La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 542)
Vanessa au Château (suite de l'épisode précédent N°541) -
Alors que Le Préfet parle de sa femme, il interpelle la jeune femme
.
- Et vous Vanessa, vous avez un homme dans votre vie ?
- Euh
oui
oui, enfin depuis peu, répond gênée la jeune femme faisant attention à ne pas regarder son amant.
- Vous vivez ensemble ?
- Pour le moment non, mais jespère bientôt.
- Vous laimez ?
- Oui, il est lhomme avec qui je veux construire ma vie.
Le Préfet qui pensait quelle parlait de son Maître, comprend soudain quIl lui a permis une relation vanille, il sétonne que Monsieur Le Marquis laisse ce genre de liberté à une de Ses soumises. Il change donc de sujet de conversation. Le repas se passe agréablement et Vanessa en oublierait presque sa soumission, si ce nest le tissu de la chaise directement en contact avec sa peau, et le rosebud portant les initiales de son Maître occupant profondément son anus. Les assiettes sont retirées par le serveur et les convives attendent le café.
- Edouard, en attendant le café, me permettez-vous, demande soudain de façon intrigante Le Préfet.
- Bien entendu, faites très cher.
Lhomme se lève et se tourne vers sa droite, regardant Vanessa, assise qui ne comprend pas ce quil fait.
- Vanessa, levez-vous, ordonne-t-il dun ton très doux.
La jeune femme hésite, elle réalise soudain que sa première impression lors de la soirée au Château était la bonne, cet homme est un Maître. Elle regarde son Maître qui hoche la tête pour lui ordonner dobéir, aussi elle se lève, mets les mains dans le dos et baisse les yeux. Il écarte avec délicatesse son décolleté mettant à jour la magnifique poitrine de Vanessa. Ses seins blancs se tiennent parfaitement, presque arrogants dans le silence du petit salon de ce restaurant, ses tétons sont dressés. La Préfet laisse son doigt effleurer le galbe parfait du sein gauche de la jeune femme, puis se saisit de ses tétons et les pinces doucement.
Le Préfet la regarde si paisible, Vanessa semble presque dans un autre univers, il pince plus durement les bouts de chairs quil tient entre ses doigts, mais aucune réaction, elle ne revient pas. Il est fasciné par cette sérénité, elle dégage une soumission si forte, quil se surprend à être admiratif de la jeune femme. Le Préfet se ressaisit, et appuie délicatement sur ses épaules pour la contraindre à sagenouiller. Le corps droit, dans un mouvement parfaitement contrôlé, les mains toujours derrière le dos, la jeune femme pose simultanément les deux genoux au sol, elle patiente la bouche ouverte, sachant bien ce quon attend delle. Le Préfet ouvre son pantalon, en sort son sexe à moitié tendu et le pousse entre les lèvres de la jeune femme qui laccueille avec tout le savoir-faire que son Maître et son éducateur lui ont enseigné. Il fait des allers et retours doucement tout en lui caressant les cheveux et par moment il sarrête en coït buccal bien planté en gorge profonde et se retire afin de donner de lair aux poumons de la belle. Le Préfet accélère le mouvement dans un rythme cadencé et tel un métronome ses coups de reins restent mesurés et dune parfaite harmonie. Elle sapplique si bien que lhomme à la verge déjà bien dure, se laisserait presque aller dans sa bouche sil ne désirait pas à tout prix tout simplement la saillir, la prendre, là, tout de suite comme une chienne en chaleur. Aussi il se retire, lui tend une main pour laider à se relever et une fois la jeune femme debout, se recule pour lui laisser la place de manuvrer.
- Retournez-vous ! lui ordonne-t-il dun ton posé.
Vanessa lui tourne le dos, sans crainte, désireuse de faire honneur à léducation de son Maître et de son Commandant, parfaitement consciente que son Maître ne laissera rien arriver quIl nait pas désiré. Le Préfet prend la jeune femme par les épaules et la dirige vers la table dune poigne de fer mais sans violence, il la fait sappuyer sur le plateau de bois massif et relève les pans de sa robe pour découvrir son cul ferme orné du rosebud aux marques du Marquis.
- Quel joli bijou, vous lui avez fait un sacré honneur, Edouard, dit-il tout en caressant les fesses de la jeune femme.
- Je noffre rien qui ne soit pas mérité, répond Le Noble comme pour encourager la jeune femme à rester exemplaire.
- Je nen doute pas, répond le Préfet tout en prenant la jeune femme par les hanches.
Et cest sans plus de préparation quil senfonce dans son sexe humide de sa verge tendue. Au même moment le serveur entre apporter les cafés, Vanessa panique soudain et lance un regard désespéré vers son amant qui fronce les sourcils pour lui faire comprendre quelle ne doit pas réagir. Elle se calme instantanément, laissant le Préfet terminer sa besogne pendant que le serveur dispose les tasses non sans profiter du spectacle particulier qui soffre à lui. Après quelques minutes de longs et puissants coups de reins ponctués de nombreux han émit par le Préfet, qui la baise sauvagement, virilement, à la hussarde, faisant claquer ses couilles contre le fessier de la belle, lui fessant parfois le cul aux rythme des coups de boutoirs, lhomme éjacule en elle, sans se retirer, dans un soupir de contentement mélangé à des râles de plaisirs jouissifs. Il reste aussi un long moment sans bouger en coït profond, le temps de reprendre son souffle. Puis sans donner plus dattention à la jeune femme, il se retire, referme son pantalon et sassoit à sa place.
- Cest une très bonne recrue, une chatte divinement accueillante, je vous félicite Edouard, vous savez comme toujours soumettre les meilleurs partis.
- Merci Jacques, mais le mérite en revient également au Commandant qui participe activement à son éducation.
- Jaurais du men douter, la voilà bien encadrée.
Vanessa écoute un long moment les trois hommes échanger sur sa docilité, sa servitude, son corps, tout en restant appuyée contre la table le cul toujours à lair, la semence du Préfet séchappant de son sexe trempé, la position est humiliante, mais elle supporte en silence, sachant que cest la Volonté de son Maître
Soudain Monsieur le Marquis sort de la poche intérieur de son veston une lingette quil tend à la jeune femme.
- Nettoies-toi et rassies-toi, cest indécent, ordonne-t-il le sourire aux lèvres.
Sans dire un mot Vanessa sexécute et reste assise les yeux rivés sur sa tasse de chocolat, sans oser réagir à la conversation quentament les trois hommes.
- Eh bien Vanessa, la conversation ne tintéresse pas ? Tu ne souhaites pas y participer ? interroge Le Marquis.
- Si, si Maître, c'est-à-dire que
- Maître ? Ah non cest Monsieur Le Marquis maintenant, redeviens la femme.
- Bien Monsieur Le Marquis, répond-t-elle en levant les yeux.
Vanessa a toutes les peines du monde à se montrer en femme devant ces trois hommes Dominants qui la savent soumise et qui lont tous trois dominée, possédée. Mais elle fait un effort pour répondre aux attentes de son Maître, et après quelques minutes, elle retrouve son franc parlé. La soirée touche à sa fin, les convives quittent le restaurant et montent dans la voiture garée devant dans laquelle Walter attendait patiemment. La route se passe au fil des discussions, sans jamais faire allusions au cercle ferme de la D/s, ils arrivent devant la grande maison de chez Le Préfet qui les salut avant de les quitter. La voiture repart à peine que Vanessa voit le visage de son Maître changer.
- Eh bien, quattends-tu pour retrouver ta véritable place, accuse-t-Il.
Sans perdre un instant la jeune femme sagenouille entre les deux hommes.
- Penses-tu que cette tenue sied à ta condition, accuse-t-Il de nouveau.
Prenant conscience de son erreur Vanessa retire immédiatement la tenue de soirée et la pose délicatement sur la banquette avant de reprendre sa position dattente.
- Bien voilà qui est mieux, sache que ce nest pas parce que tu sais faire illusion dans le milieu mondain que tu as le droit à un traitement de faveur, noublie jamais ta place. Est-ce bien compris ?
- Oui Maître, répond Vanessa.
- Bien, toutefois je tiens à te féliciter pour ton comportement exemplaire, je suis fier de toi et jespère que tu sauras dorénavant te montrer digne de la confiance que je te porte.
Vanessa ne répond rien, Ses mots résonnent dans sa tête, elle est heureuse dapprocher de la soumise que son Maître désire. Sans lui porter aucune attention, les deux hommes reprennent une conversation banale, laissant la jeune femme perdue dans ses pensées, jusquà ce que la voiture sarrête devant la caserne des pompiers.
- Soumise, il est temps pour toi de me quitter, rhabille-toi vite.
Sans un mot la Vanessa se saisit de son uniforme rangé dans le mini-bar et shabille rapidement avant de se remettre à genoux.
- Allons, relève-toi et retourne au travail, noublie pas toutefois que tu Mappartiens. Tu es à Moi, tu es Ma propriété.
- Oui Maître, merci Maître.
La jeune femme les salut respectueusement et quitte la voiture qui redémarre immédiatement. Il est tard, son groupe de stagiaires est couché, elle vérifie que les lieux sont bien rangés, puis rejoint sa chambre pour sy coucher, fatiguée des émotions vécues
(A suivre
)
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