Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari. Épisode 5
6 août : Albert
Pendant la dizaine de jours entre Jean-Joseph et Albert, Isabelle sétait bien préparée. Elle avait même passé deux nuits avec lhorrible plug dans lanus.
À son retour chez elle, le mari vit quelle était déconfite et furieuse. "Ma pauvre Isabelle a dû en prendre ! », pensa Bertrand, le mari dIsabelle.
- Ton copain de poker ma défoncé le cul. Il était encore sympa mais, il ne ma pas fait de cadeau. Je suis passée trois fois à la casserole. Dès que je suis arrivée, il a planté le décor : « Vous savez ce qui va vous arriver. Jespère que vous avez suivi les conseils de Noël. » Il a fallu que, comme la première fois, je me frotte lentrejambe sur son torse poilu. Et après, il ma demandé si je voulais bien jouer avec lui à lordre et à lexécution.
-Tu as accepté, évidemment.
- Si tu ne mavais pas mis dans cette situation je naurais jamais été dans les mains de tes copains de jeu. Jai accepté vu quavec Noël et Jean-Joseph ça sest passé comme ça. Il ma placé en position de 69. Il avait la vue sur mon cul et moi sur sa bite. Il a été très cochon en paroles. « Pour le moment, il faut sucer, il faut la mettre super raide et au max de sa taille. Pour percer un cul, il faut avoir les bons outils. » Avec cette réflexion, je savais à quoi men tenir. Il a été satisfait quand je lui ai dit quelle était toujours raide.
- Mais toi aussi tu lui as dit des cochonneries.
- Je lui ai pris le bâton en bouche. Jai senti sa bouche sur ma chatte et sa langue a commencé à me travailler. Je nai pas pu apprécier en pensant à ce quil allait me faire. « Il est bien propre ce petit anneau. » Et, il ma léché lanus, le cochon. Il bandait dur. « Vous allez me dire à combien de centimètres je suis. » Je ne mattendais pas à ça. Cétait nouveau et il me tend une règle graduée. Je lui ai obéi. Elle mesure presque 23 cm. Et elle est large ; 4, 3 cm. Cest vraiment fort. Son truc me faisait quand même un peu peur.
- Ouh là là ! Je ne savais pas quil était si bien fourni.
- Jai dit une ânerie. Je lui ai demandé sil allait me sodomiser avec ça. Ça la fait rigoler. « Je suis désolé je nai que ça entre les jambes. » Je lui ai proposé de bien le sucer et même davaler. Il na rien voulu savoir. « Enculer, cest enculer, et puis cest tout ! » Tu te doutes bien, mon cher connard de mari, que pour moi la messe était dite ; jallais y passer. Il était hyper-excité et sest mis à parler à mes fesses. « Avec une belle raie comme celle-là, je vais me régaler. Alors, petit trou poilu, je vais te présenter ma bite. Et mon champion va touvrir petit trou du cul. Il y arrive toujours. » Je nen doutais pas vu sa raideur. Il était très excité et devenait cochon. Moi, jétais complètement dépitée de penser à ce que jallais subir. Il ma demandé si javais de la vaseline.
- Ho ma pauvre, cest abominable ; arrête sil te plaît.
- Je lui ai enduit la queue. Après, il ma ordonné de me mettre à quatre pattes. Il a fallu que je mécarte les fesses. Il ma mis le doigt dans le cul avec de la vaseline. « Allez, on y va. Allez mon champion, vas-y. Va farcir ce joli cul poilu ! » Cétait parti. Jai senti son gland sur mon anus. Il tremblait dexcitation. Il ma demandé si je métais bien vidé le rectum. Il a commencé à pousser. Il me disait de pousser comme quand vous allez aux toilettes. Je lui ai obéi. Ça a lâché dun coup. Il a poussé un cri de joie. Je croyais que le plus dur était fait. Dès quil a enfoncé, ça a été douloureux. Je lui dis darrêter. Il a continué. Il sen foutait, le salaud. Il me tenait fermement par les hanches. Javais beau lui dire que sa queue était trop grosse et trop longue ; il sen foutait il continuait à lenfoncer. Il avait lair trop content. Je me cramponnais au drap. Je lai supplié darrêter mais il ma dit quune dette était parfois dure à payer et que je navais quà serrer les dents. Jai essayé de pousser comme il mavait dit mais je ne pouvais pas ; ça navait aucun effet.
- Oui, cest vrai. Jai honte. Ma pauvre chérie.
- Quand il a continué à enfoncer, jai crié tellement ça faisait mal. Je lui disais daller doucement. Il a annoncé fièrement quil était au bout. Je le sentais ; je me sentais pleine. Quand il a commencé à ramoner, jai crié et jai essayé de me dégager mais il me tenait ferme le cochon. Jai mordu les draps, me suis cramponnée. Puis, il a eu pitié de moi, il sest un peu retiré et ma sodomisé doucement. Il ma dit : « Branlez-vous, vous allez voir cest super. Un bel orgasme avec une trique dans le cul, cest inoubliable et en plus vous aurez moins mal. »
-Tu las fait ? demanda Bertrand, le mari. Lidée de sa femme en train de se branler avec une bite dans le cul le dégoûtait.
-Oui, mais je nai pas joui. Il a tout envoyé avant. Il est allé à fond et il a commenté : « Cétait super ! Dès que je rebande, on remet ça. » Je lui ai proposé une pipe mais il na pas voulu. « Maintenant que votre trou est ouvert, vous allez avoir moins mal. Jai un jouet pour vous faire jouir. » Il a sorti un godemichet. Il ma planté un doigt dans la chatte et ma dit quil ny avait pas besoin de vaseline. Il me la enfoncé. Un petit ergot touchait mon clitoris. Au bout de quelques minutes il bandait à nouveau alors je me suis mise à quatre pattes. Il ma dit de le tenir et la mis en route. Il bougeait dans mon sexe et sur mon clito avec un petit ronronnement. Cétait agréable. Il était derrière moi ; il était prêt à membrocher le queutard. Il ma écarté les fesses. « Jadore les culs mous. Je vous secoue un peu la gélatine avant. Cest beau ça ! Allez mon champion amuse-toi, fais-moi vibrer tout ça. Il fait bouger toute la fesse quand il frappe dessus. » Voilà ce quil disait ton Albert.
-Cest un gros cochon ; je ne le savais pas, se plaint Bertrand.
-Je te le redis, Albert est un baiseur, un sacré baiseur.
-Arrête, arrête ! Je ne veux plus rien savoir.
Mais Isabelle tenait sa vengeance et allait enfoncer le clou.
-Je me rappelle ce que je lui ai dit. Ça ne va pas te faire plaisir et tant mieux : « Doucement, doucement, Albert, doucement ; cest bon ! Cest bon, ça monte ! Monsieur Albert je vais jouir avec votre grosse queue. Je JOUIIIIS ! Cest FOOOOORRRT ! HOU HOU HOU ! Cest long ! Hou ! HOU ! » il na pas tardé à larguer son jus. Après, Je me suis écroulée et endormie presque aussitôt.
- Quest-ce-que tu deviens Isabelle ? Ma femme en train de jouir avec une bitte dans lanus et un gode dans la chatte
Je ny crois pas.
-Ce matin, il ma réveillée en me tâtant le cul. Jai eu envie de le voir éjaculer alors je lui proposé une pipe avec branlette. Il était daccord pour me montrer son éjaculation ; il est sûr de lui. Je lai branlé et sucé. Il était en pleine forme et son gros bâton me faisait mouiller. Je me suis mise à me caresser. Javais une main qui tenait ses couilles, lautre était sur ma chatte et javais la bouche pleine. Il a été gentil avec moi ; il ma prévenu quand, il allait jouir. Jai sorti son manche et il a envoyé. Quatre ou cinq belles giclées à la verticale. Pour moi, lorgasme a été fulgurant.
Bertrand sétait avachi sur son siège et se tenait la tête entre les mains.
-Je vais continuer ma nuit et je ne veux pas te voir.
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