Mon Apprentissage-3

Je repris contact avec Dominique qui était veuve. Elle me demanda de passer chez elle. Elle me reçut dans un déshabillé rose plutôt sexy. Elle me dit qu’elle m’avait trouvé charmant et physiquement impressionnant. Elle connaissait bien Aline et savait qu’elle n’avait pas de cousin. Elle s’était renseignée sur moi et savait que je travaillais pour un club de remise en forme. Veuve depuis 5 ans elle voyait les années passer. Elle ne souhaitait pas prendre un amant dans son milieu et préférais s’offrir un bel étalon qu’elle pourrait voir quand elle voulait.
Enlevant son déshabillé elle se mis nue et tournant sur elle, elle me demanda ce que j’en pensait. Je me levais aussitôt et la pris dans mes bras. Sa poitrine bien que commençant à tomber était souple, ses fesses encore fermes et son visage qui avait du subir un lifting était plutôt agréable à regarder.
Je découvris son corps. En la caressant je la sentais frissonner et frémir. Elle m’entraina dans sa chambre et s’allongea sur le lit. Je me déshabillais sous son regard attentif. Elle m’ouvrit les bras. Je la pénétrai doucement en la regardant dans les yeux. Je me mis à la besogner lentement, patiemment. Mes mains enserraient ses seins et je jouais avec les bouts. Elle gémissait doucement en disant régulièrement « que c’est bon, que c’est bon ». Je sentais que je la possédais complètement. J’accélérais le mouvement. Je sentais son vagin coller à ma verge. Ses gémissements étaient de plus en plus forts. Je me répandis en elle. En sentant mon jet frapper contre sa matrice elle se mit à jouir. Son corps tressautait comme si chacun de mes jets déclenchait un nouveau plaisir. Je me retirais. Elle m’attira à elle et pris ma queue en bouche pour recueillir les dernières gouttes.
Elle me demanda de m’allonger, se plaça sur moi et entama un massage corps à corps très agréable. A ce régime là je repris de la vigueur. Je lui caressais les fesses et je trouvais son petit trou que je pénétrais, testant la encore sa souplesse et sa capacité à me recevoir.

Elle s’empala sur moi et se mit à me chevaucher. Elle voulait être la maîtresse du jeu. ‘étais son sextoy. Cheveux dans les yeux, transpirant elle était une vraie hétaïre. Ses mains étaient posées sur mes seins et jouaient avec mes tétons. Elle s’enfonçait sur toute la longueur de mon sexe et je le sentais coller à mon ventre. Dans un grand cri elle s’affaissât sur ma poitrine, elle était devenue inerte. Je pris alors la suite et continuait jusqu’à l’éjaculation. Je me dégageais et pris sa tête sur mes cuisses en lui caressant les cheveux. Elle se réveilla une demie heure après, un sourire de reconnaissance sur la figure. Elle me demanda pourquoi j’avais accepté. Je lui répondis que je la trouvais encore belle et surtout femme accomplie. Elle valait toutes les jeunes filles que j’avais connues.
En la quittant après qu’elle m’eut prodigué une dernière fellation, elle me remit une enveloppe contenant 500 euros en me faisant promettre de revenir.
Parallèlement mes cours se déroulaient à la satisfaction de tous. J’avais quelques difficultés avec Aline qui confondait sexe et remise en forme. Après une mise au point, elle accepta d’éviter de confondre plaisir et travail.
Jean-Jacques me relança pour servir de modèle pour ses sculptures. J’acceptais de le rencontrer chez lui. C’était une espèce de bonbonnière à la décoration très féminine. Des statues de garçons nus au sexe impressionnant trônaient partout. Un atelier jouxtait l’appartement. Mon physique impressionnant l’avait frappé et il souhaitait savoir si je voulais bien poser nu pour lui. Il me payait 300 euros la séance. J’acceptais. Il me demanda de me mettre nu et de tourner sur moi-même. Il était impressionné par ma musculature. Il me demanda de m ‘épiler complètement, sexe compris et de revenir le voir dans une semaine.
Pour l’épilation je m’adressais à Marie, une épilatrice de notre société avec qui j’avais sympathisé. Elle ne tiqua pas lorsque je lui demandais de faire le sexe aussi. Nous prîmes rendez-vous le lendemain chez moi, je savais que mon colocataire était de sortie.

Elle arriva à l’heure prévue, Elle se mit en blouse rose. Visiblement elle ne portait qu’un string dessous. Elle me demanda de me mettre nu et de m’allonger sur la table de la salle à manger. Elle prépara ses bandes cires et commença par mon torse, mes bras, puis mes cuisses mes jambes et finit par mon dos. Elle m’enduisit ensuite d’huile et me massa sur tout le corps. Par moments je sentais ses seins contre mon corps quand elle se penchait et son massage commençait de l’effet. Pour faciliter l’épilation de mon sexe elle commença à me branler. Voyant ma queue dressée, elle termina son travail. Elle me retourna et m’épila aussi la raie du cul et l’anus. Me retournant à nouveau et voyant ma queue toujours raide, elle me dit qu’elle allait arranger cela et se mit à me branler tout en me caressant les couilles. Avec ce traitement, je ne fus pas très long à gicler. J’essayais de pousser mon avantage mais son sexe, sa bouche et son cul étaient à l’usage exclusif de son copain. Je me retrouvais donc totalement lisse, les couilles vidées. Dans quelques semaines il allait falloir recommencer et elle se tenait à ma disposition.
Il fallu expliquer à Aline et Dominique le pourquoi de la chose. Elles appréciaient visiblement mon sexe épilé. J’en profitais pour demander à Dominique faire épiler le sien car les poils gris de son sexe me gênaient. Quant Aline son « ticket de métro » m’allait très bien.
Aline qui connaissait Jean-Jacques. Il était très connu dans le milieu artistique. Il avait fait aussi son coming-out et affichait son homosexualité. Je me rendis dans son atelier pour la deuxième fois. Je me déshabillait et il me plaça debout sur une estrade courbé en avant afin disait-il de mettre mes fesses en valeur et épaules rentrées dans la position du body builder mettant les muscles des bras et les pectoraux en valeur. Régulièrement il venait rectifier ma position profitant de l’occasion pour toucher mon corps sous des prétextes divers.
Jean-Jacques était plutôt un bel homme de 45 ans, plutôt fin et délicat.
Il y avait en lui quelque chose de féminin. Il éprouvait beaucoup de plaisir à modeler la glaise. Son geste était sûr. La pose était fatigante et toutes les demi-heures j’avais droit à une pause sur un matelas posé sur l’estrade. Jean- jacques en profitait pour s’asseoir auprès de moi pour discuter. Je voyais régulièrement son regard se poser sur mon sexe et mes fesses.
Au bout de 3 heures il me demanda de me rhabiller et me fixa un rendez-vous pour la semaine suivante. Il avait l’intention de m’enduire d’huile pour bien faire ressortir ma musculature. Il me demanda aussi si cela ne me gênait pas qu’il invite une amie à assister à la prochaine séance. Je lui donnais mon accord.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!