La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 540)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°539) - La cérémonie du baptême d'esclave MDE -
On laissa lesclave ainsi pendant un temps certain, replié sur ses désirs, ses plaisirs, ses envies toujours croissantes, ses réflexions intimes. Il se tourmentait lesprit pour savoir ce quil dirait à Monsieur le Marquis dEvans, une fois libéré. Il avait tant de choses à lui dire, de bien belles choses
Ce fut le Maître lui-même qui libérait son chien soumis doucement, bandelette de latex par bandelette, une par une jusquà que son corps nu fut entièrement rendu à lair libre
Lesclave MDE était épuisé, mais tellement satisfait
Jamais, il neut à user de ce safeword qui lui avait été autorisé, jamais ses pouces navaient bougé dun iota ! Il se jeta aux pieds du Maître pour lui dire ce quil avait à lui dire.
- Contente-toi de baiser mes pieds chien ! Garde tes impressions pour linstant.
Monsieur Walter ici présent, attrapa le chien soumis et lemmena sous la douche
Il put se ressourcer sous une eau autorisée chaude et bienfaitrice, puis une fois lavé et séché, Monsieur Walter, lui annonça que la cérémonie du baptême allait et pouvait commencer. Il lui installa un bandeau sur les yeux, lui intima lordre de poser une main sur son épaule et de le suivre. Ils commencèrent à descendre les premières marches de lescalier. soumis Endymion se sentit vacillant, branlant, chancelant, certainement pas brillant. Son pas était hésitant, il se tint à la rampe, il avait peur de sécrouler
oui peur, peur de lui, de ses réactions, peur de ce qui allait suivre, peur de cette cérémonie païenne, son estomac se noua
Bien quaveuglé, il sentit régner la pénombre dans cette grande pièce, le silence était total, il en était impressionné, plus encore vacillant.
Monsieur Walter lui indiquait la dernière marche, il posa son pied gauche sur le sol du pavé froid. A peine avait-il mis le pied droit qu'une mélopée dune musique le saisissait, le transportait, le transcendait, lexhortait.
Elle fut longue la route, mais je lai faite, la route, celle-là, qui menait jusquà vous, et je ne suis pas parjure. Si ce soir, je vous jure que, pour vous, je leus fait à genoux
Oui, il leut fait cette route, bien plus quà genoux ! Mais maintenant, ce nétait pas à genoux quon lui demandait davancer encore, mais bien debout (pour le moment). On tirait sur sa chaine, il marchait. Il marchait dun pas hésitant parce quaveuglé, mais lesprit libéré, lesprit affranchi, lesprit reposé. Il devait encore devoir affronter les épreuves dun rituel que le Maître avait, sans aucun doute possible, construit subtilement, selon un ordre, une chronologie, des symboliques précises et bien huilées. Mais il était confiant. Il avançait décidé en se laissant guider, il avançait librement même sil était enchainé, il avançait et me mettait à espérer. Oui ça y était, il allait pouvoir devenir, par sa volonté et son acceptation mais aussi laide et le soutien du Maître, un vrai slave MDE baptisé !.
- A plat ventre Mes chiennes ! ordonna Monsieur le Marquis dEvans
Aussitôt dit, aussitôt fait. Les trois esclaves MDE se mirent à terre sur ce pavé, tels des vers, des larves. Ils avançaient en rampant lentement, sous les regards de tous ceux présents. Cétait complètement libres et déterminés, quils exhibaient pleinement leur soumission. Ils étaient tous trois convaincus de prendre la bonne direction. Ils étaient prêts, Ils en étaient sûrs et certains désormais. Ils ne ressentaient même pas lonce dun doute, dun outrage. Oui, ils rampaient vers cette lumière que tendait le Maître. Oui, Ils lui cédaient leur être tout entier quels que soient les humiliations, les privations, les entrainements et les châtiments quil exigerait demain ! Ils avaient, tous les trois, pleine conscience que pour chacun, leur corps, leur esprit ne leur appartenait plus, quils étaient totalement propriété du Maître, Monsieur le Marquis.
- Mettez-vous à genoux désormais Mes chiennes !
Monsieur le Marquis dEvans approcha de Ses esclaves, vers ses deux femelles dabord. Il posa Ses mains sur leurs têtes courbées vers le sol. Un grand baquet deau fut immédiatement posé devant elles par deux esclaves.
- Mes deux chiennes, je vous baptise toutes les deux, toi, par ma volonté, tu porteras définitivement et désormais officiellement dans Mon Cheptel, le nom de soumise Phryné MDE et toi celui de soumise Laïs MDE. Soyez fières de porter ces noms que jai choisis pour vous. Ils proviennent tous deux de la mythologie de la Grèce Antique, et vous savez combien jaime cette période historique ! Soyez fière, plus encore, de porter mes Nobles Initiales MDE. Je les distribue rarement, seulement à celles et ceux qui ont mérité Mon attention, une attention particulière, pour celles et ceux les plus méritants.
Le Maître se tut longuement
.
- Voulez-vous vous exprimer Mes chiennes ? Vous y êtes autorisés
Soumise Phryné MDE releva la tête quelques secondes, elle tenta de dire quelques mots, mais sa forte émotion lemporta. Elle était tellement heureuse que des grosses larmes coulèrent sous ses joues. Soumis Laïs MDE ne put elle non plus exprimer le moindre mot. Elle aussi fondit en larmes, cétait pour elles, un accomplissement, la suprême récompense... Le privilège, lhonneur de vivre et dêtre à Ses pieds uniquement pour satisfaire le Maître et cela, jusquà la fin de leurs jours
- Votre émotion à plus de valeur pour moi que tout grand discours ! Tendez vos mains dans les miennes, voyez en ce geste toute une symbolique, vous vous remettez à Moi, rien quà Moi, pour toujours.
- Merci
Merci Monsieur le Marquis dEvans ! lança soumise Phryné MDE entre deux sanglots. Cest le plus beau jour de mon humble vie
- Maître, je suis fière de vous appartenir, à vie, désormais ! reprit soumise Laïs MDE, elle aussi étouffée par des spasmes de joie sincères et véritables.
Le Maître prit entre Ses mains la tête de soumise Phryné MDE et par trois fois la plongea dans le baquet rempli deau. Il opéra de la même façon avec soumise Laïs MDE.
- Vous voilà baptisez mes chiennes femelles, jattends de vous des efforts, de la persévérance et bien dautres choses encore. Soyez fières dêtre Ma pleine et entière propriété pour tout le restant de votre vie.
Monsieur le Marquis dEvans ensuite sapprocha de soumis Endymion MDE. Il lui imposa les mains sur la tête et lui demanda sil avait lui aussi suffisamment cheminé, sil était prêt à recevoir cette onction païenne BDSM, sil voulait poursuivre sur ces chemins de soumission.
- Oui Maître Vénéré, jy suis prêt de toutes mes forces, rien ne pourrait me rendre aussi heureux
- Bien, as-tu quelque chose dautre à me déclarer ? Tu es autorisé à texprimer
- Si vous me le permettez Maître, jai quelques mots à vous dire
- Bien, je técoute alors !
Pendant quil avait été si solidement contraint, soumis Endymion MDE avait préparé un petit texte. Allait-il pouvoir le réciter ? Son émotion était si grande
son esprit chaloupait, il se lança malgré tout :
- Cest nu et à genoux, devant Vous Maître, par Vous, affranchi de beaucoup de doutes et aliénations intimes, me voici aujourdhui, apaisé, confiant et serein, fort de ce que vous mavez enseigné. Libre et heureux davoir été votre slave, librement fondé à espérer le rester pour toujours, je fais le serment solennel de renouveler et densifier mon engagement auprès de Vous. Mieux encore que je naie pu le faire, je veux vous servir et persévérer dans la totale satisfaction de vos exigences, plus encore jaccepte de vous, frustration et privation, Entraînement et châtiment. Au-delà de la promesse dune ténacité sans faille, je mengage à vous dédier désormais, dun signe, dune pensée ou dun acte, chaque heure, chaque minute, chaque seconde de mon humble existence éveillée
soumis Endymion MDE reprit sa respiration, avala sa salive pour continuer toujours avec autant démotions dans sa voix :
-
Mon corps et mon esprit vous appartiennent totalement, je vous appartiens, si tel est Votre désir de me garder auprès de Vous
Soumis Endymion avait réussi, il avait pu sortir son texte, en forme de serment dallégeance dun trait, sans même hésiter. Sans un mot, le Maître lui attrapa les mains, les mit dans les siennes. Belle image ! Nétait-ce point un signe daccompagnement, une ressource insoupçonnée, une disponibilité, de la générosité, mais aussi quelque part un peu de tendresse ? Enfin, cest comme ça que soumis Endymion le percevais ce soir ! Et il en ressentit une infinie reconnaissance
- Pose maintenant tes mains ici !
Là, juste devant lui, il saisissait le rebord dun bac semi-rigide, les mains du Maître se posèrent sur sa tête, Lesclave MDE se laissa porter
- Soit confiant Mon chien, par trois fois tu vas retenir ta respiration, les deux premières fois pendant dix secondes, la troisième fois quinze secondes, allez laisse-toi faire, bloque ta respiration !
Confiant, soumis Endymion létait, plus que jamais, Il inspirait profondément et retint sa respiration. Sa tête toute entière était plongée et immergée dans ce baquet deau tiède. Le Maître comptait, tout en maintenant la tête sous leau, lesclave MDE se laissa tranquillement faire puis se redressa, souffla. Il se sentit comme lavé de sa vie antérieure !
- Allez bloque ta respiration une seconde fois
Même opération que précédemment, sauf que le Maître lui maintenait la tête que dune seule main, de lautre, il éclaboussait le dos de son chien soumis puis le laissait se redresser et souffler. Il se sentit comme purifié pour sa vie future !
- Allez quinze secondes cette fois-ci
Le Maître décomptait tranquillement, tout en arrosant plus copieusement encore son dos, ses épaules, sa main lui libéra la tête, lesclave MDE resta encore une seconde ou deux au fond de cette bassine, puis se redressa, souffla. Il se sentit RENAITRE ! Comme il était heureux, le Maître lembrassa sur le front en lui disant :
- Tu es soumis Endymion MDE, voici désormais définitivement ton nom, tu seras donc désormais mon slave MDE, toujours fidèle et soumis à Mes Nobles Pieds !
Son bandeau fut enlevé, des larmes lui montèrent aux yeux, heureusement dissimulées par ces gouttes deau glissant encore sur son visage
Adieu compelled, bonjour soumis Endymion MDE ! Tous les convives restés silencieux le temps de cette cérémonie applaudirent à tout rompre
Une belle cérémonie, marquée par beaucoup démotions et de sincérité, avec préalablement des temps durs, et jouissifs, des temps incroyablement bons
Les trois esclaves MDE eurent mal à retrouver leurs esprits, ils purent se lever et fait très exceptionnel, ils furent autorisés à prendre une coupe de champagne
(A suivre
)
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