Mon Apprentissage-5
Avec Jacques nous nous croisions dans lappartement. Je savais bien que comme moi il fréquentait des femmes mures mais nous respections bien la séparation travail, sexe.
Je retrouvais Jean-Jacques dans son atelier. Il était accompagné dune femme ravissante, perchée sur des hauts talons qui se prénommais Brigitte. Elle avait une voie plutôt grave, une belle poitrine, un décolleté impressionnant et des formes que mettait en valeur son pantalon moulant. Elle était venue voir le travail du maître. Je me déshabillais. Jean-Jacques pris sa fiole et commença à menduire dhuile. Brigitte proposa de laider ; Je sentais leurs mains me masser, insister sur mes muscles Brigitte se chargea de ma queue et de mes couilles et Jean-Jacques de mon cul et de mes fesses. Le résultat ne se fit pas attendre. Elle avait provoqué une belle érection et semblait satisfaite. Ils terminèrent par mes cuisses et mes jambes. Le résultat était satisfaisant, ma musculature étant bien mise en valeur. Brigitte me frôlait, prolongeant ainsi mon érection.
Jean-Jacques était content de son uvre. Dès que survenait la pause, Brigitte sasseyait auprès de moi. Nos jambes se frôlaient et cétait très excitant. Dès quelle me touchait ma verge se dressait ce qui la faisait sourire.
Au bout de 4 heures Jean-Jacques mis fin à la séance. Brigitte membrassa en émettant le souhait de se revoir. En arrivant chez moi je me suis aperçu que javais oublié ma sacoche avec mes papiers. Je retournais à latelier. La porte était ouverte mais il ny avait personne, jappelais, aucune réponse. De lappartement de Jean-Jacques se dégageait une musique très forte. Personne dans le salon. Je continuais ma progression et par la porte de la chambre entrebâillée je vis un spectacle surprenant. Ils étaient nus tous les deux. Jean-Jacques était à quatre pattes un collier et une laisse en place et Brigitte le sodomisait. Elle était en fait un travesti. Ses seins étaient superbes et son corps magnifique.
Je me déshabillais complètement et mallongeais sur le lit. Jean-Jacques avait retrouvé son coin. Elle se mit à me caresser, à embrasser toutes les parcelles de mon corps. Elle me nettoya la queue, goba mes couilles. Me mettant sur le ventre elle fît de même avec mon dos. Elle mécarta les fesses et se mit à élargir ma rondelle avec sa langue qui fut remplacée par ses doigts. Je sentais mon cul souvrir.
Pour finir elle demanda à Jean-Jacques de se présenter à quatre pattes, fesses écartées. Elle mhabilla d un préservatif et me présenta devant lanus bien ouvert du sculpteur. Je menfonçais en lui. Passant derrière moi elle me pris les tétons et accompagna mes mouvements. Je sentais son sexe plein de sperme sur mes fesses et ses seins écrasés sur mon dos. Nous enculions Jean-Jacques en cadence. Elle savait se servir de ses doigts pour pincer mes tétons. Elle me demanda de la prévenir lorsque je sentirais que jallais venir. Elle me força alors à me retirer du cul de Jean-Jacques, elle menleva le préservatif et dirigea mon sperme sur sa bouche et son visage. Cétait génial.
Javais eu mon compte. Elle était la maîtresse de Jean-Jacques depuis longtemps et lavais soumis. Il lui avait dit quil avait recruté un beau garçon très bien foutu. Elle avait demandé à me voir et je lui avais beaucoup plu. Sans loubli de mes papiers est ce que tout cela se serait passé ? Le hasard fait bien les choses. Je promis à Jean-Jacques de revenir poser pour lui mais sans relations sexuelles. Quant à Brigitte elle est désormais dans mon carnet dadresse au cas où.
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