Emilie - Une Deuxième Fessée Bien Méritée
Cette histoire fait suite à la première fessée reçue par Emilie et Léa
(Voir le récit: Emilie et Léa - La découverte), pour mémoire, ce sont deux surs jumelles d'à peine 18 ans lors des faits qui fantasmaient alors sur la fessée.
Le lendemain de mon arrivée chez les filles, leurs parents et ma mère nous avertirent qu'ils comptaient partir faire un trek dans les Pyrénées pendant 3 jours et nous proposaient de venir avec eux. Appréciant énormément la Nature, c'est avec grand plaisir que j'acceptais la proposition, non sans remarquer qu'Emilie faisait une drôle de tête, je me dis alors que c'est la conséquence de sa découverte de la fessée quelques heures plus tôt.
Après une bonne nuit et un petit déjeuner rapidement expédié, nous quittons la maison et partons sur un petit sentier caillouteux.
Quelques kilomètres plus loin, le terrain devint plus escarpé, soudain, je vis Emilie glisser et tomber lourdement sur le sol, Léa tenta bien de la rattr et de la stabiliser, mais sans succès, Emilie nous dit alors qu'elle avait mal à la cheville et qu'elle ne se sentait plus capable de continuer la randonnée. Immédiatement, sa mère l'attrapa et la releva, je la pris par un bras en leur disant que je la redescendrai jusqu'à la maison. En effet bien qu'elle se soit tordue la cheville, cette dernière n'avait pas l'air fracturée. Ma mère me demanda alors si j'arriverai à la redescendre tout seul puisque j'avais été opéré d'une épaule quelques semaines plus tôt. Je lui répondis alors qu'il me fallait juste un coup de main pour repasser à un endroit difficile mais que je pourrais ensuite me débrouiller. Léa et son père la soutinrent jusqu'à passer le "point chaud". Tandis que ma mère ouvrait la marche, celle des filles me donnait quelques informations pour m'occuper d'Emilie durant ces quelques jours, je leur avais alors dis qu'il n'était pas question pour eux de se priver d'une belle ballade pour un problème aussi con.
Le passage franchi, je pris Emilie sur mon épaule non souffrante et, après avoir demandé à mes randonneurs de me ramener des photos et promis de faire le nécessaire, la ramena à la maison bras dessus, bras dessous.
Une fois arrivé, j'aida ma blessée à se débarrasser de son sac et de ses affaires de rando, avant de la faire assoir dans le canapé et de jeter un il à sa cheville, je lui dis alors de ne pas bouger, le temps d'aller chercher la trousse médicale et d'envoyer un SMS à Léa pour leur signaler que nous étions bien rentrés. Une fois la trousse en main et le message envoyé, je retourna alors vers le séjour ... pour découvrir qu' Emilie n'était plus dans le canapé.
J'entendis alors du bruit venant de la cuisine, j'y trouvas une jeune fille parfaitement campée sur ses deux jambes en train de se remplir un verre d'eau et qui, se tournant vers moi me dit:
- Tu veux boire un coup ?
Ayant parfaitement compris intérieurement qu'elle avait simulée, je resta cependant calme et lui demanda:
- Qu'est ce que ça veut dire ?
Emilie: Bof, tu sais, moi la randonnée ...
Moi: Et c'est pour ça que t'as simulée ?
Emilie: Ben, j'allais pas dire que je voulais pas y aller.
Je lui dis alors ce que je pensais de sa mascarade avant de l'attr par l'oreille gauche tout en lui disant qu'on ne se foutait pas de moi sans en payer les conséquences, je la vis esquisser un très léger sourire. L'oreille de la miss dans une main, j'attrapais une spatule en plastique de l'autre avant de l'emmener vers sa chambre. Une fois arrivé, je la mis au coin, les mains sur la tête, pendant que je préparais la pièce pour la deuxième fessée d'Emilie.
Une fois assis, je la fis venir à côté de moi et sans dire un mot la bascula sur mes genoux,
je commença alors une fessée bien dosée sur son pantalon histoire de m'échauffer et de la mettre en condition pour la suite du menu. Après lui avoir réchauffé les fesses pendant 10 bonnes minutes, je la redresse et baisse son pantalon, je la remets en place et j'entame alors une longue série de baffes qui montent crescendo en puissance, elle sanglote et je vois des larmes tomber sur le parquet de sa chambre, ce qui ne me fait pas ralentir le rythme pour autant, elle s'est quand même royalement payée ma tête, je m'arrête de frapper ses petites fesses rougies et la remet sur ses jambes.
Je la sens fébrile mais aussi excitée, pour preuve, sa petite culotte est très humide, d'un geste, je baisse son slip à hauteur de ses chevilles (absolument nickèles) et la rallonge en travers de mes cuisses. S'ensuit alors une véritable volée, ma main bat ce si joli fessier dont la propriétaire pleure maintenant comme une gamine, gigote pour se dégager et pour essayer de mettre le moindre centimètre de peau à l'abri de mes paluches. Après plusieurs minutes de ce traitement, je ralentis le rythme avant de complètement lui enlever sa culotte et pour cause, j'ai derrière la tête une idée aussi excitante qu'utile. Fesseur depuis quelques années, j'ai vu à plusieurs reprises mon mentor mettre des volées à la spatule à certaines de ces adeptes, pour en avoir vu et entendu plusieurs hurler de douleur et que je ne tiens pas à ameuter tout le village, j'insère donc sa culotte dans sa bouche pour l'empêcher de crier trop fort, je vois ses mains serrer les pieds de la chaise sur lequel je suis assis à tel point que ses phalanges blanchissent.
Elle n'est pas idiote, elle se doute bien que si je la bâillonne, c'est que ses fesses déjà bien rouges vont encore souffrir. Je ne suis pas fou et décide de n'utiliser la spatule qu'à 3 reprises, bien évidemment, elle, elle ne sait pas combien de coups son petit cul va encore se prendre et elle tremble.
Le premier coup, souple n'est pas excessivement fort mais sur des fesses déjà bien chauffées, ça doit faire tout drôle, quoi qu'il en soit, je l'entends hurler au travers de son bâillon improvisé et me bénis d'avoir eu cette idée qui m'a permis de sauver mes tympans.
Les deux coups suivants sont de force égale au premier avec la même réaction.
Je la remets sur ses jambes, enlève sa culotte de sa bouche et la renvoie au coin le temps pour elle de sécher ses larmes et de se remettre de ses émotions et le temps pour moi de remettre la chambre en état avant d''aller chercher la biafine. A mon retour dans la chambre, je la fais quitter sa position et l'invite à s'allonger sur son lit.
Son maquillage a coulé du fait de ses pleurs et je lui propose alors de lui masser délicatement les fesses (pour changer) afin de leur rendre leur couleur initiale et de calmer la douleur.
Tout en procédant aux "réparations", je lui demanda si elle était contente de sa matinée, elle me répondit alors que c'était ce qu'elle voulait et qu'elle avait aimé se faire déculotter et punir comme une gamine, je lui dis alors la punition n'est pas terminée, que ce qu'elle avait reçue n'était seulement que pour avoir manigancé ce plan et qu'il lui restait encore quelque chose pour m'avoir gâché ma randonnée. Elle me dit alors que cela l'excitait et qu'elle n'attendait que la suite.
FIN
Comme pour ma première histoire, n'hésitez pas à vous exprimer quant à la qualité de ma plume en utilisant les commentaires, la suite arrivera sous peu ...
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