Elle N'A Pas Oublié Son Premier Amant

Il est encore là

- Chéri … ‘il’ est revenu …
- Qui donc est revenu Estelle ?
- Vincent …
- Ah non !! pas celui là, et tu ne compte pas revoir cet enfoiré j’espère?
- Je ne sais pas, je ne sais plus où j’en suis, depuis qu’il est revenu il me harcèle pour coucher avec moi une dernière fois, mais c’est toi que j’aime Jano chéri, c’est avec toi que je veux vivre…. Mais…. ce ne serait rien qu’une fois je te le jure….

‘Il’, ce Vincent, est le premier amant de la femme avec qui je partage mon existence depuis cinq ans sans être mariés, elle ne m’a jamais caché que cet ami de son père l’a déflorée sans douceur, il est reparti en Afrique voilà cinq ans après l’avoir rendue dépendante de son sexe et de sa façon violente de la prendre, j’ai réussi à la ramener doucement a faire l’amour normalement, lentement, délicatement, a redécouvrir son corps, alors qu’il l’attachait pour lui faire subir des violences qu’elle finissait par accepter, voire réclamer
Cet homme de quarante ans son ainé n’a pourtant rien d’un donjuan, il a, parait-il, un sexe très long, doté d’un gland démesuré qui lui faisait presque ressortir ses entrailles que ce soit par devant ou par derrière, qu’il n’hésitait pas à lui enfoncer dans la gorge jusqu’au vomissement, déchargeant une quantité de sperme impressionnante dans son œsophage, bref le genre de mâle abject mais qui fait fantasmer des femmes en quête de sensations fortes
Ecore sous son emprise elle a toujours envie de lui c’est certain, il y a deux solutions, ou je la laisse retrouver son amant pour une ultime rencontre ou je la perds définitivement en refusant, si je lui accorde cette ‘entrevue’ devrais-je refaire toute son éducation ? et si j’assistais ? sans doute serais-je moins torturé mentalement, et je pourrais stopper a tous moments ce ‘supplice’ ?

- Je veux bien lui demander d’accepter ta présence mais je doute qu’il soit d’accord
- Envois lui un message stipulant nos exigences
- Ok …waouh la réponse n’a pas tardé ….

Il accepte à condition que tu reste attaché sur une chaise…
- Dit lui que je suis d’accord
- Ça va être l’humiliation pour toi chéri …
- Je m’en moque, je préfère assister plutôt que de rester à me tordre sur le lit avec la colique au ventre… tu ne m’oublieras pas pendant qu’il te baisera ?
- … Je ne peux rien te promettre …tu comprendras pourquoi….

Le ‘rendez vous’ est prévu ce soir chez lui, en talons hauts, je n’aie même pas voulus vérifier ce que porte Estelle sous sa jupe courte, celle des soirs torrides entre nous, je sais seulement que ses seins sont libres sous son corsage opaque, plus l’heure fatidique approche plus elle est nerveuse mais lorsque j’appuis sur le carillon son visage s’illumine, ma première gifle …heureusement j’avais bu trois whisky pour me donner du courage

- Le voilà !

Nous somment entrés sans qu’il daigne me serrer la main, me toisant du regard il a jeté …


- C’est lui ton ’marlou’ ?
- Oui Vincent, c’est Jano
- Tu vas lui attacher les bras avec ce scotch sur cette chaise ainsi il pourra tout voir
- Oui Vincent …

Je me suis prêté de bonne grâce a cette mascarade, Estelle n’a pas trop serré le collant mais je suis quand même bien bloqué sur ma chaise, ensuite tout va très vite elle se tord les doigts d’impatience

- Remonte ta jupe que je vérifie quelque chose …tu porte à nouveau des slips ?
- C’est Jano qui le veut …
- Donne moi ce slip ridicule…HUMMMMM, tu mouille toujours autant lorsque tu sais que je vais te baiser ! et tu te laisse repousser les poils ?? hahahahaha quel con ce mec, il n’y connait rien en gonzesses !
- Monsieur je vous en prie restez poli
- Ta gueule toi, ouvre toi la chatte... enfonce bien tes doigts … lèche les …très bien, tu es toujours aussi docile, a présent dessape toi entièrement et vient a genoux défaire mon pantalon tu va dire bonjour a celui qui te fait jouir comme une bête

En se mettant a genoux Estelle me jette un regard mutin, ses traits sont défigurés, ses yeux sont révulsés, elle a le regard d’une chienne en chaleur, ses tétons sont dressés, elle doit mouiller…ses mains tremblent lorsqu’elle défait la ceinture et tire sur la fermeture de la braguette gonflée, une fois le pantalon tombés aux chevilles elle embrasse le membre encore dissimulé sur le boxer tendu à craquer, il lui maintient la tête plaquée dessus en l’exhortant à sortir sa bite

- Ne soit pas timide, sort le de sa cachette et avale tout, enfin, tout ce que tu peux, je ferais le reste !
- Tu vas encore me faire vomir ?
- Apprend toi à déglutir

Après avoir tiré sur le slip ma femme tient à pleines mains un membre hors norme incurvé vers le haut, elle le regarde amoureusement, longuement, comme pour raviver ses souvenirs, puis langue sortie, elle lèche de la base au champignon, il n’y a pas d’autres mots pour qualifier ce gland qu’elle vient de décalotter, le bourrelet de peau qui le recouvrait est coincé derrière , impossible de le recouvrir tant qu’il n’aura pas débandé

- Hé ducon ! Regarde ta nana faire l’avaleuse de sabre !
- Ne fait pas ça Estelle, partons
- Tant que je ne serais pas gavée de son membre je ne pourrais pas chéri
- Alors finissons-en

En fixant son amant dans les yeux elle fait pénétrer le bout dans sa bouche ouverte à se décrocher la mâchoire, son bourreau lui att la chevelure et la force à avaler le dard, son visage rougit, ses joues et sa gorge gonflent faisant ressortir ses veines jugulaires, ses yeux deviennent larmoyants, de la salive coule entre ses seins, un va-et-vient infernal commence, pour accélérer l’éjaculation elle astique la queue a une vitesse infernale faisant valser les lourdes couilles pendantes en tous sens
Vincent plie les genoux tant l’excitation est grande, il vocifère traitant ma copine de grosse pute, figé sur ma chaise je ne peux qu’assister a ce calvaire, qui n’est calvaire que pour moi parce que les amants prennent un plaisir immense, et……je suis très surpris de sentir ma queue grossir dans mon slip …
La tête levée au plafond, dans un hurlement de loup, il se vide dans la gorge d’Estelle qui éructe et tente se dégager, mais il là maintient fermement jusqu’à la dernière giclée, enfin libérée elle me jette à nouveau un regard provocateur et me montre ses dents du bas baignant dans le sperme avant de fermer la bouche et déglutir avec gourmandise, comme s’il s’agissait d’un nectar

- Et voilà chéri ! Tu as aimé ? mais ma parole tu bande ?
- Écoute ducon si tu promets de nous foutre la paix pendant que je vais lui défoncer le con elle va te libérer une main afin que tu puisses te branler, ça te dis ?
- De toute façon je n’ai pas le choix ? je veux bien …
- Sort lui la bite et défait une main seulement hein ?
- Oui Vincent
- Tu m’aime toujours Estelle ?
- Bien sûr mon amour ! il va me prendre et ensuite ce sera ton tour, soit patient …ne gaspille pas ton sperme !
- Aller salope à genoux, le front sur le carrelage, montre moi tes deux trous
- Ne m’encule pas hein ? je ne suis plus habituée à ton calibre
- Ton corps n’a pas oublié mon passage soit rassurée, met toi de profil que notre ami profite de la vue

D’où je suis-je vois la vulve d’Estelle entrebâillée et luisante se sève féminine, la queue menaçante n’a pas faiblit d’un pouce, dans ma paume la mienne est dure comme jamais, sa main posée sur les reins cambrés et l’autre sur sa hampe il vise le bas de la fente, juste a la limite de l’anus qu’il frotte au passage, Estelle a un mouvement de recul au contact du museau mafflu

- NON ! pas là !
- Hahahahahaha, t’as eu peur hein ? prépare-toi au choc, pousse ton cul vers moi….
Ça s’ouvre …
- Je le sens …POUSSE ! enfonce ta bite dans ma connasse de pute, met moi toute ta longueur !
- Ahhhhh je suis heureux d’entendre que tu n’as pas oublié le vocabulaire que je t’ai appris !

Le bélier noueux entre par à-coups dans la chatte qui se déforme, la tête appuyée sur ses avants bras ma copine feule et tend son cul pour mieux se faire baiser, hypnotisé par la scène irréelle j’en oublie de me caresser la queue, le piston fait inexorablement son passage dans cette cavité sexuelle faisant rejaillir l’air résiduel imitant des vents inopinés, lorsqu’il perçoit le fond de la gaine vaginale il ressort les trois quarts de son manche pour mieux réinvestir sèchement les lieux, Estelle accuse le coup en couinant et en redemande, la farandole débute, comment peut-elle accepter un tel tronc en elle ? S’il la sodomise il va lui faire mal, c’en est trop je dois arrêter ça, je lâche ma bite pour délivrer silencieusement mon autre poignet, mais avec le bruit qu’ils font je ne risque pas d’être découvert
Une idée insensée me vient, Vincent est sans doute plus costaud que moi, mais ma jeunesse doit faire la différence, sa position penchée sur Estelle lui fait relever le cul, trop occupé a son travail de destruction il ne va rien voir venir, par punition je vais le sodomiser, je quitte pantalon et slip, la seule pensée de l’humilier décuple mon érection, je crache sur mon gland et m’approche du couple qui brame à en perdre haleine, je me jette sur son dos et d’un bras je lui fait une clé au cou, coincé dans la chatte il s’immobilise, Estelle peut souffler un peu

- Ne bouge plus gros porc sinon je t’étrangle
- Mais que fais-tu p’tit con ?
- Je vais t’enculer
- Fait pas ça bordel !
- J’vais m’gêner !.... et voilà !
- AAAIIIIIEEEEE !!!
- Va-y chéri laboure lui la rondelle

Je tape avec rage dans son intestin qui reste fermé donc plus de douleur pour lui

- Soyez maudit vous deux, aiiiiee !aiiiiee !aiiiiee !
- Ecoute le pleurnicher ce donjuan de bas étage
- Jano, il ne débande pas, au contraire il se raidi encore plus
- Ça veut dire que ça lui fait du bien ? il va balancer son foutre ?
- Sans doute, et toi ?
- Je crois que ça vient … haaaaaaaaaaaaaoooooouuuuuuuiiiiiiiii !
- Moi aussi je joooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiis hhhhoooooooooooooooooooooooo que c’est booooooooonnnnnnnnnn
- Sort de mon cul enfoiré !
- Ok je vais me retirer et nous allons partir, reste zen sinon ça va barder pour ton matricule
- Barrez vous !

Après avoir enfilé un minimum de vêtements pour pouvoir aller jusqu'à la voiture nous pouvons enfin respirer et éclater de rire, je vois les cuisses ouvertes d’Estelle et sa touffe maculée de foutre a peine sec, ça suffit a me faire rebander et de glisser la main sur cette motte non refermée qui vient de se faire carrément défoncer, l’intérieur est dilaté, gluant comme une limace, elle se penche sur moi pour extraire ma queue de mon pantalon enfilé a la hâte sans slip

- Chérie, elle est sans doute sale …
- Je sais d’où elle sort et ça ne me rebute pas
- Tu l’aime toujours ?
- Ce n’est pas lui que j’aime mais sa façon de me faire jouir
- Donc je devrais l’imiter et te faire subir les pires outrages ?
- Rentrons vite et attache-moi ….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!