Moi, Pourtant Fidèle, J'Ai Trompé Mon Mari
Jai plus de 40 ans, assez ronde, une forte poitrine et des hanches assez larges, mon mari me trouve magnifique, certainement que lamour est aveugle, car, il ne cesse de me le répéter, que jattire les regards des autres hommes et que je suis très excitante. Moi, javoue me trouver trop grosse, et pas du tout attirante. Mais bon, le regard des hommes et celui des femmes.
Pour mon travail, dans une grosse banque, je dois, parfois, partir en formation quelques jours dans la région parisienne, avec des collègues de travail, mon mari ne loupe jamais une occasion de me dire la dessus, des sous-entendus, comme, amuse-toi bien. Moi toujours très fidèle, je lui réponds toujours la vérité, que les seules collègues de ma boite qui maccompagnent sont des femmes.
Arrive le jour J, me voilà partie pour 3 jours, pour un séminaire dans un grand hôtel, avec ma collègue de bureau. Ce que je ne savais pas au départ, cest que nous serions rejointes par des équipes de toute la France. Le premier jour, lors du tour de table, où chacun se présente, jai bien remarqué que le collègue de marseille, un très bel homme, me regardait avec insistance et me lançait de nombreux sourires presque la cinquantaine, un charme certain pas désagréable à regarder.
Ma copine me glisse dans loreille : « Je crois que tu as une touche ». Moi, évidemment, jai piqué un fard, et je suis restée troublée un moment, bizarrement, je nai pas vu passé la matinée.
Pendant repas du midi, le marseillais sarrange pour se mettre à notre table, et nous amuse avec ses histoires du sud, toujours en me lançant de petits regards. La grande discussion de la table tourne autour des vacances, et je ne peux pas mempêcher de parler du dernier week-end avec mon mari que nous avons passé en Normandie, dans un club où jai pu apprécier entre autre la piscine chauffée, mais surtout le hammam, expliquant comme quoi, les bains de vapeur, cétait très délassant, et surtout très chaud parfois dans tous les sens du terme.
Laprès-midi passe, encore emplie de sourires et de regards de mon collègue du sud. La journée est finie, alors quon sapprête à quitter la salle, de réunions, le marseillais sapproche de nous, et nous dit :
- Ce soir, on va au restaurant, ça vous tente les filles ?
On se regarde, cest tentant, on ne connait pas trop Paris :
- Oui, allez cest daccord.
- Rendez-vous dans 1 heure dehors devant lhôtel.
Se changer, quoi mettre ! Pas quelque chose de trop ringard, ni de trop sexy, que marrive-t-il ? Je ne vais pas à un rendez-vous amoureux, jen oublie presque dappeler mon mari et mon fils, mauvaise mère et mauvaise épouse.
Jopte pour un chemisier légèrement transparent et un petit top en dessous, que mon mari aime bien il serait content.
Je passe sous silence la soirée au restaurant où, hasard, le gars de Marseille est venu sassoir à côté de moi, et bien sûr, taille des banquettes oblige, il était vraiment très proche, de nombreuses fois, son genou, sa jambe est venue frôler la mienne, ce qui ma fait rougir à chaque fois. Jai bien vu, également les nombreux coups dil dans mon décolleté placé juste à côté de moi, il devait avoir une belle vue, bizarrement, cela me dérange de moins en moins.
- Tu sais que notre hôtel dispose dun hammam, me lance le marseillais, si tu veux te détendre profites-en.
- Euh, non, je ne crois pas. Pas ici.
Il parait déçu, tu tes pris un bide, mon gars. Je suis soulagée, mais en même temps, jéprouve moi-même une petite déception, comme limpression de passer à côté de quelque chose dimportant.
Le lendemain, la journée se déroule normalement, le marseillais me parle et me reparle, cest vrais quils sont bavard à Marseille. Il mobserve avec toujours autant dattention, et comme la veille, nous convenons tous ensemble dun diner au restaurant. Cette fois-ci, je décide de continuer lexpérience, et dopter pour un décolleté un peu plus provocant, mon marseillais est aux anges.
Nous sommes pourtant en été, mais le vent est assez frais et jai quelques frissons, mes tétons pointent outrageusement. Je me dis : « Profites-en bien mon coco, cest la dernière soirée où tu peux te rincer lil ». De retour dans ma chambre, on frappe à la porte, je mattends à voir mon beau marseillais, mais non, je découvre ma collègue qui me propose un hammam, elle ne connait pas et a toujours voulu essayer.
- Sil te plait, toi qui connais, vient, ça va être sympa entre filles.
- Oui ! Pourquoi pas, on se détendra.
Nayant pas pris de maillot de bain, nous décidons dêtre nues avec juste une serviette autour de nous.
- Cest vide ? Me demande ma collègue avec un petit sourire.
- Oui, on peut y aller. Alors, comment trouves-tu lambiance ? Cest sympa, ça délasse, non ?
- Oui, me dit ma copine, mais jai drôlement chaud, et pour respirer, il faut shabi, je crois que je serai mieux sans la serviette. Et sans attendre, elle lenlève, jai moi aussi le souffle coupé, mais pas à cause de lair, elle a un corps magnifique, elle est mince et a de petits seins haut perchés.
- Allez, laisse toi aller, me dit-elle, on est entre fille, je vais taider.
- Je la laisse menlever ma serviette. Elle semble impressionnée par mes seins.
- Dis donc, tu as une sacré poitrine, les hommes doivent bien fantasmer sur toi.
- Oh non, je ne crois pas, ils sont trop gros, toi par contre, tu es superbe.
- Tu rigoles, tu as excité tous les mecs de la formation, surtout le marseillais.
- Oh celui-là, quelle dragueur, cest vrai quil parait drôlement en manque.
Elle menlace et me fait une bise, nous sommes nues toutes les deux, elle, détendue, et moi, prête à sauter sur ma serviette pour me cacher si quelquun entre.
- Alors, le marseillais, il te plait ? Tu peux me le dire, ça restera entre nous.
- Oui ! Disons quil est sympa et cest vrai quil ne me laisse pas indifférente, mais bon, je suis mariée et fidèle.
- Oh, arrête, si ton mari nest pas au courant, ça gène qui ? Personne, alors, profites de la vie.
- Tu as une drôle de façon de voir.
- Je reviens, me dit ma copine, je vais au petit coin.
Ma copine sort et jen profite pour remettre ma serviette, mais cette coquine a emporté les deux, cest malin, vivement quelle revienne. Me voilà seule avec mes pensées : « oui, le marseillais, cest vrai quil est craquant, les yeux quil me lançait, jimagine son corps, ses mains sur moi, rien que dy penser, jen mouille presque, ma main commence à descendre vers mon sexe et je me caresse doucement, cest bien agréable ».
Quelquun entre dans la pièce, la vapeur mempêche de bien voir, cest mon beau marseillais, lui aussi une serviette nouée autour de lui, je serre les fesses et croise les bras pour lui cacher ma poitrine, je suis vraiment gênée.
- Comme on se retrouve, les grands esprits se rencontrent me lance-t-il avec un large sourire, le mieux au hammam, cest dêtre nu, tu as raison. Et joignant le geste à la parole, il enlève sa serviette, je détourne la tête, mais jai bien eu le temps de voir son sexe qui ma paru énorme.
- Détends-toi, je te sens toute stressée.
- Ça tétonne ? Je nai pas lhabitude de me trouver complétement nue devant dautre personne que mon mari.
- Attends laisse-moi te masser les épaules.
Il se glisse et sassoit à califourchon juste derrière moi. Il commence doucement à me masser le cou, puis les épaules, observant ma réaction. Je suis tétanisée, je le sens aussi nu derrière moi, il sest appuyé contre moi et me caresse les épaules, je suis en sueur, ses mains glissent sur moi, cest quand même très agréable, aucun doute possible sur létat de son sexe.
Je le sens dressé contre mon dos, je décroise mes bras, il les caresse doucement, le bout de ses doigts effleurant parfois ma poitrine, il senhardit, ses mains ségarent sur mes seins, il les prend à pleines mains, sans le vouloir, je pousse un petit gémissement, il prend cela pour un encouragement, peut-être en était-ce un.
- Ah, tes seins, ça fait deux jours quils me font envie, ils sont superbes et très doux, javais hâte de te voir le soir, quand il rafraichit, juste pour voir tes bouts pointaient fièrement et tendre le tissu de ta chemise et ton décolleté au resto, jai bandé toute la soirée.
Je suis trempée, jai limpression que je vais exploser, il continue ses caresses, et commence à me masser plus vigoureusement, cela mexcite encore plus, il me pince les bouts de seins, mes pensées saffolent, faire lamour avec lui, je ne le veux pas, je ne veux pas le laisser me pénétrer, ça serait allé trop loin, mais je veux juste lui montrer que japprécie ce moment.
Repoussant ses mains, je me lève, il me regarde la bouche ouverte, et contemple mon corps, mon sexe pas complètement rasé, mais surtout mes seins, ils sont lourds, les aréoles sont très grandes, les bouts tendus par lexcitation.
Je découvre mieux son sexe, il est énorme, je me mets à genou et commence à le caresser, mes deux mains peuvent le tenir, je commence à donner des petits coups de langue sur le bout du gland, bien que déjà initiée à la fellation par mon mari, jétais toujours un peu réticente, mais là, jen ai envie, je veux lui faire plaisir, je veux lui dévorer la bite, il pose ses mains sur ma tête, et javale complètement son sexe, enfin, jessaye, cest un vrai taureau, je fais des va-et-vient avec ma tête, je me relève et lui frappe le visage avec mes seins.
- Tu aimes ça, hein ?
- Oh oui, vas-y continue.
Je lui prends la tête contre moi, létouffant presque, tant pis pour lui, il att mes fesses et les pétri vigoureusement, il en profite pour me sucer les bouts, je gémis. Et je repars le sucer de plus belle, jarrive maintenant à complètement mettre son sexe dans ma bouche, quand soudain, il crie et se lâche, éjaculant généreusement dans ma bouche, moi qui nai jamais voulu satisfaire mon mari pour cela, là tout est différent, javale tout avec gourmandise, je continue à le sucer en aspirant sa semence, une 2ème charge vient méclabousser le visage, je suis couverte de son sperme, et jaime ça. Il se détend et sallonge, jen profite pour vouloir prendre la fuite.
- Attends, ne pars pas tout de suite.
- Non, écoute. Je suis mariée.
- Viens
Et alors que je souhaite partir, mon corps lui obéit, il me prend la main, vient sassoir, puis me fait à mon tour sassoir sur lui, moi qui croyait quil allait être fatigué, il nen est rien, son sexe est plus vigoureux que jamais, il me pénètre doucement au fur et à mesure que je massoit sur lui, jai limpression dexploser, lorgasme est déjà là, et il commence seulement à bouger, chacun de ses mouvements me procure un immense plaisir, je gémis comme jamais je nai gémis, mon corps ne mappartient plus, il est resté vigoureux en moi pendant une bonne partie de la nuit, mamenant à de nombreux orgasmes.
Le lendemain, avant de partir, je nai pas vu mon beau marseillais, cest surement mieux, mais dans le train nous ramenant, ma collègue me lança avec un petit sourire :
- Tu as lair fatiguée, ça va ? Une nuit agitée ? Tu mexcuses pour hier, finalement je ne suis pas revenue, je nai pas voulu vous déranger.
- Tu as vu ce quil sest passé ? Jétais déjà toute affolée.
- Oui, cétait drôlement bien, je suis sûr quil ne va pas toublier de sitôt, au fait, cest un peu lui qui mavais demandé de tamener au hammam.
- Et toi ! Tu lui as obéi ?
- Bin oui, tu sais, comme il va être certainement muté dans notre bureau en tant que chef de bureau, je ne pouvais pas refuser.
- Rassure toi, je ne ten veux pas bien au contraire, je te remercie, car sans toi, je naurais jamais osée faire lamour avec un autre homme que mon mari. Alors pour me rassurer, je me dis que je nai pas trompé mon mari, je me suis juste tromper dhomme une nuit.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!