Mon Fantasme Réalisé
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jai rencontré cet homme sur un site de rencontre. Je voulais me sortir du quotidien, juste fantasmer, je me suis senti attirée par lui. Et un jour je lui ai demandée de faire de moi sa soumise, sa chienne. Il ma demandé si je savais ce que ça impliquait. Jai répondu que oui. Alors il ma envoyé des instructions pour notre première rencontre. Il a rajouté que je pouvais à tout moment changer davis. Mais que cela signifierait alors la fin de nos échanges, que je nexisterai alors plus pour lui.
Jai longuement hésité. Et je me suis retrouvé dans ce train rejoindre celui qui allait devenir mon maitre. Le seul vêtement que je porte est une robe le bas fendu sur le côté jusquà la ceinture. Rien de trop choquant si ce nest quil a exigé que pendant mon voyage, je dévoile ma jambe en rabattant le tissu entre mes cuisses pour que lon voie aussi mes fesses. Et que lon devine aisément que je ne porte pas de culotte.
Jaurais pu ne pas faire sa demande, il ne laurait jamais su. Mais jétais déjà sous son emprise, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas le décevoir. Le haut de la robe était inexistant pour ainsi dire juste deux triangles de tissu. Autant dire que mes seins étaient presque entièrement dévoilés. Létoffe était de plus très moulante et lon devinait facilement mes tétons.
Comme il lavait prévu, je me suis fait accoster. Lhomme ma simplement demandé mes tarifs. Comme prévu jai répondu que je nétais pas disponible, que jallais chez un client. Puis je lui ai tendu ma carte, expliquant mes prestations. Ce qui devait faire de moi une catin de luxe prête à tout pour de largent.
Javais honte, mais je ne voulais pas décevoir mon maitre. Lhomme du train a insisté, alors jai accepté de lui tailler une pipe dans les toilettes. Mais bien sûr il a voulu plus, et, comme prévu, par mon maitre je lui ai donné plus. Il a éjaculé trois fois en tout, il devait vraiment être en manque.
Une fois arrivée à destination je suis descendu du train. Je métais nettoyé le visage, remaquillé et avait même bu quelque chose pour enlever le goût de son sperme de ma bouche. Je devais être parfaite pour lui. Il mattendait dans sa voiture. Je me suis assise à côté de lui, rougissante. Il ne ma pas salué et ma juste dit :
- Alors ! Tu tes bien faîte baisé ?
Jai hoché la tête. Je pleurai de honte. Il a démarré en me disant :
- Cest bien. On est entre nous, montre-moi ta chatte.
Jai poussé le pan de ma robe pour dévoiler mon intimité. Il a jeté un il :
- Quest-ce que tu as fait exactement ?
Ma voix était hésitante, javais du mal à ne pas pleurer. Mais je ne devais pas. Jai commencé à lui raconter :
- Dabord je lai sucé et jai bu son sperme. Ensuite, il a voulu que je le masturbe un peu. Jai accepté et il a vite repris de la vigueur. Il a insisté pour me prendre, et de me payer plus que mon tarif. Jai cherché des excuses. Je lui ai dit que je navais pas de préservatifs. Il en a sorti un. Alors jai acceptée.
- Brave petite. Il ta sodomisée ?
- Non ! Je lui ai dit que mon client voulait que mon cul soit vierge pour lui.
- Je me doutais que tétais une bourgeoise coincée du cul, tu sais. Je parie que tu navais jamais avalé avant non plus. Ne tinquiète pas, bientôt tu ne seras plus coincée du tout.
Javais honte ! Jai murmurée pour moi-même : - « Je suis vraiment une traînée, une salope». Il ma entendu. Il ma dit :
- Je tinterdis de dire, ou de penser ça. Tu nes pas une salope. Tu es une traînée, une pute, oui. Mais pas nimporte laquelle. Tu es Ma pute, compris ?
Il mhypnotisait, jétais sienne. Il ma dit de continuer mon récit. Je lui ai raconté quaprès lhomme sétait reposé un peu mais quil était revenu une troisième fois. Il voulait me couvrir le visage de sperme, ça lexcitait. Jai accepté et nous sommes retournés aux toilettes.
Dans le train ! Tout le monde me regardait. Dautant que nous navions pas été très discrets lors de notre discussion. Il me fallait accomplir mon devoir. Alors je lai sucé et il ma juté au visage.
Mon récit fini je me suis tue. Il est resté silencieux puis il a simplement dit :
- Cétait la première fois que tu te faisais juter au visage ? Alors tu as pris ton pied je suis sûr ?
- Non ! Pas vraiment !
- Tu devrais. Une bonne pute le ferait. Tu as simulée au moins ?
- Oui, bien sûr.
- Et tu nas pas pris ton pied ?
- Non, mais ! Jai mouillé quand il ma prise la deuxième fois.
Il ma regardé. Je nosais pas lever la tête. Il a dit :
- Bon ! Cest bien ! Cest un bon début.
Je nai rien dit. Nous avons continué à rouler. Il a tendu sa main. Je lui ai donné largent que javais gagné en me prostituant dans le train. Il a compté, un il sur la route. Puis il a dit :
- Bien
Très bien. Tu es une bonne pute.
Puis il a rangé les billets et ma doigté distraitement la chatte en conduisant dune main. Je ne sais pas pourquoi mais jai joui. Jétais atrocement honteuse, javais mouillé le siège de sa voiture. Mais je me sentais si heureuse
Lorsque nous sommes arrivés, il ma guidée chez lui. Nous nous sommes assis au salon et nous avons discuté en prenant lapéritif. Cétait très étrange. Jétais tendue. Je savais que jallais me faire baiser, comme une chienne. Mais il semblait agir comme si ça navait pas été prévu. A un moment il sest levé, probablement pour aller chercher à boire. Avant que je ne comprenne il était à côté de moi et sortait son sexe. Jai levé les yeux et il sest mis à muriner dessus. Jai eu un mouvement de recul. Mais il sest avancé.
Alors je lui ai offert mon visage. Mon calvaire volontaire avait commencé. Jai ressenti ça comme une délivrance. Je nai même pas hésité quand il ma demandé douvrir la bouche, de lui nettoyer le gland quand il a eu fini.
- Espèce de truie ! A cause de ton hésitation jen ai foutu sur la moquette et le fauteuil ! Bonne à rien ! Maintenant tu vas nettoyer.
Il est parti me laissant pantelante par terre. Quand il est revenu il ma jeté un seau et une serpillière :
- Allez, lave.
Pendant que je laver, il ma ôté ma ceinture, puis ma robe. Il ma claqué les fesses plusieurs fois puis il les a écartées. Je savais quil scrutait mon anus et jai rougi de honte. Il a murmuré :
- Toi, tu vas te faire enculer, ma belle.
Je ne me suis pas révoltée. Puis une phrase ma échappée, comme une envie subite :
- Bien sûr. Et jespère que ce ne sera pas tout !
- Oh non, ce ne sera pas tout ! Tu auras plus. Bien plus que tu naurais voulu.
Jai frissonné mais jai continué à nettoyer. Il est parti. Quand il est revenu il avait des menottes de cuir, une laisse, un bâillon, un foulard, il me les a montré et a dit :
- Tu vois tout ça ? Cest pour toi.
- Merci.
Il est resté pensif quelques instants et me dit :
- Mais jai envie de faire un petit jeu dabord ! Tu vas faire comme si tu avais ces liens, mais je ne te les mettrais pas.
- Daccord.
- Bien. Imagine que tu as les yeux bandés.
Jai fermé les yeux. Il a continué :
- Imagine maintenant, que je vais te bâillonner. Noublie pas quil y a une boule pour garder ta mâchoire ouverte.
Jouvre la bouche. Jai rapidement la gorge sèche, il ajoute :
- Je viens de tattacher les poignets dans les dos. Et tes chevilles aussi.
Je place mes mains dans mon dos, colle mes chevilles ensemble. Il me pousse alors en avant, je tombe. Je me retiens dutiliser mes bras, douvrir les yeux. Je percute le sol dans un bruit sourd. Un cri méchappe. Il tempête :
- Et ton bâillon ? Tu te crois où ? Tu ne peux pas crier.
Je veux mexcuser mais me rappelle le bâillon et reste la bouche ouverte. Il me tire par les cheveux et me mets sur le dos. Je reste les yeux fermés et la bouche ouverte. Je me tortille sans jamais oublier que mes poignets et mes chevilles sont liés. Il se calme, me remet face au sol, mordonne de lever mon cul vers lui. Il le claque. Puis il le saisit à pleine main et enfourne son sexe profondément en moi.
Jai mal. Mais je ne peux hurler. Je pousse des cris étouffés par ma mâchoire immobile, ma gorge sèche. Cela lui plait, il me prend plus fort. Enfin il me libère de mon bâillon. Je mautorise alors à hurler, ça lexcite, je le sais. Il glisse sa main sur ma chatte et murmure :
- Mais cest que tu es trempée. Tu aimes vraiment ça, cochonne.
Il a raison. Jen ai honte mais jaime ça, et même ça me fait jouir. Il mhumilie et jadore ça. Il dit en sortant sa verge de mon anus :
- Met-toi sur le dos. Tu nas plus les yeux bandés.
Je suis sur le dos, je regarde alors son sexe. Cest la première fois que je le vois en érection. Il est beau. Jai envie de le sucer. Mais il ne me la pas demandé. Alors jattends. Il se branle et me couvre de sperme. La sonnette retentit. Il sourit et se dirige vers lentrée sans même ranger sa queue et me lance :
- Va te laver un peu, tu sens le sperme et lurine. Viens nous rejoindre dès que tu as fini.
Je suis allée me laver, comme il me lavait demandé. Je me suis même remaquillée, pas par coquetterie, mais parce que je savais que voir mon maquillage couler lexcitait. Je voulais quil soit excité. Quil me batte, quil me viole. Puis je suis allé dans lentrée. Son ami discutait avec lui. Leurs deux queues étaient sorties. Il ma demandé de le saluer. Jai obéi et jai commencé à lui tailler une pipe en guise de bonjour. Son ami a ri :
- En voilà une sacrée salope ! On lui demande juste de dire bonjour et elle vous taille une pipe !
- Oui, mais elle pourrait faire mieux. Par exemple ne pas sagenouiller. Cela offrirait plus de possibilité.
Ce nétait pas un ordre mais jai obéi. Jai gardé le sexe de son ami en bouche et me suis redressé. Jétais penché en avant et mon cul lappelait. Il ma écarté les fesses et doigter lanus en disant :
- Tu sais que je nai pas encore eu droit à sa chatte ? Elle la pourtant offerte à un inconnu dans le train.
- Oh, vraiment ? Cest une belle cochonne !
- Une cochonne ! Non, une pute. Elle lui a tiré du pognon en échange.
Son ami a ri, il sen fichait, du moment que je le suçais.
- Une belle pute alors. Elle doit bien gagner sa vie. On ne devra pas la payer aujourdhui au moins ?
- Non, elle veut juste être ma chienne. Ca la change de ses clients.
- Ok. Cest quand même une cochonne alors.
Ils ont ricané. Jétais rouge de honte. Mais je continuais à sucer consciencieusement. Son ami lui a demandé :
- Tu vas lui prendre sa petite chatte alors ?
- Non, jai tout mon temps.
Il ma aussitôt empalé. Jai étouffé un cri, sucé plus fort pour oublier la douleur. Son ami a eu lair daimer :
- Putain, elle aime la bite !
- Et oui !
- Même la douleur ne larrête pas.
Je les entendais avec horreur discuter comme si je nétais pas là. Et moi je ne réagissais pas, tout ce que je trouvais à faire cest sucer son ami plus fort. Mon maitre ma donné un grand coup de bite dans le cul puis a rigolé. Il ma attrapé par les cheveux, ma redressé et ma murmuré :
- Rappelle-toi que cest toi qui décide ! Tu peux arrêter à tout moment.
Je nai rien répondu. Il ma relâchée et je suis retourné sucer la verge de son ami.
Je continue à sucer son ami alors que mon Maître fait claquer ses hanches sur mes fesses. Enfin je sens le sperme couler dans ma bouche. Jaspire fort, avale goulûment. Lami de mon Maître moffrait sa semence et je me devais de lavaler. Enfin la verge sort de ma bouche. Je pousse un soupir de dépit malgré moi. Mon Maître me plaque alors contre le mur et mencule violemment. Puis il sarrête, maintenant ma tête contre le mur. Je tente de le regarder et demande :
- Maitre ! Vous ne me violez plus le cul ? Je vous ai déplu ?
Il ne répond pas. Il me tire vers le bas. Je magenouille. Sa queue est si près. Je tends le cou, tire la langue. En vain, il retient ma tête. Son ami ricane :
- Quelle affamée ! Elle aime la bite !
Je parviens à lécher son gland du bout de la langue. Puis je réponds :
- Je naime que la queue de mon Maître. Les autres mindiffèrent.
- Ah oui ? Tu mas bien sucé pourtant !
- Bien sûr ! Mon Maître moffre une nouvelle queue. Je me dois de la traiter comme si cétait la sienne !
Il pousse un sifflement dadmiration :
- Eh bé
Tu las bien dressée !
Mon Maître na pas dit à son copain que mon dressage ne faisait que commencer. Nos regards se croisent et suis heureuse dy lire son plaisir. Je mouille terriblement, je veux me toucher mais il marrête, mes jambes tremblent, je suis au bord de jouir. Puis il enfourne son sexe entre mes lèvres et je le suce avidement. Il me force à lavaler, métouffe. Mais je men fiche, je lèche comme si cétait un délicieux cadeau. Je savoure le goût particulier de sa queue, cest si bon.
Je rougis vivement en réalisant que ce goût dont je me délecte est celui de mon cul, de ma merde. Mais je ne peux mempêcher de continuer. Je pousse des petits couinements de plaisir. Il sort son sexe. Je laccompagne de la langue, retardant le moment où je naurais plus son membre en bouche. Puis il ordonne dun ton sec :
- Tes seins.
Il na pas besoin den dire plus. Je saisis ma poitrine, la presse, caresse son sexe avec. Les tétons frottent le dessous de son gland. Il se masturbe et jute dessus. Je les masse, savourant la sensation du liquide gluant entre eux. Puis jenfourne son sexe dans le val de ma poitrine en le regardant. Il sourit et me fait sucer ses doigts. Je ferme les yeux et soupire. Il dit à son ami :
- Va au salon et sers-toi un verre de whisky. Ramène la bouteille après.
- Ok.
Puis il sadresse à moi avec douceur :
- Tu vas jouir, salope.
Je lui suce le gland puis jarrête de le branler et lèche son membre maintenant recouvert de sa délicieuse semence. Son ami ne tarde pas à revenir. Il tend la bouteille à mon Maître. Il boit au goulot avant de me dire :
- En position, chienne.
Je me mets en levrette, instinctivement. Je sens le verre froid contre mon anus. Il pousse et la bouteille me pénètre. Je hurle de douleur. Puis il pousse à nouveau et je meffondre au sol, anéantie. Je jouis comme rarement jai joui. Des larmes de honte coulent sur mes joues. Il vient de me faire jouir avec un goulot de bouteille. Juste en menculant et en enfonçant cette bouteille. Ma chatte est encore vierge de son sexe. Elle coule pourtant, dégouline de mouille. Je suis sienne et jai honte. Il fait rentrer et sortir la bouteille et je gémis. Puis il la ressort et me fait boire le fond de la bouteille. A nouveau le goût de mon cul sur mes lèvres. Il souhaite que je goûte mon cul. Alors je ne peux quaimer ça.
Je reste ainsi un moment, le visage collé au sol, le cul dressé. Il a planté à nouveau la bouteille et je resserre mon anus pour ne pas quelle tombe. Ils ne sont même plus là. Ils discutent au salon. Puis ils reviennent. Ils me font relever.
A nouveau je dois serrer les fesses pour ne pas perdre la bouteille que mon Maître ma offerte. Ils me bandent les yeux, me fixent un collier et une laisse en discutant tranquillement. Ils attachent ensuite mes poignets derrière ma nuque, les fixant au collier.
Mon Maître ressort la bouteille. Il la fait glisser sur mon corps. Je sens le goulot jouer avec mes lèvres intimes. Je manque de jouir à nouveau, me mord les lèvres en retenant un grand cri de jouissance. Cest la première fois quil honore mon intimité. Avec une bouteille, certes. Mais cest lui qui la planté. Pas son ami.
Je suis heureuse, je voudrais le remercier mais je sais quil me veut silencieuse. Je mouille dans la bouteille. Son ami appuie sur ma vessie en murmurant :
- Laisse-toi aller !
Jurine alors, cela coule sur mes cuisses. Je devrais avoir honte. Mais je ny arrive pas. Puis il me fait boire. Je me délecte du nectar qui coule sur mes lèvres. Je narrive pas à trouver cela mauvais. Jen voudrais plus, toujours plus. Il vide le reste de la bouteille sur mon corps. Odeur dalcool, durine. Il me murmure :
- Petite souillon !
Je retiens ma respiration. Va-t-il se fâcher ? Me renier car je suis trop sale pour lui ? Mais il me tire juste par ma laisse en disant :
- On va te laver, tu en as bien besoin !
Je me mets à pleurer. De joie. De soulagement. Son ami demande :
- Pourquoi maintenant elle chiale, cette conne ?
- Parce quelle est mienne. Ca la rend heureuse.
Il na même pas eu besoin de me demander. De toute façon mon avis ne compte pas. Si il sétait trompé jaurais simplement changé de raison pour pleurer. Mais il ne pouvait pas se tromper. Pas lui. Pas mon Maître. Son ami parait impressionné. Il murmure à nouveau :
- Vraiment bien dressée.
Je ris intérieurement. Il na pas eu besoin de me dresser. Juste accepter que je sois à lui. Il aurait été insultant quil eut à faire des efforts pour me faire sienne. Je sentis lair frais sur ma peau nue. Nous devions être dehors. Je crains un instant dêtre en pleine rue livrée au regard. Je commençais à paniquer, voulus fuir. Puis je me rappelais que jétais à lui. Que seul lui pouvait décider ce qui était humiliant ou non pour moi. Mais je métais arrêtée. Il gronda :
- Un problème ?
- Non, non, je suis désolée, Maître. Aucun souci.
Il me gifla et cria :
- Ne me mens jamais ou je te renie !
Je me remis à pleurer. Pas pour les mêmes raisons. Il était fier de moi et je venais de tout gâcher. Je tombais à genoux, malgré létranglement du collier et tenta de me pencher en avant pour lui lécher les chaussures en suppliant :
- Pardon, Maître ! Pardonnez à votre chienne ! Je ne voulais pas ! Pardonnez-moi !
Il a dégagé son pied, donné un coup sec sur la laisse et ma tiré à nouveau sans répondre. Je reniflais comme une gamine en le suivant. Puis il me laissa debout. Je ne savais même pas ou. Un jet deau glacé interrompit mes pensées. Je fis un bond en arrière. Il grogna :
- Reste en place, et tourne sur toi même quon puisse te laver bien partout.
Je bafouillais :
- Ou
Oui, Maître. Pardon.
- Arrête de texcuser et obéis, tu me gonfles.
Je mapprêtais à mexcuser de nouveau mais refermais la bouche. Comment pouvais-je être aussi stupide ? Soit il ne voulait plus de moi et mes suppliques ne serviraient à rien. Soit il voulait encore de moi et mes excuses ne feraient que limportuner. Quelle imbécile ! Javais honte à nouveau. Mais honte de ne pas être à la hauteur de ses attentes, de le décevoir par mon attitude. Joffrais alors mon corps au jet, je savourais ces caresses indirectes.
Enfin le jet sinterrompit. Jattendais frémissante. Soudain ses doigts sur moi. Je tressaillis. Peut-être était-ce ceux de son ami ? Non, jétais sûre du contraire. Je me surpris à reconnaître des détails infimes de sa morphologie. Puis je sentis un tube de plastique dans ma chatte. Il dit :
- Ouvre larrivée deau.
Ma chatte se remplit. Je sentis mon ventre se tendre. Puis le jet sarrêta. Il pinça les lèvres de mon intimité. De leau coulait malgré tout. Il susurra :
- Essaie den garder le maximum, ma chienne.
Puis il glissa le tube dans mon anus. Je fus remplie à nouveau. Javais mal et jétais nauséeuse, il ressortit le tube. Je serrer les fesses, anticipant son ordre. Enfin une petite phrase, il me dit :
- Lâche tout.
Sa main quitta mon sexe et je me vidais sur le sol. A nouveau la honte me prit. Jétais sûre quil ny avait pas que de leau qui giclait de mes orifices.
- Et bien ! Ma cochonne ! Ça en avait bien besoin. Dire que jai foutu mon sexe la dedans !
Jai rougi, gênée davoir ainsi souillé son magnifique sexe. Mais il me rassura en ajoutant :
- Heureusement tu las bien nettoyé, petit aspirateur à bite !
Puis il me claqua la fesse et messuya la chatte et le cul avec une vieille serpillère. Il mentraîna alors sur du gazon. Il me fit agenouiller et je suçais leurs deux queues avec délice. Puis je sentis quil sallongeait alors que son ami pilonnait ma gorge. Jétais follement excitée, il allait me prendre ! Il me prit par la taille et mattira à lui. Je sentis son gland sur mes lèvres intimes. Je me mis à mouiller abondamment. Il allait me prendre la chatte, enfin.
Le dernier trou quil navait pas conquis. Il senfonça et je jouis sur le coup. Je restais la bouche béante alors quil profitait de mon corps en massant mes seins et me limant. Son ami saisit mon visage et profita de ma bouche ouverte pour enfourner sa verge. Je me remis à sucer, aspirant, léchant. Enfin il ressortit et se dirigea vers mes fesses. Il les claqua en demandant :
- Alors, ma pute, tu penses que ça va rentrer ?
- Non. Je ne suis pas habituée.
- Ah ? Tu veux dire que je ne vais pas pouvoir de te baiser le cul en même temps quil te lime ?
- Bien sûr que si ! Ca ne rentrera pas. Mais vous naurez quà forcer.
- Oh. ca va te faire mal, non ?
- Bien sûr, et je vais jouir, comme une salope.
Il claqua à nouveau mes fesses et dit joyeusement :
- Bien ! On y mettra dautres choses alors !
Je ne compris pas ce quil voulait dire mais je neus pas le temps dy réfléchir, il pénétra mon anus. Je meffondrais sur mon Maître. Il me releva la tête en métranglant. Mon corps ballotait sous leurs assauts. Il gueula :
- Eh ! Tu ne tombes pas dans les pommes sans mon autorisation, ok ?
Je luttais contre lengourdissement qui saisissait mon corps endolori. Je me mordis la langue, espérant rester consciente. Il me gifla et cela me réveilla. Jétais si contente, il prenait la peine de maider. Un sexe se frotta sur ma joue et je le pris en bouche. Puis on prit ma main et le posa sur un autre que je commençais alors à branler méthodiquement.
Je ne réalisais pas tout de suite. Larrivée dune autre queue sur ma joue me fit enfin prendre consciente quils nétaient pas deux, mais bien plus. Je pris peur : allais-je être privée du sexe de mon Maître ? Je me mis à pleurer en suçant avec lénergie du désespoir.
Ils me firent tourner sur moi-même. Mon Maître me limait maintenant à nouveau lanus. Son ami se pencha sur moi entrainant son sexe loin dans ma chatte, la déformant vers le haut. On me forçait à avaler profondément une queue en en branlant deux autres. Il eut du mal à entrer et ne senfonça guère loin mais cela suffit à marracher des cris de douleur étouffés, cela excita mes compagnons et ils me prirent plus vigoureusement.
Le moment que je craignais arriva enfin, mon cul semplit de sperme. Mon Maître allait mabandonner. Mon seul espoir était dêtre assez salope pour rapidement lexciter de nouveau. Son ami ne tarda pas non plus, son sperme coulant sur mon ventre alors quil giclait sur mon corps. Dautres verges vinrent les remplacer. Je me fis aussi pute que je pus, aussi affamée quil me parut possible. Je gémissais mon plaisir. Très vite je neus même plus à simuler. La simple violence de leur assaut et lidée du plaisir que mon maître devait ressentir me guidant vers des orgasmes répétés.
Chaque fois que mon Maître me prenait je le reconnaissais. Ses mains, sa langue, son sexe. Jy accordais une attention particulière, jouissais plus quavec les autres. Je me devais dapprécier tous ces sexes puisquil me les offrait. Mais jamais autant que le sien.
Jétais fourbue mais heureuse. Un peu déçue aussi. Jaurais voulu que toutes ces queues soient la sienne. Et quil me prenne jusquà linconscience. Je rougis en me réprimandant intérieurement de penser que sa verge ne suffirait pas à mon bonheur. Jétais trop épuisée pour avoir honte maintenant. Ils me firent lever et je fus aussi étonnée queux lorsque mes jambes cédèrent. Ils ricanèrent :
- On la bien défoncée, la salope ! Regarde dans quel état on la mise !
- Ouais, je parie quelle a la chatte sèche davoir trop mouillé !
- Et son cul ? Il doit être aussi dilaté quun tunnel !
- Tu parles ! On pourrait y faire entrer un TGV !
- Et en plus lubrifié par son sang.
Ils éclatèrent de rire. Lun deux me porta dans ses bras et je me mis à pleurer. Il grogna :
- Quest-ce quelle a cette gonzesse ? Elle a joui comme une malade et maintenant elle fait genre quelle est outrée ?
- Pose-la à terre, tu vas comprendre.
La voix de mon Maître. Comme un baume sur mon corps meurtri. Il vint et me prit dans ses bras. Il avait tout de suite compris. Les autres jouaient avec mon corps, me mettaient des doigts mais je men fichais. Jétais dans ses bras. Contre son torse. Je fermais les yeux et perdis conscience.
Je me réveillais la tête dans le coton. Javais du mal à respirer et je voulus tousser mais des mains me tinrent fermement la tête. Je compris alors que javais une verge en bouche et entrepris de faire mon travail, la sucer. Des mains me caressaient. Jétais allongée sur le divan. Les hommes discutaient tranquillement et profitaient de mon corps. Lhomme que je suçais dit :
- Ah ! Notre poupée gonflable se réveille enfin !
Les hommes commencèrent alors à sagglutiner autour de moi. Javais toujours les yeux bandés et je cherchais à tâtons un sexe à branler. Je ne tardais pas à en trouver un. Je fus un peu déçue que ce ne soit pas la sienne. Un deuxième sexe força lentrée de ma bouche. Je suçais comme je pouvais. Je sentis un homme monter sur le divan. Jécartais les cuisses pour laccueillir. Il me prit doucement. Cétait lui, je le savais. Javalais les deux verges profondément et jouis au son de sa voix me câlinant en me traitant de sale pute.
Maintenant libre, remerciant celui qui fut mon maître, sans regret, jai réalisé mon fantasme : celui dêtre une femme soumise ! Pire quune pute.
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