La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 551)
Vanessa au Château (suite de l'épisode N°548) -
Walter entre dans la cuisine, suivi de Vanessa, il découvre Marie en train de corriger un soumis, une spatule de bois à la main, à la couleur pourpre du fessier du jeune homme, Walter ne doute pas quil a déjà reçu une bonne cinquantaine de coups.
- Eh bien Marie, encore un soumis récalcitrant !
- Cet incapable ne sait pas faire la différence entre une viande saignante et cuite à point, répond Marie dune voix sévère, où lon sent en elle une force dautorité naturelle.
- Et donc tu as décidé de lui enseigner la cuisson sur son fessier, samuse Walter.
- Il pensera à mieux surveiller le feu la prochaine fois, tout du moins je lespère
Mais que mapportes-tu ? La petite princesse privilégiée est de retour dans mes cuisines se réjouit Marie.
- Ordre du Maître, Il te la laisse jusquà la fin du service de ce soir, ne la ménage pas, elle doit apprendre à conserver un rythme au travail et quoi de mieux quune cuisine et dun passage entre tes mains ! Je viendrai la récupérer à 22h avec le soumis le plus méritant des cuisines, Le Maître souhaite récompenser Ses meilleurs soumis ce soir à toi de désigner le chanceux.
- Entendu
En attendant, je vais moccuper de cette chienne que je trouve bien assez nantie ici
- A ce soir, conclut Walter en détachant la laisse de Vanessa avant de sortir.
Marie délaisse le soumis quelle vient de punir, elle avance vers Vanessa, la regarde en position dattente, les yeux baissés, déterminée à obéir.
- Bien, jespère que tu es prête à travailler, sache que peu mimporte que tu sois une amie du Commandant, ici les soumis sont tous logés à la même enseigne. Et dans les cuisines, jai les pleins pouvoirs. Tu as bien compris ?
Vanessa vit comme une injustice le fait que la cuisinière de son Maître la considère comme privilégiée, elle sait quelle a eu la chance de bénéficier de certains traitements de faveurs, mais elle a également dû endurer plusieurs épreuves éprouvantes, et elle estime quelle nest pas traitée différemment par son Maître.
- Oui Madame Marie, répond Vanessa dune voix pleine de respect qui étonne un peu la cuisinière en chef.
- Parfait, sais-tu cuisiner ?
- Pas vraiment Madame, avoue Vanessa.
- Hum, jaurais du men douter. Moi à ton âge, il y a longtemps que je savais cuisiner, coudre, tricoter et javais intérêt à savoir faire, sinon ma mère me donnait une raclée toute bleue... Bien, tu vas éplucher les légumes pour commencer, pas de risque que tu gâches le repas dans cette tâche.
Marie claque des doigts et le soumis quelle vient de punir se redresse, va chercher les légumes dans un des immenses réfrigérateurs, et les pose sur la longue table de travail avant de retourner faire la plonge quil effectuait avant de se faire punir par Marie. La cuisinière prend Vanessa par les cheveux et la place devant la table en lui tendant un couteau.
- Ne traines pas, il y a plein dautres choses à faire
Ici, ya pas de pause café, alors au boulot, la chienne
La jeune femme se saisit du couteau et commence son travail sans tarder, après quelques minutes, Marie revient vers elle.
- Cest tout ce que tu as fait, tu penses que Monsieur Le Marquis va patienter son repas parce que sa petite privilégiée na pas su éplucher quelques légumes, en temps et en heure, accuse-t-elle en frappant les fesses de Vanessa avec force.
- Non Madame.
- Je te laisse deux minutes, passé ce délai tu auras dix coups de martinet par minute de retard.
Vanessa ne répond rien, elle se concentre simplement pour aller plus vite, sans se blesser, mais la fatigue dune nuit sans sommeil se fait sentir et elle peine à respecter la cadence.
- Allez en position, annonce-t-elle en sapprochant de Vanessa un martinet à la main dont elle fait siffler les lanières dans lair.
Vanessa se redresse, jambes écartées et met les mains derrière la nuque pour laisser aux lanières de cuir laccès total à son corps. Sans hésiter la cuisinière frappe avec force, alternant entre son ventre, ses seins, son dos, ses fesses, son entrejambe
La sanction est supportable mais Vanessa fatigue et elle sent ses muscles défaillir, cette sensation la stresse, elle craint de ne pas être capable de supporter la fin de la journée et est loin de se douter de ce que son Maître lui a réservé.
Marie sapproche de la jeune femme et passe deux doigts entre ses jambes. Elle les ressort trempés du plaisir de Vanessa.
- Mais tu mouilles chienne, tu aimes donc être traitée de la sorte, dit-elle en frottant ses doigts sur le visage de la jeune femme.
Vanessa ne peut que constater quelle prend effectivement du plaisir dans cette situation, pourtant elle napprécie guère la cuisinière et sa sévérité trop braquée, mais cest à son Maître quelle appartient à travers tous ceux à qui Il la confie, et cest cette idée qui maintient sa libido à un niveau élevé. Sans un mot de plus, Marie prend la jeune femme par les cheveux dune poigne ferme et la mène jusquà la table où elle la couche sur le dos, jambes relevées. Ainsi lintimité de la jeune femme est offerte à la vue de la cuisinière, Vanessa se sent humiliée mais paradoxalement, elle sent son intimité shumidifier davantage.
- Monsieur Le Marquis ta fait lhonneur de porter Sa marque, penses-tu sincèrement en être digne ? interroge Marie en découvrant le rosebud gravé des trois lettres MDE.
- Non Madame, ment la jeune femme sachant bien que la question nen est pas une.
- Alors pourquoi lavoir accepté, accuse la cuisinière.
- On ne refuse pas un cadeau du Maître, se justifie Vanessa ne sachant comment se sortir de cette situation.
Marie sourit avec un rictus pervers, elle regarde la jeune femme offerte, immobile, obéissante, pourtant elle sent au fond delle une sorte de rébellion, de fierté quil faut casser. Et Marie excelle pour ce genre de chose. Elle se saisit dun concombre épluché resté sur la table et lenfonce sans ménagement dans le sexe ouvert de la jeune femme. Vanessa retient son souffle, elle na jamais été pénétrée par un objet aussi large et la douleur est intense même si elle est mélangée à une sorte de plaisir excitant, donc elle supporte en silence, alors que le légume écarte ses chairs jusquà la rendre très ouverte. Après une multitude de va-et-vient, la cuisinière retire le concombre et regarde satisfaite le sexe béant de la jeune femme. Elle se saisit du martinet et frappe le sexe de Vanessa, les lanières sabattent avec force sur ses chairs meurtries, et viennent terminer sur le ventre dont la pâleur ne tarde pas à laisser apparaitre de belles marques rouges. Quand la volée de coups se termine, Vanessa en est toute excitée, étrangement excitée, car son sexe est en feu par la douleur mais aussi trempé par la situation de soumission.
- Met toi tout de suite en levrette, relève bien ton cul et ne bouge plus, la chienne et que je ne tentende pas
La soumise obtempère sans discuter. Une fois en position, Vanessa présente sa croupe arrondie et largement exhibée aux jeux de la cuisinière qui lui enlève le rosebud. La jeune femme attend ainsi dans cette position humiliante devant Marie déjà depuis quelques instants quand elle sent son cul, bien dilaté par le rosebud, pénétré par un objet long et épais, froid et dur quelle devine comme un gode-ceinture. En effet, Marie a pris le temps denfiler ce god autour de ses hanches pour venir enculer la chienne à même le carrelage.
- Tient la chienne, prend ça dans ton cul de privilégiée
Je vais te faire passer lenvie de te la couler douce ici
Tes quune petite chienne en chaleur bonne à dresser
.
(A suivre
)
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