Emilie - Une Fessée Bien Relevée

Cette histoire fait suite à mes deux récits précédents sur les fessées d'Emilie et Léa que vos trouverez dans la rubrique du même nom.

En fin d'après-midi soit quelques heures après la raclée reçue par Emilie, le téléphone se mit à sonner, à l'autre bout du fil la mère des jumelles m'annonça qu'ils étaient bien arrivés au gite où ils comptaient passer la nuit, la conversation porta rapidement sur Emilie et sa "blessure" à la cheville.
Bien embêté (je ne savais pas quoi dire) , je mis la mère en ligne avec la fille, après tout, elle avait tout bonnement joué la comédie, et j'étais curieux de voir comment elle allait se débrouiller, Emilie prit le téléphone et lui dit que sa cheville se portait mieux mais qu'elle ressentait une douleur dans son poignet et qu'elle se demandait si sa "chute" ne lui avait pas abîmé plus que sa cheville.
Sa mère lui dit d'être patiente et d'attendre leur retour le lendemain avant de raccrocher.
J'étais mi-choqué mi-admiratif, d'un côté elle avait délibérément menti à ses parents pour échapper à la randonnée et m'avait privée d'une belle promenade, de l'autre, ses talents de comédiennes m'impressionnait, je l'attrapa par l'oreille en lui disant qu'elle se conduisait comme une gamine, qu'elle aggravait son cas et que la correction qui l'attendait allait lui rappeler quelques règles de savoir-vivre.
Je la mis au coin pendant que je préparais le dîner, elle s'était auparavant changée et portait maintenant un débardeur blanc qui moulait parfaitement sa jolie petite poitrine (85B) apparemment sans soutien-gorge, ainsi qu'un leggings bleu ciel. Pendant qu'elle faisait le piquet dans son coin, les mains sur la tête, je mis le repas en cuisson avant de m'approcher et de baisser son short. Elle sursauta et je lui claqua une fesse en lui disant que je voulais juste voir dans quel état se trouvait son postérieur, j'abaissa son short et sa culotte délicatement avant de regarder, il ne restait que quelques marques de la spatule, à peine visibles.


Je me réjouis intérieurement en me disant que les "réparations" n'avaient pas été longues,
(je remercie d'ailleurs au passage le brillant esprit inventeur de la Biafine).
Je lui dis de se rhabiller et de venir à table, seulement voilà, mademoiselle fait la difficile, et, au fur et à mesure du repas, commence à me taper sur le système et moi j'ai de plus en plus envie de taper sur son petit cul. Je finis calmement de manger, débarrasse la table, puis, pendant que la miss passe sous la douche, prépare le salon à la vitesse de la lumière avant de m'assoir sur le canapé face à la porte de la salle de bain.
Emilie sort, me voit et part vers sa chambre avant de revenir quelques minutes plus tard,
je lui demanda alors ce qu'elle y avait fait, elle me répondit que c'était une surprise.
Quoi qu’il en soit, je la mis au coin avant d’aller chercher la tapette à mouche, je pris la miss par le bras (pour changer) et l’amena à côté du canapé, je lui dis alors :
- Bon, ça suffit, ce que tu as eu ce matin n’était qu’un échauffement, maintenant tu vas
déguster pour m’avoir privé d’une belle randonnée, avoir menti à ta mère et pour m’avoir fait chier pendant le repas.
Espiègle, elle me répondit avec effronterie:
- Ah ouais, et qu’est ce que tu vas faire ?
Ne pouvant pas en supporter davantage, je l’allongea en travers de mes cuisses et commença à me dérouiller les bras et à lui réchauffer les fesses sur son short, la correction dura un bon quart d’heure pendant lequel elle remua pour se dégager de mon emprise, sans succès je la remis ensuite sur ses pieds et lui dit alors :
- Tu voulais savoir ce que je comptais faire ? Lèves les bras !
Je vis dans son regard après lui avoir enlevé son T-Shirt qu’elle avait compris, elle allait se prendre une fessée complètement nue, je fus surpris de constater qu’elle n’opposait aucune résistance. Méfiant, je me jura de rester sur mes gardes. Son T-Shirt ayant valdingué à l’autre bout de la pièce j’abaissa son short pour découvrir que cette demoiselle n’avait pour seule lingerie qu’un simple string enfoui entre ses deux globes fessiers, je ne puis m’empêcher de tirer légèrement sur la ficelle, ce qui eut pour effet de la faire gémir, je découvris alors que sa chatte était trempée, le fait de se retrouver dans son plus simple appareil sur mes genoux en position de prendre une bonne volée la faisait mouiller à un point inimaginable.
Après avoir admiré ce corps si bien fait, je remis Emilie en travers de mes cuisses, et là commença la véritable punition, ma main s’abattait à un rythme infernal sur son fessier, je voyais ses jambes fendre l’air pour abriter son petit cul de cette véritable tempête qui malmenait son arrière train. J’avais volontairement choisi de ne pas la bâillonner, ainsi elle pleurait toutes les larmes de son (si joli) corps mais était obligée de de prendre sur elle pour ne pas hurler et ameuter le voisinage. Au bout d’un moment, je ralentis le rythme avant de la remettre sur ses pieds et de l’emmener vers sa chambre, elle tenta de résister, peine perdue, je la souleva la pris sur mon épaule façon « sac à patates », après tout, il se mijotait quelque chose dans cette pièce et je voulais savoir quoi. La miss d’un côté, la tapette à mouche de l’autre, j’ouvris la porte et tomba en arrêt sur ce que je vis :
Son lit n’avait plu ni couette ni oreiller, seulement deux paires de menottes aux deux extrémités de la tête de lit, je me ressaisis alors et l’allongea sur son lit.
Elle tenta encore une fois de résister pendant que je lui passais les bracelets avant de se résoudre à abandonner tout espoir ; elle était allongée sur un lit, les bras en croix, totalement nue et attachée, les fesses chaudes mais pas encore à bonne température à mon goût.
Je releva alors ses jambes et la mis en « diaper » avant de la passer à la tapette à mouche, cette fois la bouche obturée par le string qu’elle portait sous son pyjama, précaution inutile, elle ne hurla pas comme quand je lui avais administrée la spatule le matin même. La douleur et l’excitation la parcouraient, ce cocktail fût si puissant que lors d’une claque donnée volontairement plus proche de ses lèvres intimes, je sentis tout son corps se raidir et sa chatte gicla. Afin de lui rappeler que le but premier de cette fessée était de la punir, j’inversa les menottes et elle se retrouva sur le ventre, je m’éclipsa un instant pour aller chercher la spatule.

Quand je revins, elle ne vit pas la spatule et le premier coup lui arracha un cri de surprise et de douleur, au bout de quelques coups, j’arrêta, la détacha et la remis sur mes cuisses et termina sa fessée pendant une dizaine de minutes, là encore elle pleura et gigota. Je la renvoya au coin le temps de ranger le matériel et revint dans la chambre. Je lui fis quitter sa position, m’assis en face d’elle et lui dit alors :
- J’espère que tu as compris la leçon et que tu ne te foutras plus de moi comme tu l’as fait.
Elle me répondit :
- Je vais me venger…
Et sur ce, elle me sauta dessus et me renversa sur le lit.
Loin d’être con et ayant prévu qu’elle essaierait de m’attacher, je me redressa et retourna la situation à mon avantage.
Elle se retrouva une fois de plus allongée sur le ventre, les mains entravées, et attachée à son lit.
Je voyais entre ses fesses d’un beau rouge son petit anus et sa chatte qui dégoulinait.
- Tu croyais vraiment que j’avais pas prévu que tu essaierais de me jouer un mauvais tour ?
Et sur ces mots je me mis à la masturber longuement et doucement, je la voyais se tortiller et onduler, cela dura un moment, jusqu’à ce qu’elle me sortit :
- Par pitié, prends moi, c’est trop bon !!!
En un tournemain, je me déshabilla et approcha ma bite bien bandée de sa chatte,
(je m’arrêta le temps d’enfiler le préservatif que j’avais chopé quand j’étais aller ranger la spatule et la tapette) avant de la pénétrer profondément, au fur et à mesure, j’accéléra les vas et viens, pendant ce temps mon index se rapprocha de son petit trou et commença à le titiller. La pénétration rapide de sa chatte conjuguée à la stimulation de son anus l’amena à l’orgasme, je quitta alors sa chatte pour diriger ma bite vers son cul, je vous laisse imaginer la scène : une jeune et belle brune nue et attachée, la chatte dégoulinante, le cul rouge et chaud attendant avec une certaine appréhension que son petit cul se fasse perforer pour la première fois.

Je la redressa et la mis en levrette, les mains toujours attachées, je m’inséra doucement en elle puis petit à petit m’enfonça progressivement dans son arrière train, jusqu’à y faire entrer la moitié de ma bite, les allers et retours furent doux et l’amenèrent progressivement vers un second orgasme, ce dernier nous fit jouir de manière simultanée. Je la détacha et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre.

Suite et fin dans le prochain épisode

Comme pour les deux premières histoires, utilisez les commentaires pour exprimer vos impressions par rapport à la qualité de mes récits.

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