, leur salope et même pour certains leurs chiennes.
Parmi eux, il y avait un sadique qui renseignait Hamed dès qu’il rejoignait sa femme le soir. Il m’était impossible de me rebeller, car chaque fois le chantage de leur départ m’était fait.
Un jour il m’a amené sa nièce qu’il lui était impossible à garder chez lui.
Yasmina, c’est comme cela qu’elle s’appelle était placé pour garder sa virginité son père souhaitant l’a marié au pays.
C’est avec elle et Ousman qui en pince pour elle que j’ai continué de voir ces hommes afin de piéger Hamed.
J’ai pris la décision de tout te dire, tu sais comment mon corps réagi lorsque l’on me caresse un peu et surtout mon clitoris qui démarre au quart de tour, je t’avoue donc que certains soirs même si mon cerveau disait non, je jouissais sous leurs doigts, leurs bouches et surtout leurs verges.
Lorsque tu es arrivé et que tu m’as vu entre leurs mains, le dossier piégeant Hamed venait d’être déposé sur son bureau.
Quand tu es parti aussi rapidement, je me suis réfugié dans notre chambre que j’ai bloquée et lorsqu’il a vu le dossier avec la lettre que je promettais d’envoyer à sa femme et à son frère certaines photos que j’avais prises montrant sa nièce, se faire dépuceler lui montrant tout le déshonneur qu’ils allaient endurer.
Il est parti dans les meilleurs délais avec les travaux à quatre-vingt-quinze pourcents terminés sans lui donner le moindre argent sur les 32 000 € que je devais lui donner sur un crédit de 50 000 € que j’ai souscrits.
Tu vois, je reconnais avoir été un peu une salope mais toujours dans notre intérêt.
Si tu me pardonnes, nous ouvrirons nos chambres d’hôtes rapidement. »

Voilà, j’envoyais le texte comme on jette une bouteille à la mer et te rappelle que c’est dans notre intérêt que j’ai subit toute cette horreur…

















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