Pulsion...

Ce matin, je me suis réveillée avec un rêve sensuel dans la tête et depuis, une pulsion de sexe ne me quitte plus… Et je suis là, avec mes collègues qui vont et viennent dans les allées de nos bureaux, sans qu'un seul ne soupçonne cette envie qui me taraude aujourd'hui.

Je pense à toutes ces propositions indécentes qui flottent, surtout ici, une cinquantaine d'hommes et de femmes qui passent ensemble sept heures par jour. Et il faut bien reconnaître que le sexe est un des sujets favoris de nos conversations. Je regarde autour de moi et me rends compte que beaucoup des mecs que je vois m'ont un jour ou l'autre glissé, plus ou moins subtilement : "Toi, c'est vraiment où et quand tu veux"…
Je me demande lequel va pouvoir combler ce désir qui, les heures passant, se renforce… Un peu comme chez le pâtissier, je prends le temps de contempler les délicieux gâteaux qui se pavanent fièrement dans la vitrine, tous plus appétissants les uns que les autres, et je n'ai plus qu'à faire mon choix en fonction de mon envie du moment : alors qu'un jour je rêve d'un gros gâteaux au chocolat, le lendemain je fonds devant une bonne génoise fourrée d'une crème pâtissière alléchante ; le moelleux au caramel et chocolat au lait, avec son mélange de saveurs toujours intéressant, me fait aussi succomber de plaisir, sans oublier les succulentes tartes garnies de fruits exotiques… Il me suffit d'être à l'écoute de mes sens pour que je trouve toujours, parmi toutes ces merveilles, celle que je désire le plus fortement dans l'instant.
Je regarde de nouveau, de manière plus affinée. Pourquoi pas Etienne ? Avec son air timide, ça ne l'a pas empêché de furtivement me coller une main aux fesses à la machine à café. Sinon il y a Franck… lui a annoncé la couleur d'entrée en me disant : "Tu sais, à la Guadeloupe, on dit souvent : "Le plus important dans la vie, c'est ce que tu fais de tes nuits." Voyons, qui d'autre ?? Evidemment, il y a Zoltan et ses origines slaves qui, malgré son âge plus avancé, a tellement l'air de maîtriser la chose… Avec lui ce serait bien je crois !?! Quand il parle avec son petit accent, ça m'excite, j'ai toujours envie qu'il passe sa langue sur mon corps, qu'il me lèche un peu partout… Ce serait trop bon je crois.

Bien sûr je ne peux pas oublier le Boss, Arthur, et son invitation à passer un week-end avec lui et sa femme Claire. C'est très tentant, peut-être une autre fois. Non, là, j'ai besoin de me faire baiser, et pas qu'un peu, j'ai envie d'un violent !! Tiens, mais qui voilà ?!! Jean-Marc… Avec son regard vicieux et ce sexto le mois dernier : "Je rêve de toi, je rêve que tu sois ma chose, rien qu'à moi, que tu mouilles pour moi. J'aimerais que tu sois ma salope… Réfléchis, tu pourrais aimer ça aussi, j'en suis sûr…". Habituellement, je le trouve plutôt inquiétant, mais là, aujourd'hui il a un je ne sais quoi qui m'excite… Il pourrait me faire mal, m'enculer bien à fond sans me demander mon avis… C'est lui qu'il me faut. C'est lui que je veux, lui, le contraire de tout ce que j'aime, lui, pervers jusqu'au fond des yeux. Je vais lui envoyer un petit sexto pour le stimuler un peu et on verra.

- Moi : "Coucou… Tu fais quoi de 5 à 7 ?!?"

Environ trente secondes s'écoulent avant que je reçoive sa réponse :

- J-M : "Tu n'as pas assez d'imagination !!!"
- Moi : "Pas si sûr…"
- J-M : "Oh si je suis sûr !!"
- Moi : "Surprends-moi !"
- J-M : "Trop long par sms !!!"
- Moi : "Tu te vantes déjà ?!"
- J-M : "Non…"
- Moi : "Et tu ne peux pas faire plus court ??"
- J-M : "Physiquement impossible !!"
- Moi : "Et virtuellement ??"
- J-M : "Je suis passé à autre chose !"
- Moi : "Et c'est moi qui manque d'imagination ! Je rigole !!"
- J-M : "Tu peux rigoler, je m'en fous !!"
- Moi : "Dommage, j'aurai parié pouvoir te faire B….. par sms, pardon du dérangement… Bye"
- J-M : "Tu m'intrigues !?!"

Je laisse passer trente secondes et lui réponds :

- Moi : "A quel point ??"
- J-M : "Remue-ménage dans le caleçon..."
- Moi : "Déjà !?! Qu'est-ce que ce sera quand je passerai ma langue sur…"
- J-M : "Où ??"
- Moi : "Imagine enfin !!!"
- J-M : "Allez dis-moi où ?"
- Moi : "Sur ton gland !!!"
- J-M : "Amandine ???"
- Moi : "Quoi !?"
- J-M : "Qu'est-ce qui te prend ???"
- Moi : "T'es choqué ?"
- J-M : "Non pas du tout, mais surpris, tu n'étais jamais rentrée dans mes délires avant !!"
- Moi : "Avant non… Aujourd'hui c'est différent !!"
- J-M : "Arrête, tu me fais marcher !!! Je suis le pigeon pour la blague du jour, c'est ça ???"
- Moi : "A toi de voir !"

De nouveau trente secondes et il m'envoie :

- J-M : "Si t'es sérieuse, balance un selfie… hard !!"
- Moi : "Tu me laisse le temps de passer aux toilettes ??"
- J-M : "Non… trop facile !"
- Moi : ".
..Ok !"

Un coup d'oeil rapide autour de moi, je remonte un peu ma jupe, glisse mon portable entre mes jambes, que j'écarte, et prends une photo de mon string rose.

Je lui envoie :
- Moi : Mms + sms "Monsieur est content ??"
- J-M : "Sans la culotte stp…"
- Moi : "Comme tu es, toi !!"
- J-M : "Attention, tu sais que je suis trash, je fais pas dans le romantisme..."
- Moi : "Oui je sais, ça me plait d'ailleurs..."
- J-M : "Alors envoie !!"
- Moi : "Trop de passage."
- J-M : "Enlève-la et apporte-la moi !"
- Moi : "Non, pas ici, trop risqué."
- J-M : "Tu veux faire comment alors ??"
- Moi : "Comme tu veux !!"
- J-M : "Quand ??"
- Moi : "Que dirais-tu de 5 à 7 !?!"
- J-M : "Où ??"
- Moi : "Aucune idée."
- J-M : "Voiture ? Toilette de bar ou publique ? Hôtel ? parc ? Train de banlieue ?... Ton lit ???"
- Moi : "Je sais pas… Tu as une préférence ?"
- J-M : "Si ça ne tient qu'à moi… On les fait tous !!! Alors choisis..."
- Moi : "J'hésite, ils ont tous quelques chose !!"
- J-M : "Petite coquine..."
- Moi : "Et là c'est rien !!"
- J-M : "Tu vas faire quoi ???"
- Moi : "Tout ce que tu voudras !!"
- J-M : "C'est vrai ?!?"
- Moi : "Je ferai tout ce que tu demanderas mais à une seule condition."
- J-M : "Tout ce que tu veux !!"
- Moi : "On en reparlera jamais, d'accord !?
- J-M : "C'est comme tu voudras."
- Moi : "On va où ??"
- J-M : "Après le boulot, suis-moi à distance, arrivée, installe toi au bar, commande un truc fort et quand je bouge tu laisses passer deux minutes et tu rappliques… Ok ??"
- Moi : "Oui… Et après ??"
- J-M : "Après tu es à moi !!"
- Moi : "Humm…"

Je le suis depuis cinq minutes et j'ai le coeur qui palpite comme c'est pas possible… Dans quoi je me suis embarquée ? Je n'en reviens pas. Ce petit con m'a vraiment excitée, et sûrement plus qu'il ne l'imagine.
Qu'est-ce qu'il va me demander ??… Au fond je m'en fous, il peut me faire faire n'importe quoi… Ca doit juste être… Sauvage, presque inimaginable… Et s'il se met à être gentil ?? Ca me ferait chier de perdre mon temps… Non, je crois pas, il a vraiment l'air vicieux, je le sens limite malsain… Oui c'est exactement ce qu'il me faut, un truc bien “malsain", c'est encore mieux que bestial… Voilà ça doit être ici.
Dès que je le vois entrer, mon excitation grimpe en flèche, je suis vraiment une belle salope… Ce n'est plus possible maintenant de résister à cette pulsion qui me chauffe le corps depuis des heures…
J'entre, direction le bar, où je commande un gin tonique… Je suis sûre que le serveur a capté notre manège. Il me sourit, regarde en direction des toilettes et pose le verre en face de moi en disant : "Voilà Mademoiselle, un gin bien… tonique". Jean-Marc est visiblement un habitué car je ne l'ai pas vu commander et on lui a apporté un verre qu'il siffle cul-sec… Il se lève, lance un coup d'oeil dans ma direction et disparaît dans un escalier au fond de la salle… C'est parti, je bois mon verre en trois gorgées rapides et redemande la même chose… Le serveur revient un instant plus tard en disant : "Celui-là je vous l'ai gâté". Sans rien lui dire, je le siffle en deux gorgées, me pince les lèvres avec sensualité et lui demande avec une voix sensuelle :
- "Vous pourriez m'indiquer les toilettes s'il vous plait ?"
Troublé, il me répond :
- "Au fond, les escaliers et en bas c'est à… droite."
- "A droite, vous êtes sûr !?", lui dis-je, en lui lançant un petit regard équivoque et en partant sans attendre de réponse.
L'alcool fait déjà son effet et je dois faire attention en descendant les marches… C'est drôle, je me sens aussi légère que maladroite. Je me demande ce qu'il va me faire et comment il va le faire ??? C'est vraiment la seule chose qui me trotte dans la tête… J'y suis… J'entends du bruit à droite. Sur la porte, une petite ardoise indique : “Les filles c'est ici !!! Les garçons aussi !!!".
Je vois le genre !!
En poussant la porte, je suis surprise et charmée de trouver ce qui ressemble à un caveau médiéval avec ses vieilles pierres apparentes, sa voûte, un pilier central et, sur la droite, un urinoir à coté duquel un vieux miroir surplombe un lavabo. En entrant, une forte odeur pique immédiatement mes narines… Je me rends compte que l'endroit est particulièrement crade et que ça pue vraiment ! En me penchant un peu, j'aperçois Jean-Marc adossé au mur du fond, sa main droite branlant doucement ce qui, vue d'ici, semble être une belle queue. Il arbore ce sourire vicieux qu'il a parfois à la boite… Son regard semble empli de violence et franchement ça m'attire… Je croche le verrou derrière moi et fais trois pas dans sa direction quand il me dit, d'une voix à la fois calme et dure :
- "Arrête-toi… Déshabille-toi complètement et jette tes fringues…"
J'obéis sans réfléchir et ce n'est pas désagréable… Je commence par dégrafer ma jupe, la faisant tomber sur mes pieds… Je déboutonne ensuite mon chemisier qui fini au même endroit… Je retire mon soutien-gorge ainsi que ma petite culotte, déjà toute mouillée… Je le regarde alors que lui me dévore avec une certaine perversité dans son regard… J'ai l'impression qu'il jubile du contrôle qu'il exerce sur moi, mais je m'en fiche. Il pense sans doute que je lui suis soumise… S'il savait que c'est juste tombé sur lui. Il me dit alors :
- "Enlève tout, je veux que tu sentes la pierre froide et humide sous tes pieds."
J'enlève mes escarpins et pousse mon petit tas de fringues sur le coté.
Il me dit :
- "C'est bien ! Approche !"
Je n'arrive pas à savoir si les frissons qui me parcourent soudain le corps sont dus à la forte excitation de l'instant ou aux pierres glacées sous mes pas… J'avance et m'arrête à quelques centimètres de sa queue déjà bien dressée. Il abandonne son sexe et tend sa main entre mes jambes, m'incitant à les écarter, ce que je fais… Il plaque ensuite sa main sur ma chatte et fais glisser ses doigts sur mes lèvres avec douceur. Sa caresse me fait mouiller davantage… Je sens que le majeur se détache des autres doigts et il me pénètre facilement… Il me fouille et c'est trop bon… Je me dresse sur la pointe des pieds… Je ferme les yeux et je perds l'équilibre, m'appuyant maintenant contre son épaule, je peux me laisser allez à jouir… Je mouille terriblement et il sent que le moment est sans doute venu… Il me doigte maintenant assez franchement et cette esquisse de violence m'enflamme l'esprit…
Deux doigts sont venus rejoindre le premier et ça m'excite encore plus… Pourquoi pas quatre, puis cinq ??… Je pose ma main sur son poignet et retire ses doigts… Il est surpris, mais voyant que je les regroupe en forme de cône, il comprend ce que je veux et plonge tous ses doigts jusqu'aux premières phalanges de sa main… J'adore cette incroyable sensation que de me faire remplir comme ça… Il pousse encore… J'élimine la dernière résistance en écartant encore un peu les jambes et en fléchissant les genoux… Putain ça fait mal… D'un coup, je sens sa main glisser entièrement en moi, libérant une douleur exquise… Je tremble de partout et c'est trop bon… En plus, il sait faire durer le plaisir… La position est physique et je commence à transpirer un peu, je n'ai plus froid et c'est au contraire une vague de chaleur qui me prend tout le corps… De son autre main il me tire fort les cheveux en arrière… Je m'accroche à lui pour ne pas tomber… J'ouvre les yeux et le plafond m'apparaît, humide et moisi, magnifique !! Puis, sans prévenir, il retire doucement sa main jusqu'à laisser un grand vide en moi… Il pose sa bouche sur la mienne et sa langue perce facilement la petite résistance de mes lèvres… Une fois dedans, je me demande ce qu'il va inventer d'autre. En tout cas, pour l'instant, je ne le regrette pas, bien au contraire… C'est là qu'une invitée surprise s'immisce entre nos lèvres, sa main pleine de mes sécrétions… S'engage alors un baiser complètement fou… De ce mélange de saveur nos langues se régalent et se rencontrent parfois au détour d'un doigt… Sans prévenir et brutalement, il place ses deux mains sur ma tête, me forçant à m'agenouiller. Il respire plus fort, je sens que son excitation grimpe plus vite que la mienne… Que j'aime ça ! Pas de sous-entendus, pas de code pour me demander : “S'il te plait, tu peux me faire une fellation?", non, là, ça veut dire simplement : “Suce-moi."… Ce que je ne me prive pas de faire… Sa queue est aussi belle que je le pensais tout à l'heure, longue, très dure avec de petites couilles elles aussi très dures… Je m'applique mais ça ne lui convient pas, il prend mes cheveux et guide les mouvements lui-même, et avec force, jusqu'à percuter le fond de ma gorge… Puis il commence des mouvements de hanche, d'abord courts, puis rapidement plus amples : il me baise la bouche !… Décidément, il a de la suite dans les idées ce type et je ne regrette pas cette intuition qui m'a attirée à lui… Il se penche sur moi en râlant, j'ai l'impression qu'il va jouir mais il se retire d'un coup pour me balancer une grande gifle qui résonne, et il me crie :
- "Je savais qu'elle serait bonne cette bouche de petite pute mais j'en ai pas encore fini avec toi…"
Du pied, il ouvre la porte qui est sur sa droite et, me prenant par les épaules, me tire violemment à l'intérieur où il me place à quatre pattes, mes avant-bras plaqués sur la lunette des chiottes… Je bloque un moment ma respiration mais finis par m'habi, tant à cette vue "imprenable", qu'à l'odeur… Lui vient derrière moi et me pénètre d'un coup… Son long sexe me perfore autant qu'il me fait du bien, ses coups sont sans aucune retenue, juste vrais et sauvages… Il n'a pas peur de me casser et j'aime ça… Je ne retiens plus ma jouissance qui s'échappe maintenant par des cris de plaisir, à moins que ce ne soit de la rage, là, je ne vois pas trop la différence… Alors que je le croyais à fond, voilà qu'il rajoute encore de la force dans ses coups de bite… En même temps il me claque les fesses et le dos… Vu le bon coeur qu'il y met, ça laissera des marques c'est sûr… Alors qu'il me marmonne quelques saloperies à l'oreille, un râle plus marqué me dit qu'il va peut-être jouir… Je voudrais jouir aussi mais il se retire d'un coup, me retourne… Je suis maintenant assise par terre, la nuque appuyée sur la cuvette des wc avec sans doute mes longs cheveux qui trempent à l'intérieur… Lui est venu, jambes écartées, se branler au dessus de mon visage et me dit :
- "Nous y voilà ma belle salope, ouvre bien la bouche, je veux te voir avaler mon sperme."
J'ouvre la bouche dès qu'il me l'ordonne et reçois presque aussitôt les premières giclées qui claquent au fond de mon palais… A peine j'avale cette gorgée qu'un autre jet me remplit et ça n'arrête pas… Son jus sent très fort mais je m'en fiche… Il presse sa queue pour faire tomber les dernières gouttes que je guide en plaçant ma langue sur le bout de son gland… Dès que c'est fait, il se recule, range son outil lentement, referme tout aussi lentement sa braguette et tout ça s'en lâcher un instant mon regard qui le transperce de merci… Puis il sort, revient un instant après et me lance mes fringues dessus en disant :
- "Tiens… Je me casse et si j'étais toi j'en ferais autant car il y a deux ou trois types là-haut qui ne vont pas tarder de rappliquer… et ils ne seront peut-être pas aussi gentils que moi."
Il part mais revient presque aussitôt et me dit d'une voix plus douce :
- "A demain Amandine…".
Puis il me souffle un petit baiser et disparaît.
Je me lève, me rhabille à toute vitesse et, tandis que je sors, je vois dans le miroir le reflet d'une femme qui n'est pas moi… Je la regarde une seconde puis remonte à toutes jambes les escaliers. Arrivée dans la salle, je constate que Jean-Marc a disparu et que deux mecs se dirigent vers moi… Je longe le mur pour les éviter mais le premier m'agrippe le poignet… Je m'adresse alors au barman qui regarde dans notre direction et lui dis :
- "Combien je vous dois ?"
Il me sourit gentiment, et comme pour jouer les sauveurs, il me dit :
- "Le monsieur qui était là a réglé en disant qu'il vous attendait dehors."
Je tire la main du type pour me libérer non sans mal et dis en marchant vers la sortie :
- "Merci beaucoup, au revoir."
- "Au revoir, bonne soirée et à très bientôt." me dit-il gentiment.
Dehors, je cherche machinalement Jean-Marc qui est déjà parti. En gagnant ma voiture, j'ai l'impression que tous les hommes que je croise m'invitent à les suivre ou me lancent des appels du regard et c'est avec légèreté que je leur décroche à mon tour un sourire plein de béatitude et de malice.


FIN…

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