Escapade Coquine Entre Amies

Au bureau j’ai une amie, Annick, qui me parle souvent des frasques que son mari lui fait ‘subir’, mais a mon avis elle est plus consentante qu’elle ne veut l’admettre, elle ne se doute pas que ses récits me font gamberger, la nuit, lorsque Jérôme ronfle je passe mes doigts dans ma fente inondée en imaginant un amant dont je ne vois pas le visage me faire du bien, ou plutôt, lui faire du bien car mon fantasme est de sucer des queues dans le noir afin que son propriétaire ne voit pas ma gourmandise, jusqu'à ce lundi où elle me raconte son weekend

- Tu ne devineras jamais ce que j’ai fais samedi soir
- Non, mais tu va me le dire !
- Patrick m’a emmenée au sex-shop
- Tu as acheté quoi ?
- Je n’ai rien acheté
- Alors qu’y a tu fait ?
- Tu le connais celui prés de la gare ?
- Hélas non, ce n’est pas le lieu de villégiature préféré de Jérôme !
- Tu rate quelque chose ma vieille ! figure-toi qu’il n’y a pas que des rayons avec des films et des articles plutôt moches
- Ah ??
- Oui, Patrick a parlé longtemps a voix basse avec le propriétaire, après m’avoir détaillée des pieds a la tête, oui, j’avais mon petit ensemble de ‘chaudasse’ comme dit mon mari ! ce vicieux m’a pelotés les fesses en nous dirigeant dans le fond de la salle par une porte camouflée derrière une tenture, avant de refermer cette porte sur une sorte de couloir il a mis en garde Patrick : ‘Pas de bordel les amoureux, bonne soirée madame’, j’ai répondu merci sans rien comprendre
- Accouche, ça devient passionnant !
- Quand mes yeux se sont habitués à la lumière tamisée j’ai vu des bites de toutes tailles dépasser de chaque cotés de la cloison
- Hein ??? rien que les bites ? pas les mecs ?
- Oui ! par des trous bien placés, je ne te raconte pas la grosseur des manches !

Mon fantasme venait de faire surface à vitesse grand V ! Ma chatte a fait immédiatement une bulle au fond de mon string, je serre mes cuisses l’une sur l’autre afin d’exciter mon clito

- Va-y Annick, raconte !
- ‘Régale-toi’ qu’il me dit ! – quoi ? – régale-toi, suce celle que tu veux - Celle que je veux ? - Oui, même plusieurs si le cœur t’en dit
- Tu déconne !
- Je t’y emmènerais si tu ne me crois pas, je me suis penchée sur une bien recourbée, genre banane, dés qu’il a senti ma bouche le mec s’est mis à donner des coups pour que j’avale bien son membre, je caressais sa grosse paire de couille qui dépassait aussi
- Hoouuuaaa …t’as été jusqu’au bout ?
- Pire que ça.

.. Patrick a relevé à mini jupe et écarté mon string, j’ai pensé qu’il voulait me masturber ou me prendre en même temps, mais non ! il m’a manœuvrée pour approcher mon cul de l’autre coté du couloir, et là j’ai senti une autre verge frotter mes fesses, qu’aurais-tu fais à ma place ?
- Alors là ???
- Hé bien je me suis positionnée avec l’aide de mon mari afin que la queue trouve le trou de ma chatte
- Non ??? !
- Si ! je suçais et je me faisais baiser en même temps ! en quelques minutes j’ai eu la bouche et la chatte pleines de foutre
- Tu permets ? il faut que j’aille aux toilettes …
- Tu va te masturber ?
- Bah !

Et si ! Je me suis astiquée pour percer a jour l’orgasme qui me tenaillait depuis ses révélations …j’ai remit discrètement ma petite culotte souillée dans mon sac a main

- Ça va mieux Pauline ?
- J’avais une grosse envie ! … c’est vrai tout ce que tu m’as dit ??
- Authentique ma vieille, j’y reviendrais c’est certain ? c’est trop hot !
- Avec Patrick ?
- Avec le recul, maintenant que je connais le patron, sans la présence de mon mec ça me tente ! !
- Ah …
- Tu veux que je t’y emmène c’est ça ?
- Figure toi que c’est ce dont je rêve souvent lorsque Jérôme me prend sans préliminaires, pour sa satisfaction personnelle, a chaque fois je me promets de trouver des inconnus rencontrés au hasard pour les sucer et si je ne vois pas leurs têtes c’est encore mieux
- Je vais téléphoner au sex-shop… allo ? bonjour, je ne sais pas si vous rappelez de moi, j’étais chez vous samedi soir avec mon mari …oui je suis cette femme … merci, oui je sais, je suis bonne … oui j’aimerais revenir, mais seule cette fois, où plutôt accompagnée d’une amie, vous nous trouvez ça pour demain en fin d’après midi ? merci monsieur, oui éventuellement mais je ne sais pas si mon amie sera d’accord … nous verrons cela sur place, a demain
- Alors ??
- C’est OK pour demain, il va nous trouver quelques bons étalons
- Dis-moi, j’ai rêvé ou j’ai cru comprendre qu’il t’a baisée aussi ?
- Heeeeeuuuu oui, c’est sa façon de se payer pour ‘service rendu’
- Et donc il a l’intention de me sauter aussi ?
- Nous n’en somment pas là, profitons de cette escapade

Toute la soirée et une partie de la nuit, une main entre les cuisses, je n’ai pensé qu’à ça, pomper une belle queue qui dépasse d’une cloison, j’ai prévenu Jérôme que je risquais de faire quelques heures supplémentaires
Nous avons mangé sur le pouce à midi afin de sortir plus tôt du bureau, je l’ai imitée lorsqu’elle a mis sa culotte dans son sac à main, sur le trajet nous n’avons pas échangé un mot, trop tendues par l’escapade que nous allions faire, l’homme ventru nous a accueillies avec un grand sourire et nous a dirigées discrètement vers la fameuse porte aux merveilles, avant de la refermer sur nous il a insisté pour passer une main au cul a Anick qui, pour avoir la paix se laisse faire

- Hoooouuuu cochonne, tu n’as pas de slip ? ta copine non plus je suppose ?
- Laissez là, et à présent laissez nous seules s’il vous plait
- OK, pour votre sécurité je repasserais dans un moment
- C’est cela, a plus ! quel profiteur celui là, regarde chérie, regarde ces beaux membres ! lequel veux-tu ?
- J’hésite, sert toi !
- Moi je vais sucer celle-ci elle est bien trapue comme j’aime, et en face il y en a une assez longue pour me baiser !

Je ne la croyais pas aussi vicieuse, mais après tout tant qu’a tromper autant le faire a fond ! J’avais peur qu’elle ne choisisse la belle noire qui tressaute pour se signaler, comme une enseigne, je relève ma jupe pour ne pas poser mes genoux dessus au cas où je voudrais caresser ma moule en même temps, je bave devant ce membre d’ébène
Elle est zébrées de grosses veines, je la prend délicatement dans ma paume, l’homme se colle au trou et attend, je la relève afin de passer ma langue plusieurs fois sur toute la longueur aussi raide que du bois, une fois revenue au frein je m’y attarde minutieusement, une énorme goutte pendouille au méat , je l’avale en même temps que le gland de couleur marron, dieu qu’il est soyeux … je tète , aspire, lèche, branle mon nouveau jouet , je perçois des gémissements qui me conforte dans ma compétence a sucer, mon entrecuisses est trempé, qu’il décharge vite que je passe a une autre !
Derrière moi Annick rugit, je me fous de ce qu’elle peut faire, du moment que j’assouvie mon fantasme, soudain une main se pose sur mes reins …pas question de décoller ma bouche de ce membre alors je laisse faire la main qui descend sous ma jupe pour dessiner le contour de mes fesses avant de venir entres-elles, instinctivement je relève la croupe, il n’en fallait pas plus a la bite pour chercher à me baiser, trempée comme je suis la pénétration se fait sans à-coups, de ce fait ma bouche sert de chatte a la queue noire qui me laboure méthodiquement les mâchoires, mes rugissements étouffés par la verge se mêlent a ceux de ma copine qui se manifeste soudainement

- Vous vouliez absolument vous taper ma copine hein ?
- C’est normal non ? je vous fournis des mecs je veux ma part du gâteau, tu feras gaffe tu as du foutre dans les cheveux ! va sucer et laisse moi tringler ta copine, elle est trop bonne !
- Gros dégueulasse ! ça va chérie ?
- Muuuuuummmmmm ….
. rraaaaaaaaaah !

Au moment où elle me parle je reçois une fusée chaude et épicée dans la gorge, suivies de nombreuses autres qui coulent aux commissures de ma bouche, le type qui me baise jouis et me laisse retomber a genoux, la queue noire débandée disparait derrière la cloison et le propriétaire va s’adosser au fond sans sortir du couloir, il guette encore un bon coup

- Alors Pauline ?
- Wooouuuh c’est du lourd !
- Ont continue ?
- Qu’a tu fait toi ?
- La même chose que toi, prise par les deux bouts !
- Pour changer je vais coller ma chatte à un trou
- Avec un peu de souplesse ça doit pouvoir se faire, regarde celle-ci comme elle est longue
- Elle me plait bien
- Penche-toi et colle tes fesses dessus il va comprendre tes intentions

Une fois déshabillée, pour être plus a l’aise et éviter les taches c’est ce que j’ai fait, la verge s’est retirée pour faire place a une main qui m’a aussitôt doigtée les trous, avec le foutre encore accumulé a l’intérieur un bruit gênant emplit le couloir, pour lui faire comprendre ce que j’attends de lui je bouge mon cul en signe d’impatience, ce qui est bien dans cette situation c’est qu’il n’y a pas de paroles inutiles, je me fous que le mec soit moche pourvu qu’il bande, ça y est le gland dépasse, je place l’entrée de ma vulve a bonne hauteur et recule légèrement, jambes écartées, les mains en appuis sur les genoux, penchée juste comme il faut, je me fais allégrement bourrer le minou

Hélas c’était sans compter sur le patron qui est resté à l’affut, sa bite se balance sous mes yeux, il tire sur mes cheveux pour m’obliger à relever la tête

- Accroche-toi à ma taille et suce moi salope
- Vous n’êtes qu’un porc !
- Encore une parole de ce genre et je vous balance a vos maris les grognasses ! suce j’te dis

Résignée je gobe ce bout qui sent encore ma chatte mélangée son sperme acre, heureusement la queue qui me laboure merveilleusement l’entrecuisse me fait oublier ce calvaire, il ne faut pas craindre le mal aux reins pour ce genre d’exercice

- Ça vous dirait les filles que j’invite ces messieurs à venir vous rejoindre dans le couloir ?
- Ils sont comment ?
- Pour une fois vous tombez bien, ils sont la mesure de leurs bites, ainsi vous pourriez varier les positions
- Ça te dit Pauline ? je ne serais pas contre une bonne double pénétration
- Pour les exciter vous pourriez vous caresser
- Si nous acceptons vous sortez monsieur !
- D’accord, vous reviendrez ?
- Surement, allez chercher ces messieurs, ont se fait un soixante neuf en attendant les queues Pauline ?
- Je vais tout découvrir en une seule sortie ! Je viens sur toi
- Bonne pioche, tu va te faire tirer de suite avec le cul en l’air !
- Si ça arrive je te laisse avec les autres car moi aussi j’en veux deux
- Dans le même trou ou bien… ?
- Je veux tout faire !
- Pas tout ce soir, il va falloir songer à rentrer, nous reviendrons soit rassurée

Au début mettre le nez dans une chatte qui vient juste de servir n’est pas évident mais le désir de me prendre deux sexes dans le vagin est le plus fort, à peine je commence à laper qu’un brouhaha se fait entendre, par vice je remue la croupe afin d’attirer les mâles, des ombres se dessinent autour de nous, des mains caressent mon dos, ma croupe, Anick cesse de me lécher, je ne résiste pas lorsque l’on me bascule sur le coté, couchée sur le dos je vois une forêt de pines au dessus de moi

- Salut beauté, alors ? On veut se faire bourrer les trous ?
- Jeeee, je ne sais pas ….

- Ne fait pas ta timide nous avons du boulot, tu vois ce braquemart ? hé bien tu va venir t’assoir dessus

Le mec n’est pas mal et sa queue est superbement érigée, il s’allonge a même le carrelage et me fait signe, je roule sur le coté et enjambe sont torse, je recule jusqu'à toucher la queue, en appuis sur une jambe et la bite dans une main que je dirige vers ma fente qui s’égoutte sur ses poils, je m’abaisse en douceur, je savoure d’être de nouveau emplie de chair chaude et raide …

- Qui se joint a moi pour faire jouir madame ?
- MOI !
- Dans le même trou hein ? pas question de me faire sodomiser aujourd’hui
- OK, nous allons va t’éclater la choune, laissez moi m’installer ….

Un gland se balade le long de me fente pour récupérer de la mouille avant d’insister sur le haut de ma vulve écrasant au passage mon clitoris devenu très sensible, les dents serrées j’attends qu’il fasse son passage tandis que celui sur lequel je suis assise malaxe sans précautions mes nichons, je vois des étoiles lorsque la queue s’enfonce en moi, je m’affaisse le temps de m’habi a la présence de mes locataires qui ne perdent pas de temps pour me limer a tour de rôle, c’est l’apothéose ! Le nirvana
Par mes cils entrouverts et ma vue brouillée par le plaisir je vois Annick comme moi, à cheval sur un homme, j’ai entrçus les queues dans ses deux trous, cette salope se fait bourriquer le cul et la chatte tandis qu’elle tend sa bouche a un autre mec, j’en déduis qu’ils ne doivent être que cinq sinon ma bouche servirais de vide couille également
Ce n’est que partie remise, la prochaine fois je vais battre des records

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