Mon Apprentissage-2

Je repris mes études. J’eu une vie sexuelle plutôt active. Je n’arrivais pas à m’attacher à quelqu’un. J’étais un bon amant et le regard plein de gratitude de mes partenaires en témoignait. Les hommes ne m’attiraient pas quoique j’aie gardé un très bon souvenir de mes amours avec Daniel.
Me voici donc à la gare de Cannes en compagnie de Jacques chargé de me piloter. C’est un beau garçon brun de 26 ans d’1m90 à la musculature impressionnante. Il travaille depuis un an dans l’entreprise de remise en forme qui a accepté de me prendre en stage pour les vacances.
Il me conduisit d’abord à notre logement car je devais habiter avec lui. C’étais un bel appartement, propriété de l’entreprise. Nous avions chacun notre chambre et notre salle de bain. Nous disposions d’une cuisine toute équipée, d’une grande salle de séjour et d’un balcon avec vue sur mer. Devant ma surprise devant un tel confort, il m’indiqua que c’était dû à sa situation particulière de neveu du patron. Comme il y avait une chambre de libre, son oncle avait trouvé plus économique de me loger chez lui.
En discutant avec lui j’ai eu plus de précisions sur la société qui m’avait engagé. Elle disposait d’une salle de sport privée très bien équipée. D’une salle de remise en condition avec masseuses, esthéticiennes etc. Une équipe de 8 coachs était à la disposition des riches clients qui s’étaient inscrits. En effet, il fallait avoir une belle fortune pour pouvoir entrer dans le club. En contrepartie les abonnés bénéficiaient de cours privés à domicile et avaient libre accès à la salle où ils bénéficiaient du concours exclusif d’un moniteur.
Le lendemain je me retrouvais avec Jacques dans la salle. Je reçus un accueil chaleureux de la part du patron et fis la connaissance du restant de l’équipe: 8 garçons tous beaux et bien bâtis, un peu sur le même moule et l’équipe des masseuses et des esthéticiennes toutes ravissantes. On devinait que c’était des sportives accomplies.


Robert le patron, chargea Jacques de me briefer et me demanda d’être en double avec lui pendant 5 jours. Notre première cliente était une femme. Nous nous rendîmes dans son appartement non loin de la Croisette. Agée de 55 ans, Aline avait dû être très jolie. Elle avait cependant de beaux restes. Visiblement jacques la connaissait bien et était très familier avec elle. Après une séance de une heure, plutôt intense au point de vue rythme, elle nous offrit un rafraichissement. Jacques lui annonça que désormais elle aurait affaire à moi. Elle ne fît aucun commentaire.
Notre deuxième cliente fût une belle femme de 45 ans, épouse d’un diplomate. Jacques me demanda de diriger la séance. Très satisfait de ma prestation, il me dit que j’étais fait pour cela. La semaine continua à un rythme soutenu, à la satisfaction de tous. J’étais prêt à voler de mes propres ailes.
J’eu ma propre clientèle, essentiellement des femmes âgées de 45 à 65 ans et trois hommes âgés d’une cinquantaine d’année. Ils préféraient tous que je vienne chez eux pour les séances de remise en forme. Très souvent une masseuse et une esthéticienne me succédaient.
Quand nous étions à l’appartement, Jacques s’habillait quelquefois élégamment portant des costumes très chics, souvent des nœuds papillons et des chaussures vernies. Quand je l’interrogeais sur ses sorties il se contentait de me sourire. Il rentrait souvent au petit matin plutôt épuisé par la nuit qu’il venait de vivre.
Un jour à la fin d’une séance, Aline ma première cliente me demanda si je ne voulais pas l’accompagner à une soirée chez une amie précédée d’un diner car elle voulait avoir à ses côtés un beau et jeune garçon. Devant ma surprise, elle m’indiqua qu’elle m’avait bien, observé, j’étais poli et bien éduqué et j’étais capable de me débrouiller en société. Le hic c’est que je n’avais pas de tenues adaptées. Elle me donna alors 500 euros pour m’équiper.
Le soir même je sonnais à sa porte. Elle poussa un cri de surprise en me voyant car j’étais très chic et mon costume m’allait à la perfection.
Aline portait une robe de soirée très décolletée et échancré sur les cuisses qui soulignait ses formes épanouies. Un parfum suave se dégageait d’elle. Elle était vraiment appétissante. Le chauffeur nous attendait avec la Bentley. Il nous conduisit dans une belle propriété sur les hauteurs de Cannes. Une vingtaine de personnes nous attendaient. Aline m’avait fait passer pour un lointain cousin car les invités n’étaient pas abonnés au club car ils étaient pour la grand majorité de passage. J’étais le plus jeune. On complimenta beaucoup Aline sur son cousin et je fus bientôt entouré d’une kyrielle de jolies femmes voulant savoir qui j’étais. Je récitais la leçon apprise par Aline. Cette dernière veillait au grain et avec un air de propriétaire me déplaçait de groupe en groupe.
Nous passâmes à table. J’étais assis à la droite d’Aline et j’avais à ma gauche une belle femme mure de 60 ans qui avait un peu bu. En face de moi se trouvait une fille de mon âge avec des petits seins pointus et une bouche gourmande. La conversation était de grande qualité. Je sentais la cuisse d’Aline s’appuyer contre la mienne. La fille en face de moi me posa une question et son regard était fixé sur le mien. Je senti alors un pied grimper sur ma jambe et rechercher mon entre jambe. Aline s’était aperçue du manège. Elle posa sa main sur ma cuisse et chassa l’intrigante qui arbora une moue boudeuse. Elle n’enleva pas sa main et se mit à me caresser le sexe tout en continuant sa conversation avec son voisin. Ma voisine de gauche m’accaparait. Elle était charmante et avait cessé de boire. Sa jambe se collait de plu en plus à la mienne. Sa main chercha aussi ma cuisse mais voyant que la place était prise n’insista pas. Elle arriva à me glisser sa carte avec ses coordonnées.
A la fin du repas, après le café notre hôte proposa de danser. Aline, voulant certainement montrer que la chasse n’était pas ouverte me prit par la main et m’entraina sur la piste de danse. Elle se collait à moi et je sentais mon excitation monter et ma queue se redresser fièrement.
Sa tête reposait sur mon épaule. Elle dansait très bien et je sentais son corps onduler contre le mien.
Je dû aussi inviter d’autres femmes dont ma voisine de gauche Dominique qui exprima le désir de me revoir en tête à tête et la fille de mon âge Pauline qui me reprocha de n’aimer que les vieilles. Je la détrompais et lui demandais ses coordonnées pour mieux en parler. J’eu aussi une conversation avec un sculpteur, Jean-Charles qui cherchait des modèles pour ses oeuvres.
Après avoir passé une bonne soirée nous reprîmes la voiture. En montant à bord Aline ferma la cloison qui nous séparait du chauffeur. Elle se blottis contre moi et commença à m’embrasser fougueusement. Enlevant sa petite culotte elle plaça mes mains sur son sexe humide. Je m’emparais de son clitoris qu’elle avait plutôt long et je le branlais comme une petite queue. Elle gémissait. Je pénétrais alors de la main son sexe et le fit jouir avec mes doigts. Après l’avoir laissé reprendre ses esprits je baissais mon slip et mon pantalon. Elle pris ma queue et entama une fellation gorge profonde. Elle avalait toute ma queue qui était plutôt imposant et je sentais sa bouche buter contre mon ventre. C’’était divin. A ce rythme je ne tins pas longtemps et je crachais ma semence qu’elle avala complètement. Me laissant me rhabiller, en se blottissant contre moi elle me proposa de boire un dernier verre chez elle.
En arrivant elle libéra le chauffeur et elle me fit rentrer dans sa chambre, un vaste lit rond nous attendait. Elle se déshabilla. Ses seins lourds se tenaient très bien. Son petit ventre rond était charmant et ses belles fesses musclées ressortaient. Une petite bande poils ornait son pubis. Elle mis de la musique et me demanda de faire un strip-tease en mettant en avant tous mes muscles. Je l’avais fait déjà avec des copains pour m’amuser.
Lorsque je défis ma chemise elle s’approcha de moi et se mis à m’enduire le corps d’une huile. Elle s’attardait sur mes pectoraux mes seins, mes tétons, mes tablettes de chocolat.
Puis elle fit la même chose dans le dos.
Après que j’eu enlevé mon pantalon mon slip et mes chaussettes, elle s’approcha de moi à nouveau. Après m’avoir à nouveau pris en bouche, après quelques aller retour elle me massa à nouveau les cuisses, les couilles, les jambes. Se plaçant derrière moi, elle me massa les fesses, me demanda de les écarter et s’attarda sur ma raie et mon petit trou qu’elle forca. C’était très érotique.
Elle s’allongea sur le lit et me demanda de la pénétrer Je plaçais mes mains sur ses seins. Ses bouts étaient très longs et je pouvais facilement les triturer. Elle me demanda d’accélérer la cadence. J’allais de plus en plus fort et vite. Sa tête passait de droite à gauche au rythme de mes coups de reins. Ses gémissements devenaient de plus en plus forts. A un moment son corps se tendit comme un arc au comble de la jouissance. A la montée de ma jouissance je ressortis de son vagin et éjaculai sur sa bouche et sur son visage.
Epuisé nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre. En me réveillant j’avais les mains sur ses fesses. J’en profitais pour titiller son anus qui était plutôt souple montrant qu’il avait été visité. Après une nouvelle séance de baise je m’habillais. Au petit-déjeuner je lui ai demandé pourquoi m’avoir choisi. Elle était en manque avec un vieux mari qui ne la touchait plus. Je lui avais plu et elle avait décidé de tenter sa chance en m’invitant à la soirée. Elle ne regrettait pas car je l’avais fait jouir comme une folle. Elle appréciait aussi mes qualités et mon physique. Elle souhaitait me revoir en dehors des séances de remise en forme.
Je la quittais plutôt satisfait. En vidant mes poches je trouvais une enveloppe avec 1000 euros avec un mot : « à mon bel amant qui a su me satisfaire ». J’étais devenu un gigolo. Je comprenais mieux Jacques qui devait en être un aussi.
Je suis devenu un « client » régulier d’Aline. Elle adorait me caresser me masser. Elle appréciait mon endurance. J’étais capable de lui provoquer une succession de jouissances qui la laissait épuisée. J’adorais la sodomiser et sentir mon ventre contre ses fesses superbes. J’en profitais pour me saisir de ses seins et de les faire durcir sous mes mains. Elle en profitait pour se caresser le clitoris et le sexe.
Je trouvais après chacune de nos séances un billet, témoignage de sa reconnaissance. Elle m’invita même pour un week-end prolongé à Londres qui lui permit de découvrir les donjons londoniens mais ceci est une autre histoire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!