Mon Apprentissage-1

Enfin, j’étais en vacances. Je venais de terminer mes études à Paris avec succès. J’avais réussi brillamment mon master STAPS. Au mois d’avril, j’avais répondu à une proposition de stage pendant l’été dans une entreprise spécialisée dans le coaching sportif à des particuliers à Cannes. Après quelques jours passés en famille, je me retrouvais à la gare ou m’attendais Jacques, qui était chargé de m’aider et de me guider.
Je m’appelle Paul et je suis ce que l’on appelle un beau mâle. 24 ans ,1m85, blond aux yeux bleus, un beau sexe long et épais, mon corps a été sculpté par des années d’activité physique. J’ai beaucoup de succès auprès des filles qui apprécient ma compagnie. Je pense être un bon amant, endurant. J’ai eu à deux reprises une petite amie, mais elles m’ont vite quittées, ne supportant pas que je sois sensible au charme des autres filles qui m’entouraient.
J’ai eu ma première relation sexuelle à 15 ans avec une copine de 17 ans. Cela fût une étreinte maladroite, un peu brutale mais je n’étais plus puceau. S’ensuivit des branlettes, quelques fellations et quelques étreintes rapides. J’eu aussi des séances de « touche-pipi » avec Daniel mon meilleur copain d’internat, un beau garçon, sportif comme moi. Un peu obsédé, il se branlait en permanence. Il a réussi à me convaincre de me joindre à lui et nous sommes passés à la branlette réciproque.
J’ai découvert ce qu’était le sexe véritable avec Sophie la belle-mère de Daniel. J’avais 17 ans. Ils m’avaient invité chez eux pour passer les vacances. Sophie était une femme superbe de 40 ans, rousse aux seins lourds, qui dégageait une sensualité animale. Jean son mari de 15ans son ainé, père de Daniel était un monsieur tranquille, éteint qui avait physiquement tendance à se laisser aller. Daniel était un garçon plein de vie, avec lequel je m’entendais très bien.
Il était visiblement très sensible au charme de sa belle-mère qui se promenait toujours en tenue très légère et qui ne se rendait pas compte de l’effet qu’elle faisait sur nous.

J’avais surpris Daniel l’épiant, lorsqu’elle se bronzait sur la terrasse, seins nus.
Daniel était très obsédé par les filles et le sexe. Amateur de revues, de films pornos, il n’arrêtait pas de se branler. Nous couchions dans la même chambre et je le voyais tout excité après ses lectures, son slip étant trop petit pour cacher son érection. Nous sortions avec quelques amies, mais malgré nos efforts cela n’allait pas plus loin qu’un flirt poussé.
Daniel avait un ordinateur et nous regardions les sites pornos. Le troisième soir alors que nous étions sur son lit regardant un film vraiment très hard, il s’est débarrassé de son slip et s’est mis à se caresser. Sa belle queue se dressait fièrement. Très excité par le film, une main sur sa queue il a posé son autre main sur mon sexe et s’est mis à me caresser. J’étais aussi excité que lui et à sa demande je me suis mis nu. Il a placé mes mains sur sa verge et m’a demandé de le branler. Je le sentais palpiter, vibrer sous mes caresses et c’était plus agréable que nos caresses furtives à l’internat. Très rapidement, je l’ai vu gémir, haleter. Un flot se sperme a jailli de sa queue. J’en avais partout sur les mains et sur les bras. Je suis allé dans la salle de bain pour me nettoyer et enlever sa semence. A mon retour m’a demandé de m’allonger et il m’a caressé en commençant par les épaules, les pectoraux. Sa bouche s’est posée sur mes tétons qu’il a suçé. J’étais de plus en plus excité et ma queue tendue. Il est descendu et après quelques caresses, il a commencé à me sucer. Ses mains avaient empoigné mes fesses qu’il caressait. Il m’a demandé de me lever et lui s’est assis sur le lit. Il m’a à nouveau embouché et s’est mis à me pomper vigoureusement. Ses mains continuaient à me caresser les fesses tout en les écartant. Mettent deux doigts dans ma bouche pour que je les humidifie, j’ai senti sa main redescendre et un doigt se coller sur ma rondelle et me pénétrer. M’ouvrant progressivement j’ai senti un deuxième le rejoindre.
S’en était trop. Je me vidais dans sa bouche avec un grand cri de jouissance. C’étai fabuleux. Je m’écroulais sur le lit savourant ce moment ou pour la première j’avais joui dans la bouche d’un autre homme.
Daniel me regardait avec tendresse. Je lui demandais pourquoi il ne l’avait pas fait plus tôt avec moi. En fait il avait revu un copain avec lequel il avait eu des relations il y a deux an Il l’avait invité à voir un film et son copain très excité avait commencé à le caresser puis à le sucer. Il n’avait pu que lui rendre la pareille et avait trouvé cette pratique très agréable.
Il m’informa alors qu’il avait pris l’habitude de regarder ses parents faire l’amour par un trou dans le mur d’un débarras jouxtant leur chambre. En fait c’était pour pouvoir admirer sa belle-mère car me disait-il son père était un piètre amant doté d’une petite bitte.
Les jours suivant furent pour nous deux une orgie de sexe. Pour la première fois je suçais un homme et reçu son sperme en bouche. Nous adorions nous placer en 69. Je voyais aussi qu’il s’intéressait à mon cul. Il me proposa d’abord de l’enculer. Après m’avoir guidé dans la préparation, je l’ai pénétré non sans mal car ma queue est plutôt épaisse. Je sentais que je lui faisais mal. Une fois en place il s’est habitué et j’ai pu le besogner et me répandre en lui.
Systématiquement dès que nous nous caressions, il me travaillait le cul. Il devenait de plus en plus souple et acceptait plusieurs doigts. J’étais prêt. Il me fit mettre à quatre pattes, cul en l’air. Il m’enduisit la rondelle de gel et commença à m’élargir le cul. Quand il estima que j’étais prêt, il présenta son gland et commença à pousser. Heureusement qu’il était moins gros que moi. A un moment, mon sphincter céda et je le sentis au fond de moi. C’était fabuleux. Il m’avait si bien préparé que j’ai seulement ressenti une petite douleur. Il s’est mis alors à me besogner en me branlant. Nous avons pratiquement jouis ensemble. J’ai senti son sperme chaud se déverser en moi et les soubresauts de sa jouissance finale.
Je n ‘étais plus puceau du cul.
Nous sentions au fond de nous que je nous n’étions pas gay. Nous recherchions seulement la jouissance physique. Si nos copines avaient été plus compréhensives nous n’en serions pas arrivés là.
Daniel me proposa de voir ses parents faire l’amour. C’était chez eux une habitude de le faire le samedi. On se cacha dans le débarras et nous attendîmes quelques minutes leur arrivée. Ils se déshabillèrent. Sophie était superbe. Ses seins très lourds se tenaient convenablement avec des aréoles larges et des bouts qui pointaient. Ses fesses ne demandaient qu’à être pétries et caressées. Elle était épilée et ses grandes lèvres ressortaient bien.
Jean était un homme avec un embonpoint marqué, un petit sexe. Il avait peu de poils. Il s’allongea sur le lit et Sophie le prit en bouche pour lui donner de la vigueur. Elle nous tournait le dos. On voyait sa tête monter et descendre et son cul s’agiter. Après avoir réussi à le faire bander, elle se précipita sur lui et introduisit son sexe en elle. Après quelques va et vient on vit le corps de Jean se tendre et il jouis très vite. Sophie continua ses mouvements mais rapidement elle descendit du lit. Le sexe de jean était tout flasque. Sophie était visiblement déçue et n’avais pas eu son compte. Jean se mit sur le côté tournant le dos à sa femme. Sophie s’assit dans un fauteuil face à nous , écarta ses cuisses et se mit à se masturber, un doigt caressant son clitoris et les doigts de l’autre main pénétrant son vagin. Puis elle se leva et revint avec un gode impressionnant. Elle l’humidifia en le suçant et se l’introduisit dans le vagin avec un gros soupir de satisfaction. Jean s’était endormi et ronflait comme un sonneur. Daniel s’était mis à genoux et me suçait. Sophie se godait de plus en plus frénétiquement, une main sur le gode et l’autre triturant ses téton. Elle se mordit les lèvres avant de jouir en secouant la tête sous l’effet du plaisir. Je me répandis presqu’aussitôt dans la bouche de Daniel.

Nous nous retirâmes silencieusement. Ce couple était visiblement mal assorti. En interrogeant Daniel, il m’apprit que son père n’arrivait plus à satisfaire sa belle-mère qui était de plus en plus frustrée.
Nous étions bien avec les sorties avec les copains et les copines, les flirts et nos parties de sexe. Mon cul s’était habitué au sexe de Daniel et lui au mien.
Jean était très discret, nous ne le voyions pas très souvent. Sophie se promenait toujours en tenue très sexy. Elle ne se rendait pas compte de la sensualité qu’elle dégageait. Elle nous attirait beaucoup. C’était vraiment autre chose que les minettes que nous fréquentions. Je voyais aussi qu’elle me observait. Le contraste avec son mari lorsque nous étions tous en maillot de bain, était frappant.
Neuf jours après mon arrivée, Jean et Daniel ont eu un accident grave de voiture et se sont retrouvés à l’hôpital. Comme je ne savais pas où aller, Sophie me proposa de rester et de lui tenir compagnie. Le soir je la trouvais en pleurs. Elle était vêtue d’une robe légère, bien décolletée. Elle ne portait pas visiblement de soutien-gorge. J’étais en short torse nu. Je voulu la consoler et la pris dans mes bras. Elle se blottit contre moi et je sentais ses seins lourds contre ma poitrine. Je lui caressait les cheveux et tentait par ces gestes d’assécher ses larmes. Sentir cette belle femme tout contre moi m’excitait terriblement et mon sexe se tendait progressivement. Elle ne pouvait pas ignorer mon état et au fur et à mesure que mon excitation grandissait elle frottait son ventre contre le mien. Je la serrais de plus en plus fort contre moi, plaçant mes mains sur ses fesses pour accen cette pression. Sa tête se leva vers moi et je vis que ses larmes avaient séché. Elle me souriait tendrement. Sa bouche entrouverte était une invitation . Nous nous embrassâmes. Nos langues jouaient ensemble. Mes mains découvraient ce corps superbe.
Elle quitta mes bras et s’assit sur le canapé. Elle m’enleva mon short et mon slip pour libérer ma queue qu’elle prit en bouche. C’était divin. Daniel était doué mais sa belle-mère l’était plus.
Elle me pris par la main et me conduisit dans sa chambre. Elle m’allongea sur le lit. Elle déshabilla et vint sur mes jambes. Me mettant les bras en croix, elle me demanda de me laisser faire.
Elle commença à me caresser le torse en m’embrassant partout. Je sentais sa bouche et sa langue sur moi. Je bandais comme un âne. Elle se mit ensuite à me caresser le torse avec ses seins. Je sentais ses bouts aller et venir c’était super.
Elle me reprit en bouche. Je sentais sa langue sur mon méat et le long de ma verge. Après m’avoir bien sucé, elle m’enjamba et s’empala sur mon sexe.
Elle ramena mes bras sur son corps et plaça mes doigts sur ses tétons en me demandant de les travailler. Commença alors une chevauchée fantastique. Elle montait et descendait sur ma verge, je lui triturais les tétons et les seins. Elle ahanait, elle gémissait, je sentais monter son plaisir. Tout d’un coup elle se raidit et s’effondra sur moi. Je sentais son sexe tressauter. Avec un cri de jouissance je me vidais en elle. Qu’elle jouissance ! Je n’étais plus puceau.
Je la pris dans mes bras et elle se pelotonna contre moi. Je caressais ses cheveux, son dos, ses belles fesses. Nous étions très bien, Je sentais son souffle sur ma poitrine. Elle était apaisée.
De longues minutes passèrent. Je sentais ma vigueur renaître. Je la mis sur le ventre et commençait à lui caresser les fesses et le dos. Du sperme coulait de son sexe. Je l’étalais sur sa raie et pénétrais sa rondelle en l’ouvrant doucement.
Je la mis à quatre pattes et m’enfonçais dans son sexe. J’allais et venais en elle. Mes mains trituraient ses seins et mes doigts jouaient avec ses bouts. Elle se caressait le clitoris. Ses gémissements m’excitaient et me faisait accélérer mon va et vient jusqu’à être en cadence avec eux. Nous jouîmes ensemble et je me déversais en elle une nouvelle fois. Elle se mit à plat ventre et moi je la couvrais. La sensation de ses fesses sur mon ventre était sublime.
Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre. Nous n’avions pas échangé deux mots.
Au cours de la nuit, je fus réveillé Sophie qui sanglotait. Elle s’en voulait d’avoir cédé à ses pulsions et d’avoir couché avec l’ami de son beau-fils pendant que ce dernier et son mari étaient à l’hôpital. Elle manquait tellement de sexe depuis longtemps qu’elle n’avait pas pu résister quand elle avait senti ma queue contre son ventre. Je tentais de la rassurer. Ce qui était fait était fait et il ne fallait pas revenir dessus. Je lui dis que j’étais heureux qu’elle m’ait dépucelé, qu’elle était magnifique et qu’elle méritait d’avoir une vie sexuelle épanouie. Je serais en plus très heureux qu’elle m’éduque car je voulais être plus tard un bon amant capable de satisfaire mes partenaires. Elle me raconta sa vie et sa frustration. Son mari ne s’intéressait pas à elle et elle ne voulait pas prendre d’amant. Elle se consolait par des masturbations effrénées et par des godes.
Je lui dis que ma queue et mon corps étaient à sa disposition et qu’elle pourrait en user comme elle voulait.
Pour toute réponse elle descendit le long de mon corps me pris en bouche et avala mon sperme lorsque je me vidais dans sa bouche.
Commença alors une des meilleures périodes de ma jeune vie. Il me restait 15 jours de vacances. Nous allions voir tous les jours Jean et Daniel. Le reste du temps nous vivions que pour le sexe et Sophie rattrapais le temps perdu. Elle m’apprit à me servir de ma langue pour faire jouir une femme. Nous adorions les 69 car ils nous donnaient accès à nos sexes et à nos culs. Nos rondelles s’élargissaient. Elle me demanda de la sodomiser et fit de même avec moi avec un gode. Elle trouvait mon anus très souple. Si elle savait qui l’avait rendu ainsi !
Elle m’apprit ce qu’était une cravate de notaire et j’éprouvais beaucoup de plaisir à faire coulisser ma queue entre ses seins et à jouir sur son visage.
Huit jours avant mon départ, Daniel me demanda un jour à l’hôpital de le branler et de le sucer. Je m’exécutais mais ce n’était plus la même chose. Il le sentait et se demandait ce qui m’avait changé.
En rentrant retrouver Sophie, elle s’aperçut que j’étais perturbé. Je lui avouait tout et lui racontait ce que j’avais fait avec son beau-fils et comment nous étions devenus amants. Au début choquée elle me demanda des détails et lui racontait que son fils était un bon partenaire et que lui aussi était excité elle et qu’il l’observait faire l’amour. Il la plaignait beaucoup d’être obligée de se contenter de ses mains et de godes. Il ne se désolait que d’une chose, de n’avoir connu que des garçons. Il rêvait de séduire une femme mais toutes n’allaient pas plus loin qu’un flirt. Visiblement elle était troublée par mes propos.
Le lendemain j’avouais tout à Daniel, ma liaison avec sa belle-mère. Il n’était pas choqué et étais plutôt content pour sa mère.
Deux jours après nous nous retrouvâmes tous les trois à la maison, Jean restant à l’hôpital. Une certaine gêne s’était installée. Le soir je m’apprêtais à regagner la chambre de Daniel lorsque celui-ci me demanda d’aller retrouver sa mère. Je savais bien qu’il allait retrouver le débarras et nous observer. Sophie était aussi excitée car elle savait que son fils la regardait. Ce fût une soirée magnifique. Sophie était déchainée enchainant fellations, baises et pour finir sodomie mutuelle. Daniel devait avoir la queue en feu à force de se toucher.
Au petit matin j’allais dans la chambre le réveiller par une fellation. Sophie m’avait suivi et me regardait faire. Daniel regardait sa belle-mère, nue avec amour. Il lui fît signe de venir, elle s’approcha et pris ma place et après un long baiser commença à le sucer. Je me plaçais derrière elle et la pénétrais. Accélérant son mouvement de succion, son fils avec un grand cri se répandit dans sa bouche tandis que je me vidais en elle. Elle se blottit dans les bras de Daniel et je les laissais tous les deux apprécier ce moment.
Se tenant par la main, ils me rejoignirent dans la chambre de Sophie qui me remercia pour ce que j’avais fait. Elle était transformée, ses yeux pétillaient. Elle nous regardait avec amour et reconnaissance. Daniel allait connaître l’amour avec une femme. Elle nous demanda de nous allonger sur le lit tête bêche. Elle se pencha pour sucer Daniel et me demanda de nettoyer son sexe avec ma langue afin de recueillir mon sperme, trace de mon dernier assaut. Elle se présenta sur ma bouche. Avec mes mains j’écartais les lèvres de son sexe d’où perlaient des gouttes de ma semence. Avec ma langue et ma bouche je commençais à la lécher. Elle me guidait et je sentais au travers de ses mouvements que cela lui plaisait. Elle était prête. Elle me demanda de tenir le sexe dressé de mon ami et elle s’empala dessus avec un soupir de satisfaction. Je m’écartai pour mieux voir cet acte d’amour entre deux êtres qui n’auraient jamais pensé se trouver dans cette situation. C’était vraiment un beau couple. Ils étaient beaux et le tableau formé était harmonieux. Ils étaient en totale communion et je n’avais pas ma place dans ce tableau. J’éprouvais sans doute un début de jalousie.
Sophie se mit à hurler sa jouissance. Elle était déchaînée, comme folle allant et venant sur le sexe de son amant. Au sommet de son plaisir elle s’écroula sur lui. Daniel continuait à la saillir. Elle était comme un jouet entre ses mains. Il la renversa sur le dos. Accélérant ses coups de terrain, il se répandit en elle avec un cri de satisfaction. Je m’approchais d’eux et caressait leurs cheveux. Ils étaient anéantis par la découverte du plaisir qu’ils avaient ressenti. Sophie était lovée contre Daniell. Leurs jambes étaient emmêlées. Une forte odeur de foutre se dégageait de leurs corps. J’étais en trop et je les quittait, heureux pour eux mais quelque peu jaloux de cette harmonie qu’il avait montré. Je réalisais que Sophie n’avait vu qu’en moi un sexe. Avec Daniel c’était autre chose. Il y avait des sentiments entre eux. Elle s’était attachée à ce bel adolescent qu’elle voyait tous les jours. Il avait fallu mes révélations pour qu’elle s’aperçoive que non seulement qu’elle l’appréciait mais aussi qu’elle avait envie de lui. Peu lui importait que jean soit le père de Daniel, elle avait trouvé son partenaire.
Les derniers jours furent sublimes. Nous avons expérimenté ce que nous pouvions faire à trois, mais les meilleurs moments furent lorsque nous pénétrions Sophie. Nous adorions la prendre à deux moi dans son sexe lui dans son cul ou sa bouche ou inversement. Elle aimait beaucoup nous voir en 69. Cela lui permettait de nous travailler le cul et de nous doigter simultanément.
Nous dormions tous les trois ensemble et les réveils par la bouche de l’un ou l’autre un vrai bonheur. Nous passâmes une nuit blanche avant qu’ils ne me raccompagnent à la gare. Les vacances étaient finies.
Jean mourût à l’hôpital. Sophie et Daniel héritèrent d’une coquette somme d’argent. Sophie décida de s’exiler en Australie. J’ai régulièrement des nouvelles d’eux et ils vivent heureux ensemble.

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