La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 543)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°528 -
Monsieur le Marquis dEvans vient dassister à la punition des soumises qui navaient pas su reconnaître lors dune fellation effectuée les yeux bandés parmi 5 sexes celui du Maître auquel chacune appartenait. Les coups de cravaches prévus comme gage pour les perdantes a peine terminés, le Châtelain a annoncé quil était temps pour lui de sanctionner Sa chienne-soumise N°17MDE, qui, certes, ne sétait pas vraiment trompée pour identifier le Divin pénis du Marquis dEvans, mais qui, à Ses yeux de Dominant intransigeant, avait mis beaucoup trop de temps avant de se décider. IL avait même annoncé à tous Ses invités rassemblés autour que Sa chienne-soumise ne risquerait plus doublier à lavenir, même les yeux bandés, le calibre qui allait servir à sa reprise en mains (en bouche tout du moins).
- Ma chienne, tu es bien consciente que tes hésitations ont été offensantes pour Moi, en tant que Maître Vénéré mais aussi en tant quHomme particulièrement bien membré. Tu me contraints comme Je viens de lannoncer à tous à reprendre ton éducation à la fellation, en recommençant à la base ton entrainement de bonne chienne-suceuse, car il ne saurait être question que tu puisses à lavenir avoir quelques atermoiements que ce soient lorsque tu auras Mon Noble sexe en bouche, dont tu te devais davoir la mémoire sensorielle de chaque millimètre carré, sauf à croire que lorsque je te donne loccasion de profiter de Mon bâton de joie, cela ne tintéresse pas plus que si tu avais un quelconque morceau plastique qui técartèle les lèvres.
La soumise N°17MDE, toujours prostrée à terre, se sent particulièrement fautive de lembarras quelle a laissé paraître devant tous lors du jeu de devinette et honteuse des justes remontrances à son égard faites par Le Maître, atteint dans son égo de Dominant et dHomme. Elle est dautant plus attristée des propos du Dominant quelle voudrait pouvoir lassurer du bonheur indicible quelle ressent chaque fois quelle se trouve en Sa présence et quil daigne consentir à honorer lun de ses orifices, même si elle nest pas toujours autorisée à atteindre lorgasme, car le plaisir de satisfaire le Maître D/s lemporte toujours sur son propre plaisir sexuel.
- Tu te doutes bien que Je ne vais pas mabaisser à te baiser de la bouche à nouveau avant de mêtre assuré que tu nes pas une vulgaire putain des rues qui est prête à sucer à la chaîne tout ce qui se présente pour peu tout au plus que lappendice inconnu en question soit bien recouvert dun petit chapeau, sans se préoccuper du quidam qui vient de sortir son tuyau à pomper. Je suis un Maître Dominant pas un maquereau, et tu fais partie de Mon cheptel desclaves MDE pas dune maison dabattage. Il te faut apprécier tous les plaisirs qui te sont offerts à leur juste valeur, en particulier ceux qui te sont donnés directement par le Maître en personne, que tu as choisi de ton plein gré de servir et de Vénérer de toute ton âme. Même si tu dois également te soumettre à Mes ordres lorsque je décide, si tel est Mon bon plaisir, doffrir ton corps qui mappartient à quelquun de Mes amis entre les mains de qui je te remets temporairement, tu dois toujours garder à lesprit que cest pour Mobéir que tu te plies à ce qui te seras imposé par délégation de pouvoir et que ton plaisir tu peux le trouver avant tout dans ta soumission absolue et ton désir de satisfaire toutes Mes exigences. Tu mas bien compris, Ma chienne !
- Oui, Maître Vénéré, je Vous ai bien écouté et jai surtout compris la justesse de toutes Vos remontrances. Je suis sincèrement désolée de Vous avoir offensé et je Vous prie de bien vouloir men excuser en me permettant de maméliorer. Je men remets à Votre infinie sagesse, Maître Vénéré, pour savoir ce quil convient de mimposer pour que je puisse mieux Vous satisfaire à lavenir, ce qui reste mon vu le plus cher. Je Vous remercie très sincèrement de daigner maider à parfaire mon dressage de chienne D/s lubrique en chaleur, dont la langue et les orifices Vous appartiennent.
- Alors, debout ! Les cuisses écartées ! Jai dit !
Aussi sec, lesclave N°17MDE se lève, se mettant dans la position exigée, les cuisses écartées, la tête baissée, les mains derrière le dos.
Le Marquis dEvans att dune main, lun des godes qui imite à la perfection Son sexe en érection et de lautre main, il soulève le menton de son esclave pour la forcer à croiser son regard Dominant et presque hypnotisant.
- Crois-tu que si tu navais pas eu les yeux bandés, Ma chienne, tu aurais mieux su reconnaître sans hésiter Mon Noble joyau de Mâle et de Maître ?
La soumise a du mal à garder les yeux ouverts, alors quils sont encore pleins des larmes démotions quelle na pas su retenir, mais elle ne veut pas sattirer à nouveau le mécontentement du Dominant et sans attendre, elle ajoute, bien que peu sûre delle et de la réponse attendue par le Maître.
- Maître Vénéré, je ne saurais Vous répondre exactement, car il me semblait, et je me trompais visiblement, que je Vous aurais reconnu entre mille, tant toutes les minutes que Vous mavez accordées sont présentes dans ma mémoire, et en particulier celles qui mont apporté un plaisir physique et sensuel que je ne suis pas prête doublier.
- Alors regarde bien ce que jai en main. Cela te fait-il penser à quelque chose de précis ?
Le Châtelain montre sous toutes ses faces le phallus reconstitué en plastique, attendant une réponse immédiate cette fois.
- Oui, Maître Vénéré ! Cest une reproduction du Divin phallus en érection de Monsieur le Marquis dEvans. Mais je vais être honnête, Maître, je ne peux pas me tromper ou hésiter cette fois puisque je Vous ai entendu exiger de Votre soubrette quelle ramène trois godes répliques de Vos merveilleux attributs.
- Tu oublies, Ma soumise, que jaurai pu décider perversement de te tester une fois de plus et de chercher à tinduire en erreur en te présentant un autre gode plus basique parmi tous ceux de toutes tailles qui trainent sur les consoles dans cette pièce qui a été transformée en donjon pour profiter pleinement dune nuitée D/s tout autant quorgiaque. Alors, jespère que ta réponse vient du fait que tu as reconnu lapparence de lobjet en question et non que tu tes seulement fiée à ce que tes oreilles avaient entendu.
- Oui, Maître Vénéré. Pardonnez-moi cette remarque qui navait pas lieu dêtre. Je voulais simplement, par transparence, Vous préciser ce quil en était et ce que javais entendu, non par curiosité déplacée mais simplement parce que Votre conversation était clairement audible à mon niveau, tandis que jétais prosternée à Vos pieds.
- Une bonne esclave doit savoir se contenter découter seulement les ordres qui lui sont adressés et ne pas laisser traîner ses oreilles dans des conversations auxquelles elle na pas été conviée. Là-dessus aussi, il te faudra taméliorer, pour devenir celle qui sait se faire oublier par sa discrétion et son effacement lorsque Le Maître Vénéré ne la sollicite pas, et ce dans une patience infinie et une abnégation exemplaire.
- Oui, Maître.
- Ne dis plus rien à partir de maintenant ! Et concentre-toi sur ce que tu ressens, sur la forme qui va prendre possession de ton corps quand et seulement quand je lexigerai, où et seulement où je lexigerai, comme et seulement comme je lexigerai. Ainsi, tu penses que ce que je tiens en mains est bien la réplique exacte de mon Divin phallus en érection. Alors, imagine que ce nest pas un simple morceau inanimé fait de résine et de plastique, mais bien ma queue et montre-moi à quel point chaque parcelle de ton corps la désire, ainsi que tout ton esprit que tu as mis entre mes mains pour devenir Mienne.
Le Marquis dEvans prend en main la première des trois répliques identiques en tenant lobjet phallique par les couilles, il le promène sur le ventre de Sa chienne dont la respiration ne tarde pas à saccélérer.
Le Châtelain continue à exciter sa femelle en promenant le sex-toy sur ses joues, ses lèvres. La soumise N°17MDE déjà ardente ouvre la bouche encore plus largement comme pour avaler lobjet en gorge profonde, mais Le Maître Vénéré la laisse languir et entend bien lui faire regretter amèrement ses quelques secondes dhésitation. Très subtilement, à plusieurs reprises IL ne fait queffleurer et titiller le bout de sa langue de chienne qui sort et se tend désespérément, juste avant de retirer le gode. Lesclave frissonne de plus en plus, une onde électrique lui traverse léchine et fait creuser son dos lorsque le bout du godemichet vient se promener sur son cou, ses épaules, sa nuque et sa colonne vertébrale pour redescendre enfin vers sa raie anale qui voudrait sélargir pour permettre à lobjet phallique de sengouffrer dans son petit trou. Le Noble poursuit sa promenade tactile sensuelle sur le corps impudiquement offert de sa chienne en chaleur sous les yeux des autres Maîtres qui profitent du spectacle qui en dautres lieux serait indécent, mais qui offre ici-même une vraie délectation commune qui ne se fait pas sans quelques bandaisons qui ont reprises de plus belles pour certains.
- Elle texcite Ma Queue ! Tu nes bien quune chienne en chaleur comme toutes tes surs de soumission MDE. A peine je te touche et déjà tu mouilles comme la femelle humide que tu es
(A suivre
)
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