La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 545)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°540) - Coups de bites, coups de fouet ! -

Les Convives de Monsieur le Marquis d’Evans avaient pris place autour de la massive table de chêne verni et très ancienne, ornée de multiples petites sculptures finement ciselées à ses nombreux pieds et dressée en U pour prendre leur déjeuner. Les trois esclaves MDE et ceux propriétés des Dominants présents, deux mâles et quatre femelles, s’installèrent sur ordre à même le sol, au centre de ces tables pour prendre leur repas, dans une et unique grande gamelle qu’ils durent se partager. Leurs mains avaient été attachées dans le dos, alors, alternativement, deux par deux, ils se nourrissaient en plongeant leur visage dans cette gamelle, puis se relevaient tant bien que mal pour que les autres esclaves puissent se rassasier à leur tour. Une gamelle d’eau se trouvait à proximité pour que les esclaves puissent également se désaltérer. Alors que soumis Endymion MDE venait d’avaler une dernière bouchée, il fut attrapé subrepticement par son collier et entrainé debout par Monsieur le Vicomte d’Evans, à l’extérieur de cette somptueuse, haute et immense pièce de réception. Une fois dans le couloir, Monsieur Charled lui intima l’ordre de se mettre à genoux devant lui.

- J’ai très envie de pisser, le chien !

En hâte il dégrafa la braguette de son jean et sortit son membre flasque.

- Ouvre grand la bouche salope et avale, avale tout, je ne veux voir aucune goutte par terre, sinon tu goûteras de ma ceinture… !

Un puissant jet vint éclabousser tout contre son palet et sa gorge, soumis Endymion MDE eut bien du mal à tout ingurgiter sans faire choir la moindre goutte. A peine venait-il de déglutir qu’un autre jet, tout aussi puissant lui inonda la bouche, puis un troisième et un quatrième…

- Je t’avais bien dit que je ne voulais rien voir par terre salope, et ça qu’est-ce que c’est ?

Monsieur CharlEd empoigna soumis Endymion MDE par son collier et lui mit la tête au sol dans les urines laissées échappées.

- Lèche salope, lèche je ne veux plus voir une seule goutte !

Alors que le chien soumis MDE s’exécutait tout excité par la situation d’humiliation qu’il était en train de subir (et de savourer dans son esprit masochiste), Monsieur CharlEd ôta la ceinture de son pantalon et lui claqua le cul par cinq fois. Des coups rudes, sans concession, douloureux et terriblement humiliants. Cette autre humiliation vécue qui générait et provoquait chez l’esclave MDE une subite excitation se manifestant entre ses cuisses et plus particulièrement dans cette cage de chasteté manifestement beaucoup trop étroite ! Le chien soumis reprit place au milieu de ses frères et sœurs de soumission, le cul bien zébré… La matinée avait été rude et chargée d’émotions pour les esclaves MDE, et soumis Endymion MDE se sentait quelque peu las. Il aurait aimé prendre un peu de repos, mais Monsieur le Marquis d’Evans en décida autrement.

- Ca va Mon chien ?
- Oui Maître, parfaitement bien, Maître
- Alors si tout va bien, tu vas me suivre docilement.

Le Maître attacha une laisse au collier de soumis Endymion MDE, puis l’entraina à quatre pattes derrière lui. Le chien soumis MDE avançait fièrement dans les pas du Maître, cambrant ses lombes, se déhanchant ostensiblement pour laisser balloter son service trois pièces encagés entre ses cuisses écartées, il aimait être tenu et dirigé ainsi. Cette marche en quadrupédie le requinqua aussitôt. Le Maître lui fit monter le monumental escalier de marbre français de couleur vert, blanc et gris, surplombé d’une immense et très haute verrière permettant l’éclairage par la lumière du jour. Il desservait le premier étage du Château, un lieu de passage obligatoire et très fréquenté par les hôtes du Maître pour regagner les suites et chambres, mais aussi par les gardes et le personnel en général, allant et venant à leurs diverses occupations. Arrivé au demi-palier, très spacieux, le Maître stoppa net le chien soumis MDE en tirant sévèrement sur sa laisse. Monsieur le Majordome accompagné d’un garde se trouvaient là.

- Je t’ai donné les consignes Walter, il ne te reste plus qu’à les appliquer.
- Bien Monsieur le Marquis, lui répondit le Majordome très respectueusement.

soumis Endymion MDE fut abandonné par le Maître et laissé entre les mains de Monsieur Walter et du garde. Celui-ci tenait à bras le corps quelques planches épaisses de bois qui, une fois assemblées entre-elles, formaient un carcan quelque peu complexe. Le chien soumis MDE dut, dans un premier temps, se tenir en levrette, sur une petite table rembourrée et recouverte de simili cuir, puis, en quelques secondes à peine, il fut entravé de la plus humiliantes des façons, son intimité était largement exposée au voyeurisme pervers de tous ceux passant là à ce demi-palier. Et comme cet endroit était un lieu de fort passage, beaucoup de personnes ne manqueraient pas de le voir ainsi exhibé ! Son cul coincé entre deux planches allait donc être exhibé sinon utilisé. Ses avant-bras furent attachés avec des liens en cuir rivetés à la table. Le moindre mouvement était impossible à soumis Endymion MDE. Deux doigts épais glissèrent dans son cul, lui arrachant un gémissement teinté de douleurs et plaisirs, le garde commenta son exploration.

- Un bon cul bien chaud, un vrai garage à bites !
- Tu pourras y gouter tout à l’heure, nous avons encore à le préparer ! répondit Monsieur Walter

Avec doigté et patience, Monsieur Walter lubrifia méthodiquement le cul du chien, alors que le garde plaçait et ajustait une mentonnière sous son visage pour lui maintenir la tête à l’horizontale à une cinquantaine de centimètres au-dessus de la table. La posture était quelque peu douloureuse, parfaitement indécente, et terriblement humiliante. soumis Endymion MDE contraint à l’immobilisme, excité comme une vraie chienne en chaleur, comprit bien vite les raisons de ces entraves et de cette outrageuse exposition à tous les regards. Le garde s’approcha du visage de l’esclave MDE, queue en main et la lui fourra dans la bouche :

- Pile poil la bonne hauteur ! lança-t-il

Il fit le tour de cette table basse, puis appuya son sexe contre l’orifice intime du chien soumis MDE et le pénétra d’un coup, d’un seul bien profond, la lubrification de Walter aidant aisément à la volumineuse verge de s’enfoncer sans efforts. Il le besogna à burnes rabattues pendant quelques minutes, sous le regard amusé de Monsieur le Majordome.

- Toi alors, tu es vraiment incapable de te tenir dès que tu vois un cul offert !
- Je voulais voir si ce cul était lui aussi à bonne hauteur pour prendre des bites, Monsieur Walter !
- Et alors, il l’est ? non ?
- Oui Monsieur Walter, ce cul est celui d’une salope à tringler, un garage à bites, un bon vide-couilles et ce cul est aussi bien positionné, parfaitement à la bonne hauteur pour qui voudra venir se soulager les couilles… Ha ! Ha ! Ha ! … répondit le garde en éclatant de rire tout en continuant de besogner l’esclave MDE….

Les gémissements jouissifs de soumis Endymion MDE répondaient à cette queue avide. Le garde pilonnait l’esclave MDE de plus en plus rapidement, jusqu’au moment où il éjacula à plein jets inondant ce fourreau tenu à disposition.

- Tu as joui ? interrogea le Majordome
- Oui Monsieur Walter, je largué tout mon jus dans le trou de cette salope !
- Un peu de tenu, mon cher, je te rappelle que tu n’es pas sur un champ de foire ici, mais dans la Noble Demeure de Monsieur le Marquis d’Evans, Allez range ta queue, et porte avec ce marker, une croix sur le cul de cette salope.

Le garde soulagé, exécuta en s’excusant platement. Le Majordome expliqua alors à soumis Endymion MDE ce que le Maître voulait faire de lui cet après-midi.

- Le chien, Monsieur le Marquis a décidé que tu officierais toute cet après-midi comme vide-couilles. Ton cul et ta bouche seront à disposition de tous ceux qui voudront les utiliser à toi de les faire jouir, ce sera ta principale préoccupation, ton seul désir. A toi de travailler correctement pour satisfaire aux exigences du Maître. A chaque fois que ceux qui t’auront pris par un de tes trous ou par les deux, et qu’ils auront joui, ils te marqueront le cul d’une croix. Si tu ne parviens pas à tirer leur jus, alors ce sera ton front qui sera marqué d’une croix. Est-ce bien compris le chien ?
- Oui Monsieur le Majordome.
- Ah oui, tient j’oubliai le chien, Voilà la règle du jeu : A chaque croix marquée sur ton front, tu recevras 20 coups de fouet pour n’avoir pas su faire jouir celui qui te baise, et à chaque croix marquée sur ton cul, ce n’en sera que cinq ! Bien compris le chien ?
- Oui Monsieur le Majordome !

Avant de partir, Monsieur le Majordome mit un bandeau sur les yeux du chien et enfonça le marker dans son anus, le priant de bien le tenir en place. Le soi-disant jeu était quelque peu machiavélique et fort pervers, dans tous les cas, soumis Endymion MDE serait fouetté, pourtant, son excitation était palpable, sa nouille se contorsionnait dans cette cage trop étroite, il se sentait merveilleusement esclave, impuissant, à disposition, il n’était plus rien, juste un jouet sexuel, quel bonheur !... Alors il attendit ainsi, les yeux bandés, le corps immobilisé, le cul ouvert et bien exhibé, la nouille fortement excitée dans sa cage de chasteté… Mais il ne dut pas attendre trop longtemps car son cul ne tarda pas à avoir de la visite. Un gros gland, bien baveux franchissait le goulot étroit de son intimité, la queue se logeait au plus profond des entrailles. Lui, le chien soumis MDE se laissait aller en recevant des grands coups de butoir qui le faisait haleter, telle une chienne en rut. Au bout de cinq minutes seulement, son cul était de nouveau baptisé et souillé. L’homme se retira, marqua une croix sur les fesses du chien soumis MDE et se fit sucer et nettoyer la bite après avoir remis le feutre bien en place dans l’anus du chien soumis. Encore haletant, peut-être même aspirant une petite trêve, soumis Endymion MDE sentit déjà des doigts le fouiller. A peine venait-il de retrouver une calme respiration qu’un autre membre plus épais l’emmancha. Un vrai gourdin qui forçait l’entrée de sa rosace, parcourant progressivement le rectum, le dilatant au passage un peu plus encore. Le rythme était lent puis devint soudainement plus rapide, voire furieux. Celui qui le sodomisait avait planté ses ongles dans les fesses du chien soumis MDE lui servant d’appui pour mieux le défoncer, le dévaster, le prendre plus sauvagement encore. soumis Endymion MDE se sentit animal, bestial, une vraie machine sexuelle soumise, une poupée mécanique qui malgré la dureté des impacts qui le taraudait, prenait un plaisir absolu. Il grognait, gémissait, criait comme un damné pour encourager son enculeur, le suppliant même d’accélérer le mouvement, de le baiser encore et encore. La bite de l’enculeur se tétanisa soudainement au plus profond des entrailles du chien soumis MDE et giclait à plusieurs reprises contre ses sphincters endoloris…

L’après-midi se passa ainsi … Combien de fois, fut-il sailli ainsi ? soumis Endymion MDE n’était plus capable de le savoir, il n’en avait plus aucune idée. Sa bouche et son cul avait même subi les assauts de deux godes ceintures utilisés en même temps, au cours de cet après-midi. Il était éreinté, épuisé, il s’était fait baiser comme une vraie chienne sans savoir qui l’avait enculé mais pas une seule croix n’avait été portée sur son front… Il s’était donné sans compter, si heureux d’avoir subi ces assauts consentis, heureux surtout, d’avoir respecté les ordres du Maître et d’en avoir eu un immense plaisir autant mental que physique ! … C’est d’ailleurs Monsieur le Marquis qui en dernier lieu le pénétra, ultime sodomisation de l’après-midi. soumis Endymion MDE, les yeux bandés, reconnut immédiatement cette Vénérée Queue le fourailler, la dureté de cette verge cogner contre ses appâts de velours. Elle glissait doucement pour mieux se planter, pour mieux pénétrer, plus encore, plus profondément ! Un coït régulier qui ne semblait pas vouloir s’achever. Puis le rythme s’intensifia, s’accéléra pour devenir presque compulsif. Les Mains du Maître empoignèrent et s’agrippèrent au fessier du chien soumis MDE, ses testicules claquèrent tout contre son cul offert et dilaté. Puis un dernier élan, un dernier coup de rein, un râle puissant, la divine liqueur intime se mit à jaillir par saccades successives, un jus épais, visqueux et abondant.

- Tient, voila pour toi, le chien, pour finir cet après-midi d’enculades … dit le Marquis d’une voix Dominante
- Oh merci Maître, infiniment merci
- Tu me remercieras plus encore ce soir, Mon chien, sous les délices de la lanière de mon fouet. Tiens, laisse-moi compter le nombre de croix sur ton cul…Une, deux…. Treize, tu t’es pris treize bites dans tes trous de salope, si qui nous fait, si je compte bien, soixante-cinq coups de fouet…

Soumis Endymion MDE s’écroula lorsqu’il fut sorti du carcan, Monsieur Walter, le laissa reprendre ses esprits quelque instant puis l’emmena tenu à quatre pattes dans une toute petite pièce, juste à côté de son bureau. Le chien soumis MDE couché sur l’épaisse moquette, prit un peu de repos tout en se rappelant la multiplication de ses profondes et viriles saillies. Certaines avaient été nerveuses, d’autres lentes, d’autre rapides et fougueuses, certaines encore plus barbares… Il était bien, si heureux d’avoir été cette chose, cette pute d’entre deux étages, ce chien obéissant aux ordres du Maître !

(A suivre…)